lareus Posté(e) 5 août 2009 Posté(e) 5 août 2009 De toute façon, même s'ils nous arrêtent, on ne peut pas arrêter de vivre : famille, amis, les courses, les activités ... et le mari qui va au boulot tous les jours qui peut la ramener, et le petit en maternelle qui va en ramener des "saloperies" encore cette année ... Je ne vois pas comment on peut faire ... Vaccin et masque ??? Est-ce que ce serait utile ?! Mystère ...
juoops Posté(e) 5 août 2009 Posté(e) 5 août 2009 Vaccin et masque ??? Est-ce que ce serait utile ?! Mystère ... Bah moi va falloir qu'ILS me ligotent pour me vacciner (si ça devient obligatoire pour les enseignants, comme plusieurs sites semblent le dire), ma mère est pharmacienne et elle n'en a pas de très bons échos de ce vaccin (aucun recul!!! pour les femmes enceintes par exemple!)
liline57 Posté(e) 5 août 2009 Posté(e) 5 août 2009 Vaccin et masque ??? Est-ce que ce serait utile ?! Mystère ... Bah moi va falloir qu'ILS me ligotent pour me vacciner (si ça devient obligatoire pour les enseignants, comme plusieurs sites semblent le dire), ma mère est pharmacienne et elle n'en a pas de très bons échos de ce vaccin (aucun recul!!! pour les femmes enceintes par exemple!) Un médecin, ou professeur en médecine je ne sais plus, disait, pas plus tard que la semaine dernière, que le vaccin ne présentait aucun risque pour les femmes enceintes et qu'il les encourageait vivement à se faire vacciner. Sinon le mieux serait encore de se faire vacciner contre le pneumocoque afin d'éviter de chopper des bronchites, pneumonies etc qui aggraveraient votre état si vous attrapiez la grippe.
lilie2fr Posté(e) 5 août 2009 Posté(e) 5 août 2009 Vaccin et masque ??? Est-ce que ce serait utile ?! Mystère ... Bah moi va falloir qu'ILS me ligotent pour me vacciner (si ça devient obligatoire pour les enseignants, comme plusieurs sites semblent le dire), ma mère est pharmacienne et elle n'en a pas de très bons échos de ce vaccin (aucun recul!!! pour les femmes enceintes par exemple!) Un médecin, ou professeur en médecine je ne sais plus, disait, pas plus tard que la semaine dernière, que le vaccin ne présentait aucun risque pour les femmes enceintes et qu'il les encourageait vivement à se faire vacciner. Sinon le mieux serait encore de se faire vacciner contre le pneumocoque afin d'éviter de chopper des bronchites, pneumonies etc qui aggraveraient votre état si vous attrapiez la grippe. Ce vaccin n'existe pas encore, comment peut il savoir cela?
liline57 Posté(e) 5 août 2009 Posté(e) 5 août 2009 Ce vaccin n'existe pas encore, comment peut il savoir cela? Je sais bien mais c'est ce qu'il a dit. Le vaccin est, semble-t-il, en phase de test sur des volontaires, notamment en GB.
alie Posté(e) 5 août 2009 Posté(e) 5 août 2009 Ce vaccin n'existe pas encore, comment peut il savoir cela? Je sais bien mais c'est ce qu'il a dit. Le vaccin est, semble-t-il, en phase de test sur des volontaires, notamment en GB. Le problème est qu'il est évidemment trop tôt pour se prononcer sur d'éventuels effets secondaires à long terme pour les personnes vaccinées (et éventuellement pour le bb qu'elles pourraient porter.) Il faut pour cela des études menées sur plusieurs années et l'urgence dans laquelle ce vaccin est créé ne permet pas d'avoir le recul nécessaire... Je fais partie de la génération qui a "bénéficié" d'une campagne de vaccination massive contre l'hépatite B, et finalement ces vaccinations automatiques ont été arrêtées quelques années plus tard car il semblait y avoir un lien entre le développement de la sclérose en plaques et l'administration de ce vaccin... Sans vouloir être trop alarmiste, je préfère pour ma part attendre les résultats d'études sur des périodes plus longues avant de me lancer dans une éventuelle vaccination...
