thierry fabre Posté(e) 11 mai 2010 Posté(e) 11 mai 2010 « P… bleue !!! » se dit-il en lui-même. « Si je ne réponds pas à cet amas de counifleries et de débilosités, je m’en fais tout à la fois un urticaire et un ulcère stomacal. » Lâche et rétif devant toute maladie, je considérais donc que le plus sur moyen de faire disparaître une tentation, étant d’y céder,il fallait que, de ce pas, je réponde à ce maroufle… Premier point, minuscule et de peu d’importance, mon cher et gentil Hentho : une piètre question m’interpelle un max… As-tu conscience qu’à une lettre près, ton pseudo est l’anagramme exact du mot « HONTE » ? Il est vrai que cette lettre manquante laisse peser quelques doutes sur ta sanité mentale… Second point, de plus d’importance. Lorsque tu avances que : Jamais les enseignants désobéisseurs n'ont manié l'insulte tu es dans le vrai. Alain Refalo, et d’autres à qui notre petit journal a donné la parole, ne se sont jamais commis dans ce genre de petits discours teigneux à la noix. Il est donc regrettable que tu ne t’inspires pas de leur exemple « sbires…nombril…degré zéro de la pensée…obscènes … » Me voila donc habillé pour l’hiver à venir. Ce qui ne change rien au fait que ta capacité à insulter les autres masque mal ton incapacité à leur répondre… Troisième point, et non des moindres : je ne te demande pas de me réciter la catéchisme du parfait petit désobéisseur. Les Credo m’enquiquinent et les curés, même de gôche, restent des curés, c’est-à-dire des donneurs de leçons de morale. Je te pose des questions sur le rôle, la place et la responsabilité des enseignants de l’Ecole Publique dans ce pays… Tu n’y réponds pas… Libre à toi de fuir des réponses qui te sont difficiles, libre à toi de te complaire dans une grandiloquence ridicule ( « l’histoire a déjà condamné… » : on croirait entendre Fidel au procès de la Moncada…), libre à toi de croire, comme tout révolutionnaire de pacotille, que gueuler fort donne raison, il n’en restera pas moins les trois petites questions persistantes que je t’ai posé et auxquelles j’attends encore réponse… Peux-tu, en tant qu’instit, dire à tes élèves : « tu dois respecter la loi, le règlement de l’école, mais moi, je fais ce que je veux, comme ça me chante… » ? Moi, non… Peux-tu, en tant que membre du service public d’éducation, tenir aux parents d’élèves le discours suivant : « l’Ecole Publique est à moi. Je suis seul à décider ce qu’il est bon d’apprendre à vos gamins » ? Moi, non… Peux-tu, en tant que citoyen, admettre l’idée que chaque fonctionnaire puisse, selon ses humeurs, ses choix idéologiques, la couleur du gouvernement, décider de respecter ou non les lois ? Moi, non… Thierry fabre
JeanLatreck Posté(e) 11 mai 2010 Posté(e) 11 mai 2010 tu es dans le vrai. Alain Refalo, et d’autres à qui notre petit journal a donné la parole, ne se sont jamais commis dans ce genre de petits discours teigneux à la noix. Il est donc regrettable que tu ne t’inspires pas de leur exemple « sbires…nombril…degré zéro de la pensée…obscènes … » Me voila donc habillé pour l’hiver à venir. Ce qui ne change rien au fait que ta capacité à insulter les autres masque mal ton incapacité à leur répondre… Thierry fabre J'ai beau avoir relu plusieurs fois la réponse de hentho, je n'y vois pas un "genre de petits discours teigneux à la noix", mais un discours argumenté...
