juju74 Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 bon voici mon oeuvre... pas facile de trouver des ex persos...Le jeu et l'école tiennent une grande place sans la vie de l'enfant. C'est le thème proposé par ce dossier composé de deux textes Le premier texte est rédigé par Michèle BOLSTERLI et s'intitule "jeu", il est issu de l'école entre autorité et zizanie. Celle-ci prône l'usage du jeu en situation d'apprentissage à condition qu'il soit correctement utilisé. Le deuxième texte est écrit par ALAIN dans "propos sur l'éducation", lui s'oppose littéralement au jeu à l'école. Pour lui, plaisir et apprentissage ne peuvent être corrélés Au travers de ces deux textes en totale opposition on peut se poser la question de savoir si le jeu a réellement sa place à l'école. J'expliciterai dans un premier temps les deux théories puis je donnerai des pistes pour favoriser l'apprentissage par le jeu DEux théories s'affrontent CONTRE Texte 2 -le jeu empêche l'enfant de devenir adulte l'enfant grandit car chaque jour il se débarrasse de la personne qu'il était la veille L'enfance est un stade qui ne doit pas s'éterniser. Grandir c'est passer du jeu au travail. -Pour apprendre il faut d'abord s'être ennuyer pour apprécier a sa juste valeur le travail effectué ex du piano -on n'apprécie réellement un effort que on a eu du mal à le réaliser Notion de peine pour s'instruire POUR -Le mot école renvoie étymologiquement à loisir et amusement Prouve que de tout temps les deux ont été associés -le jeu est universel. Les stades de dvpt a travers le jeu se retrouvent parmis tous les enfants du monde (il doit falloir citer piaget je pense) Faut-il s'ennuyer pour apprendre ? Voici les pistes données par Michèle BOLSTERLI Comment favoriser l'apprentissage par le jeu ? -bien faire la différence entre jeu à l'école et jeu en famille ou entre copains attention toutefois, le jeu favorise l'apprentissage à condition qu'il ne soit pas donné comme récompense à un travail fini -le jeu à l'école s'inscrit dans un objectif didactique. On retrouve les même exigences que n'importe quelle situation d'apprentissage objectif, conflits cognitifs, verbalisation des raisonnements -favorise les compétences de socialisation au travers du respect des règles, du dvpt de l'autonomie -favorise les compétences didactiques -favorise les capacités de mémorisation et ce créativité -rôle du PE important donne l'objectif du jeu, étayage tout au long du jeu. conclusion: Les programmes préconisent l'apprentissage par le jeu à l'école maternelle, donc s'inscrit bien dans ce qui est demandé par l'EN Pas d'ouverture remarques: je me suis chronometree et il me manque 3 mn. je pense que je n'ai pas assez dvper le rôle du pE et les compétences mais j'avais l'impression de dire ce qui est deja dit dans le texte. Je n'ai pas d'exemple de jeu à l'élémentaire. Je me demandais si ton plan n'allait pas être un peu déséquilibré avec les deux textes présentés et confrontés dans une partie et une deuxiéme qui traite de la pratique en classe (mais du coup ne reprend plus autant les textes que la partie 1). Je ne suis pas très callée en méthodologie alors je ne sais pas trop ce qui se fait ou pas, mais ta première partie "pour" "contre" pourrait presque devenir deux parties. Qu'en penses-tu? je tiens à préciser que je n'ai laisser aucun plan tout simplment parce que je ne m'en sens pas encore capable, dailleurs ça me stresse! Mais lire vos plan et vos idées me donne une idée de ce qu'il faut faire et je me permets de faire des remarques à prendre plus comme des questions que comme des critiques. courage à toutes!
grenouille188 Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 Là je me pose une question: peut on dire que l'EPS à l'école est un jeu? Dans ce cas comment définit-on le jeu et quelles en sont les limites? Perso j'aurai parlé des jeux libres en maternelles notamment à l'acceuil et des jeux que pouvait mettre en place le PE par exemple un jeu de loi pour l'apprentissage des mathématiques! Personne n'a parlé de l'opposition: Freniet/ Montessori, ce serait correct pourtant, non?
