asar Posté(e) 9 octobre 2009 Posté(e) 9 octobre 2009 ici pas encore entendu parlé de ca helas pourtant hier j'ai recu mon octroi de ocngé maternité et les dates sont bien les 16 semaines prévues en temps normal...à suivre donc!
Missmina Posté(e) 10 octobre 2009 Posté(e) 10 octobre 2009 Punaise, c'est dingue cette histoire ! C'est vraiment hallucinant qu'il y ait tant de différence d'un département à un autre !!! Moi dans la circo de mon département (13), ils sont en galère totale de remplaçants; donc comme je suis moi-même brigade, je compte vraiment pas sur eux pour me donner un arrêt avant mon congé mater !!
vl33 Posté(e) 10 octobre 2009 Posté(e) 10 octobre 2009 c'est toute "l'injustice" de l'education nationale!!!! qd tu penses que meme au sein de notre academie les regles ne sont pas les memes pour le mouvement!!!!! c'est hallucinant!! à croire que chaque ia fait sa sauce! affaire à suivre donc, mais je doute franchement que cela soit national, j'imagine le cout que cela engendrerait de payer les femmes enceintes à rester chez elles!!!
galhia Posté(e) 10 octobre 2009 Posté(e) 10 octobre 2009 sérieux????c'est la folie ce truc? Oui, j'étais moi même très surprise mais connaissant ma directrice elle ne nous donne pas les infos à la légère donc ça a l'air vrai:wink: ; Maintenant, j'attends de voir le dit papier pour en être sûre . Effectivement, je viens de recevoir le papier qui me dit que j'arrête le 16/11 au lieu du 5/01 (lettre qui vient de l'IA des Hauts de Seine) Ce serait trop beau! Mon arrêt est le 13/01... croisons les doigts... mais j'y crois peu.
Ecureuil Posté(e) 10 octobre 2009 Posté(e) 10 octobre 2009 sérieux????c'est la folie ce truc? Oui, j'étais moi même très surprise mais connaissant ma directrice elle ne nous donne pas les infos à la légère donc ça a l'air vrai:wink: ; Maintenant, j'attends de voir le dit papier pour en être sûre . Effectivement, je viens de recevoir le papier qui me dit que j'arrête le 16/11 au lieu du 5/01 (lettre qui vient de l'IA des Hauts de Seine) Est-ce qu'il y a un motif indiqué pour l'anticipation de ton arrêt ?
cougniflette Posté(e) 10 octobre 2009 Posté(e) 10 octobre 2009 sérieux????c'est la folie ce truc? Oui, j'étais moi même très surprise mais connaissant ma directrice elle ne nous donne pas les infos à la légère donc ça a l'air vrai:wink: ; Maintenant, j'attends de voir le dit papier pour en être sûre . Effectivement, je viens de recevoir le papier qui me dit que j'arrête le 16/11 au lieu du 5/01 (lettre qui vient de l'IA des Hauts de Seine) Est-ce qu'il y a un motif indiqué pour l'anticipation de ton arrêt ? Oui, c'est par rapport à la grippe A et le fait qu'elle est est dangereuse pour les femmes entrant dans leur troisième trimestre de grossesse.
Zarko Posté(e) 10 octobre 2009 Posté(e) 10 octobre 2009 Quelle mouche a donc piqué nos autorités avec cette grippe A? On nous assène à longueur de journée des mises en gardes alarmistes alors que cette épidémie ne semble pas dangereuse! (voir l'avis du professeur Debré "la grippe A reste une grippette!" ou l'article "Halte à la désinformation" du syndicat des infirmières). Le taux de mortalité de la grippe A semble être inférieur aux prévisions et se situe dans la moyenne du taux d'une grippe saisonnière, estime un spécialiste des maladies infectieuses. "Elle est particulièrement bénigne chez les enfants, c'est l'une des bonnes nouvelles concernant cette pandémie", a déclaré le Dr Marc Lipsitch de l'université de Harvard, lors d'un séminaire d'experts de la grippe organisé mercredi à l'Institut américain de médecine. (REUTERS, 17 septembre 2009) 21 septembre 2009 : bilan de l'effet de la grippe A (H1N1) en Australie : Par Sophie Roselli, Sydney L’hémisphère Sud fait face à la grippe A depuis près de quatre mois. L’Australie, l’une des nations les plus touchées au monde n’a pas subi la paralysie redoutée. Quelles leçons tirer de cette expérience? En Australie, la grippe A(H1N1) a infecté 26 400 personnes, sans affecter durement la vie quotidienne.. le scénario catastrophe s’est dégonflé aux antipodes. Santé: des craintes éclipsées: Toutes [les victimes de la grippe] (88 en tout) appartiennent à des groupes à risque (personnes souffrant de maladies graves et chroniques, etc.). «Les craintes ont été éclipsées par la réalité. La grippe A est bénigne dans la majorité des cas», dit le porte-parole du Département de la santé de l’Etat de Victoria. «L’impact sur l’absentéisme (au bureau) sera très faible, presque insignifiant», assure le professeur Anthony Harris, chargé par le gouvernement d’étudier l’impact économique de la pandémie. .. plus de peur que de mal. Le Temps © 2009 Le Temps SA Comment comparer sans rire les dizaines de millions de morts du paludisme aux quelques 2000 victimes (supposées!) de la grippe A? Il meurt bien plus de monde des piqûres de guêpes! L'OMS, qui s'était déjà ridiculisée avec la grippe aviaire (=une vingtaine de cas mortels par an au niveau mondial!), vient de passer au niveau 6 la dangerosité de la "pandémie" de grippe A, entrainant des mesures liberticides et une psychose mondiale que rien ne semble justifier. L'OMS est allé jusqu'à changer ses critères de définition d'une "pandémie" (en supprimant le critère de létalité!) pour pouvoir qualifier de "pandémie" l'épidémie de grippe porcine! Si l'on applique cette nouvelle définition, on a du mal à trouver une année de l'histoire humaine sans "pandémie". Le plus burlesque dans cette histoire, c'est qu'aucune statistique sérieuse n'est possible car personne ne sait faire la différence entre une grippe A et une grippe classique (le test est très cher et non remboursé). On peut donc imaginer que quand l'épidémie de grippe saisonnière (entre 250 000 et 500 000 cas mortels par an selon l'OMS) va revenir (comme chaque hiver) on va assister à une véritable psychose. Qualifiée de mortelle dès le départ la grippe A s'est rapidement avérée n'être qu'une "grippette". Fausse alerte? Il serait temps de le reconnaître! Le vaccin contre la grippe A est-il utile? Et si tout cela était une histoire de gros sous? Le vaccin et le Tamiflu sont présentés comme pouvant nous sauver de la "pandémie" de grippe. Que la vaccination soit très utile contre des maladies comme le ténanos ou la polio semble indéniable. Pour la grippe, ça se discute, car ce type de vaccin est bien moins efficace. Le virus de la grippe mute rapidement et un vaccin perd son efficacité contre un virus muté. De plus les virus deviennent de plus en plus résistants aux vaccins et aux anti-viraux (Tamiflu). Pour ce qui est de l'efficacité du Tamiflu contre la grippe, la revue française "Prescrire" (seule revue médicale non financée par les labos) est catégorique : « A part les effets collatéraux, on ne comprend pas ce que la Tamiflu ajoute à la thérapie symptomatique traditionnelle » . Certaines études vont jusqu'à nier un quelconque effet bénéfique des vaccins contre la grippe: lire le document du Dr Marc Girard à ce sujet. On peut aussi citer le rapport du Dr C. Peter, chef de service et du Dr C. Frémont, directeur général de la CPAM de Nantes. Ce rapport, présenté lors du congrès Epidémiologie et Santé qui s’est tenu à Nancy (France) du 3 au 6 juillet 1995, avait pour mission d’évaluer l’efficacité du vaccin contre la grippe. Voici un extrait de la conclusion: « Les sujets vaccinés ont été comparés à des non vaccinés .. On observe que la proportion des individus qui n’ont pas présenté d’état grippal a été sensiblement la même dans les deux groupes, 14 % des vaccinés ont eu la grippe contre 13 % des non vaccinés » Incroyable mais vrai! On ne peut pas dire que ce genre de résultats soit bienvenus pour le chiffre d'affaires des labos, voilà sans doute pourquoi les revues médicales restent si discrètes... En conclusion: même sous la forme actuelle de la grippe A (bénigne) l'efficacité du vaccin reste à démontrer. Et si une mutation rendait la souche plus dangereuse le vaccin serait alors complètement inefficace. Risques du vaccin "baclé" contre la grippe A Comme pour tout médicament, le vaccin contre la grippe A a des effets secondaires possibles, il faut donc évaluer le rapport bénéfice à risque d'une telle vaccination. En l'occurence les vaccins grippaux sont parmi les vaccins les plus risqués car ils doivent être élaborés rapidement (à cause des mutations des virus) et donc les tests d'innocuité et le recul sont réduits au strict minimum. Dans le cas du vaccin contre la grippe A la situation est encore plus préoccupante: vu l'urgence aucun recul n'est possible! Quand on sait que les effets secondaires mettent parfois des années à se manifester on n'est guère rassuré. Le syndicat des infirmières parle "d'expérimentation grandeur nature sur la population". Les premières informations qui filtrent sur la composition du vaccin laissent comprendre que plusieurs produits douteux en feront partie: Squalène soupçonné d'être responsable du "syndrôme de la guerre du golfe" (maladies auto-immunes touchant les soldats américains partis en Irak) Mercure Un des métaux lourds les plus toxiques, ce composant (thiomersal) a été interdit dans certains pays, le mercure est soupçonné dans les cas d'autisme survenus suite à certaines vaccinations ROR Aluminium un adjuvant toxique que l'on utilise pour des raisons économiques alors que des solutions de remplacement existent. OGM ces nouveaux vaccins sont basés sur des manipulations génétiques dont on ignore encore les effets à long terme Nano particules Alors qu'on n'a encore aucun recul sur l'utilisation des nano particules dans ce domaine! Si tout cela est vrai, le qualificatif utilisé par le syndicat des infirmières n'est pas exagéré: les labos jouent aux apprentis sorciers à une échelle jamais vue. Le syndicat des infirmieres SNPI CFE-CGC estime qu’une vaccination massive contre un virus grippal relativement benin, presente des risques, du fait d’un vaccin developpé trop rapidement, et d’un adjuvant susceptible de déclencher des maladies auto-immunes (sclérose en plaques,...) injecter 94 millions de doses d’un produit sur lequel nous n’avons aucun recul peut poser un problème de santé publique Il est aussi utile d'être informé du scandale des vaccins Baxter contaminés qui aurait pu avoir des conséquences graves: http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=new...id=aTo3LbhcA75I (en anglais) Labos Baxter: mélange accidentel du virus grippal saisonnier avec le virus mortel H5N1 (vivants!) dans des échantillons destinés à la fabrication d'un vaccin (autre article en français) Ce mélange de souches, que Baxter a diffusé peut générer un virus pandémique. Le bon sens indiquerait de ne pas utiliser ces vaccins tant que cette compagnie n'a pas expliqué comment et pourquoi un tel accident est arrivé! Pour l'instant la communication officielle à ce sujet est au point mort ce qui n'est guère rassurant: Baxter s'est retranché derrière le secret de sa propriété industrielle pour éviter d'avoir à répondre sur ce sujet, attitude pour le moins suspecte. Quand on se rappelle des nombreuses bavures du passé on reste encore plus dubitatif sur l'innocuité d'un vaccin "baclé" et sur lequel on n'a pas de recul. Rappelons quelques scandales: Labos Baxter: injection de sang contaminé par le VIH SIDA à des dizaines de milliers d'hémophiles, Labos Baxter: scandale de l'héparine toxique (19 décès), Pologne: morts de nombreux SDF lors de tests de vaccinations (à l'insu des patients) contre la grippe aviaire Campagne de vaccination en 1976 contre la grippe H1N1 aux Etats-Unis: l'épidémie n'est jamais venue mais la vaccination provoque d'importants effets secondaires: (au moins) 532 cas du syndrome de Guillain-Barré (paralysie avec horribles souffrances) et 32 décès, épidémie de sclérose en