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Posté(e)

Je n'ai pas mis beaucoup d'exemples personnels mais on peut étayer mon plan par:

- Atelier de jeu en maternelle (principe, objectif)

- L'EPS (jeu dans chaque APSA + compétenses spécifiques développés)

- Gestion de son travail en autonomie ( fiche jeu => développe des apprentissages)

Jeu et école

Quelle est la place du jeu dans les apprentissages à l’école ?

I- Une vision erronée du jeu à l’école

1) les parents et les détracteurs (texte1)

Pour certaines personnes le jeu n’a pas sa place dans les apprentissages :

- perte de temps

- le jeu n’a pas les même finalités que le travail (concept qui s’oppose selon eux)

- pratique peu sérieuse qui est donc à bannir de l’école.

2) Alain (texte 2)

Selon lui l’homme se forme par la peine : « il n’y a point d’expérience qui élève un homme que la découverte d’un plaisir supérieur, qu’il aurait toujours ignoré s’il n’avait point pris d’abord un peu de peine. »

- L’homme doit donner pour ensuite recevoir. Ainsi le plaisir doit se mériter.

- Tout apprentissage suppose une part de plaisir et de contrainte.

- Respecter l’enfant c’est prendre au sérieux son désir de grandir

- Ainsi c’est ne pas prendre au sérieux l’enfant que de penser qu’il ne peut réserver son sérieux qu’au jeu et de capter à son insu l’énergie qu’il déploie dans le jeu au profit des activités scolaire.

II- Définition et typologie du jeu à l’école

1) Définition (texte 1)

Le jeu fait partie de l’école :

- L’Etymologie en témoigne :

En Grec le mot skhilê signifie d’abord loisir, puis loisir consacré à l’étude.

En Latin ludus, a donné en français ludique et avait pour sens amusement, jeu …et école.

- Platon disait : « Laissez les leçons prendre la forme du jeu »

- Selon UNESCO Le jeu est universel, et de ce fait il est vital. Il ne peut donc être exclu de l’école.

2) Typologie

Le jeu à l’école peut prendre différente forme ( attention il se différencie du jeu à la maison):

- La récompense après un travail fini ( motivation mais situation critiquée => phénomène de cause à effet peu louable)

Ex : jeu de société

- Outil pour gérer l’hétérogénéité de la classe et le rythme de chacun ;

EX : quand des élèves ont fini leur travail avant d’autres, ils patientent avec des jeux (ludique => coloriage par comptage de cases – math-)

- Le jeu à travers l’EPS

EX : sport collectif (hand ball, basket, déménageur), jeu dansé …

- Le jeu et la récréation

Ex : repos, activité ludique (ex : le vélo => motricité, équilibre, orientation..)

3) Position de l’éducation Nationale

La politique de l’Education Nationale encourage le jeu à l’école :

- Vivre ensemble (le jeu y contribue) – socle commun compétence 6

- Autonomie et initiative ( socle commun compétence 7)

- La transdisciplinarité : le jeu permet d’entrer d’en plusieurs apprentissages

ex :

EPS : assimilation des compétences spécifiques

Math : jeu de calcul….

- Les pédagogies actives :

Ex : Neill, Montessori

III- Ses enjeux

(texte1) Faut-il que le travail scolaire se fasse dans la souffrance comme le préconise « Alain »

=> Non

1) Rôle du jeu

 Choix et objectif :

Il a un rôle de déclencheur pour inciter l’élève à entrer dans les apprentissages. Donc Le choix des jeux à l’école n’est pas anodin :

- Motivation, plaisir, satisfaction ( de soi même, cohésion d’un groupe => favorise les apprentissages).

- Goût de l’effort, de la persévérance (complexité progressive => modèle PMEV)

Ex : obstacle cognitif qui incite à le surmonter en apprenant

- Acquisition de nouvelles règles (Activités exigentes)

- socialisation

2) Rôle de l’enseignant

Il a un rôle :

- d’observateur des stratégies et des comportements des joueurs

- D’intervenant qui fait verbaliser les raisonnements

- De participant qui relance et qui s’implique

- Rend perceptible aux élèves les objectifs sous-jacents.

- Organiser l’environnement nécessaire pour que se déroulent les différentes étapes réalisant l’apprentissage. (réussite et performance= acte de jouet)

- Respecter l’autonomie de l’élève (liberté de celui-ci)

- Présenter des jeux qui vont aider l’élève à se construire selon son rythme…

Conclusion :

Contrairement à ce que disent les opposants du jeu, celui-ci prend une place de plus en plus importante dans notre société. Il n’est plus seulement réservé à l’enfant mais se démocratise auprès des adultes. En effet bon nombre de séminaires de formation tourne autour de ce principe : jeu/ travail (méthode américaine)

Posté(e)

bon voici mon oeuvre... pas facile de trouver des ex persos...

