un sujet sur le jeu

[lilisa]

Pourrait on traiter un sujet sur le jeu(sujet d Orléans 2008) demain?

[julieta120414]

j'en ai un de 2008 : Jouer et apprendre

et un autre de 2007: Jeu et apprentissages

à la limite on peut mettre les deux et bosser sur les deux en même temps...

y en a qui sont partant?

[tcharles]

j'en ai un de 2008 : Jouer et apprendre

et un autre de 2007: Jeu et apprentissages

à la limite on peut mettre les deux et bosser sur les deux en même temps...

y en a qui sont partant?

je suis partant EGALEMENT !Mais dès cet après midi ça me va !

[julieta120414]

alors voici les liens:

http://www.orleans-tours.iufm.fr/formation...008/2008-07.pdf

http://www.orleans-tours.iufm.fr/formation...007/Sujet-8.pdf

moi cet après midi c'est eps, donc pt etre ce soir...je verrais...

bonne lecture

[tiGwen]

c'est une bonne idée de faire un "deux en un"...

par contre je ne sais pas quand je vais le faire

[tcharles]

J'ai déja des difficultées avec un sujet alors avec deux....

je me suis contenté du sujet 2008 qui déja m'a posé problème , il est difficile de ne pas s'éparpiller.je trouve mon rendu brouillon...

Introduction

Le jeu est une activité spontanée du jeune enfant .L'école maternelle à pour mission de d'amener un enfant au statut d'élève.

Quelle place le jeu à -t-il dans les apprentissages à l 'école Maternelle?

Pour cela je m'appuierais sur le corpus de texte qui est composé d'un historique des débuts de la maternelle(texte 1 ) ,d'une analyse du jeu à l'école maternelle(texte2 ) et l'introduction des programmes maternelle de 2007(texte3)

I une approche Historique

a) le jeu à l'école ce n'est pas nouveau !

Platon : le jeu = intégration sociale

Frobel: le jeu développe la relation Parents-Enfants

Il distingue 3 types de jeux : individuels,collectifs,traditionnels

Ovide decrowly : le jeu développe l'intérêt des apprentissages

Montessori : l'apprentissage par le jeu et spécifiquement avec du matériel approprié.

Freinet : le jeu amène vers l'apprentissage.

b) le passage de l'asile à la maternelle

1886 asile-->maternelle

Kergomard-->souhaite développer le jeux spontané -->pas d'exos pas d'apprentissages

refusé = mise en place de programmes

finalement : Maternelle = faire jouer pour agir

II Les objectifs du jeu à l'école

a ) A l'entrée de la maternelle

La socialisation ps= jeux d'imitation

L'autonomie = première expériences

Le plaisir d'apprendre

le curiosité

le questionnement

-->liens un enfant de 2 ans dans ma classe d'origine étrangère -->première socialisation grace au jeux

Apprentissage des règle de vie

b) A partir de la fin de Cycle 1

En fin de cycle 1 le jeu fait intervenir des règles à respecter -->lien avec la pédagogie institutionnelle mélange de règles et d'éducation naturelle

Le jeu en lien très fort avec les apprentissages (connaissances)

On parle d'apprentissage ludique

Le jeu donne de l'intérêt aux apprentissages

De moins en moins de jeux ...

-->lien avec freinet : Jeu pour amener les apprentissages

III Le rôle de l'enseignant

Offrir un cadre de vie laissant le temps de vivre les première expériences : le jeu (texte 3)

Valoriser -->rôle actif indispensable

Accompagner l'enfant dans le jeu--> principe d'étayage de Bruner : enrôlement dans la tâche.....

Le jeux est pensé → il y a un objectif choisi par l'enseignant

Mener à bien les apprentissages (incluant le jeu)--> compétence du professeur des écoles concevoir et mettre en œoeuvre son enseignement

Conclusion

le jeu éducatif est bien ancré dans les programmes depuis l'ouverture des classes maternelle y compris dans les IO 2008. Mais la société accepte de moins en moins cette notion de jeu contraire à la définition de l'école . Le socle commun ne contribue-t-il pas un délaissement du jeu???

[tiGwen]

j'ai essayé de regrouper els deux dossiers, mais ça été super dur

du coup je n'ai repris que les textes, et côté ex perso bah...

intro :

Eternel débat qu’est la place du jeu à l’école, si de nos jours il est de moins en moins contesté dans le cadre scolaire, au contraire, il n’en reste pas moins une réflexion sur celui-ci sur les conditions de sa mise en œuvre en classe. Les dossiers présents nous amène à réfléchir sur la question.