floridelph Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 Mais je pense qu'il est important de mettre en évidence la liberté pédagogique dans les programmes laissant à l'enseignant le choix, en école élementaire, d'utiliser le jeu comme source d'apprentissage!! (d'où le commentaire de massallia qui n'est pas forcément d'accord avec floridelph!!)Vous en pensez quoi? Pour ma part, je n'arriverais pas à imaginer une école maternelle sans jeux ?! Je ne vois pas comment interesser ces petits bouts autrement que par lui ! Et c'est en ce sens que je disais "surtout en maternelle" . Il est vrai qu'il est toujours présent en élémentaire (je donne d'ailleurs un exemple vu en stage en CM1) mais beaucoup moins il me semble d'autane effectivement que les programmes ne parlent pas en ce sens même si la liberté est là ! Mais cela reste un avis personnel !
vik Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 Bon je poste mon travail avant de lire les votres Intro Le jeu pour travailler. Ces deux termes employés côte à côte pourraient sembler antithétiques, voire oxymoriques et pourtant jeu et apprentissage vont de pair à l’école primaire. Le dossier se compose de 2 textes : Le 1er texte de Michèle Bolsterli intitulé « jeu », extrait de l’Ecole entre autorité et zizanie publié en 2003 s’adresse à un public averti comme les enseignants. L’auteur y montre que le jeu et l’apprentissage ne s’opposent et qu’au contraire, ils s’associent car le jeu est un excellent support d’apprentissage. Elle en expose les avantages et une dérive à éviter. A l’inverse, le 2nd texte d’Alain, extrait des Propos sur l’éducation publié il y a plus d’un demi-siècle , propose de distinguer le jeu et le travail car s’est avant tout par le travail que l’homme se forme. Le thème du dossier est donc le travail et le jeu à l’école et pose la question de la place du jeu à l’école et ce qu’il peut ou ne peut apporter au développement de l’enfant. I : Idées essentielles 1) Les avantages du jeu a- 2 types de jeu Le 1er texte cherche à nous monter en quoi le jeu est un bon support d’apprentissage. Dans un premier temps l’auteur rappelle l’étymologie du mot « école » signifiant en grec loisir consacré à l’étude et en latin ludique. Ce rappel expose déjà les 2 formes de jeux comme plusieurs auteurs ont pu le distinguer : - le jeu pr apprendre - le jeu pr jouer Exemples de classifications d’auteurs : - Freinet : Il distingue le travail-jeu : travail qui apporte autant de satisfactions que le jeu le jeu-travail : jeu éducatif - Roger Caillois : Les paida : jeux dominés par une dépense énergiques. Les ludus : jeux soumis à des règles Ensuite, elle cite un auteur tel que Platon, un organisme comme l’UNESCO qui rappelle que le jeu est vital pour appuyer sa thèse et montrer que dans l’antiquité jusqu’à aujourd’hui, le jeu est considéré comme bénéfique au développement de l’enfant. Elle développe le fait que le jeu doit être différencier du jeu en famille et que c’est du ressort du PE de mettre derrière toute activité ludique des objectifs clairs à ses yeux, ceux des parents et ceux de l’enfant. L’enfant doit avoir le sentiment d’apprendre qqch avec le jeu qui lui ai proposé. b- Derrière le jeu, des OBJECTIFS : Propos de Doly : (pour compléter cette idée) Le maître qui utilise le jeu à l’école, doit donc avoir à la fois des objectifs précis et des critères d’évaluation peu à peu connus des élèves, et une idée claire de la forme et des visées de son intervention. Sans ces conditions d’intervention, le jeu à l’école n’est pas différent du jeu hors de l’école, il perd son intérêt proprement pédagogique : il peut tout à fait motiver et faire progresser l’enfant mais sans que le maître ne contrôle ce qui est appris. Les maîtres disent souvent aux enfants en pensant les motiver et les enrôler dans les tâches qu’ils proposent : « On va faire un jeu » ; le jeu a bien, en effet, cette fonction de plaisir spontané. Mais les enfants vont à l’école avec la conscience d’y aller pour apprendre ce qui fait grandir. Ils savent qu’il y aura de la rupture ; ils en ont peur mais la souhaitent en même temps et c’est une preuve de leur « bonne santé mentale » Toutes les sociétés ont inventé des « rites de passage » à la fois pour accompagner les frustrations et ruptures nécessaires au développement et les rendre supportables, mais aussi pour qu’elle soient consciemment vécues comme des ruptures : « tu as grandi maintenant ». L’école est un lieu pour de telles ruptures. On se tromperait à vouloir faire de l’école, au nom de la nécessaire continuité famille-école, un espace pour une spontanéité ludique supposée. Protéger