Macteyss Posté(e) 11 mai 2010 Posté(e) 11 mai 2010 Thierry Fabre ne recule devant aucun argument fallacieux y compris ceux véhiculés par le pouvoir et les sbires à sa solde pour tenter de discréditer la démarche des enseignants désobéisseurs. Il est vrai que ce mouvement dérange, il est vrai qu'il rappelle qu'un fonctionnaire a une conscience, il est vrai qu'il rappelle que lorsque le fonctionnaire a le sentiment que son obéissance le rendrait complice de réformes profondément injustes, il a le devoir de désobéir. Cela ne fait pas des autres des salauds. Jamais les enseignants désobéisseurs n'ont manié l'insulte à leur encontre, ni le mépris comme le fait Thierry Fabre. Nous n'avons rien imposé à quiconque. Nous avons agi en prenant nos risques et nous en sommes seuls comptables. Nous avons assumé les sanctions et nous n'avons rien cédé. Nous n'en tirons aucune gloire car nous n'avons pas le temps de nous regarder le nombril. Dire de l'enseignant désobéisseur qu'il fait ce qu'il veut quand il veut, c'est véritablement le degré zéro de la pensée. C'est n'avoir rien compris ou plus exactement c'est chercher par tous les moyens de discréditer une action collective de résistance qui sort des sentiers battus. Non, l'école publique n'est pas à nous. Qui l'a dit, qui l'a écrit ? Les parents d'élèves, usagers du service public d'éducation, nous ont massivement soutenus. Si cela n'avait pas été le cas, que diriez-vous, qu'aurait dit notre administration ? Cette action a été très bien comprise par ceux qui étaient les premiers concernés, les parents de nos élèves. Et en plus, Thierry Fabre ose reprendre l'argument de Brighelli qui laisse entendre que les désobéisseurs sont des glandeurs. Parce que lui il bosse tandis que les enseignants désobéisseurs se roulent les pouces ! Décidément, le service public mérite mieux que ces anathèmes et il faut arriver ici, parmi certains collègues, pour entendre ces inepties. Alors continuez à fonctionner, à obéir sans discernement, à vous taire même si vous n'êtes pas d'accord. L'histoire a déjà condamné ce genre d'attitudes. Combien de fois j'ai remercié des instits qui nous ont dit : Nous n'avons pas le courage de cette démarche, alors nous appliquons les réformes que nous réprouvons. Je les ai toujours remerciés pour leur franchise. Car au moins ils ne se cachaient pas derrière des arguments obscènes. Notre victoire c'est qu'aujourd'hui tous les dispositifs pédagogiques imposés par X. Darcos sont remis en question. Ils sont obsolètes. Ils ne tiendront pas encore deux ans. Nous aurons seulement apporté notre pierre, notre petite pierre à ce résultat. Nous ne demanderons des comptes à personne. Nom de dieu ! On dirait du Frédéric Lefèbvre, mais de l'autre côté. Avec un doigt de Nostradamus, car, aux dernières nouvelles, je n'ai pas eu vent que les évaluations nationales (auxquelles je trouve quelques points positifs), ni l'aide personnalisée ne me semblent vouées à une prochaine disparition... Enfin, sait-on jamais... On à même droit à un splendide (mais que je voyais venir gros comme une maison, quand même), "l'histoire à déjà condamné ce genre d'attitudes". Dommage que tu n'aie pas cru bon d'aller au bout de ta comparaison boiteuse et de citer le régime de Vichy. Quand on est dns le mode "incantatoire ridicule", il ne faut pas bouder son plaisir. Tout ce qui est excessif est insignifiant. (Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord) Si les programmes nationaux étaient calqués sur ceux prônés par les désobeisseurs, nous aurions des contre-désobeisseurs qui les trouveraient dangereux... Et les chantres actuels de la désobéissances voueraient aux gémonies ceux qui ne pensent pas comme eux...