Le jeu et l'école tiennent une grande place sans la vie de l'enfant.

C'est le thème proposé par ce dossier composé de deux textes

Le premier texte est rédigé par Michèle BOLSTERLI et s'intitule "jeu", il est issu de l'école entre autorité et zizanie.

Celle-ci prône l'usage du jeu en situation d'apprentissage à condition qu'il soit correctement utilisé.

Le deuxième texte est écrit par ALAIN dans "propos sur l'éducation", lui s'oppose littéralement au jeu à l'école. Pour lui, plaisir et apprentissage ne peuvent être corrélés

Au travers de ces deux textes en totale opposition on peut se poser la question de savoir si le jeu a réellement sa place à l'école.

J'expliciterai dans un premier temps les deux théories puis je donnerai des pistes pour favoriser l'apprentissage par le jeu

DEux théories s'affrontent

CONTRE Texte 2

-le jeu empêche l'enfant de devenir adulte

l'enfant grandit car chaque jour il se débarrasse de la personne qu'il était la veille

L'enfance est un stade qui ne doit pas s'éterniser. Grandir c'est passer du jeu au travail.

-Pour apprendre il faut d'abord s'être ennuyer pour apprécier a sa juste valeur le travail effectué

ex du piano

-on n'apprécie réellement un effort que on a eu du mal à le réaliser

Notion de peine pour s'instruire

POUR

-Le mot école renvoie étymologiquement à loisir et amusement

Prouve que de tout temps les deux ont été associés

-le jeu est universel. Les stades de dvpt a travers le jeu se retrouvent parmis tous les enfants du monde

(il doit falloir citer piaget je pense)

Faut-il s'ennuyer pour apprendre ?

Voici les pistes données par Michèle BOLSTERLI

Comment favoriser l'apprentissage par le jeu ?

-bien faire la différence entre jeu à l'école et jeu en famille ou entre copains

attention toutefois, le jeu favorise l'apprentissage à condition qu'il ne soit pas donné comme récompense à un travail fini

-le jeu à l'école s'inscrit dans un objectif didactique.

On retrouve les même exigences que n'importe quelle situation d'apprentissage

objectif, conflits cognitifs, verbalisation des raisonnements

-favorise les compétences de socialisation

au travers du respect des règles, du dvpt de l'autonomie

-favorise les compétences didactiques

-favorise les capacités de mémorisation et ce créativité

-rôle du PE important

donne l'objectif du jeu, étayage tout au long du jeu.

conclusion:

Les programmes préconisent l'apprentissage par le jeu à l'école maternelle, donc s'inscrit bien dans ce qui est demandé par l'EN

Pas d'ouverture :angel_not:

remarques:

je me suis chronometree et il me manque 3 mn.

je pense que je n'ai pas assez dvper le rôle du pE et les compétences mais j'avais l'impression de dire ce qui est deja dit dans le texte.

Je n'ai pas d'exemple de jeu à l'élémentaire.

Posté(e)

Chouette mon sujet préféré !! :lol:

Ma maison est une vraie ludothèque, au grand damne de mon homme !!

Les textes nous parlent de la place du jeu dans les apprentissages. Présentation des textes.

Ils posent la question de la place du jeu dans la vie de l’enfant et plus particulièrement à l’école : est-il nécessaire à l’apprentissage ?

Nous allons voir les différents types de jeu, leur place dans le développement puis dans la classe et enfin ses limites.

A/ Différents type de jeux (selon Nicole de Grandemont)

- Jeu ludique : Il implique la joie et le plaisir caractéristique à tout acte gratuit et spontané construction assemblage puzzle…

- Jeu éducatif : distrayant, sans contraintes perceptibles et axé sur les apprentissages et qui cache l’aspect éducatif pour le joueur : docteur dinette garage

- Jeu pédagogique : dans ce jeu, le plaisir est commandé et n’est donc pas de la même teneur que le jeu ludique. Il s’apparente à un exercice tentant à connaître les appris et les acquis du joueur. Ce jeu implique de la performance et de la compétition : moyen pour tester ou évaluer les apprentissages

B/

I / Place dans le developpement de l’enfant

Unesco : le jeu est vital

En rapport avec le texte 1

Dvlpt cognitif : Jean Piaget : les stades du dvlpt cognitif : 3 périodes :sensori-motrice, représentative, sociale

