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organiser le temps d'écriture


flofloflo

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( ...)

Je suis désolée mais en ce moment j'ai un système pour voir les message des post qui ne me satisfait pas car on ne les lit pas à la suite comme avant mais il faut choisir celui que l'on veut.

je suis donc passée à côté de plusieurs réponses de ce post.

je comprend qu'elle était ta démarche lorsque tu ai conçu la gestion statique comme étant néessairement en amont. Cependant, je suis cette année avec des élèves qui sont hcez les moyens grands qui ont déjà appris à tracer des lettres en capitale d'iprimerie avec les collègues (au moins les grands) et je trouve dommage de laisser dormir cette compétence et de ne pas l'utiliser dans un travail qui a du sensmoi aussi, je trouverais cela dommage, d'autant plus que les capitles sont une solution d'attente acceptable. [b/]A côté de cela, ces lettres ne sont pas alignées et donc il est nécessaire de les aider à exercer un contrôle visuel efficace au cours de l'acte d'écriture.absolument.

L'an dermier j'avais essayé de mettre en place sous forme de jeu les alignements de voitures?.. sans énoncer l'objectif des lettres alignées par le suite et j'étais mal à l'aise car je trouvaient que les enfants ne comprenanient pas pourquoi, je voulais à tous prix que les objets soient alignés.c'est pourquoi il fautattacher une attention toute particulière à la formulaiton de la demande : il faut que l'enfant fasse sien l'objectif : donc l'alignement doit être motivé par "les règles du jeu" ou le contexte.

Cette année, en plaçant les enfants face à leur écriture non alignée pour la plupart et en leur disant que puisque c'est dicille d'aligner des lettres on va aligner d'abord des objets ou des images ou des gommmettes, j'ai l'impression que cela a plus de sens pour les enfants de faire des alignements, et j'ai établi un tableau progressif que j'aurai voulu leur présenter pour qu'ils se sentent évoluer dans cette direction.

Une élève à l'aise avec les apprentissaes, certe, est venue me voir il y a queelque jours en me montrant les lettres de son prénom bien alignée!

Mais je comprend que cela soit beaucoup de choses à préneter à l'enfant.

C'est le sens des alignements que j'ai du mal à présenter aux enfants (vont-il le faire pour faire plaisir à la maîtresse ou pour quel objevtif?)

Alors un exemple pour l'alignement de voitures : tu choisis comme thème les vacances et tu fais tout un habillage : on part en vacances, qu'est-ce qu'on fait ? Et tu travailles autour du thème. Là dedans, tu inclus l'autoroute : : les voitures sont sur l'autoroute. Elles doivent rester bien en file, sion gare aux accidents. Elles ne doivent pas être trop près les unes des autres pour la même raison, ni trop loin car celui qui est derrière va s'impatienter.

A la suite de quoi, tu réinvestis par des collages de lettres pour former des mots ou des phrases. Tu soignes bien le réinvestissement en le verbalisant ou en le faisant verbaliser "on fait comme quand ...". Ensuite, tu passes à l'écriture et tu ne donnes la consigne de bien aligner que si tu vois que c'est mal aligné.

ça devrait marcher

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Je n'ai pas encore commencé les "boucles", ce sera pour dans une dizaine de jours.

Voici mon plan :

1) EPS : des balises sont alignées dans la salle de jeu, une ligne blanche est tracée au sol à un mètre environ de la ligne de balise, un cerceau de départ est placé au début de celle ligne blanche, les enfants sont en ligne face à ce parcours de façon à ce qu'ils voient le cerceau à gauche de la ligne.

J'ai appelé cet exercice "le jeu des hirondelles".

Séance 1 :

Une hirondelle se place dans le cerceau de départ, elle passe devant la première balise (la mouche), la contourne par la droite et revient au fil (la ligne blanche tracée au sol), elle fait de même autour de la deuxième balise, puis de la troisième, etc.

Séance 2 :

Les "hirondelles" ont cette fois en mains un bâton (Asco) et cheminent sur le fil en contournant les "mouches" grâce à leur bâton.

Classe :

1) Les "mouches" et le "fil" sont reproduits au tableau. Les élèves cheminent le long du tableau en "attrapant les mouches" avec leur craie, comme ils l'ont fait en salle de motricité.

