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Mais encore une fois zarko, j'ai l'impression qu'on s'éloigne du sujet des rythmes scolaires...???

Parce que des heures de soutien après 6 h de classe, ça ne concerne pas les rythmes scolaires ? :blink:

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Mais encore une fois zarko, j'ai l'impression qu'on s'éloigne du sujet des rythmes scolaires...???

Parce que des heures de soutien après 6 h de classe, ça ne concerne pas les rythmes scolaires ? :blink:

:) si mais tu parlais des désobéisseurs non? donc ça n'a rien à voir, je confirme.

Revenir au samedi matin et ne pas faire l'aide personnalisée, ce n'est pas légal. Par contre organiser la semaine sur 4 jours et demi c'est possible. Alors le débat c'est : on reste à 4 jours avec des journées longues et une coupure le mercredi ou on passe à 4 jours et demi avec des journées potentiellement plus courtes de 15 à 45 min en ouvrant l'école le mercredi matin ?

Pour chaque organisation, il y a des +, des -. Aux équipes enseignantes sur le terrain de faire le point, de proposer des projets éventuellement aux Mairies, aux parents, etc.

Personnellement dans mon école on a proposé en conseil d'école 9h 12 14h 16h15 lundi mardi jeudi vendredi et 9h 12h le mercredi. La réflexion est lancée, rien ne se fera à la rentrée 2009 mais si on trouve une organisation qui convient à tout le monde pourquoi pas à la rentrée 2010.

Posté(e)
Mais encore une fois zarko, j'ai l'impression qu'on s'éloigne du sujet des rythmes scolaires...???

Parce que des heures de soutien après 6 h de classe, ça ne concerne pas les rythmes scolaires ? :blink:

:) si mais tu parlais des désobéisseurs non? donc ça n'a rien à voir, je confirme.

Revenir au samedi matin et ne pas faire l'aide personnalisée, ce n'est pas légal. Par contre organiser la semaine sur 4 jours et demi c'est possible. Alors le débat c'est : on reste à 4 jours avec des journées longues et une coupure le mercredi ou on passe à 4 jours et demi avec des journées potentiellement plus courtes de 15 à 45 min en ouvrant l'école le mercredi matin ?

Mais pour les désobéisseurs, c'est bien ces heures de soutien sup qui sont contestées!!(incompatibles avec le rythme scolaire quotidien des enfants !!)

Et puis pourquoi ne pas revenir à la diminution des petites vacances comme cela s'est fait durant des années dans bcp de dpts ?

En aucun cas , mon syndicat n'acceptera d'être sous la coupe des collectivités locales sur ce point ! Le SEunsa ira donc "négocier" tout seul, quitte à faire un mea culpa dès la mise en place des horaires par les mairies ...

Posté(e)
Mais encore une fois zarko, j'ai l'impression qu'on s'éloigne du sujet des rythmes scolaires...???

Parce que des heures de soutien après 6 h de classe, ça ne concerne pas les rythmes scolaires ? :blink:

:) si mais tu parlais des désobéisseurs non? donc ça n'a rien à voir, je confirme.

Revenir au samedi matin et ne pas faire l'aide personnalisée, ce n'est pas légal. Par contre organiser la semaine sur 4 jours et demi c'est possible. Alors le débat c'est : on reste à 4 jours avec des journées longues et une coupure le mercredi ou on passe à 4 jours et demi avec des journées potentiellement plus courtes de 15 à 45 min en ouvrant l'école le mercredi matin ?

Mais pour les désobéisseurs, c'est bien ces heures de soutien sup qui sont contestées!!(incompatibles avec le rythme scolaire quotidien des enfants !!)

Et puis pourquoi ne pas revenir à la diminution des petites vacances comme cela s'est fait durant des années dans bcp de dpts ?

En aucun cas , mon syndicat n'acceptera d'être sous la coupe des collectivités locales sur ce point ! Le SEunsa ira donc "négocier" tout seul, quitte à faire un mea culpa dès la mise en place des horaires par les mairies ...

