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Posté(e)

HS : au départ, l'avatar de Toubab me semblait être une oreille avec des cheveux par dessus. Mais c'était avant que je ne lise la question de Goëlette... Depuis, je me suis penchée dessus et en fait, non, ce n'est pas ça... Peut-être une main de mamie qui tient un morceau de foie peu ragoûtant avec une araignée aux pattes velues qui se promène dessus !

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Posté(e)
HS : au départ, l'avatar de Toubab me semblait être une oreille avec des cheveux par dessus. Mais c'était avant que je ne lise la question de Goëlette... Depuis, je me suis penchée dessus et en fait, non, ce n'est pas ça... Peut-être une main de mamie qui tient un morceau de foie peu ragoûtant avec une araignée aux pattes velues qui se promène dessus !

:D:D

Posté(e)
Non seulement il faut apprécier les enfants comme je l'écrivais plus haut mais aussi les comprendre...

Si on manque de psychologie avec eux, cela peut s'avérer catastrophique sur le plan des apprentissages (sans parler du plan psychique) et c'est encore anti-pédagogique.

Pour moi, ça coule de source qu'on aime les enfants, instit ou pas, donc la question me surprend... Ensuite, on peut les aimer sans pour autant être attiré par eux ça c'est vrai, dans ce cas, pourquoi faire un métier où l'on va être 6h par jour avec? :getlost:

Sinon, pour ton avatar, je vois plutot une main avec des coupures...rien de très " glamour" :D

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Je pense que notre métier est une vocation, que travailler avec les enfants est une vocation et que si on ne l'a pas, les enfants vous sortent vite par les yeux, vous enervent et vous ne les supportez pas et ça, c'est bien anti-pédagogique.

Pour moi, mon métier est tout sauf une vocation. C'est un moyen -certes qui m'est agréable- de gagner mon pain. Par vocation, je vois entrée dans les ordres. Et j'ose espérer que l'entrée dans l'EN ne rime pas encore avec sacrifice d'une vie.

Pourtant, je supporte très bien mes élèves.

Posté(e)

W.C Fields (qui n'est pas membre d'EDP):

"On ne peut pas dire d’un homme qui n’aime pas les enfants et les chiens qu’il soit foncièrement mauvais!" :devil_2:

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J'aime bien travailler avec des enfants. Leur contact m'apporte toujours plein de surprises, ça rend les journées quelquefois marrantes et ça, ça ne se rencontre pas dans tous les boulots.

Mais si je dois aimer des enfants, ce sont bien les miens et pas ceux des autres.

Je n'ai absolument pas choisi ce métier par vocation, et j'attends l'occasion d'en changer dès que possible.

Posté(e)
J'aime bien travailler avec des enfants. Leur contact m'apporte toujours plein de surprises, ça rend les journées quelquefois marrantes et ça, ça ne se rencontre pas dans tous les boulots.

Mais si je dois aimer des enfants, ce sont bien les miens et pas ceux des autres.

Je n'ai absolument pas choisi ce métier par vocation, et j'attends l'occasion d'en changer dès que possible.

Tout est dit là....remarque, c'est une question pour l'entretien du BAFA...ça vole pas haut...

Et tant pis pour celles qui ont échoué en répondant "oui" (et qui se sont fait éjecter...), grave pour les autres qui ont répondu que ce n'était pas primordial, un petit non quoi,..(et que l'on a accueuillies à bras ouverts) :lol:

Mais, ça, il faut le savoir :bleh:

Posté(e)

Personnellement, je ne suis pas là pour aimer des enfants, mais pour apprendre à des élèves. J'insiste sur la différence de terme. Oui, j'aime les contacts humains dans leur ensemble, et il m'arrive souvent de développer des affinités avec mes élèves. Le fait de travailler avec des enfants plutôt qu'avec des adultes m'apporte de grandes satisfactions. Mais ce n'est pas une condition première à l'exercice de notre métier que "d'aimer les enfants" je pense.

Posté(e)
ce n'est pas une condition première à l'exercice de notre métier que "d'aimer les enfants" je pense.

Certes, mais je me demande bien comment faire pour tenir 6h/jour avec une moyenne de 25 joyeux lurons :devil_2: si on n'aime pas les enfants ?? :bleh:

Posté(e)
ce n'est pas une condition première à l'exercice de notre métier que "d'aimer les enfants" je pense.

Certes, mais je me demande bien comment faire pour tenir 6h/jour avec une moyenne de 25 joyeux lurons :devil_2: si on n'aime pas les enfants ?? :bleh:

En effet! ça me parait fou de faire un métier si prenant avec des contacts humains ( des enfants) pendant 6h par jour si on ne les aime pas... :D

Y'en a tjs un ou deux dans une classe que j'aime moins que les autres, j'imagine que si j'avais 30 enfants ainsi, je ne prendrais aucun plaisir à me lever le matin pour aller bosser!

ça me déprimerait...

Donc, si je n'aime pas ces " petits humains" , je ne vois pas comment je peux les supporter et avoir le plaisir de m'occuper d'eux, et de leur enseigner quoi que ce soit!

Je ne supporte pas les odeurs médicales, ça me fait angoisser, je ne me verrais pas du tout bosser dans un hopital ou avoir un métier en lien avec la médecine! :blink:

Donc, idem, si on n'aime pas les enfants, sans parler de vocation, qu'est ce qu'on doit subir notre métier d'enseignant quand même!

  • 6 mois plus tard...
Posté(e)

J'ai juste envie de dire qu'on n'est pas là pour les aimer.

Une maman est venue une fois râler, elle a commencé en me disant "Vous n'aimez pas mon fils", je lui ai répondu effectivement, je ne l'aime pas. Elle m'a regardé :blink: Bon après je lui ai expliqué que j'aime mes enfants, mais que mon boulot n'est en aucun cas d'aimer son fils.

Bref, certains sont attachants, d'autres moins mais ce n'est en aucun cas le fait d'aimer ces gosses qui fera de nous de bons ou de mauvais instits.

Posté(e)

Je me souviens d'une classe en particulier, où j'aimais mes élèves. J'avais plaisir à les retrouver le matin (même s'ils m'en faisaient parfois voir de toutes les couleurs), je les trouvais chouettes, attachants, ils m'ont permis de ne pas toucher le fond pendant une vraie dépression, bref, je les aimais et j'avais envie d'être avec eux. Quand je suis revenue leur faire un petit coucou, un an plus tard, c'était un vrai moment d'émotion, autant pour eux que pour moi, ils sont tous venus m'embrasser et m'ont demandé si j'allais remplacer leur maîtresse qui était absente ce jour-là (par pur hasard). Je me souviens de leurs prénoms, de leurs coupes de cheveux successives au cours de l'année, de leurs productions en arts visuels, de leur façon de danser à la fête de l'école, de leurs petits tracas quotidiens, et de tas de petits détails.

Et puis je me souviens d'une autre classe. Dans celle-là, je ne sais pas pourquoi, le courant n'est jamais passé. Je ne les aimais pas. Ils m'étaient indifférents. Je n'étais ni meilleure ni pire enseignante, mais j'y allais sans entrain, juste motivée par le plaisir de bien faire mon boulot. Je les ai quittés comme ça, et je me souviens à peine de leurs prénoms.

Parfois on les aime comme ses propres enfants, parfois non. Ca dépend du "groupe-classe", de l'année scolaire, si la "mayonnaise prend" ou pas. Mais je ne pense pas que cela influe sur les gestes professionnels, la façon d'enseigner ou même les résultats. On est juste "mieux" au quotidien avec des élèves qu'on aime. Par contre, le plus dur, c'est de les quitter... :blush:

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