Dossier A (2007) :

- [1] : Entretien avec Phi. Meirieu sur « le désir et la règle », propos recueillis par Y. Ayme concernant le jeu en classe et son lien avec les apprentissages et les conditions d’une bonne mise en place au sein de la classe.

- [2] : en 1996 paraît L’école maternelle aujourd’hui. Réflexions et témoignages, Francine Best exprime sa conception du « vrai » jeu et l’importance des coins jeux tout au long de la scolarité en Maternelle dans « Ce que doit être l’activité ludique »

Dossier B (2008) :

- -1- extrait des Cahiers pédagogiques 2006 : « C’est pas du jeu », par Jean Houssaye. Il y distingue divers types de jeux et revient sur les début de l’école Maternelle.

- -2- dossier du Monde de l’éducation dont le thème est « Maternelle : jouer ou apprendre, il faut choisir ». Marc Dupuis conclut que les deux ne sont pas antinomiques, au contraire.

- -3- extrait du BO 2007, programmes écoles maternelle et élémentaire

A la lecture de ces dossiers peut se dégager la problématique suivante : dans quelles mesures le jeu favorise-t-il les apprentissages à l’école primaire ?

Ma réponse se déroulera en trois temps : premièrement, il s’agira de démontrer les enjeux du jeu et autres activités ludiques à l’école avant de développer les différents types de jeu recommandés aux élèves. Dans une dernière partie, je vous exposerais les modalités d’une bonne mise en place en classe.

I/ Jouer : une affaire sérieuse !

a) Les détracteurs du jeu à l’école

• A[1] Meirieu = certaines positions font du jeu à l’école une hérésie : régression, non-sens aux regards des finalités scolaires

- Le jeu pour beaucoup est opposé à la notion de travail sous-jacente à l’école

- Vision erronée du statut du jeu. Le jeu n’est pas l’infantile auquel on associe le jeu permanent et sans règle véritable

- Part incompréhensible irréductible au processus ludique dans le travail scolaire (les jeux à la maison ne sont pas les mêmes que ceux à l’école)

• Best : il y a jouer et jouer : abus de langage de la part des adultes (activités physique ne sont pas des activité ludiques)

• Houssaye : école élémentaire opposée au jeu libre car pas centré sur acquisition

- Place accordé sous l’angle de la récré et du jeu éducatif seulement : éviter le débordement du jeu spontané / Brougère (B2) « la récré c’est fait pour les profs »

- Présence du jeu va en diminuant à l’école élémentaire en partie à cause de la pression des parents (B2)

Raisonner de la sorte c’est ignorer le vrai statut du jeu (Meirieu)

b) Et pourtant, le jeu s’inscrit dans les programmes

• A[1] Meirieu : il ne s’agit donc pas de confondre le jeu et l’infantile => le jeu propose des règles

- Vrai sens du jeu : règles et socialisation

- Le jeu peut donner le goût et le courage d’apprendre

• A[2] Best : Kergomard « le métier de l’enfant est de jouer » / B2 : pour nous ça ressmble à du jeu, pour eux c’est travailler !

• B1Haussaye : faire jouer pour apprendre

• B2 Bouysse « on peut apprendre en jouant » et la maternelle ayant acquis une durée et qu’on ne peut laisser les enfants s’ennuyer, il y a eu les programmes

c) Il permet de construire la personnalité de l’enfant

• Meirieu : grandir, se délivrer de l’infantile, sortir de l’égocentrisme, s’arracher au narcissisme initial par la coopération / Best : jouer pour grandir, pour apprendre, pour se faire plaisir, construire sa pensée symbolique

- Découvrir l’altérité, s’associer à des pairs, confronter son point de vue

- Apprendre à construire du bien commun (devenir élève, vivre ensemble)

- Maîtrise de soi et dév de son intentionnalité

=> Programmes et SCC

- Construire de nouvelle manière d’agir sur la réalité qui l’entoure et construction d’acquisition fondamentales (B3)

II/ Mais quelles activités ludiques favoriser à l’école ?