Dvlpt psychomoteur : courir, sauter, lancer

Dvlp affectif : surmonter une difficulté Bosterli : le jeu permet de rencontrer des obstacles à surmonter et donc à apprendre

Dvlpt social : règles du jeu, personnalité de l’enfant

II / Place dans la classe

Très présent surtout en maternelle

Ex de stage : au CM1 jeu style jeu de l'oie avec des calculs à effectuer correctement pour avancer

Texte 1 le maître doit verbaliser les raisonnements, observer les stratégies et comportements, rendre les objectifs sous jacents perceptible

C/ Les limites du jeu

- Le jeu est perçu comme futil : texte 2 et texte 1 (le jeu c’est perdre du temps ce n’est ni travailler ni apprendre)

- L’enfant à besoin de sentir qu’il fait autre chose que jouer. Alain l’enfant ne veut pas rester enfant

- Regard des parents : texte 1 : jouer n’est pas travailler : l’enfant n’a rien fait !

- Contraintes matérielles : temps, espace, diversité des jeux

- Angoisse des maîtres : jouer c’est être dissipé et faire du chahut !

On l’a vu, le jeu a toute sa place dans la vie de l’enfant et tout autant dans celle de l’élève qu’on ne peut dissocier. Il faut alors que celui-ci soit bien structuré et suivi par le maître. Il pourra même être utilisé plus tard dans la formation de l’adulte.

Posté(e)

Massalia encore une fois ce que tu as fait est super bien...

J'ai complétement oublié de parler de l'EPS...nulle

Tu as bien complété avec des exemples de pratiques en classe.

J'aime beaucoup ce que tu as fait...

Posté(e)

Motivee

C'est bien ce que tu as fait !! :wub:

Mais :

- Cette phrase pour moi est un peu ambigüe. Ni fausse ni juste : "le jeu empêche l'enfant de devenir adulte"

Je ne sais pas si le jeu empêche l'enfant de devenir adulte. Pour moi c'est parce qu'il veut devenir adulte qu'il n'a pas besoin du jeu (jeu = paliatif à la "souffrance" or selon Alain il faut souffrir pour se faire plaisir)....

- Dans ta partie "POUR", tu peux encore mettre des choses.

A mon avis si tu développes plus ta partie "Comment favoriser l'apprentissage par le jeu ?" à l'oral, par des exemples, situation..tu n'auras aucun problème à tenir 3 mn de plus.

Merci pour tes commentaires. moi je n'ai pas été très à l'aise avec ce sujet (un peu brouillon) ! et pourtant il n'est pas compliqué :sad:

Floridelph

- Précise que tu parles des jeux à l'école dans ta partie "A/ Différents type de jeux (selon Nicole de Grandemont)"

- J'adore cette partie : I / Place dans le developpement de l’enfant. Elle est claire et bien menée !

- Développe dans: "II / Place dans la classe" des exemples concrets en élémentaire / maternelle .

Je ne pense pas que le jeu soit plus présent en maternelle qu'en élémentaire ( "Très présent surtout en maternelle"). C'est sa forme qui varie et qui fait croire à ça !

A+ :wub:

Posté(e)

C'est vrai que ton exposé Massalia est impressionnant et très riche. Cependant (et là je n'affirme me rien je me questionne) ne faut il pas plutôt commencer l'exposé par les definitions que tu as mises en 2em partie? Quant à la partie institutionnelle, la position de l'éducation nationale, dans la derniere partie, avec les enjeux, sachant que les programmes défendent cette pratique? je ne veux vraiment pas critiquée car je serai incapable de faire ce que tu as fais!

Posté(e)

Bonjour, voici mon exposé. Merci massallia de prendre à chaque fois le temps de mettre les sujets en ligne.

INTRO

Au travers de nombreuses activités de la vie quotidienne, l'enfant se développe progressivement au niveau physiologique, psychoaffectif, social,...Les nombreuses activités de jeu, que l'adulte va lui proposer stimulent dès les premiers mois de la vie, l'évolution de ses capacités psychomotrices et cognitives. On peut alors s'interroger sur la place du jeu à l'école : est-il source d'apprentissage?

Le Texte 1, écrit par M. BOSTELI en 2003, accorde une place primordiale au jeu à l'école. En revanche, le philosophe Alain, développe un point de vu différent dans Propos sur l'éducation en 1932.