lareus Posté(e) 6 août 2009 Posté(e) 6 août 2009 Ce vaccin n'existe pas encore, comment peut il savoir cela? Je sais bien mais c'est ce qu'il a dit. Le vaccin est, semble-t-il, en phase de test sur des volontaires, notamment en GB. Le problème est qu'il est évidemment trop tôt pour se prononcer sur d'éventuels effets secondaires à long terme pour les personnes vaccinées (et éventuellement pour le bb qu'elles pourraient porter.) Il faut pour cela des études menées sur plusieurs années et l'urgence dans laquelle ce vaccin est créé ne permet pas d'avoir le recul nécessaire... Je fais partie de la génération qui a "bénéficié" d'une campagne de vaccination massive contre l'hépatite B, et finalement ces vaccinations automatiques ont été arrêtées quelques années plus tard car il semblait y avoir un lien entre le développement de la sclérose en plaques et l'administration de ce vaccin... Sans vouloir être trop alarmiste, je préfère pour ma part attendre les résultats d'études sur des périodes plus longues avant de me lancer dans une éventuelle vaccination... Le souci c'est le fait d'être enceinte et de vouloir se protéger et protéger le bébé. Il est évident que si on n'était pas enceintes, je serais d'accord avec toi. Là l'urgence c'est pour la grossesse en cours pendant la pandémie, la grossesse ne durant pas 3 ans (heureusement !!!) et la pandémie n'attendant pas qu'on soit fixés sur les retombées possibles ... Je ferai confiance en mon médecin, après tout c'est lui le professionnel ...
lilie2fr Posté(e) 6 août 2009 Posté(e) 6 août 2009 Ce vaccin n'existe pas encore, comment peut il savoir cela? Je sais bien mais c'est ce qu'il a dit. Le vaccin est, semble-t-il, en phase de test sur des volontaires, notamment en GB. Le problème est qu'il est évidemment trop tôt pour se prononcer sur d'éventuels effets secondaires à long terme pour les personnes vaccinées (et éventuellement pour le bb qu'elles pourraient porter.) Il faut pour cela des études menées sur plusieurs années et l'urgence dans laquelle ce vaccin est créé ne permet pas d'avoir le recul nécessaire... Je fais partie de la génération qui a "bénéficié" d'une campagne de vaccination massive contre l'hépatite B, et finalement ces vaccinations automatiques ont été arrêtées quelques années plus tard car il semblait y avoir un lien entre le développement de la sclérose en plaques et l'administration de ce vaccin... Sans vouloir être trop alarmiste, je préfère pour ma part attendre les résultats d'études sur des périodes plus longues avant de me lancer dans une éventuelle vaccination... Le souci c'est le fait d'être enceinte et de vouloir se protéger et protéger le bébé. Il est évident que si on n'était pas enceintes, je serais d'accord avec toi. Là l'urgence c'est pour la grossesse en cours pendant la pandémie, la grossesse ne durant pas 3 ans (heureusement !!!) et la pandémie n'attendant pas qu'on soit fixés sur les retombées possibles ... Je ferai confiance en mon médecin, après tout c'est lui le professionnel ... Tu as tout à fait raison!
liline57 Posté(e) 6 août 2009 Posté(e) 6 août 2009 Le souci c'est le fait d'être enceinte et de vouloir se protéger et protéger le bébé. Il est évident que si on n'était pas enceintes, je serais d'accord avec toi. Là l'urgence c'est pour la grossesse en cours pendant la pandémie, la grossesse ne durant pas 3 ans (heureusement !!!) et la pandémie n'attendant pas qu'on soit fixés sur les retombées possibles ...Je ferai confiance en mon médecin, après tout c'est lui le professionnel ... Tout dépend du médecin traitant. Il y'a des années beaucoup prescrivaient des hormones de croissance et le médecin de famille de ma mère lui a pourtant vivement déconseillé, voire carrément interdit, de donner de ses hormones de croissance à mon frère, jugé "petit" par rapport à ses camarades de classe. Certes maintenant les médecins ont appris la leçon, le mien, un autre cette fois-ci, m'a déconseillé le vaccin contre le papillomavirus car pas assez de recul sur celui-ci. Bon maintenant concernant la grippe. Le vaccin change tous les ans et tous les ans des milliers de personnes, en France, sont vaccinées sans que cela pose de problèmes. Pourquoi cela serait-il différent avec le vaccin contre la grippe A ? C'est aussi une grippe, elle est plus active et un peu plus dangereuse certes, mais c'est une grippe et les laboratoires savent fabriquer les vaccins. Sinon, comme je l'ai déjà écrit, faîtes vous déjà vacciner contre le pneumocoque, si c'est possible évidement, afin d'éviter les surinfections.