Fiche : fils et mouches (ronds noirs) sont reproduites sur une feuille A4 (format paysage) et, à l'aide d'un feutre moyen, les élèves refont l'exercice fait au tableau (5 lignes d'écartements décroissants)

2) Les élèves refont "le jeu des hirondelles" au tableau en "imaginant les mouches". Ils s'entraînent à faire de belles boucle régulières en cheminant le long du tableau, l'un derrière l'autre.

Fiche : même chose (écartements décroissants)

3) Une seule mouche : la lettre e (au tableau + sur feuille) seule, à l'intérieur d'un mot, combinée aux lettres déjà vues (i, u, t, m, n).

Prolongements : même types de jeux, mais la balise ronde de départ est remplacée par une baguette verticale de manière à "allonger la boucle" pour tracer les lettres l et b.

Merci pour ce partage cela m'aidera à construire ma séquence autour des boucles en complétant avec les conseils de Danièle dumont. est-ce que tu suis cette méthode? Car il me semble que la boucle est le début de la prog pour permettre d'écrire les lettres l et e en premier et je vois que tu as déjà abordé le i, u...qui sont des lettres de coupe?

Effectivement la boucle (qui tourne et qui avance) est par nature la 1ère des formes de base. Sa 1ère dérivée est ce que j'appelais jusqu'ici la coupe (terme et progression repris par les documents d'accompagnemnt des programmes en 2006) et que j'appelle désormais l'étrécie, néologisme que j'ai créé cet été et qui est plus approprié puisqu'il s'agit d'une boucle étrécie au maximum. Donc i, u et t viennent de suite après e et l . l vient après e puisqu'il s'agit d'une grande boucle, comme t vient après i et u.

Si tu suis ma méthode tu fais encoder le geste le plus spontanément possible en position d'écriture au tableau. C'est ce que j'ai eu du mal à faire admettre aux 1ers instit que j'ai formés en 93 car ils faisaient plus volontiers le geste au sol (donc en position inclinée vers l'avant) qu'en position debout ou pour être plus claire leur geste de boucle s'inscrivait au sol comme le fait Akwabon et non sur plan vertical comme je le propose. La position "boucles sur plan vertical " est, par exemple celle du jeu de croquet ou celle du mime de gaston qui balaie les feuilles. Le geste "devient boucle" ensuite avec les jeux de foulards.

Ce n'est que lorsque l'enfant laisse la trace du mouvement sur le tableau que commence l'acte d'écriture.

La différenciation des dimensions de la boucle l'étire vers le haut : il y a différenciation en hauteur et en largeur ce qui évite les hampes gonflées.

Le "temps d'écriture" inclut donc les mises en place des compétences en transversalité* qui n'ont pas pour l'enfant un objectif d'écriture (sinon il y a surcharge cognitive) mais que l'enseignant inclut dans sa programmation d'acquisition des compétences selon la modélisation de l'apprentissage de l'écriture (*jeu de croquet ou mime, jeux de foulards ou de rubans, dessins, coloriages ... pour l'assouplissement des doigts pour qu'ils s'allongent le moment venu)

Je me demande comment mimer la comptine de Gaston car si on fait ce geste de balayer en effet on part de soi pour envoyer les feuilles loin de son perron mais ensuite la main revient vers soi pourles repousser à nouveau donc cela fait un peu balancier de bas vers haut puis de haut vers bas et ça me gêne pour la suite?

Ou alors je n'ai pas compris l'objectif de cettte comptine.

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Je n'ai pas encore commencé les "boucles", ce sera pour dans une dizaine de jours.

Voici mon plan :

1) EPS : des balises sont alignées dans la salle de jeu, une ligne blanche est tracée au sol à un mètre environ de la ligne de balise, un cerceau de départ est placé au début de celle ligne blanche, les enfants sont en ligne face à ce parcours de façon à ce qu'ils voient le cerceau à gauche de la ligne.

J'ai appelé cet exercice "le jeu des hirondelles".

Séance 1 :

Une hirondelle se place dans le cerceau de départ, elle passe devant la première balise (la mouche), la contourne par la droite et revient au fil (la ligne blanche tracée au sol), elle fait de même autour de la deuxième balise, puis de la troisième, etc.

Séance 2 :

Les "hirondelles" ont cette fois en mains un bâton (Asco) et cheminent sur le fil en contournant les "mouches" grâce à leur bâton.

Classe :

1) Les "mouches" et le "fil" sont reproduits au tableau. Les élèves cheminent le long du tableau en "attrapant les mouches" avec leur craie, comme ils l'ont fait en salle de motricité.