plaques suite au vaccin contre l'Hépatite B, "Fuites" de virus à partir de labos, Il y en a beaucoup d'autres, faites donc quelques recherches... En France et aux USA les labos ont obtenu explicitement l'immunité juridique en cas d'effets secondaires dus aux vaccins contre la grippe A. Ce sera donc aux contribuables et aux vaccinés de payer les pots cassés. Raison de plus pour se renseigner soigneusement sur les enjeux et le rapport bénéfice à risque de ce vaccin. Les labos pharmaceutiques: des amis qui nous veulent du bien? Il faut rappeler que les labos pharmaceutiques sont des entreprises commerciales soumises à la dure loi du marché, que leur objectif est donc d'abord de faire du profit et que si l'on parle crûment leur intérêt est d'avoir un large marché (=des maladies et des personnes malades). Rien d'exceptionnel là-dedans, mais comme lde dit Saint Paul: "l'amour de l'argent est la racine de tous les malheurs" on comprend bien qu'il est indispensable d'avoir des autorités sanitaires compétentes et indépendantes pour nous protéger des dérives possibles. Si on se place dans une froide logique de marché, on peut imaginer via un simple brainstorming les dérives potentielles suivantes: que les risques d'une maladie soient exagérés (pandémie de grippe aviaire ou de grippe A), que le bénéfice d'un médicament soit loué exagérément (Tamiflu et vaccination contre la grippe?), que les patients soient orientés vers des solutions rentables (pour les labos) plutôt que vers des solutions efficaces, que l'on s'attaque de préférence aux symptômes plutôt qu'aux causes réelles des maladies (le marché pharmaceutique dépend de l'existence continue des maladies), que les risques d'effets secondaires soient minimisés (mercure, aluminium, OGM, nano particules...), que les scandales à haut impact économique soient etouffés, (accident avec contamination des vaccins chez Baxter) que les victimes d'effet secondaire ne soient pas indemnisées, (supposons que Parkinson, Alzheimer, autisme, sclérose en plaques puissent avoir des causes iatrogènes, le reconnaitra-t-on?) que les chercheurs indépendants qui mettent en danger le profit de l'entreprise soient diffamés ou marginalisés, que les solutions qui permettent d'enrayer une épidémie soient écartées (pourquoi ne pas avoir tout simplement mis le Mexique et les USA en quarantaine si la grippe A était si dangereuse?), que la diffusion de remèdes alternatifs non-brevetables et concurrentiels soit freinée, (chlorure de magnésium et vitamines pour stopper la grippe,..) que des découvertes majeures non rentables soient passées sous silence (silicium organique, plasma sanguin par injections d'eau de mer) que l'immunité juridique des labos pour ce qui est des effets secondaires soit monayée, préférer les molécules qui chronicisent la maladie tout en améliorant l’état des malades (accusation du prix Nobel de médecine Richard Roberts) que certains médecins, médias, politiques ou autorités sanitaires soient "corrompus", (ce qui n'est pas une spécificité du lobby pharmaceutique d'ailleurs) que la taille du "marché" soit étendue en aidant un peu une épidémie à se déclencher, (comme les marchands d'armes peuvent être tentés d'envenimer un conflit) que les nouveaux médicaments soient testés sur des cobayes humains (SDF de Pologne) Tout cela est bien sûr hypothétique mais nous ne sommes pas dans un monde parfait et l'être humain a déjà fait la preuve de ce dont il était capable... Pour s'opposer à ce que les cartels pharmaceutiques s'engagent dans de telles voies criminelles, sur quoi peut-on compter? La moralité et le sens de la responsabilité des dirigeants des labos? C'est un peu utopique et cela ne rassure guère. Faites des recherches sur: la famille Rockefeller (famille d'origine française=de Roquefeuille) qui possède certains géants de l'industrie pharmaceutique, l'histoire des cartels pharmaceutiques IG Farben et Rockefeller Standard Oil, les scandales listés plus haut Même si seulement 1% de tout ce qui ce raconte est vrai, on peut néanmoins comprendre qu'il faut être sur ses gardes!! Il nous reste nos autorités sanitaires: peuvent-elles nous "délivrer du mal"? Les autorités sanitaires Certains de nos politiques ont des "amitiés" qui ne leur permettent pas de taper du poing sur la table... Quand on lit le CV de Roselyne Bachelot (12 à 20 ans au service de l'industrie pharmaceutique) ou de Donald Rumsfeld (principal bénéficiaire des ventes de Tamiflu) on comprend que certains élus puissent avoir du mal à se facher avec les labos ou même à être simplement objectifs. De même la famille Rockefeller a des entrées à l'OMS et l'ONU qui rendent difficile de lui refuser quoi que ce soit (le siège principal de l'ONU se trouvait sur un terrain donné par la famille ROCKEFELLER à New York)! On peut imaginer que ceux (médias, politiques, médecins) qui recoivent beaucoup d'argent (via la publicité, les colloques, le financement des partis) de la part des labos pharmaceutiques soient tentés de leur renvoyer la balle. Presque tous les hommes politiques ont des conflits d’intérêts qui induisent une dépendance éhontée par rapport aux multinationales pharmaceutiques qui financent leurs campagnes électorales. (Déclaration du prix Nobel de médecine Richard Roberts) Voir par exemple le témoignage de Catherine Lemorton, une députée courageuse qui dénonce le lobbying pharmaceutique. Ce n'est pas d'aujourd'hui que ce problème de conflit d'intérêts dure. Dès 1965 la directive européenne 65/65/CEE précise: (2) Toute réglementation en matière de production, de distribution ou d'utilisation des médicaments doit avoir comme objectif essentiel la sauvegarde de la santé publique. (jusque là on est d'accord!) (3) Toutefois ce but doit être atteint par des moyens qui ne puissent pas freiner le développement de l'industrie pharmaceutique et les échanges de médicaments au sein de la