juoops Posté(e) 6 août 2009 Posté(e) 6 août 2009 Moi aussi je fais confiance à mon médecin traitant, et celui-ci m'a dit que lui même refuserait de se faire vacciner!!! Et c'est un médecin urgentiste du SAMU, qui bosse à l'hosto. ==> Y'a pas assez de recul pour risquer de se faire injecter n'importe quoi dans les veines et tout ça pour faire plaisir aux Laboratoires pharma. qui vont se faire un plaisir de nous vendre leur merde! Une grosse histoire de fric tout ça!
chocolitchi Posté(e) 6 août 2009 Auteur Posté(e) 6 août 2009 bon, mon rendez vous est à 14 heures. Je vous tiens au courant mais franchement, je ne suis pas optimiste à l'idée qu'on "protège les femmes enceintes". Les médecins ont des consignes pour les arrets. Quand ils en distribuent trop, ils sont appelés à l'ordre. Alors imaginez si les docs ou gygy devaient mettre en arret toutes les femmes enceintes...ils exploseraient le quotas! A tout à l'heure pour le verdict!
Zarko Posté(e) 6 août 2009 Posté(e) 6 août 2009 Il y a un post sur ce sujet... http://forums-enseignants-du-primaire.com/...8979&st=290 L'État français a commandé 94 millions de doses de vaccins contre la grippe A (H1N1), qui pourrait redoubler de vigueur à la rentrée. Mais ce vaccin n'existe pas encore : les laboratoires pharmaceutiques se préparent à tourner à plein régime pour produire ces doses. Mais ils doivent d'abord recevoir l'autorisation de mise sur le marché (AMM) des produits qu'ils élaborent. Vacciner des millions de personne n'est pas un acte anodin. Le produit doit satisfaire aux exigences des autorités sanitaires, et à l'instar de tous les mécicaments, les vaccins doivent obtenir une AMM. Bien que simplifiée dans le cas de vaccins contre la grippe, et accélérée lorsque la pandémie menace, la procédure nécessite des délais relativement longs. "Nous devons nous assurer de l'inocuité, de la sécurité et de l'efficacité du produit avant de l'autoriser en engageant notre responsabilité d'agence sanitaire", explique Fabienne Bartoli, adjointe au directeur de l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), institution qui participe à "l''évaluation collégiale" des vaccins "sous l'égide de l'European Medicines Agency" (EMEA). En réalité, ce sont deux types de vaccins qui sont en gestation dans les laboratoires des grandes firmes pharmaceutiques. L'un, créé de toutes pièces, mettra des mois avant de franchir toutes les étapes nécessaires à sa validation. Le second, dit vaccin "mock-up" ou vaccin-maquette, a été conçu lorsque le virus de grippe aviaire H5N1 a fait ses premiers pas sur la planète. C'est lui qui arrivera en premier sur le marché, une fois réadapté pour lutter contre la souche A (H1N1). "Un vaccin mock-up est un vaccin préparé en avance. Une fois que la souche du virus a été connue [au mois de juin], elle a remplacé [la souche H5N1] qui a permis de préparer le vaccin", résume l'EMEA dans une note explicative. Quatre mock-up fabriqués par trois firmes –GSK, Novartis et Baxter – ont été approuvés a priori par l'EMEA, alors que celui produit par Sanofi a été retoqué parce qu'il ne satisfaisait pas aux exigences. PREMIERS LOTS LIBÉRÉS POUR LES ESSAIS CLINIQUES Cette procédure permet une réduction drastique des délais d'autorisation par les autorités sanitaires. "On ne réévalue pas le vaccin dans son ensemble, mais seulement la variation qui lui a été apportée avec l'introduction de la nouvelle souche", explique Mme Bartoli, qui indique que "les premiers lots de vaccins ont été libérés" par les autorités sanitaire pour que débutent les essais cliniques sur des volontaires. Si ces essais se révèlent concluants, l'AMM sera délivrée et les vaccins pourront être produits. Avant d'être mis sur le marché, les autorités de sécurité sanitaire contrôleront les sites de production et effectueront des contrôles des lots de vaccins avant leur "libération". Les premiers lots de vaccins mock-up devraient arriver sur le marché au mois en septembre ou octobre. L'Afssaps et les agences équivalentes en Europe n'arrêteront pas pour autant leur rôle de vigie. Une fois le vaccin sur le marché, elles assureront la pharmacovigilance qui consiste à contrôler les effets indésirables du vaccin sur la santé. S'ils s'avèrent trop importants, conclue Mme Bartoli, "l'AMM peut leur être retirée". Jonathan Parienté
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