Pierrot06 Posté(e) 11 mai 2010 Posté(e) 11 mai 2010 J'ai beau avoir relu plusieurs fois la réponse de hentho, je n'y vois pas un "genre de petits discours teigneux à la noix", mais un discours argumenté... Pour jouer à l'arbitre, Jean, il faut être impartial et c'est pas ta qualité première.
thierry fabre Posté(e) 11 mai 2010 Posté(e) 11 mai 2010 J'ai beau avoir relu plusieurs fois la réponse de hentho, je n'y vois pas... Ce n'est pas grave, jean ,c'est juste une question d'âge. Pour certains, il est nécessaire de chausser leurs bésicles pour arriver à lire, pour d'autres, au contraire, de les enlever, pour les derniers, enfin, d'ôter leurs oeillères... Thierry fabre
Helvète Posté(e) 11 mai 2010 Posté(e) 11 mai 2010 Vous êtes en grande forme! http://sophia-cholet.over-blog.com/article-la-vanite-ou-l-art-d-avoir-toujours-raison-45910271.html
Invité Hentho Posté(e) 12 mai 2010 Posté(e) 12 mai 2010 « P… bleue !!! » se dit-il en lui-même. « Si je ne réponds pas à cet amas de counifleries et de débilosités, je m’en fais tout à la fois un urticaire et un ulcère stomacal. » Lâche et rétif devant toute maladie, je considérais donc que le plus sur moyen de faire disparaître une tentation, étant d’y céder,il fallait que, de ce pas, je réponde à ce maroufle… Peux-tu, en tant qu’instit, dire à tes élèves : « tu dois respecter la loi, le règlement de l’école, mais moi, je fais ce que je veux, comme ça me chante… » ? Moi, non… Peux-tu, en tant que membre du service public d’éducation, tenir aux parents d’élèves le discours suivant : « l’Ecole Publique est à moi. Je suis seul à décider ce qu’il est bon d’apprendre à vos gamins » ? Moi, non… Peux-tu, en tant que citoyen, admettre l’idée que chaque fonctionnaire puisse, selon ses humeurs, ses choix idéologiques, la couleur du gouvernement, décider de respecter ou non les lois ? Moi, non… Thierry fabre A toutes ces questions, je réponds non. Mais ces questions ne concernent nullement la démarche des enseignants désobéisseurs. D'autres questions plus pertinentes ? Le plus simple est de lire l'ouvrage d'Alain Refalo qui répond à toutes les questions que vous vous posez et qui vous permettront de mieux saisir le sens et la portée de ce mouvement. Voir présentation sur le site de l'éditeur : http://www.ilotsderesistance.fr/DeboutEnConscience Quant à la "honte" qui ne fait pas honneur à celui qui parle ainsi, je lui laisse volontiers. Mon prénom d'origine basque n'a pas besoin de commentaires ici.
JeanLatreck Posté(e) 12 mai 2010 Posté(e) 12 mai 2010 J'ai beau avoir relu plusieurs fois la réponse de hentho, je n'y vois pas un "genre de petits discours teigneux à la noix", mais un discours argumenté... Pour jouer à l'arbitre, Jean, il faut être impartial et c'est pas ta qualité première. L'hôpital qui se moque de la charité.
Lorpe Posté(e) 12 mai 2010 Posté(e) 12 mai 2010 (modifié) ça c'est pour le niveau général du débat "fonctionnaire qui fonctionne" VS "désobéisseur sinon le pays va droit à Vichy". Je trouve que vous êtes tous caricaturaux (j'aime bien ton lien Helvète ) Je n'appartiens à aucune de ces 2 catégories, je fais mon travail en toute conscience Je "fonctionne" en remplissant les papiers qu'on me demande de remplir, en effectuant toutes les heures que je dois auprès des élèves ... même si la pertinence de tout cela m'échappe parfois Je "désobéis" en n'appliquant pas l'intégralité des programmes (je n'écris pas de petite morale au tableau, je préfère continuer à travailler comme depuis 2002 avec le débat réglé, par exemple) Je me trompe peut-être, mais je crois que la majorité des enseignants se trouvent un peu au milieu comme moi, et que la qualité de vos interventions (certaines vraiment très douteuses ) ne nous fera adhérer totalement ni à un camp ni à l'autre Modifié 12 mai 2010 par laurencepen
