Betba Posté(e) 30 septembre 2009 Posté(e) 30 septembre 2009 Pour moi, on souligne sur l'interligne juste en dessous, un trait sur la ligne du dessous, c'est pour séparer... C'est tout à fait ça. Ayons une pensée pour messieurs Ferey et Tirard, respectivement mes instits de CE2-CM1 et de CM2 pour m'avoir initiés au mystère du "tirez un trait"
dhaiphi Posté(e) 30 septembre 2009 Posté(e) 30 septembre 2009 Ayons une pensée pour messieurs Ferer et Tirard, respectivement mes instits de CE2-CM1 et de CM2 pour m'avoir initiés au mystère du "tirez un trait" Je constate avec plaisir qu'ils n'ont pas perdu leur temps.
JeanLatreck Posté(e) 30 septembre 2009 Posté(e) 30 septembre 2009 Pour moi, on souligne sur l'interligne juste en dessous, un trait sur la ligne du dessous, c'est pour séparer... C'est tout à fait ça. Oui, comme on tirera un trait qui séparera le travail de français du travail de math, alors qu'on soulignera le titre "grammaire" ou "opérations". Je ne vois pas trop à quel titre on soulignerait la date.
JBB Posté(e) 1 octobre 2009 Posté(e) 1 octobre 2009 Pour moi, on souligne sur l'interligne juste en dessous, un trait sur la ligne du dessous, c'est pour séparer... C'est tout à fait ça. Oui, comme on tirera un trait qui séparera le travail de français du travail de math, alors qu'on soulignera le titre "grammaire" ou "opérations". Je ne vois pas trop à quel titre on soulignerait la date. Pour faire "joli"... Et puis tant que ce n'est pas interdit... A+ JBB
dhaiphi Posté(e) 1 octobre 2009 Posté(e) 1 octobre 2009 Et puis tant que ce n'est pas interdit... SI, si...
Ledeux Posté(e) 15 octobre 2009 Posté(e) 15 octobre 2009 Bonjour à tous, J'ai parcouru rapidement la discussion, et j'interviens avec mon rôle de maman d'un EIP de 9 ans, actuellement en CM1. Je vous conseille très fortement la lecture du livre de jeanne Siaud-Facchin intitulé "L'enfant surdoué, l'aider à grandir, l'aider à réussir". Je viens de le terminer, et je me demande pourquoi je ne l'ai pas lu avant C'est une explication très complète et très intéressante sur les EIP. Petite explication rapide du sujet : lors du passage de test, seuls habilités à faire reconnaître un EIP , il y a plusieurs résultats possible. Avant 130 de QI, nous avons un enfants très intelligent, très brillant. Jusqu'à 129, l'intelligence se mesure en quantité. A partir de 130, qui est la mesure limite pour être EIP, l'intelligence se mesure en qualité, "le QI n'est plus un indice d'une intelligence quantitativement supérieure mais d'une forme d'intelligence qualitativement différente. Un enfant surdoué est un enfant qui, par sa perception aiguisée du monde, par sa cpacité à enregistrer simultanément des informations en provenance de sources distinctes, par son réseau puissant d'associations d'idées et sa rapidité fulgurante de compréhension... fonctionne dans un système intellectuel incomparable à celui d'autres enfants et très diffrent aussi des enfants les plus brillants." Je vous cite directement l'auteur Chez un enfants "surdoué", c'est la différence qui est significative, et non la supériorité intellectuelle Aussi, de quoi a besoin un EIP pour fonctionner correctement et ne pas lâcher scolairement parlant ? Le saut de classe est en général préférable pour l'enfant, c'est aussi la seule solution proposée par l'EN, à défaut d'école ou de classe spécialisée dans la prise en charge de ces enfants. Par le saut de classe, l'enfant fera face à une complexité plus importante, ce qui permet de réanimer l'investissement des processus d'apprentissage. Si vous trouvez qu'il manque de maturité, c'est normal, les EIP ont un rapport u monde qui est basé sur l'affectif. "Un EIP intègre toujours l'affectif dans son fonctionnement et résonne en permanence avec les composants émotionnels de son environnement." Il ne sera donc jamais affectivement assez indépendant pour sauter une classe, mais en même temps, il ne le sera jamais dans sa vie tout court... Pour les notions qui ne seraient pas intégrées du fait d'un saut de classe, l'enfant stimulé par des apprentissages plus complexes rattrapera très vite les connaissances nécessaires. Voilà, c'était juste pour le dire, parce que tout le monde n'est pas au courant, moi-même, avant e lire ce livre, je n'avais pas toutes les clés
IsaG Posté(e) 20 octobre 2009 Auteur Posté(e) 20 octobre 2009 Il ne sera donc jamais affectivement assez indépendant pour sauter une classe, mais en même temps, il ne le sera jamais dans sa vie tout court... C'est tout à fait vrai...
MissCh0c0 Posté(e) 20 octobre 2009 Posté(e) 20 octobre 2009 Qu'appelez-vous affectivement indépendant ?
Zarko Posté(e) 20 octobre 2009 Posté(e) 20 octobre 2009 Ouais, c'est le genre de débat auquel je ne voulais pas me mêler. Mais p.tain, est-ce que l'échec scolaire est à l'image du nombre d'élèves surdoués ou définis comme tels par leurs géniteurs ? Il faut arrêter le délire, perso, un vrai surdoué n'a pas besoin d"école ou de maîtres spécialisés...S'il est vraiment surdoué, sa scolarité ne sera qu'un détail de son histoire. Il y a des milliers d'enfants complètement privés de repères affectifs ou sociaux...et eux, ne s'en sortiront pas...
IsaG Posté(e) 21 octobre 2009 Auteur Posté(e) 21 octobre 2009 Ben ne prends pas part au débat Zarko Sinon, l'EN s'intéresse aux enfants précoces: http://www.education.gouv.fr/cid28645/la-s...t-precoces.html http://www.education.gouv.fr/bo/2007/38/MENE0701646C.htm
dhaiphi Posté(e) 21 octobre 2009 Posté(e) 21 octobre 2009 Il y a des milliers d'enfants complètement privés de repères affectifs ou sociaux...et eux, ne s'en sortiront pas... La scolarité ne sera qu'un détail de leur histoire, pour eux aussi. L'école n'est pas le lieu où se réduit "la fracture sociale".
nanou69 Posté(e) 21 octobre 2009 Posté(e) 21 octobre 2009 Il y a des milliers d'enfants complètement privés de repères affectifs ou sociaux...et eux, ne s'en sortiront pas... La scolarité ne sera qu'un détail de leur histoire, pour eux aussi. L'école n'est pas le lieu où se réduit "la fracture sociale". Tout à fait. Je comprends ton discours Zarko, et je te reconnais bien dans ce que tu dis. Pour être honnête, je l'ai lu il y a quelques heures et me suis abstenue de répondre tant j'étais énervée. Mais, j'entends bien ce que tu dis. Je travaille avec les mômes que tu décris et suis anéantie par tant de souffrance. Mais je vis avec 2 EIP et je vis aussi leur souffrance. Certes, et là je suis d'accord, mes enfants sont suivis à la maison, certes ils sont aimés et ne manquent de rien. Mais je ne vois pas au nom de quel principe, on pourrait décider que eux n'ont pas besoin d'aide. Mais je le redis, je suis tout comme toi, touchée par ces enfants sans repères, avec des histoires tellement douloureuses qu'il faudrait 100 vies pour les supporter à moitié.
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