I. Les caractéristiques du jeu

1. définition

vient du latin ludus qui signifie amusement enfantin, jeu, plaisanterie, école (TEXTE 1)

C'est une activité intellectuelle ou physique visant au plaisir.

Il existe différent type de jeu :

-les jeux de règle demandant un résultat, une certaine réussite

-les jeux libres, qui sont un simple amusement, une distraction

Le jeu est universel, et n'est pas réservé à l'enfant (TEXTE 1)

2. les objectifs du jeu

LE TEXTE 1 différencie clairement le jeu à l'école et le jeu à la maison. Il est différent et n'a pas les mêmes finalités.

A l'école, le jeu est support d'apprentissage. Il permet de développer :

-la socialisation c'est-à-dire l'intégration de l'enfant dans la société par l'intégration de règles de vie. La socialisation permet également construction de l'identité sociale par le développement à l'autonomie, de coopération, du respect de l'autre...

-des compétences disciplinaires et didactiques

-des compétences de mémorisation, écoute, créativité, imagination, concentration, communication,...

Le TEXTE 2 ne différencie pas jeu à l'école et jeu en famille, et lui confère le même objectif qu'il soit utilisé à la maison ou à l'école : celui de rester dans un monde enfantin.

II. Le jeu est-il nécessaire à l'école

Du I 2, découle les positions des auteurs :

oui pour le TEXTE 1

non pour le TEXTE 2 et les détracteurs (TEXTE 1)

1. Pour BOSTERLI

Pour TEXTE 1, le jeu est facteur d'évolution cognitive. Elle se rapproche ainsi de Piaget, qui suppose l'existence de conflits cognitifs qui seraient sources de progrès. Toutes informations incompatibles avec ses connaissances préalables va insiter l'enfant à entrer en conflit, c'est-à-dire à chercher un nouvel équilibre qui le conduira à l'élaboration d'une nouvelle connaissance. (développer assimilation et accommodation). C'est donc une entrée dans les savoirs, permettant de développer des compétences.

c'est également un outil pour développer le développement de l'enfant en prenant en compte ses besoins (différents selon les âges).

2. Pour Alain

-Pour le TEXTE 2, en revanche, ce qui élève l'enfant, c'est-à-dire le fait grandir en lui apportant de nouvelles connaissances, c'est l'effort et la peine. Le plaisir n'est pas la source de l'apprentissage mais l'objectif à atteindre. L'enfant doit mériter le plaisir. Il prône donc l'entrée dans l'apprentissage par des problèmes rigoureux. Pour alain, le jeu ne permet pas à l'enfant de sortir de l'enfance, c'est-à-dire d'accéder à au monde adulte, bien au contraire.

Le jeu n'a donc pas sa place à l'école comme source d'apprentissage.

-pour les détracteurs : perte de temps, le jeu est contraire au travail, pas sérieux, a bannir

III. Quelles activités mettre en place à l'école.

1. Ce que disent les programmes

a. à l'école maternelle

-permettre à l'élève de vivre des situations de jeu

-laisser à l'enfant le temps d'imiter

-Les activités proposées doivent offrir de multiples occasions d’expériences sensorielles et motrices en totale sécurité

-coopérer et devenir autonomme

En pratique :

-organisation de la classe en coins jeux (nbx en PS et MS : coin cuisine, poupées, garage, déguisements,...)

-tenir compte des rythmes des enfants

-activités variées, faisant sens pour l'enfant (peinture, informatique, manipulation, papiers collés, collage en relief, assemblage, modelage...

- jeux, rondes, dire des comptines ou écouter des histoires, réaliser de projets communs, etc., permettant aux enfants d'acquérir le goût des activités collectives et apprennent à coopérer

b. En élémentaire

-démarche d'investigation en sciences partant des préoccupations des élèves, de leurs interrogations,....

-éducation physique et sportive. jeux collectifs

2. le rôle de l'enseignant TEXTE 1

-Ne pas utiliser le jeu comme récompense

-expliciter les savoirs et compétences visées

-objectifs clairs et déterminés

-choisir les bons jeux (en maternelle, des représentants viennent expliquer et présenter aux enseignants les jeux nouvellement sortis)

-doit faire acquérir des connaissances et compétences

-informer les parents d'élèves sur les pratiques utilisées en classe et leurs objectifs pour éviter tout jugement

Les programmes de 2008 laisse la liberté pédagogique aux enseignants. Il leur revient à eux de mettre en place des situations utilisant le jeu comme source d'apprentissage.