a) Formes de jeux

• Best : les jeux à consignes très précises ne correspondent pas aux 2/6 ans

• Jeux éducatifs où le plaisir est diminué car davantage appel au travail

• Jeux libres (Haussaye B) support privilégié selon Kergomard, refusant le modèle scolaire car elle récuse les exo et apprentissages / Mme Librati (directrice) B2 le but du jeu libre ou organisé est de permettre aux enfants d’entrer dans les apprentissages des règles

• Jeux de société : règles à partir de MS

b) Caractéristiques : ce que doit viser le jeu

• Selon Jean Vial (A) : 3 types de jeux visant soit l’apprentissage, soit la personne ou ceux à vocation sociale

- Meirieu pas d’accord, pour lui il s’agit de différentes entrées mais que le jeu doit rassembler ces trois dimensions

• Meirieu : référence à Vygotsky. Un « bon » jeu amène les élèves à adopter une attitude ludique avec référence à une « zone de compétence du joueur » (lien avec ZPD) entre un niveau de savoir-faire déjà là et sécurisant, et le niveau supérieur du problème à résoudre induisant alors curiosité et désir de réussir (motive l’enfant)

• Le jeu doit être un défi, un outil de progression intellectuelle

• Si le jeu nécessite et permet des apprentissages alors il est utile en classe (condition pour être efficace)

• Freinet : privilégier le jeu c’est comprendre ce qu’on fait = travailler la métacognition + initier aux règles de vie, règles sociales ainsi qu’à la lecture et écriture (B2)

• Pour qu’il y ait jeu selon Best, il faut qu’l y ait désir de jouer à qqch, l’enfant ne doit pas s’ennuyer ce qui n’est pas l’avis de Bouysse (B) (le jeu peut aussi être ennuyeux)

• Socialisation et apprentissage (haussaye), jeu libre très lié à la Maternelle

III/ Pratiques en classe : l’enfant acteur de ses apprentissages

a) Rôle PE

• Meirieu (A) : annoncer clairement le temps du jeu, les règles, faire tourner les tâches et les rôles

- Il ne s’agit pas de scolariser le jeu abusivement

• Haussaye : accompagnement, qualification, programme

- Jeu organisé

• B2 Librati : développer chez l’enfant le désir d’apprendre, la curiosité, le questionnement sur le monde

• Prog : organsier activité favorisant l’autonomie des élèves

- Créer condition découverte suscitant expérimentations spontanées

b) Coins jeux

• Best (A) : situation concrète, organisation matérielle, agencement adéquat pour les enfants, endroit où l’on est incité à jouer

- Offrent une véritable occasion de choisir une activité ludique coins cuisine, garage… (B2)

- Devraient encore être présent chez les GS (en effet, ils ont tendance à disparaître dans ces classes)

- Jeux d’imitation, de construction, traditionnels ( ?)

- Jeux d’imitation dans endroits bien équipés : jouer à faire « comme » papa, maman, le grand frère, le voisin, le copain

- Coin déguisement incitant au jeu dramatique (lien avec MDL, activités artistiques, motricité)

c) Une pédagogie à prolonger au CP

• Programmes (B3) : Maternelle se distingue par la péda qu’elle met en oeuvre

• Meirieu (A) : Piaget, psychanalystes, pédagogue des méthodes actives promeuvent la demarche expérimentale e la recherche documentaire

• Houssaye (B) : faire jouer pour agir, s’éduquer sans le savoir = péda de la ruse = exo amusants se substituant au jeu spontané de l’enfant

• B2 Librati : PS-MS tri, classement, rangement, exploration, observation, manip, invention

- MS : découverte ludique du monde

- PS (Bormin) : 30 min de jeu libre à l’accueil et après avoir fini une activité

- GS : exit le jeu libre car tellement sophistiqué qu’il n’en est plus

- Ateliers-jeux, sous-groupes, ex : atelier graphique, jeux logiques, peinture

• C2 débute en GS

Ccl : une réponse définitive ne peut voir le jour puisqu’il existera sûrement toujours des détracteurs du jeu à l’école, toutefois on lui reconnaît sa valeur s’il est bien utilisé et mis en place. Si plaisir et tâtonnement incombe au jeu, ils n’en sont pas pour autant l’apanage selon Meirieu qui pense qu’il faut qu’ils soient présent dans n’importe quelle activité humaine pour qu’elle soit réussie.