les enfants pour qu’ils grandissent à l’école ne signifie pas leur éviter toutes les frustrations et les ruptures mais en proposer de spécifiques et les accompagner clairement et précisément. L’usage pédagogique de l’activité ludique à l’école permet – sous réserve des contraintes décrites – ce double jeu de continuité et de rupture avec le monde de la petite enfance, avec l’univers familial. Il est bon que les enfants comprennent dès l’école maternelle que les jeux que le maître propose exigent d’eux un vrai travail qui les fait devenir des élèves. Ce travail demande des efforts et impose donc des frustrations mais c’est ainsi que l’on grandit. A l’école, le défi est d’apprendre aux enfants la liberté par l’intelligence et la culture parce qu’elle permet de comprendre le monde et de s’en rendre maître comme disait Descartes : le jeu peut en être un moyen pourvu qu’il soit utilisé par les maîtres et compris par les enfants comme un travail. c- Le jeu développe des compétences - De socialisation : respect des règles, autonomie, coopération, partage, acceptation de perdre - Disciplinaires et didactiques : domaine logico-mathématiques et spatio-temporel, en expression orale et écrite, connaissance de l’environnement Pourrait-on donner des exemples sur ça ? je ne vois pas trop ! - Compétences et capacités : mémorisation, créativité, imagination, concentration, écoute… Attention Dérive : ne pas voir le jeu comme une récompense Complément : citations d’autres auteurs POUR le jeu : « Le jeu devrait être considéré comme l’activité la plus sérieuse des enfants. » Montaigne "Le jeu c’est le travail de l’enfant, c’est son métier, c’est sa vie. L’enfant qui joue à l’école maternelle s’initie à la vie scolaire, et l’on oserait dire qu’il n’apprend rien en jouant ? " P. Kergomard. Winnicot et Dolto font des jeux et des jouets, des « objets transitionnels », que l’on retrouve à l’école avec les doudous mais aussi avec les coins par exemple, ou « mamaïsés » pour Dolto, des médiations indispensables à l’apprentissage d’une vie autonome, affective, intellectuelle et culturelle : un lien avec le passé en même temps qu’un passeport pour l’avenir, une sorte de « zone proximale » portative Mais le rôle de ces objets ne peut être positif là encore que s’il accompagnait du langage. Il doit servir à la communication avec l’adulte 2) Les limites du jeu Pourtant des voix s’élèvent contre ces conceptions du rôle positif du jeu à l’école : De Kant, pour lequel « Il est extrêmement mauvais d’habituer l’enfant (à l’école) à tout regarder comme un jeu. Il doit avoir du temps pour ses récréations mais il doit aussi y avoir pour lui un temps où il travaille » à H Arendt, reprise par L Lurçat, qui, cherchant à comprendre « la crise de l’éducation », accuse l’école d’avoir abandonné à la spontanéité ludique des enfants, des apprentissages qui ne peuvent se faire qu’à l’école. Les détracteurs du jeu 2nd texte : Thèse d’ Alain dans Propos sur l’éducation Citations de ce livre : « Je veux qu’il y ait comme un fossé entre le jeu et l’étude » Il est contre les pédagogies de motivation. « Je ne veux pas de traces de sucre (..) J’aimerais mieux rendre amers les bords d’une coupe de miel » → pas de motivation extrinsèque « Les vrais pb sont d’abord amers à goûter ; le vrai plaisir viendra à ceux qui auront goûter l’amertume » Pour lui, il faut d’abord faire des efforts, se donner de la peine avant de jouer (donc jeu comme récompense ici). Par ailleurs, l’enfant ne veut pas rester enfant, il faut qu’il se sente grandir donc le jeu n’a pas sa place ici. Avant lui, Hegel partageait cette idée que le jeu était néfaste pour les enfants qui avaient le désir de devenir grand et non pas d’être rabaissé au statut de « petit » en leur proposant des jeux. Freinet était lui aussi opposé à la pédagogie du jeu. Il considérait le jeu non comme l’activité naturelle ordinaire de l’enfant mais comme le refuge d’enfants privés de responsabilités réelles. Il distingue le travail-jeu et le jeu-travail II : En pratique 1) Rôle du PE - Clarifier ce qu’il y a derrière le jeu - Verbaliser les objectifs (« on joue à cela pour apprendre cela ») - Observateur, intervenant, participant pour relancer 2) Expérience Exemple : du jeu à l’apprentissage en PS Phase 1 : jeu libre dans la cuisine Phase 2 : Ranger phase 3 : ranger selon des critères définis (par couleur, par taille) Parler aussi du jeu symbolique avec les coins jeux : reprise symbolique de ce qui se passe dans la réalité. Fonction symbolique importante pour la pensée. Exemple : Cycle 3 : les rallyes maths : peut-on les considérer comme un jeu ???