Oui mais le soucis camarade c'est qu'on ne peut pas squizzer le processus démocratique. Ce n'est pas moi qui est mis Sarko et Darcos au pouvoir. Donc jusqu'à preuve du contraire c'est le pouvoir qui décide. Oh, il peut négocier et mettre de l'eau dans son vin pour que ces décisions soient acceptées au mieux, mais au final c'est bien le pouvoir politique qui dirige la barque. Tu fais encore une fois confusion entre politique et syndicalisme.

Tiens donc, t'es syndiqué maintenant, c'est intéressant ça ;)... Le SE de son côté ne sera pas sous la coupe d'autres syndicats ou lobby ou force politique.

Pour les rythmes scolaires, camarade, il n'y a pas de négociations entre syndicats et mairies ou entre syndicats et ministre, ou encore entre syndicat et IA.

Comme je l'ai déjà dit, la possibilité d'organiser la semaine sur 4 jours et demi existe déjà dans les textes. Donc on est favorable ou pas dans chaque école, mairie, etc.. à la semaine de 4 jours et demi avec le mercredi, ça se décide localement.

Quant à raccourcir les vacances, oui pourquoi pas, j'y suis favorable, mais encore une fois à l'heure actuelle ce n'est pas possible. Et en plus tu te heurtes au lobby du tourisme alors ce n'est pas avec le gouvernement actuel que tu obtiendras quelque chose là-dessus.

Posté(e)

Une délégation du SNUDI FO (Paul BARBIER Secrétaire général, Bernard LEMPEREUR, secrétaire national et Norbert TRICHARD, trésorier national) a été reçue jeudi 25 octobre 2007 par M Xavier DARCOS, Ministre de l’Education nationale concernant le calendrier scolaire et la fermeture des écoles le samedi matin

La délégation a fait part au ministre des mandats du SNUDI FO formulés par le dernier Bureau national :

pour la définition des obligations de service des enseignants exclusivement en heures hebdomadaires d’enseignement, et dans ce cadre contre tout allongement des obligations de services.

pour le respect de l’indépendance professionnelle et de la liberté pédagogique individuelle, contre toute mise sous tutelle des enseignants et le respect de notre statut de fonctionnaire d’Etat.

pour le retour à un calendrier national appliqué sur l’ensemble du territoire respectant le rythme 7 semaines - 2 semaines de congé et rétablissant l’intégralité des mois de juillet et d’août pour les congés d’été

pour le maintien et l’augmentation du nombre de RASED et de CLIS pour prendre en charge pendant le temps scolaire tous les enfants en difficulté scolaire

pour la stricte séparation entre le scolaire et le périscolaire

Le ministre a tenu à répondre sur chacun des 5 points.

Concernant les obligations de service, il a affirmé qu’elles seraient toujours pour les enseignants de 26 heures hebdomadaires d’enseignement + une heure annualisée. Les 2 heures de cours en moins pour les élèves doivent être spécifiquement consacrées aux élèves en difficulté. Quant à leur organisation, le ministre a précisé qu’il était partisan de la plus grande souplesse possible au niveau des écoles.

M DARCOS a réaffirmé son attachement à l’indépendance professionnelle et de la liberté pédagogique individuelle, précisant qu’il n’était pas partisan d’une pédagogie officielle et que ce qui comptait c’était les résultats obtenus par les élèves. De ce point de vue, les inspections doivent être plus fréquentes et doivent porter sur les résultats obtenus et non sur les méthodes utilisées.

Concernant le calendrier scolaire, le ministre a déclaré que les disparités actuelles aboutissent à ce que personne ne s’y retrouve. Par contre, il est resté discret sur le rythme 7 semaines - 2 semaines de congé et le rétablissement de l’intégralité des mois de juillet et d’août pour les congés d’été.

Concernant les RASED, M DARCOS a indiqué qu’il fallait maintenir les RASED mais qu’il fallait en finir avec leur dispersion. Pourquoi ne pas rattacher les maîtres E a des écoles qui prendraient en charge (comme dans les classes d’adaptation) les élèves en difficulté. Quant aux CLIS, le ministre a affirmé qu’il n’y en avait pas assez…

Enfin, sur le problème de la stricte séparation entre le scolaire et le périscolaire, le ministre a précisé que le périscolaire ne devait pas se substituer au scolaire. Par contre, il a utilisé une formule « il faut que les enseignants encadrent, comme cela se faisait auparavant, le périscolaire » qui pose plus de questions qu’elle n’apporte de réponse.

