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Ce que les parents ne peuvent pas refuser


aurrelli

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Bonjour à vous,

J'ai fait une recherche sur le forum pour trouver réponse à ma question, mais je n'ai pas trouvé, si jamais ma question faisait doublon n'hésitez pas à me le dire (et éventuellement m'indiquer le poste sur le sujet :tongue: )

J'essaye de rassembler des informations sur les aides qui sont proposées par l'école aux enfants en difficultés scolaires et je me rends compte que tout ou presque est soumis à acceptation par les parents. Je ne cherche pas discuter ce point qui se justifie tout à fait même si la prise en charge peut-être ralentie voire impossible. Mais je me rends compte que je ne connais pas les situations où l'accord des parents n'est pas requis. La prise en charge par un maître E ou un maître G doivent-ils obligatoirement être acceptés par les parents ? Existe-t-il d'autres cas ?

Zil depuis des années, je ne suis pas particulièrement au fait de ces modalités, d'où ma question peut-être naïve.

Merci d'avance pour vos réponses.

Aurélie

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le peu de chose que je sais : le maitre E ne peut être refusé par les parents parce que c'est du "scolaire" pur. maître G, il faut l'accord des parents parce que "rééducatif". pardon pour les termes, j'ai pas mieux.

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Merci beaucoup de ta réponse Spirou.

C'est ce qui me semblait mais je n'en étais pas certaine.

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A ma connaissance, en dehors des prises en charges E, tout est soumis à l'acceptation des parents (prise en charge G, tests psycho, orientation vers l'enseignement adapté, maintien dans un cycle) et même à leur demande (tout ce qui passe par la mdph (orientation spécialisée, prise en charge médico-sociale, etc, cf loi sur le handicap, 2005).

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A ma connaissance, en dehors des prises en charges E, tout est soumis à l'acceptation des parents (prise en charge G, tests psycho, orientation vers l'enseignement adapté, maintien dans un cycle) et même à leur demande (tout ce qui passe par la mdph (orientation spécialisée, prise en charge médico-sociale, etc, cf loi sur le handicap, 2005).

On peut quand même finir par obliger les parents pour ce qui est de l'enseignement adapté et/ou prises en charges un peu lourdes (MDPH). Mais ca implique un signalement social, ce qu'il vaut mieux éviter.

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Merci à vous,

OuMmah ça fait partie des renseignements que je cherchais.

Merci !

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Merci à vous,

OuMmah ça fait partie des renseignements que je cherchais.

Merci !

Bon alors, pour être très précise :

En maternelle en ZEP, les enfants vivent souvent leur première expérience de socialisation. Pour peu que les parents n'aient pas de médecin de famille (ça arrive très souvent, ils vont aux urgences comme nous on va chez le toubib), et bien le petit n'est pas dépisté pour des troubles peu visibles comme l'autisme.

Le môme arrive en maternelle, donc. Le problème saute aux yeux de tous, assez rapidement. Sauf aux yeux des parents qui, souvent et ça se comprend, se réfugient dans la politique de l'autruche. ça se comprend, mais on ne peut laisser le déni s'installer indéfiniment.

Si la situation perdure, malgré tout ce que l'équipe a pu tenter, il ne reste qu'une solution dans l'intérêt de l'enfant : le signalement social. Il peut aller loin, jusque devant le juge, qui décide alors de ce qui est bon pour le petit. Mais heureusement, ces cas extrêmes sont rares, les parents se résignent avant l'intervention de la justice.

Mais ça m'est arrivé une fois quand même.

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Mes interrogations venaient justement du constat que certains parents sont dans un tel déni qu'ils refusent toute prise en charge de leur enfant. J'ai pu aussi me rendre compte qu'il faut parfois quelques années après l'entrée en maternelle pour leur permettre d'intégrer le handicap de leur enfant, surtout s'il n'est pas évident et lui permet malgré tout de se faire plus ou moins des copains et d'évoluer, même très lentement.

Finalement on peut les y obliger légalement quand leur refus devient comparable à de la maltraitance... et effectivement heureusement que ça reste des cas très rares !

Merci beaucoup pour ces précisions

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