dhaiphi Posté(e) 20 mars 2010 Posté(e) 20 mars 2010 Mais il faut prendre garde à ne pas tomber dans la tentation de l'exclusion systématique car dans ce cas on fabrique des bombes à retardement qui, quand elles explosent, font beaucoup plus de dégâts qu'un enfant perturbateur dans une classe. Ce qui se traduit par : il vaut mieux qu'il en blesse plusieurs qu'en tuer par la suite un seul. C'est effectivement un point de vue intéressant.
Blandine Posté(e) 20 mars 2010 Auteur Posté(e) 20 mars 2010 Finalement, vendredi matin, j'ai parlé avec l'enfant en lui expliquant que je l'acceptais à nouveau en classe mais qu'à la prochaine insulte j'appelerais immédiatement ses parents pour qu'ils viennent le chercher. C'est ce qui a été dit en équipe éducative pour gérer les "crises". Je me suis mise d'accord avec mon Directeur et les parents de l'enfant pour dire que lorsqu'il a insultes à ce point c'est une situation de crise. Il a fait la punition du Directeur (ramassage des papiers dans la cour) et une punition pour moi l'après-midi (rester à côté du maître de surveillance une partie de la récréation). Je sais que cet enfant a une pathologie qui fera qu'il recommencera dans quelques jours. En attendant que les parents acceptent de le mettre dans une structure plus adaptée, on devra gérer au cas par cas en croisant les doigts pour qu'il n'y ait pas d'incident plus grave...
tartinette Posté(e) 20 mars 2010 Posté(e) 20 mars 2010 Finalement, vendredi matin, j'ai parlé avec l'enfant en lui expliquant que je l'acceptais à nouveau en classe mais qu'à la prochaine insulte j'appelerais immédiatement ses parents pour qu'ils viennent le chercher. C'est ce qui a été dit en équipe éducative pour gérer les "crises". Je me suis mise d'accord avec mon Directeur et les parents de l'enfant pour dire que lorsqu'il a insultes à ce point c'est une situation de crise. Il a fait la punition du Directeur (ramassage des papiers dans la cour) et une punition pour moi l'après-midi (rester à côté du maître de surveillance une partie de la récréation). Je sais que cet enfant a une pathologie qui fera qu'il recommencera dans quelques jours. En attendant que les parents acceptent de le mettre dans une structure plus adaptée, on devra gérer au cas par cas en croisant les doigts pour qu'il n'y ait pas d'incident plus grave... Sauf que les structures plus adaptées ....il y en a de moins en moins, il y en aura de moins en moins ...Et de toutes façons , il est prévu que les élèves n'y soient inscrits qu'à temps partiel, sous un faux prétexte d'"inclusion" dans le milieu banal qui leur serait "bénéfique" , alors qu'il s'agit tout simplement de ....faire des économies. Un ITEP qui accueillait 20 enfants à temps complet et 20 à mi-temps, pourra en accueillir en accueillir 60 à mi-temps par rotation avec la même infrastructure, le même nombre de postes ....ou alors on peut aussi réduire le nombre de postes dans les ITEP, voire en fermer quelques-uns (ça coûte cher le spécialisé, trop cher ...) ... Mon ingérable de l'année dernière qui m'avait insultée et frappée, multiplie les actes de violence envers les adultes et les élèves dans sa nouvelle école à tel point que la classe ne peut plus avoir lieu, la maîtresse est en arrêt maladie, les remplaçants se succédent, se font frapper et insulter. Il n'est prévu pour l'ITEP ...que pour l'année prochaine et ....à temps partiel ! Hélas, ces situations vont se multiplier. Voir ici : http://www.inrp.fr/vst/LettreVST/52-mars-2010.php