Fiche : fils et mouches (ronds noirs) sont reproduites sur une feuille A4 (format paysage) et, à l'aide d'un feutre moyen, les élèves refont l'exercice fait au tableau (5 lignes d'écartements décroissants)

2) Les élèves refont "le jeu des hirondelles" au tableau en "imaginant les mouches". Ils s'entraînent à faire de belles boucle régulières en cheminant le long du tableau, l'un derrière l'autre.

Fiche : même chose (écartements décroissants)

3) Une seule mouche : la lettre e (au tableau + sur feuille) seule, à l'intérieur d'un mot, combinée aux lettres déjà vues (i, u, t, m, n).

Prolongements : même types de jeux, mais la balise ronde de départ est remplacée par une baguette verticale de manière à "allonger la boucle" pour tracer les lettres l et b.

Merci pour ce partage cela m'aidera à construire ma séquence autour des boucles en complétant avec les conseils de Danièle dumont. est-ce que tu suis cette méthode? Car il me semble que la boucle est le début de la prog pour permettre d'écrire les lettres l et e en premier et je vois que tu as déjà abordé le i, u...qui sont des lettres de coupe?

Effectivement la boucle (qui tourne et qui avance) est par nature la 1ère des formes de base. Sa 1ère dérivée est ce que j'appelais jusqu'ici la coupe (terme et progression repris par les documents d'accompagnemnt des programmes en 2006) et que j'appelle désormais l'étrécie, néologisme que j'ai créé cet été et qui est plus approprié puisqu'il s'agit d'une boucle étrécie au maximum. Donc i, u et t viennent de suite après e et l . l vient après e puisqu'il s'agit d'une grande boucle, comme t vient après i et u.

Si tu suis ma méthode tu fais encoder le geste le plus spontanément possible en position d'écriture au tableau. C'est ce que j'ai eu du mal à faire admettre aux 1ers instit que j'ai formés en 93 car ils faisaient plus volontiers le geste au sol (donc en position inclinée vers l'avant) qu'en position debout ou pour être plus claire leur geste de boucle s'inscrivait au sol comme le fait Akwabon et non sur plan vertical comme je le propose. La position "boucles sur plan vertical " est, par exemple celle du jeu de croquet ou celle du mime de gaston qui balaie les feuilles. Le geste "devient boucle" ensuite avec les jeux de foulards.

Ce n'est que lorsque l'enfant laisse la trace du mouvement sur le tableau que commence l'acte d'écriture.

La différenciation des dimensions de la boucle l'étire vers le haut : il y a différenciation en hauteur et en largeur ce qui évite les hampes gonflées.

Le "temps d'écriture" inclut donc les mises en place des compétences en transversalité* qui n'ont pas pour l'enfant un objectif d'écriture (sinon il y a surcharge cognitive) mais que l'enseignant inclut dans sa programmation d'acquisition des compétences selon la modélisation de l'apprentissage de l'écriture (*jeu de croquet ou mime, jeux de foulards ou de rubans, dessins, coloriages ... pour l'assouplissement des doigts pour qu'ils s'allongent le moment venu)

Je me demande comment mimer la comptine de Gaston car si on fait ce geste de balayer en effet on part de soi pour envoyer les feuilles loin de son perron mais ensuite la main revient vers soi pourles repousser à nouveau donc cela fait un peu balancier de bas vers haut puis de haut vers bas et ça me gêne pour la suite?

Ou alors je n'ai pas compris l'objectif de cettte comptine.

bon je crois que je lisais mal le livre.

En fait, le mieux, c'est de faire mimer cette comptine avec un ballon de baudruche et un baton si on n'a pas le matériel pour le jeu du crochet et matérialise le perron par une corde par exemple et l'extérieur par une autre corde.

c'est bien ça?

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[(...) bon je crois que je lisais mal le livre.

En fait, le mieux, c'est de faire mimer cette comptine avec un ballon de baudruche et un baton si on n'a pas le matériel pour le jeu du crochet et matérialise le perron par une corde par exemple et l'extérieur par une autre corde.

c'est bien ça?

Je crois aussi. Il faut le lire, le relire. Certaines choses y sont dites une fois mais pas tj répétées : par exemple l'importance de la verbalisation des réinvestissements : "tu fais comme quand..." et si tu réfléchis à ça tu trouves ta réponse pour la progression du mime (étape initiale) jusqu'à l'écriture (étape finale)

Quelques petits ballons peu gonflés font l'affaire.

Bonne continuation (garde le livre sous le bras ;) )

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