M. DARCOS a indiqué qu’il ferait ses annonces officielles vraisemblablement après les congés de Toussaint en précisant : « Ces annonces seront suivies par une large concertation, mon objectif étant de présenter les textes au printemps ».

La délégation a confirmé en conclusion ses propos liminaires : « le SNUDI-FO enregistre positivement d’entendre de vive voix les intentions du ministre après s’être insurgé contre le fait d’avoir découvert le dossier dans la presse.

Le SNUDI-FO, troisième syndicat représentatif des enseignants du 1er degré entend prendre toutes ses responsabilités dans la défense des préoccupations et revendications des instituteurs et professeurs des écoles.

Le SNUDI considère de ce point de vue que les négociations annoncées ne pourront se dérouler que sur la base de propositions écrites dans la mesure où elles auront des conséquences d’ordre réglementaire en particulier sur les obligations de service des enseignants. »

C’est dans cet esprit que le SNUDI FO participera à la prochaine rencontre proposée par le ministre avec son cabinet le 6 novembre.

C’est dans cet esprit que le SNUDI FO demande à ses sections et syndicats départementaux de porter ce communiqué à la connaissance de l’ensemble des instituteurs et professeurs des écoles. Le SNUDI FO entend négocier pour défendre les garanties statutaires des personnels, il ne participera pas à des concertations secrètes et confuses.

Montreuil le 26 octobre 2007

Le SNUDI FO a pris connaissance par la presse des déclarations du ministre de l’Education nationale concernant le calendrier scolaire et, en particulier, la suppression des cours du samedi matin.

Avant toute chose, le SNUDI Fo s’insurge contre la méthode employée par le ministre annonçant une mesure qui aura des conséquences sur les obligations de service des personnels sans aucune concertation avec les organisations syndicales.

Quant au fond, le SNUDI FO entend faire un certain nombre de remarques :

Tout d’abord, il a pris bonne note des propos du ministre déclarant : « il y a de telles disparités sur le territoire que plus personne ne s’y retrouve ».

Si ces propos ont un sens, cela doit se traduire par le rétablissement d’un calendrier scolaire national applicable sur l’ensemble du territoire, respectant les droits de tous les élèves aux mêmes horaires d’enseignement et garantissant les mêmes obligations de service, les mêmes droits statutaires pour tous les enseignants.

En effet, la multiplication d’initiatives locales pour modifier les calendriers scolaires au gré des influences politiques et économiques locales, a abouti à une déréglementation généralisée dérogeant au principe d’égalité de traitement des élèves devant le service public d’enseignement et remettant gravement en cause les obligations de service des personnels.

Ceci étant dit, les propos du ministre concernant la suppression des cours le samedi matin dès la rentrée 2008, posent de multiples questions qui sont aujourd’hui sans réponse :

Les 3 heures supprimées le samedi matin seront-elles transférées au mercredi ou réparties sur les autres jours de la semaine ?

Cette mesure aura-t-elle des conséquences sur la durée et la périodicité des congés scolaires ?

Quelles seront les matières remises en cause en cas de suppression de ces 3 heures ?

A quel moment seront « pris séparément » les « 15% d’élèves qui sont en très grande difficulté scolaire » ? Quels sont « les professeurs qui leur permettront de travailler d’une manière plus soutenue, plus personnelle » ?

Quelles seront les incidences de la suppression de ces 3 heures sur les obligations de service des enseignants ?

Qui sera responsable de « l’école ouverte » du samedi matin préconisée par le ministre ?

Les « heures supplémentaires » pour les volontaires s’opposeront-elles à une véritable revalorisation salariale ?

Autant de questions (dont la liste n’est pas exhaustive) qui demandent des réponses.