JeanLatreck Posté(e) 20 mars 2010 Posté(e) 20 mars 2010 Mais il faut prendre garde à ne pas tomber dans la tentation de l'exclusion systématique car dans ce cas on fabrique des bombes à retardement qui, quand elles explosent, font beaucoup plus de dégâts qu'un enfant perturbateur dans une classe. 1. "l'exclusion systématique": si tu entends par là le fait de proposer à un enfant une structure adaptée, qui puisse l'aider à vivre, le terme d'"exclusion" est particulièrement mal choisi... C'est bien plutôt le fait de scolariser cet enfant dans une structure inadaptée (la classe ordinaire) qui l'exclut, la voilà la vraie "exclusion". Et on en voit très vite les effets, tant pour lui que pour les autres élèves.... 2. "des bombes à retardement": de quoi s'agit-il précisément? Parce que, pour l'instant, les "bombes à retardement" qu'on est en train de fabriquer, c'est plutôt ces élèves qu'on "inclut" de force dans des structures inadaptées. 3."plus de dégâts qu'un enfant perturbateur dans une classe": il faut bien méconnaître la pratique de la classe (moi ça fait 30 ans que j'y suis) pour minimiser à ce point les dégâts qu'un enfant perturbateur fait dans une classe. Et moi, en tant qu'enseignant non spécialisé, je refuse qu'on me demande de mettre sous le boisseau la juste revendication de pouvoir exercer sereinement mon métier, tant pour moi que pour mes élèves, en scolarisant dans ma classe un enfant dont les spécialistes savent qu'il posera de graves problèmes de comportement... Et tout ça pour faire des (fausses) économies afin que ceux qui en ont le plus se gavent encore davantage...
OCCITANE Posté(e) 20 mars 2010 Posté(e) 20 mars 2010 Tout a fait d accord : l exclusion pour certains, c est de les forcer à rester dans une classe ordinaire, ils sont de fait exclus par les autres (ils font même parfois peur, c est le retour que j ai eu) Que l on tente une insertion, je suis d accord, mais alors que l on prenne en compte l avis des enseignants lors des equipes éducatives ! Quand aux sanctions, je suis très directives envers les parents et les différents partenaires, et ce dès le début de l année : au moindre problème de violence, j alerte tout le monde pour que la famille vienne chercher l enfant. Je suis seule dans l école, et je me suis souvent retrouvée à gérer les crises de violence de ces enfants, ce qui veut souvent dire isoler l élève avec moi en surveillance. Et les 28 autres ??? Seuls, sans adulte dans la cour, et parfois cela a pu durer près de 20 mn. Situation insupportable pour tous. Qd aux sanctions moins dures, pas de solutions miracles : rester assis à côté de moi à la récré, privé de sport, enlever la trousse et donner au fur et à mesure (pour les accros du ciseau et du compas), etc... et , cas extrème, privé de sorties. Dans tous les cas, punition immédiate, pour marquer le coup, pour lui et les autres, et après tentative de discussion (souvent inutile). Mais je sais que la situation en maternelle est souvent pire ...
gihem Posté(e) 20 mars 2010 Posté(e) 20 mars 2010 Mais il faut prendre garde à ne pas tomber dans la tentation de l'exclusion systématique car dans ce cas on fabrique des bombes à retardement qui, quand elles explosent, font beaucoup plus de dégâts qu'un enfant perturbateur dans une classe. 1. "l'exclusion systématique": si tu entends par là le fait de proposer à un enfant une structure adaptée, qui puisse l'aider à vivre, le terme d'"exclusion" est particulièrement mal choisi... C'est bien plutôt le fait de scolariser cet enfant dans une structure inadaptée (la classe ordinaire) qui l'exclut, la voilà la vraie "exclusion". Et on en voit très vite les effets, tant pour lui que pour les autres élèves.... 2. "des bombes à retardement": de quoi s'agit-il précisément? Parce que, pour l'instant, les "bombes à retardement" qu'on est en train de fabriquer, c'est plutôt ces élèves qu'on "inclut" de force dans des structures inadaptées. 