[tcharles]

j'ai essayé de regrouper els deux dossiers, mais ça été super dur

du coup je n'ai repris que les textes, et côté ex perso bah...

intro :

Eternel débat qu’est la place du jeu à l’école, si de nos jours il est de moins en moins contesté dans le cadre scolaire, au contraire, il n’en reste pas moins une réflexion sur celui-ci sur les conditions de sa mise en œuvre en classe. Les dossiers présents nous amène à réfléchir sur la question.

Dossier A (2007) :

- [1] : Entretien avec Phi. Meirieu sur « le désir et la règle », propos recueillis par Y. Ayme concernant le jeu en classe et son lien avec les apprentissages et les conditions d’une bonne mise en place au sein de la classe.

- [2] : en 1996 paraît L’école maternelle aujourd’hui. Réflexions et témoignages, Francine Best exprime sa conception du « vrai » jeu et l’importance des coins jeux tout au long de la scolarité en Maternelle dans « Ce que doit être l’activité ludique »

Dossier B (2008) :

- -1- extrait des Cahiers pédagogiques 2006 : « C’est pas du jeu », par Jean Houssaye. Il y distingue divers types de jeux et revient sur les début de l’école Maternelle.

- -2- dossier du Monde de l’éducation dont le thème est « Maternelle : jouer ou apprendre, il faut choisir ». Marc Dupuis conclut que les deux ne sont pas antinomiques, au contraire.

- -3- extrait du BO 2007, programmes écoles maternelle et élémentaire

A la lecture de ces dossiers peut se dégager la problématique suivante : dans quelles mesures le jeu favorise-t-il les apprentissages à l’école primaire ?

Ma réponse se déroulera en trois temps : premièrement, il s’agira de démontrer les enjeux du jeu et autres activités ludiques à l’école avant de développer les différents types de jeu recommandés aux élèves. Dans une dernière partie, je vous exposerais les modalités d’une bonne mise en place en classe.

I/ Jouer : une affaire sérieuse !

a) Les détracteurs du jeu à l’école

• A[1] Meirieu = certaines positions font du jeu à l’école une hérésie : régression, non-sens aux regards des finalités scolaires

- Le jeu pour beaucoup est opposé à la notion de travail sous-jacente à l’école

- Vision erronée du statut du jeu. Le jeu n’est pas l’infantile auquel on associe le jeu permanent et sans règle véritable

- Part incompréhensible irréductible au processus ludique dans le travail scolaire (les jeux à la maison ne sont pas les mêmes que ceux à l’école)

• Best : il y a jouer et jouer : abus de langage de la part des adultes (activités physique ne sont pas des activité ludiques)

• Houssaye : école élémentaire opposée au jeu libre car pas centré sur acquisition

- Place accordé sous l’angle de la récré et du jeu éducatif seulement : éviter le débordement du jeu spontané / Brougère (B2) « la récré c’est fait pour les profs »

- Présence du jeu va en diminuant à l’école élémentaire en partie à cause de la pression des parents (B2)

Raisonner de la sorte c’est ignorer le vrai statut du jeu (Meirieu)

b) Et pourtant, le jeu s’inscrit dans les programmes

• A[1] Meirieu : il ne s’agit donc pas de confondre le jeu et l’infantile => le jeu propose des règles

- Vrai sens du jeu : règles et socialisation

- Le jeu peut donner le goût et le courage d’apprendre

• A[2] Best : Kergomard « le métier de l’enfant est de jouer » / B2 : pour nous ça ressmble à du jeu, pour eux c’est travailler !

• B1Haussaye : faire jouer pour apprendre

• B2 Bouysse « on peut apprendre en jouant » et la maternelle ayant acquis une durée et qu’on ne peut laisser les enfants s’ennuyer, il y a eu les programmes

c) Il permet de construire la personnalité de l’enfant

• Meirieu : grandir, se délivrer de l’infantile, sortir de l’égocentrisme, s’arracher au narcissisme initial par la coopération / Best : jouer pour grandir, pour apprendre, pour se faire plaisir, construire sa pensée symbolique

- Découvrir l’altérité, s’associer à des pairs, confronter son point de vue

- Apprendre à construire du bien commun (devenir élève, vivre ensemble)

- Maîtrise de soi et dév de son intentionnalité

=> Programmes et SCC

- Construire de nouvelle manière d’agir sur la réalité qui l’entoure et construction d’acquisition fondamentales (B3)

II/ Mais quelles activités ludiques favoriser à l’école ?