Aussi dès maintenant le SNUDI FO demande à être reçu par le ministre de l’Education nationale auquel il rappellera ses revendications et en particulier :

le maintien d’obligations de service fixées hebdomadairement et exclusivement en heures d’enseignement,

un calendrier national unique sur la base de 7 semaines de travail/2 semaines de congés et le maintien des 2 mois de congés d’été,

le respect et l’amélioration des obligations de service statutaires des enseignants,

la stricte séparation entre le scolaire et le périscolaire, le respect du « volontariat » pour l’encadrement des activités péri et post scolaires.

l’augmentation du nombre de RASED pour prendre en charge tous les enfants en difficulté scolaire.

Posté(e)

Non mais Zarko, il faut arrêter là. Tu nous post des messages qui n'ont rien à voir avec le sujet de départ...

Posté(e)
Non mais Zarko, il faut arrêter là. Tu nous post des messages qui n'ont rien à voir avec le sujet de départ...

Quant au fond, le SNUDI FO entend faire un certain nombre de remarques :

Tout d’abord, il a pris bonne note des propos du ministre déclarant : « il y a de telles disparités sur le territoire que plus personne ne s’y retrouve ».

Si ces propos ont un sens, cela doit se traduire par le rétablissement d’un calendrier scolaire national applicable sur l’ensemble du territoire, respectant les droits de tous les élèves aux mêmes horaires d’enseignement et garantissant les mêmes obligations de service, les mêmes droits statutaires pour tous les enseignants.

:wink:

Posté(e)
Le SGEN et le SE n'ont pas approuvé les 24h, ils ont négocié avec le SNUIPP pour améliorer ce que proposait le ministère pour remplacer le samedi matin, et qui initialement instituait 72h aide personnalisée face aux élèves contre 60h avec temps de concertation après négociation.

Je vais juste citer le SE-UNSA, qui parle du Snuipp:

Bel écran de fumée quand on se remémore que c’est justement le Snuipp qui a demandé un protocole de discussions qu’il a obtenu et rédigé avec le Ministre, ce qui veut dire qu’il en a accepté le cadre :

- la suppression du samedi matin - événement qu’il semble découvrir maintenant

C'est-à-dire que quand c'est le Snuipp qui signe le protocole, il approuve les 24h, mais quand c'est l'UNSA (qui non seulement signe le protocole mais aussi et surtout le "relevé de conclusions") il n'approuve pas les 24h...

Posté(e)
Alors le débat c'est : on reste à 4 jours avec des journées longues et une coupure le mercredi ou on passe à 4 jours et demi avec des journées potentiellement plus courtes de 15 à 45 min en ouvrant l'école le mercredi matin ?

C'est quoi cette histoire de "journées longues" ? Et ça changera quoi pour les élèves qui sont à l'école de 8h00 à 18h00: ils resteront 3/4 d'heure de plus en garderie ? C'est positif ça ?

Posté(e)
Le SGEN et le SE n'ont pas approuvé les 24h, ils ont négocié avec le SNUIPP pour améliorer ce que proposait le ministère pour remplacer le samedi matin, et qui initialement instituait 72h aide personnalisée face aux élèves contre 60h avec temps de concertation après négociation.

Je vais juste citer le SE-UNSA, qui parle du Snuipp:

Bel écran de fumée quand on se remémore que c’est justement le Snuipp qui a demandé un protocole de discussions qu’il a obtenu et rédigé avec le Ministre, ce qui veut dire qu’il en a accepté le cadre :

- la suppression du samedi matin - événement qu’il semble découvrir maintenant

C'est-à-dire que quand c'est le Snuipp qui signe le protocole, il approuve les 24h, mais quand c'est l'UNSA (qui non seulement signe le protocole mais aussi et surtout le "relevé de conclusions") il n'approuve pas les 24h...

Alors, 1) ce n'est pas ce qui est dit dans la déclaration du SE ; 2) encore une fois tu sors une phrase de son contexte, tu détournes des propos... Ce sont des méthodes d'un autre temps camarade.

