poucinette36 Posté(e) 26 juillet 2010 Posté(e) 26 juillet 2010 Jeviens de terminer Darling de Jean Teulé Elle voulait qu'on l'appelle Darling. Elle y tenait ! Pour oublier les coups reçus depuis l'enfance, les rebuffades et les insultes, pour effacer les cicatrices et atténuer la morsure des cauchemars qui la hantent. Elle voulait que les autres entendent, au moins une fois dans leur existence, la voix de toutes les Darling du monde. Elle a rencontré Jean Teulé. Il l'a écoutée et lui a écrit ce roman. Derrière l'impitoyable lucidité de son humour, Jean Teulé célèbre le flamboyant courage de ceux qui refusent de subir en silence la cruauté imbécile de la vie et des autres. Ca se lit bien mais alors c'est déprimant, angoissant... Je ne regrette pas de l'avoir lu mai mauvais choix durant les vacances... Je commence Et mon coeur transparent de Véronique Ovaldé. Sait-on jamais avec qui l'on vit ? Lancelot ne cesse de se heurter à cette question depuis que sa femme, Irina Rubinstein, a été victime d'un accident qui l'a précipitée au fond de la rivière Omoko. Déjà ébranlé par sa mort, il va immédiatement vivre un second choc en découvrant quels mystères entourent cette disparition. Un à un se dévoilent les secrets que sa femme avait pris soin de lui cacher. Devant la révélation qu'il existe bel et bien une autre Irina, inconnue de lui, il ne lui reste qu'à mener l'enquête et élucider cette énigme : que faisait Irina, ce jour-là, à Catano, au volant d'une voiture qui ne leur appartenait pas et dont le coffre contenait des objets pour le moins suspects... Ca a l'air sympa, j'en diraisplus, plus tard. En stock, la vie d'une autre, le voleur d'ombre (levy), la fille de papier (musso), la part manquante (bobin), elle s'appelait Sarah (Tatiana de Rosnay. Euh, d'ailleurs, pas trop déprimant celui-ci? J'ai lu les cerfs volants de kaboul, recommandé ici, et je n'ai pas accroché... J'ai lu pein de pages en diagonale... Je l'ai terminé, me suis prise "au jeu" à plus de la moitié, mais ce fut laborieux.... "Lettre d'une inconnue" de Stefan Zweig Un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l'ombre, n'attendant rien en retour que de pouvoir le confesser. Une blessure vive, la perte d'un enfant, symbole de cet amour que le temps n'a su effacer ni entamer. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine de tendresse et de folie. La voix d'une femme qui se meurt doucement, sans s'apitoyer sur elle-même, tout entière tournée vers celui qu'elle admire plus que tout. Avec Lettre d'une inconnue Stefan Zweig pousse plus loin encore l'analyse du sentiment amoureux et de ses ravages, en nous offrant un cri déchirant d'une profonde humanité. Ici nulle confusion des sentiments : la passion est absolue, sans concession, si pure qu'elle touche au sublime. Lu d'une traite et en un mot c'est "SUBLIME". Tu donnes envie!
ximixt Posté(e) 26 juillet 2010 Posté(e) 26 juillet 2010 J'ai terminé Une année avec mon père de Geneviève Brisac et je l'ai trouvé très poignant: Après un terrible accident de voiture, un homme rentre chez lui. Ayant échappé de peu à la mort (sa femme, elle, a disparu dans l'accident), il lui faut maintenant tout réapprendre. Sa fille, jour après jour, l'accompagne, et tente de tenir la main de cet homme intraitable. Inquiète ou joueuse, sa voix décrit les quatre saisons de ce retour à la vie. Elle raconte son histoire, celle d'un Français, juif laïque et républicain, né à la fin des années 20, amoureux des paysages de son enfance qu'il ne concevait pas de défendre autrement que les armes à la main. La guerre, la politique, le travail, les femmes, il a tout vécu sans jamais s'expliquer. Et il n'a pas l'intention de commencer. Lumineux, cocasse, bouleversant, ce livre est tout entier du côté de la vie. L'écriture engage avec la mort une course de vitesse, et rien ne dit qu'elle n'en sortira pas gagnante. Chacune - et chacun - y reconnaîtra l'essence même de ces liens si précieux qui se tissent entre les pères et les filles.