thierry fabre Posté(e) 12 mai 2010 Posté(e) 12 mai 2010 A toutes ces questions, je réponds non. Mais ces questions ne concernent nullement la démarche des enseignants désobéisseurs. D'autres questions plus pertinentes ? Que ces questions soient pertinentes ou impertinentes, peu importe: merci de tes réponses... Mais bien moins merci de ta pirouette pour mieux éluder tes responsabilités éthiques d'enseignant de l'Ecole Publique. Ces questions sont au contraire au coeur du débat et de cette fracture artificielle et dangereuse que certains voudraient instituer entre une avant-garde auto-proclamée, parée de toutes les vertus et une masse informe de veaux bêlants, prêts à toutes les lâchetés et les compromissions devant un pouvoir totalitaire. Il suffit pour cela de relever dans tes messages l'immense mépris porté envers toutes celles et ceux qui ne font pas partie de ce mouvement D'un côté, les complices…collaboration…silence…démantèlement…obéissance…répression…mort de l’école…pouvoir…sbires…nombril…obscènes… De l'autre, le combat…résistance…collectif…légitimité…page historique…raison…courage… Désolé, Hentho, toute honte bue, les 3 petites questions que je t'ai posé sont au contraire au centre de la problématique, et tu ne fais pas exception à cette curieuse règle qui fait qu'aucun collègue "désobéisseur" n'ait jamais su, ou jamais pu y répondre... A l'exception d'un seul, qui a été assez clair en la matière: 1/ cela justifie que nous n’acceptions pas de faire n’importe quoi avec les élèves, cela légitime la désobéissance à des réformes scélérates qui déconstruisent le service public d’éducation. 2/ Ce sont quand même les enseignants qui sont les mieux placés (et non pas les parents et le ministère !) pour savoir ce qu’il faut enseigner et comment. 3/ Cette désobéissance est bien une forme de résistance qui, sans se comparer à celle des héros cités plus haut, n’en est pas moins constitutive d’une résistance à la servitude volontaire dans laquelle ce pouvoir veut enfermer les individus afin d’instaurer un ordre politique et social contraires aux valeurs profondes de notre République. Ces propos sont d'Alain Refalo; tu vois, j'ai de bonnes lectures... Thierry fabre
Pierrot06 Posté(e) 12 mai 2010 Posté(e) 12 mai 2010 L'hôpital qui se moque de la charité. Je ne distribue pas les bons points, je m'interroge sur les problèmes que soulèvent le mouvement des désobéisseurs. ça c'est pour le niveau général du débat "fonctionnaire qui fonctionne" VS "désobéisseur sinon le pays va droit à Vichy". Je trouve que vous êtes tous caricaturaux (j'aime bien ton lien Helvète ) Je n'appartiens à aucune de ces 2 catégories, je fais mon travail en toute conscience Je "fonctionne" en remplissant les papiers qu'on me demande de remplir, en effectuant toutes les heures que je dois auprès des élèves ... même si la pertinence de tout cela m'échappe parfois Je "désobéis" en n'appliquant pas l'intégralité des programmes (je n'écris pas de petite morale au tableau, je préfère continuer à travailler comme depuis 2002 avec le débat réglé, par exemple) Je me trompe peut-être, mais je crois que la majorité des enseignants se trouvent un peu au milieu comme moi, et que la qualité de vos interventions (certaines vraiment très douteuses ) ne nous fera adhérer totalement ni à un camp ni à l'autre Il n'y a pas 2 camps Laurencepen. Il est impossible de tout faire ce que l'on nous demande, mais ça ne fait pas de nous des "désobeisseurs", ni des "serviles" qui acceptent tout.Simplement des fonctionnaires qui fonctionnent dans une Institution de notre République. le mouvement des désobeisseur pose un problème de fonctionnement d'une institution qui se définit par des règles et des missions. C'est l'Institution que l'on veut changer ou la politique menée actuellement? Hento voudrait que des enseignants comme toi, comme moi, rejoignent son camp, et pour cela il a besoin d'un camps adverse: les dangereux-serviles-qui-n'ont-rien-compris, contre lequel il peut s'opposer et exister... Les autres.