Posté(e)
D'abord première chose la plupart des représentants syndicaux au niveau local ont leur classe eux aussi, ont eux aussi une charge de travail conséquente. Aucune ligne claire?? je ne comprends pas trop, au SE-UNSA pour chaque pb que tu abordes on a des positions claires définies par nos mandats et nos adhérents sur le terrain. Evals CM2: position et consigne intersyndicale;

Les consignes pour les éval ont été tellement claires qu'on a vu tout et n'importe quoi : absence de passation, passation aménagée, passation stricte, remontée des résultats via le programme informatique, remontée des livrets anonymés, absence de remontées... Pour être claires, y a pas à dire elles ont été claires et unitaires les consignes intersyndicales !!! :lol: Alors soit c'est comme en classe et on va mettre ça sur le dos de l'inattention des "récepteurs" soit faudrait peut-être remettre en cause la passation des consignes par "l'émetteur" ! :devil_2:

stages de pâques : on n'est pas favorable mais comme c'est sur la base du volontariat, on ne peut pas empêcher les collègues de participer (juste être là pour faire face à d'éventuelles pressions),

On peut peut-être se poser la question des enfants qu'on y envoie ? (ou pas)

base-élèves : les clarifications et modifications réclamées ont été faites, la CNIL a validé, l'outil demande juste une vigilance démocratique, le boycott n'a pas lieu d'être.

Là aussi, c'est tellement clair que l'ONU s'en mêle !!!!

http://www.lemonde.fr:80/societe/article/2...73266_3224.html

la France sommée d'expliquer par écrit avant le 6 avril aux Nations unies, dans le cadre de la session du Comité des droits de l'enfant, "à quelle mission de service public servira le stockage au niveau national de données nominatives et indiquer les raisons pour lesquelles le droit d'opposition prévu par la loi ne s'applique pas à ce dispositif. Veuillez également informer le Comité (des droits de l'enfant de l'ONU) des conséquences éventuelles que pourrait entraîner le refus des parents de fournir les informations requises sur leurs enfants".

le rôle d'un syndicat n'est pas pour moi de faire le lien entre des actions diverses et variées mises en place sans concertation sur le terrain.

D'accord avec toi, pour moi le rôle d'un syndicat serait plutôt d'impulser ce genre d'action !!! :bleh:

- ne pas travailler 5 jours d'affilée ok, mais personnellement entre les conférences pédadagogiques et les préparations, les mercredis je travaillais déjà.

J'avais jusqu'alors la chance de ne pas avoir d'anim péda le mercredi, et actuellement, le mercredi, je bosse si je veux et où je veux....

- le mercredi matin pourrait aussi être un jour pas comme les autres

Pas une demi-journée bilan, en tout cas !

- pour les frais de gardes, si tes enfants sont à l'école le mercredi, ça ne pose pas trop de problème a priori ..?

Il se trouve que nos enfants ne naissent pas "prêts à la scolarisation", il faut tout de même attendre 3 ans pour cela... Et peut-être bien plus dans quelques années...

Ceci dit, je me demande bien de quoi je me mêle, puisque je n'ai plus de jeunes enfants non scolarisés ! :devil_2:

De toute façon le samedi que j'aurais préféré garder aussi a disparu... Notre bon ministre ne nous a laissé que la possibilité du mercredi. Encore que lui ne voulait pas qu'on puisse travailler le mercredi au départ, c'est le SE qui a permis de l'obtenir :) Encore une occasion de cracher sur le SE-UNSA et les réformistes :);)

Inutile de préciser que je ne vous remercie pas !!! :wink:

Revenir au samedi matin et ne pas faire l'aide personnalisée, ce n'est pas légal.

Et si on se battait pour que cela le devienne ?

Par contre organiser la semaine sur 4 jours et demi c'est possible. Alors le débat c'est : on reste à 4 jours avec des journées longues et une coupure le mercredi ou on passe à 4 jours et demi avec des journées potentiellement plus courtes de 15 à 45 min en ouvrant l'école le mercredi matin ?

C'est une plaisanterie ? :mad:

Posté(e)
Alors, 1) ce n'est pas ce qui est dit dans la déclaration du SE ; 2) encore une fois tu sors une phrase de son contexte, tu détournes des propos... Ce sont des méthodes d'un autre temps camarade.

Et les syndicats qui se tirent dans les pattes pour obtenir quelques voix de plus à de futures élections professionnelles, ce devrait être également des "méthodes d'un autre temps", camaradeS.

Je ne sais qui a raison ou tort mais vous offrez, messieurs, un bien triste spectacle.

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