éowin Posté(e) 27 juillet 2010 Posté(e) 27 juillet 2010 Georges et les trésor du cosmos. stephen hawking Pour les ados, mais le grande scientifique que je suis y a trouvé son bonheur. L'aventure spatiale, les recherches de traces de vie et les condition pour que la vie apparaisse sur une planète... Tout ça dans un petit roman bien agréable. A réutiliser en classe après Le tome 3 sort en septembre;.. avis aux amateurs!
ximixt Posté(e) 27 juillet 2010 Posté(e) 27 juillet 2010 J'ai terminé un court témoignage:Dans ma peau de Guillaume de Fonclare: un beau récit d'homme atteint au plus profond de sa chair: " Mon corps est un carcan ; je suis prisonnier d'une gangue de chairs et d'os. Je bataille pour marcher, pour parler, pour écrire, pour mouvoir des muscles qui m'écharpent à chaque moment. Mon esprit ressasse d'identiques rengaines ; je ne vois plus les sourires de mes enfants, ni les tendres regards de celle que j'aime ; je ne vois que mes mains qui tremblent, mes bras qui peinent à amener la nourriture à la bouche et mes jambes qui ploient sous le poids d'un corps devenu trop lourd. Je ne suis plus qu'un homme mal assis qui songe sans fin, et si j'ai aimé ce corps, je le hais à présent. Nous cohabitons désormais et il a le dernier mot en tout ; je ne me suis résolu à cette idée que contraint. "
poucinette36 Posté(e) 28 juillet 2010 Posté(e) 28 juillet 2010 Livre commandé aujourd'hui. Tu as lu uniquement cette nouvelle ou avis-tu le recueil Amok? "Lettre d'une inconnue" de Stefan Zweig Un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l'ombre, n'attendant rien en retour que de pouvoir le confesser. Une blessure vive, la perte d'un enfant, symbole de cet amour que le temps n'a su effacer ni entamer. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine de tendresse et de folie. La voix d'une femme qui se meurt doucement, sans s'apitoyer sur elle-même, tout entière tournée vers celui qu'elle admire plus que tout. Avec Lettre d'une inconnue Stefan Zweig pousse plus loin encore l'analyse du sentiment amoureux et de ses ravages, en nous offrant un cri déchirant d'une profonde humanité. Ici nulle confusion des sentiments : la passion est absolue, sans concession, si pure qu'elle touche au sublime. Lu d'une traite et en un mot c'est "SUBLIME".
Minifourmi Posté(e) 28 juillet 2010 Posté(e) 28 juillet 2010 Bonjour, Alors je viens de finir Le Souffle des Marquises de Muriel Bloch et Marie-Pierre Farkas, lu dans le cadre d'un partenariat avec Livraddict. C'est une saga historique pour la jeunesse avec laquelle je me suis régalée, et je devrais recevoir le tome suivant en août... J'ai hâte! J'ai lu également un album jeunesse de Anne Crausaz: Maintenant que tu sais. J'adore cette auteure, toujours sensible à l'environnement, et dont les albums sont d'une grande qualité tant visuelle qu'éducative! J'ai commencé hier soir Les âmes vagabondes de Stephenie Meyer. Ça commence fort, je sens que cela va me plaire! Sinon, je participe à une chaîne du livre, où chacun envoie un livre à une personne, et transmet la chaîne à 6 personnes qui enverront chacune un livre à celle qui vous aura transmis la chaîne, et qui transmettront à leur tour la chaîne à 6 personnes. Au final, si cela marche, chaque participant reçoit 36 livres (bon, forcément, je doute qu'on les reçoive tous sachant qu'il y aura toujours des abandons en cours, mais déjà, c'est pas mal!) Si vous souhaitez y participer, je cherche 6 personnes motivées pour transmettre la chaîne. Pour plus d'explications, vous pouvez aller voir sur le site d'Herisson (qui m'a transmis la chaîne), ou m'envoyer un message via "contact" sur mon blog. A bientôt!
chantwal Posté(e) 28 juillet 2010 Posté(e) 28 juillet 2010 Livre commandé aujourd'hui. Tu as lu uniquement cette nouvelle ou avis-tu le recueil Amok? "Lettre d'une inconnue" de Stefan Zweig Un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l'ombre, n'attendant rien en retour que de pouvoir le confesser. Une blessure vive, la perte d'un enfant, symbole de cet amour que le temps n'a su effacer ni entamer. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine de tendresse et de folie. La voix d'une femme qui se meurt doucement, sans s'apitoyer sur elle-même, tout entière tournée vers celui qu'elle admire plus que tout. Avec Lettre d'une inconnue Stefan Zweig pousse plus loin encore l'analyse du sentiment amoureux et de ses ravages, en nous offrant un cri déchirant d'une profonde humanité. Ici nulle confusion des sentiments : la passion est absolue, sans concession, si pure qu'elle touche au sublime. Lu d'une traite et en un mot c'est "SUBLIME". Je n'ai lu que cette nouvelle. En fait, j'ai vu après que "Lettre d'une inconnue" faisait partie de "Amok". Mon kiné m'a parlé plusieurs fois de cette nouvelle. Je me suis donc décidée à l'acheter. Et sans faire attention, j'ai pris le petit livre tout rose de chez Stock qui contient uniquement cette nouvelle avec une préface d'Elsa Zylberstein. C'est un livre qui a été écrit il y a très longtemps et je trouve qu'au niveau langage, cela ne se sent pas. C'est peut-être cela les chefs d'oeuvre.