a) Formes de jeux

• Best : les jeux à consignes très précises ne correspondent pas aux 2/6 ans

• Jeux éducatifs où le plaisir est diminué car davantage appel au travail

• Jeux libres (Haussaye B) support privilégié selon Kergomard, refusant le modèle scolaire car elle récuse les exo et apprentissages / Mme Librati (directrice) B2 le but du jeu libre ou organisé est de permettre aux enfants d’entrer dans les apprentissages des règles

• Jeux de société : règles à partir de MS

b) Caractéristiques : ce que doit viser le jeu

• Selon Jean Vial (A) : 3 types de jeux visant soit l’apprentissage, soit la personne ou ceux à vocation sociale

- Meirieu pas d’accord, pour lui il s’agit de différentes entrées mais que le jeu doit rassembler ces trois dimensions

• Meirieu : référence à Vygotsky. Un « bon » jeu amène les élèves à adopter une attitude ludique avec référence à une « zone de compétence du joueur » (lien avec ZPD) entre un niveau de savoir-faire déjà là et sécurisant, et le niveau supérieur du problème à résoudre induisant alors curiosité et désir de réussir (motive l’enfant)

• Le jeu doit être un défi, un outil de progression intellectuelle

• Si le jeu nécessite et permet des apprentissages alors il est utile en classe (condition pour être efficace)

• Freinet : privilégier le jeu c’est comprendre ce qu’on fait = travailler la métacognition + initier aux règles de vie, règles sociales ainsi qu’à la lecture et écriture (B2)

• Pour qu’il y ait jeu selon Best, il faut qu’l y ait désir de jouer à qqch, l’enfant ne doit pas s’ennuyer ce qui n’est pas l’avis de Bouysse (B) (le jeu peut aussi être ennuyeux)

• Socialisation et apprentissage (haussaye), jeu libre très lié à la Maternelle

III/ Pratiques en classe : l’enfant acteur de ses apprentissages

a) Rôle PE

• Meirieu (A) : annoncer clairement le temps du jeu, les règles, faire tourner les tâches et les rôles

- Il ne s’agit pas de scolariser le jeu abusivement

• Haussaye : accompagnement, qualification, programme

- Jeu organisé

• B2 Librati : développer chez l’enfant le désir d’apprendre, la curiosité, le questionnement sur le monde

• Prog : organsier activité favorisant l’autonomie des élèves

- Créer condition découverte suscitant expérimentations spontanées

b) Coins jeux

• Best (A) : situation concrète, organisation matérielle, agencement adéquat pour les enfants, endroit où l’on est incité à jouer

- Offrent une véritable occasion de choisir une activité ludique coins cuisine, garage… (B2)

- Devraient encore être présent chez les GS (en effet, ils ont tendance à disparaître dans ces classes)

- Jeux d’imitation, de construction, traditionnels ( ?)

- Jeux d’imitation dans endroits bien équipés : jouer à faire « comme » papa, maman, le grand frère, le voisin, le copain

- Coin déguisement incitant au jeu dramatique (lien avec MDL, activités artistiques, motricité)

c) Une pédagogie à prolonger au CP

• Programmes (B3) : Maternelle se distingue par la péda qu’elle met en oeuvre

• Meirieu (A) : Piaget, psychanalystes, pédagogue des méthodes actives promeuvent la demarche expérimentale e la recherche documentaire

• Houssaye (B) : faire jouer pour agir, s’éduquer sans le savoir = péda de la ruse = exo amusants se substituant au jeu spontané de l’enfant

• B2 Librati : PS-MS tri, classement, rangement, exploration, observation, manip, invention

- MS : découverte ludique du monde

- PS (Bormin) : 30 min de jeu libre à l’accueil et après avoir fini une activité

- GS : exit le jeu libre car tellement sophistiqué qu’il n’en est plus

- Ateliers-jeux, sous-groupes, ex : atelier graphique, jeux logiques, peinture

• C2 débute en GS

Ccl : une réponse définitive ne peut voir le jour puisqu’il existera sûrement toujours des détracteurs du jeu à l’école, toutefois on lui reconnaît sa valeur s’il est bien utilisé et mis en place. Si plaisir et tâtonnement incombe au jeu, ils n’en sont pas pour autant l’apanage selon Meirieu qui pense qu’il faut qu’ils soient présent dans n’importe quelle activité humaine pour qu’elle soit réussie.

je n'ai pas fait les deux sujets mais je trouve que ton plan est clair et efficace !