Invité Hentho Posté(e) 12 mai 2010 Posté(e) 12 mai 2010 A toutes ces questions, je réponds non. Mais ces questions ne concernent nullement la démarche des enseignants désobéisseurs. D'autres questions plus pertinentes ? Que ces questions soient pertinentes ou impertinentes, peu importe: merci de tes réponses... Mais bien moins merci de ta pirouette pour mieux éluder tes responsabilités éthiques d'enseignant de l'Ecole Publique. Ces questions sont au contraire au coeur du débat et de cette fracture artificielle et dangereuse que certains voudraient instituer entre une avant-garde auto-proclamée, parée de toutes les vertus et une masse informe de veaux bêlants, prêts à toutes les lâchetés et les compromissions devant un pouvoir totalitaire. Il suffit pour cela de relever dans tes messages l'immense mépris porté envers toutes celles et ceux qui ne font pas partie de ce mouvement D'un côté, les complices…collaboration…silence…démantèlement…obéissance…répression…mort de l’école…pouvoir…sbires…nombril…obscènes… De l'autre, le combat…résistance…collectif…légitimité…page historique…raison…courage… Désolé, Hentho, toute honte bue, les 3 petites questions que je t'ai posé sont au contraire au centre de la problématique, et tu ne fais pas exception à cette curieuse règle qui fait qu'aucun collègue "désobéisseur" n'ait jamais su, ou jamais pu y répondre... A l'exception d'un seul, qui a été assez clair en la matière: 1/ cela justifie que nous n’acceptions pas de faire n’importe quoi avec les élèves, cela légitime la désobéissance à des réformes scélérates qui déconstruisent le service public d’éducation. 2/ Ce sont quand même les enseignants qui sont les mieux placés (et non pas les parents et le ministère !) pour savoir ce qu’il faut enseigner et comment. 3/ Cette désobéissance est bien une forme de résistance qui, sans se comparer à celle des héros cités plus haut, n’en est pas moins constitutive d’une résistance à la servitude volontaire dans laquelle ce pouvoir veut enfermer les individus afin d’instaurer un ordre politique et social contraires aux valeurs profondes de notre République. Ces propos sont d'Alain Refalo; tu vois, j'ai de bonnes lectures... Thierry fabre J'ai répondu clairement à vos trois questions. Il y a au moins un point d'accord entre nous, preuve que le problème n'est pas là. L'insistance de Thierry Fabre, sa façon de poser les débats est totalement perverse. Je ne suis intervenu ici que pour rectifier des propos qui au départ ne reflètent pas l'état d'esprit des enseignants désobéisseurs. Acceptez au moins que l'on puisse être en désaccord avec vous et essayez d'entendre ce que nous disons. Oui, les enseignants, du moins ceux qui sont expérimentés, sont très bien placés pour savoir ce qui est bon ou pas pour les élèves. L'expérience vaut tous les rapports d'énarques qui ne connaissent rien au terrain. Personne n'a le monopole de l'éthique, ni vous ni moi. Mais c'est précisément pour des considérations d'éthique professionnelle que nous sommes entrés en résistance, tout simplement pour ne pas renier l'éthique à laquelle nous croyons, celle qui fait l'honneur de notre beau métier. Pourquoi voulez-vous à tout prix créer des oppositions et des divisions là où il n'y en a pas ? Notre désobéissance est profondément éthique, sinon pourquoi serions-nous entrés dans cette démarche ? Pourquoi aurions-nous pris tant de risques pour nous mêmes ? Répondez vous aussi à ces questions, puisque nos interrogations et nos réponses ne vous intéressent pas. Et puis ce sera mon dernier mot, car je vous laisserai le dernier mot de cet échange quelque peu pénible. Un livre vient de sortir que je vous conseille vivement : La désobéissance éthique, enquête sur la résistance dans les services publics, d'Elisabeth Weissman, chez Stock. http://www.editions-stock.fr/livre/stock-340831-La-desobeissance-ethique-hachette.html. Vous verrez que le débat et le combat ne se situent nullement là où vous voulez le réduire. Je vous souhaite un agréable week-end de l'Ascension.
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