poucinette36 Posté(e) 29 juillet 2010 Posté(e) 29 juillet 2010 Je commence Et mon coeur transparent de Véronique Ovaldé. Sait-on jamais avec qui l'on vit ? Lancelot ne cesse de se heurter à cette question depuis que sa femme, Irina Rubinstein, a été victime d'un accident qui l'a précipitée au fond de la rivière Omoko. Déjà ébranlé par sa mort, il va immédiatement vivre un second choc en découvrant quels mystères entourent cette disparition. Un à un se dévoilent les secrets que sa femme avait pris soin de lui cacher. Devant la révélation qu'il existe bel et bien une autre Irina, inconnue de lui, il ne lui reste qu'à mener l'enquête et élucider cette énigme : que faisait Irina, ce jour-là, à Catano, au volant d'une voiture qui ne leur appartenait pas et dont le coffre contenait des objets pour le moins suspects... Ca a l'air sympa, j'en diraisplus, plus tard. Fini, hier soir... Et vraiment, je le conseille, ce se lit très bien, l'histoire est bien ficelé et jusqu'à la fin on peut être bluffé! Bonne lecture. Je commence "la part manquante" de Bobin.
chacha76 Posté(e) 29 juillet 2010 Posté(e) 29 juillet 2010 J'ai commencé Les croassements de la nuit de Preston et Child. Je n'ai lu que 50 pages et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est très prenant ! Au milieu d'un champ de maïs, une clairière. Sur des flèches indiennes, une vingtaine de corbeaux empalés. Un cercle macabre au centre duquel gît le corps mutilé d'une femme. Selon toute vraisemblance, l'œuvre d'un dément... Ce crime, le premier d'une étrange série, plonge dans l'angoisse les habitants de Medicine Creek, bourgade du Kansas. Pour l'inspecteur Pendergast, du FBI, le coupable n'est autre qu'un serial killer d'un nouveau genre. Quel crédit accorder à la Légende des 45, selon laquelle le fantôme de Harry Beaumont, mort en 1865, hanterait encore la région pour se venger ? A moins que l'inspecteur n'ait à redouter un adversaire plus mystérieux encore, aussi insaisissable qu'un spectre. Lorsqu'on les entend, il est déjà trop tard. " Les fans - et ils sont de plus en plus nombreux - seront ravis. Pendergast, digne héritier de Sherlock Holmes, est au sommet de son art. " Publishers Weekly
poucinette36 Posté(e) 30 juillet 2010 Posté(e) 30 juillet 2010 Après lecture du post, je me suis lancé dans "elle s'appelait Sarah" de Tatiana de Rosnay. Habituellement, je ne lis les livres parlant de la guerre, dernière fois je devais avoir 15 ans et c'était "la bicyclette bleue". Mais là, je suis vraiment rentrée dedans, je peine à décrocher. L'écriture est agréable, les personnages attachants, et j'aime bien les deux histoires en parallèle.
chantwal Posté(e) 30 juillet 2010 Posté(e) 30 juillet 2010 Commencé "Les déferlantes" de Claudie Gallay C'est à La Hague - un bout du monde à la pointe du Cotentin - que la narratrice est venue se réfugier. Elle arpente les landes, observe les oiseaux migrateurs... et Lambert, homme mystérieux et tourmenté aperçu un jour de tempête, et qui n'a cessé depuis lors d'éveiller sa curiosité.
ximixt Posté(e) 30 juillet 2010 Posté(e) 30 juillet 2010 J'ai terminé Le garçon qui dompta le vent de William Kamkwamba: très intéressant: Né en 1987 au Malawi, l'un des pays les plus pauvres d'Afrique, William Kamkwamba aspire dès son plus jeune âge à un autre avenir que celui de son père agriculteur et souhaite étudier les sciences. Mais, en 2001, sa région est frappée par une terrible sécheresse, et William est contraint d'abandonner l'école pour aider sa famille à survivre. L'adolescent refuse malgré tout de renoncer à ses rêves. A l'aide de quelques manuels de sciences poussiéreux, il se lance dans un projet audacieux : construire une éolienne afin d'offrir à sa famille l'électricité, un luxe auquel seuls 2 % de la population malawite ont accès... Le Garçon qui dompta le vent est le récit incroyable d'un jeune autodidacte qui, à force d'ingéniosité et de ténacité, est parvenu à dépasser les obstacles les plus insurmontables afin de construire une vie meilleure pour lui et pour les siens. Une belle leçon d'espoir pour l'avenir de l'Afrique.
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