Communauté. Cela signifie-t-il que si une découverte met en danger les profits des labos il ne faut ni la publier ni l'utiliser?! Un exemple récent au hasard: Il semblerait que le chlorure de magnésium ait eu des effets inespérés à la Réunion pour traiter la chikungunya. C'est Marie Billi, conseillère municipale à Nice qui a pris sur elle d'informer largement (via des courriers avec papier entête de la mairie!) la population réunionaise sur ce "remède miracle" (qui serait d'ailleurs aussi très efficace contre le virus de la grippe). Comment expliquer le mutisme des autorités sanitaires? Le public et les professions médicales aimeraient bien disposer d'un retour d'expérience officiel sur les résultats de cette thérapie improvisée! Est-ce la directive européenne 65/65/CEE qui empêche une évaluation objective? (Le sachet de chlorure de magnésium ne coûte qu'un Euro en pharmacie et les labos ont des millions de vaccins à vendre. Si cette thérapie est réellement efficace le manque à gagner peut être énorme pour les labos.) Ce critère de rentabilité est-il recevable quand la santé des populations est en jeu? http://www.les4verites.com/La-guerre-du-Chikungunya-975.html Les lobbies de Bruxelles deviennent de plus en plus puissants et imposent des pratiques de plus en plus douteuses, et ce malgré l'opposition sourde du public : pesticides, irradiation des aliments, OGM, codex Alimentarius... Quand on lit "le monde selon Monsanto" on a de quoi frémir! On peut remarquer que les autorités, d'ordinaire très vives pour faire des procès aux blogueurs au moindre mot de travers contre elles, laissent aujourd'hui passer les accusations les plus folles (plainte pour génocide volontaire,..) sans réagir. On peut imaginer que dans ce qui leur est reproché il y a suffisament de vrai pour qu'elles ne souhaitent pas avoir à s'en expliquer publiquement: Par cette commande massive et démentielle de 94 millions de doses de vaccins contre le virus de la grippe A nos autorités se sont mises dans une position très délicate. Comment justifier une dépense de 1 Milliard d'euros quand de nombreux hopitaux sont menacés de fermeture et que l'on se propose de réduire de façon massive le nombre de médecins faute de moyens. Avec une telle somme on pourrait permettre à 1000 médecins de donner des soins gratuits pendant 20 ans!! Un tel gaspillage dépasse l'entendement et pourrait avoir des répercussions désastreuses lors des prochaines élections. La seule solution semble résider dans la fuite en avant. La grippe n'est pas dangereuse? Ces vaccins ne sont pas très efficaces ou ont des effets secondaires catastrophiques? Affirmons le contraire et vaccinons! Maintenant que le gouvernement a commandé des dizaines de millions de vaccins, il va bien falloir les injecter… Vous croyez qu'on va les jeter? Le vin est tiré, il faut le boire. Comment espérer de l'objectivité de la part de nos autorités maintenant? Au contraire, ceux qui appelleront au bon sens seront considérés comme des géneurs: par cette commande démesurée, nos autorités sanitaires ont lié leurs intérêts à ceux des labos pharmaceutiques. On reparlera certainement des "sectes" (=diabolisation) qui refusent que leurs enfants soient vaccinés... (encore une fois ce n'est pas la vaccination en tant que telle qui est remise en question, mais le rapport bénéfice à risque du vaccin contre la grippe A). Les autorités sanitaires se retrouvent écartelées entre leur devoir d'information et leur besoin d'écouler 94 millions de vaccins déjà payés. D'un côté elles avertissent les professionnels de santé que l'on risque de rencontrer une recrudescence des syndrômes de Guillain-Barré dûs aux effets secondaires du vaccin, de l'autre elles proposent de vacciner en priorité les femmes enceintes et les nourissons (proposition totalement irresponsable) pour tenter de convaincre le public que ce vaccin est sûr. Fuite en avant et désir de ne pas avoir à se justifier Comment expliquer que le marché pour l'achat des vaccins soit classé "secret-défense"? Que les établissements de santé soient explicitement exclus du dispositif de vaccination contre la grippe A? Que l'on vaccine ainsi en masse et sous surveillance militaire les gens comme du bétail? Voir la circulaire officielle sur le site du ministère de la santé: http://www.sante-jeunesse-sports.gouv.fr/I...tion_090824.pdf Ce document est carrément incroyable: comment le gouvernement estime-t-il possible un tel plan?? Une seule possibilité: si une "pandémie" est déclarée cela permettrait de déclarer "l'état d'urgence" (loi martiale) ce qui éviterait d'avoir à rendre des comptes... D'ailleurs cela semble très sérieusement envisagé si l'on en croit cet article de "Libération". Le gouvernement français envisage en cas de "pandémie" d'adopter des mesures liberticides: juge unique, huis clos, pas de débat contradictoire, prolongation des détentions provisoires de 4 à 6 mois sans audience ni débat devant le juge des libertés, réduction des droits des personnes gardées à vue, en particulier celui de s’entretenir avec un avocat, suspension des délais de prescription... Le Syndicat de la Magistrature souligne «la disproportion manifeste entre une situation de pandémie grippale et la gravité des mesures envisagées». Cette pandémie pourrait d'ailleurs arranger nos gouvernements pour une toute autre raison: si la crise économique devait subitement s'aggraver (hyperinflation et chomage massif) l'état d'urgence pourrait être bien pratique pour canaliser la population. Quand on terrorise les citoyens avec la "pandémie de grippe A", on évite de parler d'autres sujets qui fâchent (hausse du chomage ou "renflouement" des banques avec l'argent public par exemple...) Vu l'ampleur démesurée de cette commande on ne peut qu'imaginer que de fortes pressions seront là pour rendre la vaccination obligatoire au maximum de personnes et en particulier