3. Des pédagogies utilisant le jeu

-maria montessori : Pédagogie du jeu adaptée aux jeunes enfants. Elle s'appuie sur l'éducatoin des 5 sens, et crée un matériel didactique. A travers le jeu, en utilisant ce matériel, l'enfant construit des savoirs

-Ovide Decroly : l'école doit développer une pédagogie des centres d'intérêts de chacun pour aiguiser la curiosité et stimuler l'intelligence.

-pédagogie du projet

CONCLUSION

Si le jeu semble nécessaire et en accord avec les programmes en maternelle, en élémentaire son utilisation semble plus restreinte. Cependant, certaines pédagogies place le jeu au centre des apprentissages, et le considèrent comme essentiel dans le développement de l'enfant. Ce peut être également un outil motivant, si il est utiliser convenablement par l'enseignant, qui ne doit pas perdre de vu l'objectif initial : l'acquisition de compétences et de connaissances.

Posté(e)
C'est vrai que ton exposé Massalia est impressionnant et très riche. Cependant (et là je n'affirme me rien je me questionne) ne faut il pas plutôt commencer l'exposé par les definitions que tu as mises en 2em partie? Quant à la partie institutionnelle, la position de l'éducation nationale, dans la derniere partie, avec les enjeux, sachant que les programmes défendent cette pratique? je ne veux vraiment pas critiquée car je serai incapable de faire ce que tu as fais!

Non, non, ne t'en fais pas ta critique est judicieuse...c'est vrai que d'habitude je commence par la définition mais au vue de certains plans atypiques (que j'ai lu et qui m'ont plus), il est vrai que j'ai voulu commencer par les critiques comme une constation (et c'est aussi ce qui m' a interpelé en lisant les textes). donc je l'ai pris comme une réponse immédiate au texte 2).

Pour moi la partie II et III viennent s'opposer le texte 1 (= I). Cette présenation illustre mon opinion à ce sujet.

Mais c'est vrai que j'aurais pu placer: (tu as raison)

- ma partie II en I , ma III en II et ma I en III :wink: (avec la position de l'éducation nationale, comme intro de la partie " les enjeux")

Merci massallia de prendre à chaque fois le temps de mettre les sujets en ligne.

De rien ! ça me permet aussi de sélectionner des sujets que l'on n'a pas encore vu !

Posté(e)

Seve1

Ton plan est vraiment efficace. Tu as su rassembler habilement tous nos plans.

Franchement rien a dire..si tu fais la même chose à l'oral tu vas tout déchirer !!

Posté(e)

Massalia, c'est rigolo, on a ouvert sur le même sujet (formation adulte) pourtant sur le moment je ne trouvais pas ça très pertinent en oral pro parce que je ne vois pas sur quoi peuvent porter les questions après !!

Posté(e)

merci Massallia.

Je trouve ton exposé également très bien et je trouve ta première partie à sa place. Commencer par expliquer la vision erronée de l'école permet un plan atypique et surprenant, ce que j'ai aimé!!!

Par contre fait attention quand tu parles du Vivre ensemble 6eme compétence. Le vivre ensemble était une des compétences de la maternelle. La 6eme compétence du socle était et est toujours : les compétences sociales et civiques.

Maintenant dans les nouveaux programmes de maternelle : le vivre ensemble est un des sous chapitre de la compétence DEVENIR ELEVE au meme titre que coopérer et devenir autonome.

Motivee : je pense que tu as écrit l'essentiel, et quand explicitant un peu plus à l'oral ce que tu as écrit tiu tiens largement les 20min. J'aurai bien vu une 1ere partie pour donner la déf du jeu, surtout qu'elle est donnée dans les textes dc je pense qu'il ne faut pas s'en priver!!

floridelph : j'aime bien ta référence au développement de l'enfant, et je pense que c'est indispensable pour expliquer la nécessité d'utiliser le jeu à l'école. peut être faire un peu plus référence aux programmes.

La question du jeu surtout en maternelle :

les avis divergent. Moi je pense que le jeu en maternelle est davantage préconisé par les programmes qui en parle de façon explicite à différents moments. Ils insistent sur son importance. En revanche ils ne font pas mention du jeu en élémentaire (à moins que j'ai lu de travers). C'est peut-être pour ca que floridelph a écrit "le jeu surtout en maternelle".

Mais je pense qu'il est important de mettre en évidence la liberté pédagogique dans les programmes laissant à l'enseignant le choix, en école élementaire, d'utiliser le jeu comme source d'apprentissage!! (d'où le commentaire de massallia qui n'est pas forcément d'accord avec floridelph!!)

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