3."plus de dégâts qu'un enfant perturbateur dans une classe": il faut bien méconnaître la pratique de la classe (moi ça fait 30 ans que j'y suis) pour minimiser à ce point les dégâts qu'un enfant perturbateur fait dans une classe. Et moi, en tant qu'enseignant non spécialisé, je refuse qu'on me demande de mettre sous le boisseau la juste revendication de pouvoir exercer sereinement mon métier, tant pour moi que pour mes élèves, en scolarisant dans ma classe un enfant dont les spécialistes savent qu'il posera de graves problèmes de comportement... Et tout ça pour faire des (fausses) économies afin que ceux qui en ont le plus se gavent encore davantage... Quelle que soit la structure "adaptée" dont tu parles, il faut bien que l'enfant, à un moment ou un autre réintègre la "vraie" vie. Ou alors on crée des ghettos. Les bombes à retardement, ce sont, par exemple, ces ados qui s'en prennent à l'institution scolaire d'une façon ou d'une autre (incendie d'école entre autres) parce que probablement celle-ci n'a pas su leur apporter de réponse adaptée durant leur scolarité. Pour finir, je n'ai pas ta longue expérience de la pratique de classe puisque cela ne fait que 20 ans que j'enseigne, mais celle-ci a toujours été dirigée vers une intégration maximale de tous les élèves dans le groupe. Mais, peut-être n'ai je eu que de gentils chérubins (au contraire de certains baroudeurs)
Goëllette Posté(e) 21 mars 2010 Posté(e) 21 mars 2010 1. "l'exclusion systématique": si tu entends par là le fait de proposer à un enfant une structure adaptée, qui puisse l'aider à vivre, le terme d'"exclusion" est particulièrement mal choisi... C'est bien plutôt le fait de scolariser cet enfant dans une structure inadaptée (la classe ordinaire) qui l'exclut, la voilà la vraie "exclusion". Et on en voit très vite les effets, tant pour lui que pour les autres élèves.... 2. "des bombes à retardement": de quoi s'agit-il précisément? Parce que, pour l'instant, les "bombes à retardement" qu'on est en train de fabriquer, c'est plutôt ces élèves qu'on "inclut" de force dans des structures inadaptées. 3."plus de dégâts qu'un enfant perturbateur dans une classe": il faut bien méconnaître la pratique de la classe (moi ça fait 30 ans que j'y suis) pour minimiser à ce point les dégâts qu'un enfant perturbateur fait dans une classe. Et moi, en tant qu'enseignant non spécialisé, je refuse qu'on me demande de mettre sous le boisseau la juste revendication de pouvoir exercer sereinement mon métier, tant pour moi que pour mes élèves, en scolarisant dans ma classe un enfant dont les spécialistes savent qu'il posera de graves problèmes de comportement... Et tout ça pour faire des (fausses) économies afin que ceux qui en ont le plus se gavent encore davantage... Je suis d'accord avec toi. Cependant, toi qui milites, comment expliques-tu qu'on ne retrouve jamais ces propos dans les publications syndicales, qu'on n'ait jamais vent que nos représentants aient entrepris des démarches envers le ministère pour qu'on cesse ces expérimentations, effectivement uniquement guidées par une intention d'économies, nuisibles tout à la fois à l'élève en question, l'enseignant de la classe et les autres élèves de la classe ? On voit même plutôt le contraire, dans les "fenêtre sur cour" et autre "enseignant", avec des reportages sur le monde merveilleux de l'intégration. Cette lutte contre des intégrations sauvages, au mépris du bon fonctionnement des écoles, du bien-être des enseignants et des élèves, me semble aussi importante pour l'avenir de notre profession que toutes les autres revendications. Et c'est peut-être (sans doute ) parce qu'ils ne se reconnaissent pas vraiment dans ces revendications et qu'ils ne retrouvent pas leurs réelles préoccupations professionnelles dans les demandes de leurs représentants syndicaux au ministère, que la grande masse des enseignants s'éloigne du syndicalisme. Non ?