aux professionels de la santé et aux forces de l'ordre. Cela laisse présager des conflits violents: plus de la moitié des médecins et 63% des infirmières ont déjà déclaré refuser de se faire vacciner contre la grippe A (voir les résultats du sondage sur le site du syndicat des infirmières). Autre marché possible pour écouler les vaccins commandés: les écoles et établissements scolaires. La circulaire Hortefeux-Bachelot visible sur le site officiel du ministère de la santé prévoit de vacciner les enfants par des équipes mobiles directement dans les établissements scolaires. L'autorisation parentale sera-t-elle demandée? Rien de moins sûr si on veut écouler le stock. Si vous ne souhaitez pas que votre enfant soit vacciné (avec le vaccin baclé) dans votre dos, mieux vaut lui donner une lettre de refus explicite! Important à savoir, personne, pas même le ministère ne peut vous obliger à vous faire vacciner . En cas de problème, adressez vous à un responsable syndical ou à l’inspection du travail, car cette obligation est illégale et relève du Code Pénal : Abus d’autorité avec atteintes à la liberté individuelle (source: syndicat infirmier). Article 432-4 du Code Pénal : "Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’ordonner ou d’accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100000 euros d’amende." Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 (Journal Officiel du 22 septembre 2000) Que faire? Que faire face à cette situation ubuesque? Une pandémie qui n'en est pas une, une population tétanisée par la peur d'une gripette bénigne, un vaccin dont on ne connait ni l'efficacité ni l'inocuité mais qu'il faut écouler, des histoires de gros sous, des autorités qui sont embourbées dans des conflits d'intérêt, des labos qui ont obtenus une totale irresponsabilité, une loi martiale qui arrangerait bien les affaires de certains dans ce contexte de crise économique... Quelques suggestions: communiquer: par exemple en faisant suivre ces informations ou en en parlant autour de vous, chercher: faites vous mêmes vos recherches avec des mots clés choisis: scandale vaccins grippe A mercure danger adjuvants syndrome de Guillain-Barré Rockefeller plainte effets secondaires squalène syndrome guerre du golfe épidémie grippe espagnole vaccin grippe H1N1 1976 nano particules OGM cartel pharmaceutique sang contaminé chlorure de magnésium... garder la tête froide face à ce qui est affirmé à la télévision, les journaux ou la radio (prendre garde aux conflits d'intérêts!) Prendre au sérieux l'éventualité que l'état d'urgence soit mis en place, mieux vaut réagir avant pour l'empêcher qu'après le subir, Faire barrière à la "peur": si vous en avez l'opportunité parlez en avec votre supérieur hiérarchique, votre médecin, votre maire, votre député, les responsables d'établissements scolaires (ils sont complètement déboussolés face à cette avalanche d'avis alarmistes) Pour en savoir plus: http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/ Grippe H1N1 : vacciner ou pas ? (Dr Marc GIRARD - Conseil en pharmacovigilance et pharmacoépidémiologie) procès essai de vaccins de grippe porcine sur des SDF en Pologne (196 victimes) Les rumeurs concernant le vaccin de la grippe A Le Pentagone ressuscite le virus de la grippe espagnole
Zarko Posté(e) 10 octobre 2009 Posté(e) 10 octobre 2009 2.09.2009 Marc Girard expose les coulisses de la grippe A: autorisation à l’aveugle de vaccins non testés et probablement inutiles, risques d'effets secondaires, mécanismes de désinformation... Le site du Dr Marc Girard contient plusieurs articles sur la vaccination contre la grippe A, maintes fois comparée, sous un certain angle de vue, avec la campagne massive de vaccination contre l’hépatite B. Celle-ci a été elle aussi inutile, mais au moins les vaccins n’étaient-ils pas bâclés et non testés, comme c’est le cas avec ceux que l’on nous proposera bientôt, pour le plus grand bonheur de Sanofi-Pasteur, GSK, Novartis et Baxter. Les articles de Marc Girard ont pour but de contrer la désinformation, de « fournir aux citoyens un contre-argumentaire professionnel pour leur permettre de résister aux menaces que font peser sur eux ou sur leurs proches l’alarmisme démentiel des autorités ». Il faut les lire en entier; les extraits ne sont ici qu'à titre d'illustration. Image: France 5 / C dans l'air [L’imprudence la plus crasse mise en pratique au nom du principe de précaution…] Pour prévenir une « gripette » et faire face « au cas où », on permet l’utilisation de substances dont on sait soit qu’elles sont dangereuses, soit qu’on n’en sait rien… On sait aussi que le rapport bénéfices-risques de toute campagne de vaccination massive doit être favorable au point de la rendre indispensable, parce que ce n'est qu'un bénéfice certain qui peut "justifier" la prise de risque inhérente: des effets secondaires rares, indétectables lors des essais cliniques, apparaîtront avec la vaccination systématique, et il importe de s'assurer que, globalement, le remède ne dégénère pas en un mal iatrogène pire que le mal naturel. Ainsi, la grippe porcine (swine flu) de 1976 n'a fait qu'un mort, loin des millions annoncés; la vaccination, elle, a débouché sur des milliers de plaintes pour effets secondaires, parmi lesquels plus de 500 cas de syndrome de Guillain-Barré, dont plus de 30 ont eu une issue fatale. Les laboratoires peuvent utiliser du mercure (thimérosal/thimersal) et des adjuvants non testés dans des vaccins dont ont ne connaît pas l’efficacité et la nocivité, mais dont ont sait déjà la date à laquelle ils seront homologués... Ils recevront leur AMM – autorisation de mise sur le marché, c'est le terme essentiel dans toute l'hystérie autour de la grippe A – sans respecter aucune des étapes de vérification scientifique et d’essai clinique qui définissent l’AMM… Ce qui confirme ce qu’on savait déjà : qu’un médicament (ou vaccin) soit autorisé ne veut pas dire grand-chose quant à son utilité et à son rapport bénéfices – risques. Cette grippe bénigne qui tend à remplacer celle saisonnière devrait provoquer un décès pour 100.000 personnes, estime Marc Girard. Alors qu’on peut s’attendre à ce que près de 60.000 personnes développent des effets secondaires (plus ou moins graves) à cause des… vaccins. [un « bénéfice secondaire » de la pandémie…] De plus, cet « alarmisme démentiel » sert de prétexte au gouvernement pour prendre des mesures liberticides, comme celles qui concernent l’exercice de la justice. Nous aurons, qui sait, un vrai état d’urgence permettant de faire passer des lois, des décrets ou autres réglementations sans cette poudre aux yeux qu’est le débat public et parlementaire tel qu’il est actuellement. Voir, par exemple, la dépêche d’AFP reprise le 8 septembre par Libération : « Syndicat de la magistrature: plan grippe H1N1 "liberticide" pour la justice ». Et l’article d’Eric Favereau qui l’accompagne : « Effets secondaires pour les libertés. Un appel est lancé pour que la gestion de la pandémie de grippe A ne multiplie pas les mesures contraignantes ». « Vacciner ou pas ? » C’est le titre de l’article le plus explicite de Marc Girard, en date du 1er septembre, mis à jour le 11 septembre. Voici quelques extraits. Les intertitres sont de Pharmacritique. [Rien ne permet d’affirmer l’efficacité des vaccins contre la grippe A] Quant au vaccin contre la grippe porcine, AH1N1, qui est une grippe comme une autre, contrairement aux présentations apocalyptiques qu’en font les media et d’autres, pour justifier le gaspillage de ressources ne bénéficiant qu’aux laboratoires (GSK, Sanofi-Pasteur, Baxter, Novartis), Marc Girard pose la question qui fâche : « si, en quelque quarante ans de routine antigrippale, l’industrie pharmaceutique n’a jamais été en mesure de fournir la moindre preuve crédible concernant le bénéfice de ses vaccinations, qui croit sérieusement que les exigences de démonstration vont se resserrer dans la situation d’urgence frénétiquement entretenue par les autorités ? Par conséquent, qui croit sérieusement que le vaccin qu’on nous promet pour l’automne offrira la moindre garantie d’un bénéfice tangible en matière de santé publique ? » La durée de développement d’un médicament ou d’un vaccin se chiffre en années ; et l’urgence n’y change rien, si ce n’est que les décideurs politico-sanitaires ferment les yeux et que des VRP des laboratoires sont chargés de désinformer là-dessus : il suffit de lire la presse pour se rendre compte que « hormis la manipulation de l’opinion publique, les responsables administratifs ou industriels n’ont rien à proposer pour améliorer leurs procédures. » C’est à une telle manipulation qui nous avons assisté en 1976 aux Etats-Unis, lorsque les autorités sanitaires et l’appareil étatique se sont transformés en machine de propagande pour un vaccin bâclé et non testé, avec les résultats dont Pharmacritique a rendu compte dans cette note commentant la vidéo de CBS de 1979, et que le New York Times qualifiait de "fiasco". Nous avons tout à apprendre de cette situation-là, puisque l’histoire semble se répéter) [La gravité de la grippe A H1N1, qualifiée de « modeste », est surévaluée. Nul besoin de traitement] « L’efficacité intrinsèque d’un médicament – telle que peut l’évaluer une recherche clinique bien menée – n’est pas le dernier mot en matière de bénéfice : encore faut-il savoir si les inconvénients de la maladie traitée sont suffisamment gênants pour appeler un traitement – et à quel coût (cf. 2.3). La question, en l’espèce, est tout simplement de savoir si la grippe porcine, sur la base des données accumulées depuis son émergence, apparaît comme une pathologie grave. La réponse est évidemment NON et découle de deux types de considérations convergentes : il suffit de se reporter à la presse (spécialisée ou non) pour constater que, même malgré leur position délibérément alarmiste, les autorités et leurs « experts » hésitent quand même à présenter comme sévère la maladie telle qu’elle apparaît actuellement ; pour modeste qu’elle apparaisse objectivement, cette gravité de la grippe porcine résulte elle-même d’une surévaluation : le nombre de victimes a été exagéré (…) il est patent que les régions du monde où ont été rapportées le plus de décès sont aussi celles dont les systèmes sanitaires sont les moins développés, cette modestie du développement sanitaire jouant elle-même sur trois facteurs : 1/ l’état de santé initial des personnes atteintes ; 2/ l’adéquation des soins prodigués à ces dernières ; 3/ la crédibilité du diagnostic étiologique, c.-à-d. de la détermination précise des causes du décès (…); pour outrancière qu’elle ait été, la médiatisation des issues fatales est toujours restée très discrète sur les pathologies sous-jacentes des sujets décédés, alors que dans les rares cas où l’on a pu grappiller quelque information, il est apparu qu’elles étaient très lourdes (…) de façon épidémiologiquement encore plus intéressante, il apparaît de plus en plus que pour objectivement faible qu’elle soit déjà, la proportion des cas graves a été exagérée de par la sous-estimation des cas en général : il semble bien, en effet, que nombre de sujets atteints aient développé une forme tellement bénigne de la maladie qu’ils n’ont simplement pas consulté et n’ont donc pas été inclus dans le nombre total de cas. (…) [Grippe A et femmes enceintes : surévaluation par surmédicalisation et biais] « (…) le mythe d’une dangerosité toute particulière chez les femmes enceintes ressortit le plus probablement de cette remarquable bénignité: d’une part et compte tenu des effectifs ridiculement faibles tels que disponibles actuellement, cette pseudo surreprésentation obstétricale n’a aucune significativité statistique démontrée ; à une époque de surmédicalisation