massallia Posté(e) 18 mai 2009 Auteur Posté(e) 18 mai 2009 Par contre fait attention quand tu parles du Vivre ensemble 6eme compétence. Le vivre ensemble était une des compétences de la maternelle. La 6eme compétence du socle était et est toujours : les compétences sociales et civiques.Maintenant dans les nouveaux programmes de maternelle : le vivre ensemble est un des sous chapitre de la compétence DEVENIR ELEVE au meme titre que coopérer et devenir autonome. Merci La question du jeu surtout en maternelle : les avis divergent. Moi je pense que le jeu en maternelle est davantage préconisé par les programmes qui en parle de façon explicite à différents moment. Ils insistent sur son importance. En revanche ils ne font pas mention du jeu en élémentaire (à moins que j'ai lu de travers). C'est peut-être pour ca que floridelph a écrit "le jeu surtout en maternelle". Mais je pense qu'il est important de mettre en évidence la liberté pédagogique dans les programmes laissant à l'enseignant le choix, en école élementaire, d'utiliser le jeu comme source d'apprentissage!! (d'où le commentaire de massallia qui n'est pas forcément d'accord avec floridelph!!) Vous en pensez quoi? Oui c'est intéressant d'ouvrir ce débat. Moi j'ai dit cela car en pratique je trouve qu'ils font bien plus de jeux qu'on peut le croire. Mais ce ne sont pas des jeux de type "jeu de société".. et puis il y a les sports co..
seve1 Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 Personne n'a parlé de l'opposition: Freniet/ Montessori, ce serait correct pourtant, non? merci pour ta remarque. Les 2 sont des pédagogies nouvelles. Freinet développe la classe coopérative et Montessori la pédagogie du jeu. Mais en quoi s'opposent-ils? Tu peux développer stp car ca me semble très intéressant!!! merci beaucoup.
tiGwen Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 txt proposés à 70 d'intervalle : Alain (1932) et Bolsterli (2003) ne semblent pas avoir la même vision du jeu dans les apprentissages => débat toujours d'aactualité pbmtq : le jeu a-t-il sa place à l'école et sous quelle forme ? I/ Retour aux sources (1) a) déf d'un point du vue de la langue : - grec => skholê (école/scolaire) : 1 = loisir et 2 = loisir consacré à l'étude - latin => ludus (ludique/ludologue) : amusement enfantin, jeu, plaisanterie b) d'un point de vue géographique : - le jeu est universel - UNESCO "le jeu est vital", il est "la raison d'être de l'enfance" et "principale activité de l'enfant" - (2) l'enfance est associée au jeu - (1) objet de civilisation => cf. jeux de société - Platon : "laisser les leçons prendre la forme du jeu" => en conclusion : les termes d'école et de jeu sont à mettre en parallèle Pourtant différentes conceptions autour du jeu dans les apprentissages scolaires s'opposent : II/ Pour ou contre le jeu à l'école ? a) les détracteurs du jeu à l'école (1) l'idée est qu'on a longtemps opposé travail et jeu : - (1) jouer en classe = perte de temps = futilité = inutilité (représentation négative) - le jeu = plaisir : s'associe mal au concept d'école et de travail, d'apprentissages, de sérieux - le travail doit s'effectuer dans la souffrance, la douleur => Alain rejoint cette idée : notion de peine (évoquée à mainte reprise dans le texte 2) avant de pouvoir accéder au plaisir / il faut savoir s'ennuyer d'abord - Alain : l'enfant souhaite ne plus être enfant - (2) il faut que l'enfant se sente grandir lorsqu'il passe du jeu au travail (et donc par là "éliminer" ce qui le caractérise en tant qu'enfant : le jeu)=> c'est pour ça que certains ont une vision erronée du jeu scolaire => souci : ils pensent que le jeu en classe s'apparente à la pratique familiale du jeu et ne comprennent pas par eux-même les objectifs de développement et d'apprentissage poursuivis (1) b) Plaisir et apprentissages ne sont pas incompatibles ! (1) - d'autres soutiennent que le jeu est une activité sérieuse car : - (1) activité finalisée qui confronte à des obstacles cognitifs et incite à les surmonter = apprentissages - activité exigeante - moteur et