JeanLatreck Posté(e) 21 mars 2010 Posté(e) 21 mars 2010 Je suis d'accord avec toi. Cependant, toi qui milites, comment expliques-tu qu'on ne retrouve jamais ces propos dans les publications syndicales, qu'on n'ait jamais vent que nos représentants aient entrepris des démarches envers le ministère pour qu'on cesse ces expérimentations, effectivement uniquement guidées par une intention d'économies, nuisibles tout à la fois à l'élève en question, l'enseignant de la classe et les autres élèves de la classe ? On voit même plutôt le contraire, dans les "fenêtre sur cour" et autre "enseignant", avec des reportages sur le monde merveilleux de l'intégration. Cette lutte contre des intégrations sauvages, au mépris du bon fonctionnement des écoles, du bien-être des enseignants et des élèves, me semble aussi importante pour l'avenir de notre profession que toutes les autres revendications. Et c'est peut-être (sans doute ) parce qu'ils ne se reconnaissent pas vraiment dans ces revendications et qu'ils ne retrouvent pas leurs réelles préoccupations professionnelles dans les demandes de leurs représentants syndicaux au ministère, que la grande masse des enseignants s'éloigne du syndicalisme. Non ? Je suis étonné par tes propos, car il existe bien ce syndicat dont tu parles (il est même le 3e au niveau national, lors des dernières élections professionnelles)... Il est intervenu (et continue d'intervenir) plusieurs fois au ministère et dans les IA ou auprès des IEN. Quelques exemples: " Il est inacceptable de scolariser un enfant handicapé sans une étude préalable de chaque situation et une décision préalable des professionnels et des autorités responsables de l’Education Nationale. Les collègues, en particulier le directeur, sont en droit de saisir les autorités de l’Education nationale (Inspecteur de circonscription et Inspecteur d‘académie) avant de le scolariser. Pour le SNUDI FO, il ne peut pas y avoir de scolarisation en milieu ordinaire d’un enfant handicapé, sans que cela soit jugé, préalablement, possible par des professionnels (médecin scolaire, médecin de PMI, spécialiste ...) dans une convention écrite définissant les conditions impératives de cette scolarité (effectifs, personnels, horaire de scolarisation, suivi médical, précautions diverses...) sous peine d’être dénoncée ! C’est à l’administration de l’Education nationale de trouver une solution adaptée à la nature et au degré de handicap et/ou de la grande difficulté de cet élève. Ce n’est pas à un enseignant sans formation, seul dans sa classe, d’être responsable de tout. Quand des collègues, avec l’aide du syndicat, s’adressent collectivement dans ce sens aux autorités, IA et IEN sont amenés dans certains cas à différer la scolarisation où à envisager une autre solution d’orientation." Texte intégral ici. Certains mots d'ordre généreux comme " L'accès à tout pour tous " peuvent être démagogiques si les moyens ne suivent pas et si les limites bien réelles n'en sont pas cernées. Les conséquences de cette politique scolaire irresponsable sont dramatiques pour les enfants handicapés mais aussi pour le reste des enfants de la classe et pour l'enseignant. La multiplicité des témoignages de collègues demandant de l'aide au syndicat est là pour le prouver. Non seulement les enfants sont en souffrance mais dans de nombreuses situations les collègues ne sont plus en mesure de faire correctement leur métier, c'est-à-dire de faire la classe. Pour La FNEC FP FO la scolarisation en milieu ordinaire d'un enfant handicapé ne peut pas se décider de façon administrative dans une logique comptable. Elle ne peut être que le résultat au cas par cas d'une appréciation par des professionnels qualifiés. La FNEC FP FO revendique, comme c'était le cas auparavant, que de telles scolarisations s'effectuent dans le cadre d'une convention écrite en précisant tous les aspects (intervenants, moyens mis à disposition....), cette convention devant par ailleurs pouvoir être dénoncée par les différentes parties en cas de non respect ou d'évolution de la situation. C'est quant à elle, sans arrière pensée comptable et avec le réel objectif que soient apportées " des conditions optimales de scolarisation " pour