Le contenu est étoffé et semble correspondre à l'intitlué de tes parties.--> bien joué pour vygotsy et freinet !

Ah la la il faut que j'arrives a ton niveau avant le 10 juin ...cela semble difficile !

[valou1978]

Bonjour,

ça fait un petit moment que je suis vos posts et que je fais quelques uns de vos sujets, donc j'ose me lancer sur ce sujet. Je me suis contentée du sujet de 2008.

Intro

La question du jeu et de l'apprentissage est source de débats depuis des dizaines d'années.

C'est ce problème que soulève le dossier proposé. Celui-ci est composé de 3 textes. Dans le premier texte extrait d'un article paru dans les cahiers Pédagogiques de Décembre 2006, Jean Houssaye resitue la place du jeu à l'école dans une perspective historique. Dans le second texte, un article intitulé "Maternelle: jouer ou apprendre, il faut choisir" paru dans le Monde de l'education de décembre 2004, Marc Dupuis situe l'école maternelle et l'évolution du jeu au cours du cycle. Enfin, le troisième texte est l'introduction aux programmes de l'école maternelle de 2007.

Tout ceci nous amène à nous poser la question de la place du jeu dans les apprentissages.

Je tenterai de répondre à cette question en m'interrogeant sur deux points: Jeu et apprentissages sont-ils antinomiques?

Et Quelle place pour le jeu à l'école maternelle?

I - Jouer pour apprendre ou apprendre en jouant?

1 - quelques repères

T1: donner une place au jeu à l'école maternelle a dès le début soulevé la résistance du monde enseignant.

Quelques pédagogues de placent le jeu au coeur des apprentissages apprentissages (Montessori, Freinet)

2 - Apprendre en jouant

Montessori: au final, l'enfant choisira toujours un jouet ou un jeu utile à son développement plutôt qu'un simplement amusant.

Mais il ne faut pas transformer le jeu en apprentissage forcer et lui enlever son essence.

3 - Jouer pour apprendre

C'est la position des parents et de nombreux enseignant.

Adulte et enfant n'ont pas la même vision du jeu

T1: la pédagogie de la ruse

T2 : les ateliers-jeux

T2: pression sociale qui s'exerce à l'école, mais également dès la petite enfance (foison de jeux déveil destinés aux tout petits, c'est une angoisse permanente des parents), il faut éveiller, parfois, on ne laisse plus la place au simple jeu pour le plaisir de l'enfant (qui n'a pas besoin de jeux sophistiqués, modes d'emploi pour des jeux destinés à un enfant de 3 mois!). Le libre-jeu a tendance à disparaître de plus en plus tôt.

II -Place du jeu à l'Ecole maternelle

1 - Les phases de développement de l'enfant

Freinet - Wallon - Montessori

Respecter le développement naturel de l'enfant, il y a des phases pour tous les apprentissages, des passages obligés, il est important de les respecter. il ne sert à rien d'aller trop vite.

2 - L'organisation de l'école maternelle

T2 : Le jeu disparait progressivement et se modifie on passe du libre-jeu aux activités ludiques

Il garde cependant toute sa place

3 - Une école à part entière

T3: le cycles de apprentissages premiers. objectifs: donner les bases pour entreprendre une bonne scolarité, donner un premier contact positif avec l'école.

Objectifs d'apprentissage définis dans le SCC: devenir élève.

Différencier périodes de jeu et de travail.

Conclusion

Le jeu a toute sa place dans les apprentissages, il contribue à la construction de l'individu. Il occupe une place très importante pour le développement de l'enfant et participe à ses apprentissages, même si cela ne paraît pas forcément évident au premier abord avec notre regard d'adulte. L'enfant n'est pas un adulte en miniature, il ne faut pas reporter sur lui nos goûts et envies en matière de jeu. L'adulte en général et l'enseignant en particulier doit faire confiance à l'enfant tout en le guidant. Chacun évolue à son rythme (et cela est encore plus vrai chez les plus jeunes) et il faut respecter ce dernier.

Aujourd'hui, notre société vise la performance et la rentabilité pour chaque activité. Ne faut-il pas laisser aux enfants tout simplement le privilège d'être des enfants?

Au passge, TiGwen, j'espère arriver un jour à faire des plans à moitié aussi bons que les tiens...