hystérique de la grossesse 21, il va de soi que par rapport à une maladie bénigne pour laquelle nombre de sujets atteints ne consultent même pas, les femmes enceintes sont bien plus susceptibles que les autres d’avoir consulté à la moindre poussée fébrile : il s’agit-là d’un biais 22 au sens statistique du terme. » [Etonnant revirement par rapport à la prudence et aux règles habituelles] Quatre catégories de personnes ont toujours été considérées comme des « espèces protégées » : les sujets âgés, les femmes enceintes et les enfants – auxquelles ils convient d’ajouter les personnes déjà fragilisées par des pathologies graves ou multiples (…) Les protocoles d’étude excluent de principe ces sujets ». Sans parler des mises en garde contre l’utilisation de telle molécule chez les femmes enceintes. Or tout change avec les vaccins contre la grippe A H1N1, les règles habituelles sont complètement retournées : « les sous-populations le plus susceptibles d’être immédiatement visées par ce vaccin issu d’un développement bâclé sont, précisément : les sujets âgés, les sujets déjà très fragilisés par une autre maladie 45, les femmes enceintes et les enfants – et même « les très jeunes enfants » (…). Il faut le dire tout net : c’est du n’importe quoi. » Compte tenu de la prudence, voire de l’intransigeance habituelles des autorités sanitaires concernant les femmes enceintes, « comment justifier la précipitation avec laquelle des femmes enceintes vont se trouver exposées à un vaccin dont les composants (principe actif tout autant qu’adjuvants ou conservateurs) n’auront même pas été soumis aux pré-requis normalement incontournables des tests chez les animaux, lesquels sont forcément longs puisqu’ils peuvent porter sur plusieurs générations successives ? Qui croit sérieusement que, décrits par le Vidal comme « résidus » de certaines spécialités antigrippales, des substances comme la kanamycine ou le formaldéhyde 47 n’exposent aucun foetus à aucun risque à aucun moment d’une grossesse ?... Quand il a fallu plus d’une décennie pour commencer d’identifier les complications néonatales des nouveaux antidépresseurs 48 (…) et que plus de 20 ans après leur introduction effective sur le marché, on en est toujours à débattre d’une potentielle toxicité chez le fœtus 50, comment se fier aux fabricants ou aux autorités pour imaginer qu‟ils auront fait le tour du problème avec un vaccin développé en quelques semaines seulement ? » [Le scénario d’un virus muté et de la deuxième vague plus agressive] Ainsi établi que la grippe porcine correspond pour l’instant à une forme plutôt bénigne de grippe (même par rapport aux épidémies banale telles qu’observées ces dernières années), les autorités – dont la fonction la plus éminente devrait consister à anticiper – ne manquent pas d’objecter que leur pro-activité fébrile vise non pas la grippe sous sa forme actuelle, mais sous une forme future dont la gravité serait potentiellement décuplée par une mutation (…). » Or tous les virus peuvent muter, y compris devenir moins agressifs… En outre, le vaccin serait-il efficace contre une souche mutée ? [Vaccins achetés en aveugle, sans évaluation clinique] Pour sidérante qu’elle soit, la conclusion s’impose d’elle-même : le Ministère de la santé a bel et bien utilisé des fonds publics pour acheter un vaccin qui n’a, chronologiquement, pu faire l’objet d’aucune évaluation clinique. C’est à la fois un scandale et une tragédie. (…) « De quelque façon qu’on s’y prenne, on voit bien que la durée normale d’une seule étude clinique de sa conception à la finalisation du rapport se chiffre en années plutôt qu’en mois – et certainement pas en semaines ! Qui plus est, si finalisée soit-elle, une étude clinique n’a jamais, à elle seule, suffi pour un dossier d’autorisation de mise sur le marché (AMM), dont la constitution – là encore très précisément stipulée par la réglementation – comprend en outre de nombreuses évaluations pharmaceutiques (mode de fabrication du produit, recherche des impuretés, études de pharmacologie…) et pharmaco-toxicologiques (études chez l’animal, tests de mutagenèse, etc.) Chaque branche du dossier d’AMM appelle une synthèse réalisée respectivement par un expert pharmacien, un expert toxicologue et un expert clinicien. Outre le temps inhérent à une telle synthèse (et aux délais de relecture – car qui croit que le fabricant intègre sans mot dire les contributions de ses experts ?), la simple constitution physique du dossier soumis aux autorités (comportant notamment de nombreuses copies des rapports d’étude ainsi qu’une reproduction à l’identique de tous les cahiers d’observation individuels) exige, elle aussi, un minimum de temps incompressible. (…) » [Le sérieux du secteur vaccinal de l’industrie pharmaceutique… On peut dormir sur nos deux oreilles] « Il convient également de rappeler qu’en France, deux des principales firmes impliquées dans la fabrication du nouveau vaccin sont actuellement en examen, comme par hasard dans une affaire de campagne vaccinale ; certes, la présomption d’innocence s’impose jusqu’à nouvel ordre, mais on peut néanmoins s’interroger sur la rigueur des autorités qui leur achètent des vaccins avant même que ces produits n’aient été si peu que ce soit évalués (…) » Dans l’ampleur de sa signification, un dernier exemple nous épargnera d’avoir à détailler plus profondément les raisons de ne pas faire confiance. En avril 2007, via le site de l’Association des médecins de l’industrie pharmaceutique (AMIPS), un des fabricants a diffusé une offre d’emploi visant à recruter des responsables de leur développement vaccinal – typiquement ce genre de gars sur les épaules de qui repose aujourd’hui la responsabilité de mettre au point un vaccin contre la terrible menace de la grippe porcine. Après avoir souligné en premier l’excellent salaire joint associé à « 53 jours de congé », l’offre en arrive au profil recherché : « une compréhension des aspects cliniques des maladies infectieuses – virologie, immunologie, microbiologie – serait très utile, mais elle n’est pas essentielle ». Les qualités exigées privilégient plutôt « une excellente présentation et des capacités de communication, un leadership d’équipe, un impact et une influence (…) ». J’ai introduit le présent article (cf. 1.1) sur la certitude d’impunité – hélas justifiée – qui prévaut en pareille matière dans l’industrie pharmaceutique. Je l’achève sur l’aveu sidérant, par cette même industrie, qu’en matière de développement vaccinal, l’élégance, le baratin et l’entregent sont plus essentiels qu’une compétence même superficielle (« une compréhension ») en infectiologie… » Lire aussi: Vaccination antigrippale : de plus en plus inquiétant... L’art de créer des alertes en santé publique. L’exemple de la grippe porcine [Manipulation de l'opinion: la persuasion par la peur] Dans les pages de Pharmacritique, il est souvent question du "pharmacommerce de la peur". La peur sert parfaitement les desseins des laboratoires pharmaceutiques, mais pas seulement... "Les dictateurs, les terroristes et les maîtres-chanteurs le savent : quand on veut manipuler les gens, il faut d’abord les réduire à un sentiment d’impuissance. C’est une chose que le freudien sait bien qu’il n’est de situation plus intenable que la passivité devant un risque mortel ou quasi-mortel perçu comme imminent : n’importe quoi apparaît alors préférable qu’une telle vulnérabilité à la pulsion de mort.19 En l’espèce, il n’est pas bien difficile de comprendre comment avec le pouvoir d’amplification et d’implication des images fortes, on peut hypnotiser les gens par l’appréhension d’un risque présenté comme insupportable – d’autant plus insupportable qu’il peut concerner leurs enfants. Ce conditionnement opéré, il sera ensuite extrêmement simple d’exploiter la compulsion des gens à « faire quelque chose à tout prix » en leur faisant accroire que des moyens existent pour reprendre la main : vaccinations, antiviraux et, de toute façon, parlez-en à votre médecin... La médicalisation ainsi recommandée aura d’autant plus de chances de prospérer qu’elle visera complémentairement cette autre déréliction intolérable où se trouvent tant de gens par rapport à leur progéniture : leur donner un modèle de valeurs, parler avec eux – et de l’essentiel si possible –, voire simplement… participer à leur éducation. On n’aura pas tout raté avec eux lorsque, grâce à Engerix, Gardasil ou à leurs homologues, on leur aura au moins ouvert l’accès à une vie sexuelle censément épanouie, puisque débarrassée du risque de MST, voire de cancer sexuellement transmissible… Décrit fin mai 2009 lors de la rédaction initiale de l’article, ce mécanisme de manipulation mentale trouve une splendide illustration trois mois plus tard quand, arborant son sourire le plus enjôleur, le Ministre de la santé promet que « tous les Français qui le souhaitent pourront être vaccinés » (Santé News, 30/08/09 : c’est moi qui souligne) !... Ainsi, après avoir préparé les esprits au pire des mesures contraignantes (vaccination de masse obligatoire : cf. 1) par une information dont le maximalisme le disputait à l’incohérence20, la Ministre rétrograde désormais cette menace d’obligation à une simple question de choix personnel. Ce que faisant, elle oublie simplement qu’en médecine, l’information loyale et complète est, légalement, le pré-requis incontournable du consentement individuel : or, qui soutiendrait que sur ce sujet de la grippe porcine, l’information des citoyens a été loyale et complète ? Dans un autre article du site (REF), nous nous sommes alarmés de voir les experts de l’administration se comporter en hors-la-loi : force est de constater que, dans cette affaire, même la plus haute autorité sanitaire de l’Etat ne craint pas, elle non plus, de prendre ses aises avec la loi – pour ne point parler de l’éthique…" 06:05 Publié dans Grippe A H1N1, Tamiflu, vaccins antigrippe A | Lien permanent | Commentaires (6) | Envoyer cette note | Tags : grippe a h1n1, vaccin grippe a, adjuvants vaccin grippe a, vaccin antigrippal et grossesse, autorisation de mise sur le marché, mutation du virus de la grippe, formaldéhyde vaccin grippe, efficacité vaccin antigrippal, marc girard, manipulation de l'opinion, pharmacommerce de la peur
Helly Posté(e) 11 octobre 2009 Posté(e) 11 octobre 2009 [Effectivement, je viens de recevoir le papier qui me dit que j'arrête le 16/11 au lieu du 5/01 (lettre qui vient de l'IA des Hauts de Seine) Est-ce qu'il y a un motif indiqué pour l'anticipation de ton arrêt ? Oui, c'est par rapport à la grippe A et le fait qu'elle est est dangereuse pour les femmes entrant dans leur troisième trimestre de grossesse. Super! J'aurai été arrêtée tout le premier trimestre à cause de complications, je me vois mal arrêter pour le troisième, alors qu'on a pour l'instant ZERO cas dans l'école, et dans le village. On est obligées de l'accepter xet arrêt "préventif"
mamandeliott Posté(e) 11 octobre 2009 Posté(e) 11 octobre 2009 A priori, je dirais que tu es obligée puisque non couverte et théoriquement remplacée !!!
cougniflette Posté(e) 11 octobre 2009 Posté(e) 11 octobre 2009 Non, en fait, c'est une proposition et non une obligation (je dois renvoyer deux lettres, une à l'IA et l'autre à mon IEN, si je suis d'accord).
souris_verte Posté(e) 11 octobre 2009 Posté(e) 11 octobre 2009 Ma directrice vient de m'informer que prochainement l'inspection académique (ou le ministère, je ne sais plus) va faire paraître un document qui indique que toutes les enseignantes commençant leur troisième trimestre de grossesse devront arrêter de travailler.Je vous donne plus d'info dès que j'en ai. Aucune nouvelle de mon côté... ce serait trop beau
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