les élèves handicapés et/ou en grandes difficultés scolaires que notre organisation syndicale dénonce depuis des mois la loi du 11 février 2005 et les conséquences de sa mise en œuvre. Texte intégral ici " La campagne présidentielle a été l’occasion pour les candidats de faire de tonitruantes déclarations concernant la scolarisation des enfants handicapés, le nouveau Président de la République proposant que les tribunaux puissent traiter les plaintes des parents ne pouvant pas scolariser leurs enfants en instaurant un « droit opposable », proposant que 100% des élèves handicapés soient accueillis. Pour le SNUDI FO, c’est au Ministre de l’Education Nationale d’assurer l’accueil de 100% des élèves handicapés, pas aux écoles ni aux personnels enseignants de se débrouiller seuls. C’est au Ministre de l’Education Nationale de fournir à tous ces élèves, des enseignants spécialisés, parce qu’ils ont droit à avoir accès à une scolarisation adaptée à la nature et au degré de leur handicap." Texte intégral ici
papillon2704 Posté(e) 22 mars 2010 Posté(e) 22 mars 2010 Et sur la ligne de Dada également pour ce qui est de voir si ces insultes sont liées ou non à la pathologie. Et comme il sera démontré par quelque psy que c'est lié à sa pathologie, les collègues veulent te signifier de manière très prudente que tu n'auras aucun recours et que tes collègues et toi-même pourront être insultés à loisir sans que rien ne bouge. Il faut, comme d'habitude préciser que Daiphi ne supporte pas l'idée qu'un élève puisse avoir une pathologie, une différence quelconque avec ce qu'il considère comme un élève "normal", ça aide à mieux comprendre son intervention, une de plus, sur son registre de prédilection.
dhaiphi Posté(e) 22 mars 2010 Posté(e) 22 mars 2010 Il faut, comme d'habitude préciser que Daiphi ne supporte pas l'idée qu'un élève puisse avoir une pathologie, Je l'admets aisément, ce que je ne supporte pas ce sont les insultes et les coups qu'il distribue à foison à l'abri de toute impunité due à sa pathologie. Si pathologie il y a, établissement psy où pourront être pris en charge ses déviances langagières et physiques.
Macteyss Posté(e) 22 mars 2010 Posté(e) 22 mars 2010 Il faut, comme d'habitude préciser que Daiphi ne supporte pas l'idée qu'un élève puisse avoir une pathologie, Je l'admets aisément, ce que je ne supporte pas ce sont les insultes et les coups qu'il distribue à foison à l'abri de toute impunité due à sa pathologie. Si pathologie il y a, établissement psy où pourront être pris en charge ses déviances langagières et physiques. Voyons dhaiphi, ne te rends-tu pas compte que tu remets en cause le dogme "tout le monde il est égal, tout le monde il peut tout faire et l'intérêt général n'a absolument pas à prévaloir sur l'intérêt particulier" ? Attention, tu risques d'être lynché en place publique...
JBB Posté(e) 22 mars 2010 Posté(e) 22 mars 2010 Il faut, comme d'habitude préciser que Daiphi ne supporte pas l'idée qu'un élève puisse avoir une pathologie, Je l'admets aisément, ce que je ne supporte pas ce sont les insultes et les coups qu'il distribue à foison à l'abri de toute impunité due à sa pathologie. Si pathologie il y a, établissement psy où pourront être pris en charge ses déviances langagières et physiques. Voyons dhaiphi, ne te rends-tu pas compte que tu remets en cause le dogme "tout le monde il est égal, tout le monde il peut tout faire et l'intérêt général n'a absolument pas à prévaloir sur l'intérêt particulier" ? Attention, tu risques d'être lynché en place publique... Ben moi, j'écoute la différence... dans le discours de Daiphi... et dans le tien Et l'histoire des ghettos, de l'inclusion etc etc Pour certains, rester le derrière sur une chaise six heures durant, dans une classe dite normale, à ne plus savoir ni que faire ni comment, me semble autrement plus traumatisant pour l'ensemble de leur carrière, que de leur proposer un travail à leur mesure et à leur rythme ... Dans une classe spé... D'autre part je me demande si le système ne fabrique pas des "inadaptés" plus "résistants" en ne leur proposant plus aucune autre solution que la classe "normale". JBB JBB
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