source d'apprentissage - déclencheur permettant d'ancrer savoirs / dév compétences / susciter plaisir - grandir, conquérir de nouveaux savoirs avec le goût de la découverte et de l'effort consenti - (2) l'homme doit se dire qu'en un sens il est moins raisonnable et sérieux que l'enfant III/Quels critères doivent remplir les jeux à l'école ? a) on ne joue pas à la maison comme on joue à l'école : en quoi est-ce différent ? (point commun : la notion de plaisir tjs là) - (1) objectifs dida = compétences disciplinaires (domaine logico-mathématique et spatio-temporel) - et objectifs transversaux => compétences de socialisation, respect des règles (fermant de la citoyenneté) et d'autrui = lien avec l'ICM, compétences travailler dans toute activité, &ccepter de perdre : spécifiquement en EPS (jeux collectifs = règles du jeu à respecter), vivre ensemble - prise en compte des besoins de l'enfant : un enfant n'est pas à l'école pour apprendre indépendamment de son dév = l'enfant se dév par le travail qui doit intégrer le plaisir n'excluant pas pour autant la dimension d'efforts - produire des conflits cognitifs => remettre en cause son savoir déjà là pour le faire évoluer = il y a donc apprentissage - mettre tout le monde à égalité : chacun a alors ses chances (le meilleur peut perdre s'il na pas été favorisé par le lancé du dé) = possibilité de progresser pour chacun - mieux entrer dans les apprentissages = façon de différencier le travail pour aider les élèves les plus en difficulté b) Rôle PE : mettre en place des activités ludiques (1) - observe les stratégies et comportement des joueurs (ses élèves) - intervient en faisant verbaliser raisonnement = travailler l'oral (notion d'activité transversale) (capacité de mémorisation, créativité, imagination... 1 = construction de la personnalité d elenfant) - participe pour relancer et s'implique - présente clairement les objectifs du jeu (ce qu'il y a derrière le jeu) = on joue pour développer telle compétence = donner du sens aux apprentissages - éviter de laisser jouer les premiers à avoir terminer le travail = les autres (+ lents) peuvent se sentir lésés - chaque classe devrait créer une ludothèque au même titre que la BCD => jeux fabriqué par les enfants (car permet de dév différente compétences : conception du jeu, des règles (à verbaliser, à écrire, et à imprimer par ex), lien avec les arts plastiques pour créer le support du jeu, pouvoir le partager avec d'autres élèves de l'école (retour positif pour les élèves))
seve1 Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 bravo tigwen pour ton exposé, je ne touve rien à redire, tout est pertinent et bien agencé!!! Une question : Peut-on dire que la littérature de jeunesse est un jeu? J'aurai tendance à dire oui car c'est une activité qui vise le plaisir mais je n'en suis pas certaine!! Quand pensez-vous?
floridelph Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 J'aurais tendance à dire que ça dépend de ce que tu fais réelement en littérature de jeunesse : lecture => pas un jeu, reseau, racconter le suite etc.. => jeu
massallia Posté(e) 18 mai 2009 Auteur Posté(e) 18 mai 2009 J'aurais tendance à dire que ça dépend de ce que tu fais réelement en littérature de jeunesse : lecture => pas un jeu, reseau, racconter le suite etc.. => jeu je complète les propos de floridelph : Rallye lecture => jeu par la concurence que cela créait...
eriopse Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 Bonjour, Je n'ai pas pu le faire encore, au boulot c'est dur dur.... par contre je pense que ce serait bien de faire un sujet sur le développement durable si quelqu'un en connait un je pense que ça risque de tomber cette année!!!! A+
floridelph Posté(e) 18 mai 2009 Posté(e) 18 mai 2009 ben j'espère que non parce qu'on a déjà donné au groupement 3 pour le developpement durable en géo,alors je veux bien que ce soit transversale mais il ne faudrait pas axagérer.... (je dis ça parce que je n'ai pas bien réussi en géo, vous l'aurez compris !! )
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant