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Si en plus , on laisse les mairies décider de la répartition horaire, on est cuit !! :cry::devil_2:

Moi je repose le pb, pourquoi les profs de collège ne font que 18h...

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Si en plus , on laisse les mairies décider de la répartition horaire, on est cuit !! :cry::devil_2:

Moi je repose le pb, pourquoi les profs de collège ne font que 18h...

:) oula, on sort les flingues?

Je ne vois pas trop le rapport avec les rythmes scolaires?

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Je ne sais pas à qui tu vas réussir à faire croire ça: le ministre a bien voulu concéder les 60h (au lieu des 72h ! par parenthèse, quelle avancée...) sans raison, juste pour faire plaisir... Non le deal a été: "d'accord pour les 60h si vous signez". Preuve que le ministre avait bien besoin de ces signatures, sinon il aurait fait passer son projet en l'état (car c'est pas le genre à être un adepte de la discussion). C'est ça que je sais très bien, et que Darcos sait très bien aussi puisqu'il l'a répété partout.

Tu caricatures, mais la suppression du samedi matin s'est bien faite sans concertation non? Des négociations ont été entamées à la suite de cette décision pour réorganiser la semaine en conséquence et pour contenir la colère des collègues. On s'y est engagé pour ne pas qu'on impose n'importe quoi aux collègues sur le terrain, mais sans négociation je l'affirme le projet initial du ministère passait sans problème.

Ben justement, il aurait peut-être mieux fallu ne pas la contenir, cette colère....

Ah bon? c'est à dire? tu peux préciser ta pensée? c'est intéressant.

C'est le ministère qui décide d'ouvrir des négociations pour calmer le jeu. Au SE-UNSA on ne pense pas que le dialogue social est la pour calmer le jeu quand ça grogne, on pense que ça devrait être la règle.

Sauf qu'apparemment, il n'y a plus de dialogue possible avec ce ministre...et que toutes ces réformes précipitées auraient pu être contenues avec une riposte unitaire immédiate.

Mais l'heure n'est pas à la désunion, chacun fera le bilan de son action et de ses actes après la tempête ...si le beau temps revient !

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Je ne sais pas à qui tu vas réussir à faire croire ça: le ministre a bien voulu concéder les 60h (au lieu des 72h ! par parenthèse, quelle avancée...) sans raison, juste pour faire plaisir... Non le deal a été: "d'accord pour les 60h si vous signez". Preuve que le ministre avait bien besoin de ces signatures, sinon il aurait fait passer son projet en l'état (car c'est pas le genre à être un adepte de la discussion). C'est ça que je sais très bien, et que Darcos sait très bien aussi puisqu'il l'a répété partout.

Tu caricatures, mais la suppression du samedi matin s'est bien faite sans concertation non? Des négociations ont été entamées à la suite de cette décision pour réorganiser la semaine en conséquence et pour contenir la colère des collègues. On s'y est engagé pour ne pas qu'on impose n'importe quoi aux collègues sur le terrain, mais sans négociation je l'affirme le projet initial du ministère passait sans problème.

Ben justement, il aurait peut-être mieux fallu ne pas la contenir, cette colère....

Ah bon? c'est à dire? tu peux préciser ta pensée? c'est intéressant.

C'est le ministère qui décide d'ouvrir des négociations pour calmer le jeu. Au SE-UNSA on ne pense pas que le dialogue social est la pour calmer le jeu quand ça grogne, on pense que ça devrait être la règle.

Sauf qu'apparemment, il n'y a plus de dialogue possible avec ce ministre...et que toutes ces réformes précipitées auraient pu être contenues avec une riposte unitaire immédiate.

Mais l'heure n'est pas à la désunion, chacun fera le bilan de son action et de ses actes après la tempête ...si le beau temps revient !

:) une riposte unitaire immédiate... c'est à dire? Ce ne sont que des mots, concrètement ça donne quoi? ... Mais je crois qu'on s'éloigne encore du sujet -> les rythmes scolaires....

Posté(e)
Je ne sais pas à qui tu vas réussir à faire croire ça: le ministre a bien voulu concéder les 60h (au lieu des 72h ! par parenthèse, quelle avancée...) sans raison, juste pour faire plaisir... Non le deal a été: "d'accord pour les 60h si vous signez". Preuve que le ministre avait bien besoin de ces signatures, sinon il aurait fait passer son projet en l'état (car c'est pas le genre à être un adepte de la discussion). C'est ça que je sais très bien, et que Darcos sait très bien aussi puisqu'il l'a répété partout.

Tu caricatures, mais la suppression du samedi matin s'est bien faite sans concertation non? Des négociations ont été entamées à la suite de cette décision pour réorganiser la semaine en conséquence et pour contenir la colère des collègues. On s'y est engagé pour ne pas qu'on impose n'importe quoi aux collègues sur le terrain, mais sans négociation je l'affirme le projet initial du ministère passait sans problème.

Ben justement, il aurait peut-être mieux fallu ne pas la contenir, cette colère....

Ah bon? c'est à dire? tu peux préciser ta pensée? c'est intéressant.

C'est le ministère qui décide d'ouvrir des négociations pour calmer le jeu. Au SE-UNSA on ne pense pas que le dialogue social est la pour calmer le jeu quand ça grogne, on pense que ça devrait être la règle.

Je pense que si dès le départ on avait davantage montré notre désaccord tous ensemble comme le précise Zarko, si on n'avait pas laissé certains collègues se battrent seuls (je pense aux parisiens l'an dernier, aux lyonnais et aux nantais cette année) on n'en serait peut-être pas là....

Le pire c'est que ça continue, aucune ligne claire concernant les problèmes auxquels nous sommes confrontés tous les jours (je pense notamment aux évals, aux stages de Paques, à base élèves...) Actuellement nous sommes seuls dans nos écoles à subir les pressions hiérarchiques, on ne voit pas beaucoup de représentants syndicaux pour faire le lien entre nos différentes actions....

Tant pis, au niveau local on va faire sans eux, mais ça me désole vraiment....

Quant aux collègues majoritairement pour la suppression du samedi, il serait intéressant de faire un nouveau sondage, parcequ'autour de moi il n'y en a plus !

Les collègues autour de toi ce n'est peut être pas très représentatif, mais ça pourrait être intéressant de refaire une enquête. Moi de toute façon le samedi matin je suis pour... après travailler le samedi matin c'est travailler sur 4 jours et demi 24h+3h, sauf qu'à la place du mercredi on met le samedi... Donc je ne comprends pas trop... C'est pour le catéchisme que vous voulez garder le mercredi ??? :);) je provoque

Quelle(s) différence(s) entre le mercredi et le samedi ??? Il y en a quand même quelques unes !

Entre autres :

- pouvoir rencontrer les parents beaucoup plus facilement qu'actuellement

- ne pas travailler 5 jours d'affilée (pour l'avoir vécu, je trouve le rythme beaucoup plus dur que celui du samedi travaillé)

- avoir une demi-journée de bilan avec les élèves Le samedi, c'était un jour pas comme les autres, l'ambiance était différente, et à 11h30 les enfants qui allaient tous les soirs au centre étaient ravis d'être attendus par leurs parents à la grille de l'école comme les autres...

- ne pas avoir, pour beaucoup d'entre nous des frais de garde supplémentaires

.....

Je laisse JBB en rajouter ! :wink:

Posté(e)
C'est le ministère qui décide d'ouvrir des négociations pour calmer le jeu. Au SE-UNSA on ne pense pas que le dialogue social est la pour calmer le jeu quand ça grogne, on pense que ça devrait être la règle.

Ce qui n'a pas empêché le SE-UNSA de s'engager dans cette pseudo-négociation... Merci de reconnaître enfin que le SE-UNSA a voulu aider le ministre à "calmer le jeu"...

Quant à prétendre que "négocier" c'est discuter une fois que tout a été mis en place, y'a que l'UNSA et DARCOS capables de le faire.

Un petit rappel historique pour ceux qui ont la mémoire courte...

Posté(e)
Je pense que si dès le départ on avait davantage montré notre désaccord tous ensemble comme le précise Zarko, si on n'avait pas laissé certains collègues se battrent seuls (je pense aux parisiens l'an dernier, aux lyonnais et aux nantais cette année) on n'en serait peut-être pas là....

Le pire c'est que ça continue, aucune ligne claire concernant les problèmes auxquels nous sommes confrontés tous les jours (je pense notamment aux évals, aux stages de Paques, à base élèves...) Actuellement nous sommes seuls dans nos écoles à subir les pressions hiérarchiques, on ne voit pas beaucoup de représentants syndicaux pour faire le lien entre nos différentes actions....

Tant pis, au niveau local on va faire sans eux, mais ça me désole vraiment....

D'abord première chose la plupart des représentants syndicaux au niveau local ont leur classe eux aussi, ont eux aussi une charge de travail conséquente. Aucune ligne claire?? je ne comprends pas trop, au SE-UNSA pour chaque pb que tu abordes on a des positions claires définies par nos mandats et nos adhérents sur le terrain. Evals CM2: position et consigne intersyndicale; stages de pâques : on n'est pas favorable mais comme c'est sur la base du volontariat, on ne peut pas empêcher les collègues de participer (juste être là pour faire face à d'éventuelles pressions), base-élèves : les clarifications et modifications réclamées ont été faites, la CNIL a validé, l'outil demande juste une vigilance démocratique, le boycott n'a pas lieu d'être.

Toutes les actions ne sont pas bonnes à prendre de toute façon et le rôle d'un syndicat n'est pas pour moi de faire le lien entre des actions diverses et variées mises en place sans concertation sur le terrain.

Notre désaccord, on l'a montré, les mobilisations et les actions ont été nombreuses. Mais il y a une limite à l'action syndicale si on ne veut pas mêler syndicalisme et politique. La frontière est fine mais à mon avis il faut la respecter.

Quant aux pressions de la hiérarchie, il faut faire intervenir ton syndicat pour qu'elles cessent.

Quelle(s) différence(s) entre le mercredi et le samedi ??? Il y en a quand même quelques unes !

Entre autres :

- pouvoir rencontrer les parents beaucoup plus facilement qu'actuellement

- ne pas travailler 5 jours d'affilée (pour l'avoir vécu, je trouve le rythme beaucoup plus dur que celui du samedi travaillé)

- avoir une demi-journée de bilan avec les élèves Le samedi, c'était un jour pas comme les autres, l'ambiance était différente, et à 11h30 les enfants qui allaient tous les soirs au centre étaient ravis d'être attendus par leurs parents à la grille de l'école comme les autres...

- ne pas avoir, pour beaucoup d'entre nous des frais de garde supplémentaires

.....

Je laisse JBB en rajouter ! :wink:

- Pouvoir rencontrer les parents ok, c'est vrai que le samedi c'est beaucoup mieux

- ne pas travailler 5 jours d'affilée ok, mais personnellement entre les conférences pédadagogiques et les préparations, les mercredis je travaillais déjà.

- le mercredi matin pourrait aussi être un jour pas comme les autres

- pour les frais de gardes, si tes enfants sont à l'école le mercredi, ça ne pose pas trop de problème a priori ..?

- le samedi matin il y avait aussi beaucoup d'absentéisme. C'est apparemment beaucoup moins le cas le mercredi.

De toute façon le samedi que j'aurais préféré garder aussi a disparu... Notre bon ministre ne nous a laissé que la possibilité du mercredi. Encore que lui ne voulait pas qu'on puisse travailler le mercredi au départ, c'est le SE qui a permis de l'obtenir :) Encore une occasion de cracher sur le SE-UNSA et les réformistes :);)

Posté(e)
C'est le ministère qui décide d'ouvrir des négociations pour calmer le jeu. Au SE-UNSA on ne pense pas que le dialogue social est la pour calmer le jeu quand ça grogne, on pense que ça devrait être la règle.

Ce qui n'a pas empêché le SE-UNSA de s'engager dans cette pseudo-négociation... Merci de reconnaître enfin que le SE-UNSA a voulu aider le ministre à "calmer le jeu"...

Quant à prétendre que "négocier" c'est discuter une fois que tout a été mis en place, y'a que l'UNSA et DARCOS capables de le faire.

Un petit rappel historique pour ceux qui ont la mémoire courte...

:) Jean je t'adore ! :) Tu es toujours aussi fort pour détourner mes propos ;) Je vais arrêter là notre petite gueguerre qui ne rime pas à grand chose. Mais puisque tu proposes un rappel historique (un peu court selon moi), j'en propose un moi aussi ici : http://sections.se-unsa.org/49/spip.php?article168

Posté(e)

En tout cas, bien joué Darkozy ! On le voit à travers toutes ces discussions, la graine de la discorde a été semée. Et encore, il ne s'agit que de la semaine de 4 jours. Si on rajoute à cela les réseaux, la maternelle, les EPEP, les programmes... on peut s'imaginer que ce qui poussera ne sera que divergences et conflits entre collectivités locales, parents d'élèves et enseignants...

Posté(e)
En tout cas, bien joué Darkozy ! On le voit à travers toutes ces discussions, la graine de la discorde a été semée. Et encore, il ne s'agit que de la semaine de 4 jours. Si on rajoute à cela les réseaux, la maternelle, les EPEP, les programmes... on peut s'imaginer que ce qui poussera ne sera que divergences et conflits entre collectivités locales, parents d'élèves et enseignants...

Attention de bien faire la différence entre débat et discorde. Bien sûr qu'il y a des divergences, on ne peut pas penser tous la même chose, et heureusement d'ailleurs. Suivant les villes, les territoires, les moyens de l'école, les situations peuvent être très différentes et les organisations à envisager aussi.

Posté(e)

La discorde a déjà débuté...le SIEN-UNSA condamne les désobéisseurs, justement à cause de la mise en place des 108h...

Le SI.EN condamne les attaques dont un inspecteur vient de faire l’objet de la part d’un

enseignant se définissant comme « désobéisseur »

Si en tant qu’organisation syndicale nous pouvons accepter, même si nous ne les approuvons

pas, les actions de désobéissance mises en place par des enseignants qui expriment ainsi une

conviction personnelle, nous engageons fermement ces derniers à ne pas franchir les limites

de l’acceptable.

Dans un message public l’un d’entre eux vient de mettre gravement en cause un inspecteur

qui n’a fait que son devoir et n’a obéi qu’à sa conscience. Dans son enfermement sur luimême

et dans son refus obstiné de toute évolution de ses pratiques, cet enseignant finit par

rejeter toutes les valeurs fondatrices de l’Ecole de la République. Il se place au dessus des lois

et règlements en prétendant fonder sa démarche sur une prétendue légitimité de la

désobéissance.

Il faut pourtant qu’il ouvre les yeux aujourd’hui : ses attaques ad hominem sont indignes des

valeurs auxquelles il se réfère. Ses efforts pour discréditer le travail de l’inspecteur qui s’est

systématiquement attaché à entretenir un dialogue pour essayer de trouver les solutions à

même de garantir à la fois l’application des lois de la République et le principe de la liberté

pédagogique, auquel nous sommes tous profondément attachés, doivent être dénoncés. Le

respect ne peut s’inscrire que dans la réciprocité ; ceux qui oublient cette évidence ne

négligent-ils pas ce qu’ils sont censés défendre au quotidien dans leur classe ?

La respectabilité d’un combat ne résulte pas de la couverture médiatique qui lui est accordée

ou de la certitude qu’ont ses partisans d’être dans leur « bon droit ». S’ils entendent être

respectés, ceux qui ont opté pour la voie de la désobéissance doivent accepter les

conséquences de ce choix et ne pas en rejeter la responsabilité sur ceux qui s’attachent à

appliquer les lois avec compétence et discernement.

Le SI.EN-UNSA Education affirme très clairement son soutien à l’inspecteur qui vient de

subir des accusations aussi graves qu’injustes et dénonce fermement ces attaques

irresponsables.

Contact :

Patrick ROUMAGNAC

Secrétaire général du SI.EN-UNSA Education

01.43.22.68.19

sien@unsa-education.org

Voili, voilou... :cry:

http://sien.unsa-education.org/index.htm

Posté(e)
La discorde a déjà débuté...le SIEN-UNSA condamne les désobéisseurs, justement à cause de la mise en place des 108h...

Le SI.EN condamne les attaques dont un inspecteur vient de faire l’objet de la part d’un

enseignant se définissant comme « désobéisseur »

Si en tant qu’organisation syndicale nous pouvons accepter, même si nous ne les approuvons

pas, les actions de désobéissance mises en place par des enseignants qui expriment ainsi une

conviction personnelle, nous engageons fermement ces derniers à ne pas franchir les limites

de l’acceptable.

Voili, voilou... :cry:

http://sien.unsa-education.org/index.htm

Je soutiens cette déclaration du SIEN, le syndicat des inspecteurs de l'UNSA, qui ne condamne pas les desobéisseurs mais les attaques que certains mènent envers les inspecteurs. Le SIEN-UNSA comme le SE-UNSA, le SNUIPP-FSU, le SGEN-CFDT n'approuve pas l'action des désobéisseurs. Je pense que dans certains cas la ligne jaune est franchie, en effet, et que certains désobéisseurs n'assument pas leurs actes. Qu'il y ait un soutien par le biais d'une caisse de solidarité, pourquoi pas. Que le syndicat d'un déobéisseur le défende devant l'administration parce qu'on lui met tout et n'importe quoi sur dos, ok aussi. Mais au bout d'un moment, il faut assumer, quand on désobéis, on ne fait pas son service et on est sanctionné.

C'est vrai qu'il y a des inspecteurs zélés qui jouent au petit chef, mais ce n'est pas la règle à mon avis.

Mais encore une fois zarko, j'ai l'impression qu'on s'éloigne du sujet des rythmes scolaires...???

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