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URGENT double niveau: tous refusent au cycle2. QUI DOIT LE PRENDRE?


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Posté(e)

Et non , comme l'a dit Tioneb, c'est le directeur qui attribue après avis du conseil des maîtres , donc tout le monde s'exprime, fait entendre ses arguments, il y a entente tant mieux, nous sommes quand mm des adultes mais sinon c'est bien au dirlo de répartir et l'IEN n'a pas à intervenir si on respecte le texte.

Dans certaines circonscriptions, les IEN refusent que le CP soit attribué au plus débutant des PE...

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Posté(e)

bonsoir

Je sors de stage de direction,l'inspecteur nous a dit que le directeur essaie de convaincre les collègues pour le bien des élèves sinon c'est l'inspecteur qui tranche quand il n'y a pas accord.

Posté(e)

Ce sujet devrait se trouver dans la partie direction du forum car cette attribution de classe rentre dans les attributions du directeur.

Les histoires d'ancienneté, de barème ou autre ne sont que des coutumes derrières lesquelles certains se réfugient.

Voici un extrait d'une note de service d'un IEN de l'Isère :

2 – Attribution des classes au directeur et aux adjoints titulaires

L’attribution des classes aux enseignants nommés dans l’école doit s’effectuer dans le cadre de la concertation la plus large possible où tous les points de vue doivent être entendus. Le décret 89-129 du 24/02/1989 indique qu’il revient au directeur d’attribuer les classes aux enseignants adjoints après avis du conseil des maîtres.

- L’attribution des classes à l’ancienneté ou au barème, comme cela se rencontre encore, relève de l’usage et ne prend appui sur aucun texte officiel.

Sans doute, mais "l'usage" ou "les coutumes derrières lesquelles certains se réfugient" sont apparus pour certaines raisons...

C'est quoi, le versant "responsabilité du directeur" (ou de l'IEN...)? C'est l'attribution à la tête du client... Et ce sont les copains ou les copines qui obtiendront gain de cause.

Et soyez assurés qu'on arrive toujours à trouver des justifications pédagogiques à n'importe quelle situation...

Bien sûr que la règle de "l'ancienneté dans l'école" n'est pas parfaite, mais de là à préférer mettre en place un système totalement arbitraire, on peut y réfléchir à deux fois...

Posté(e)

Sans doute, mais "l'usage" ou "les coutumes derrières lesquelles certains se réfugient" sont apparus pour certaines raisons...

C'est quoi, le versant "responsabilité du directeur" (ou de l'IEN...)? C'est l'attribution à la tête du client... Et ce sont les copains ou les copines qui obtiendront gain de cause.

Et soyez assurés qu'on arrive toujours à trouver des justifications pédagogiques à n'importe quelle situation...

Bien sûr que la règle de "l'ancienneté dans l'école" n'est pas parfaite, mais de là à préférer mettre en place un système totalement arbitraire, on peut y réfléchir à deux fois...

Voilà qui devait être dit.

Posté(e)

Autre possibilité si personne ne veut du cp/ce1, en faire 2 !!! mais il faudrait connaître les effectifs de l'école.

Oui, c'est une bonne idée.

Mon autre idée est que certainement, ton cours double, dans sa composition actuelle, n'est pas assez "attractif" (nombre d'élèves, composition de la classe ...). Vois les effectifs puis propose une solution qui équilibre les trois classes : des cours simples bien plus chargés, avec la plupart des élèves pénibles, et un cours simple plus léger, avec les bons éléments et les éléments autonomes.

Tu verras, l'un d'eux se désignera. :wink:

Posté(e)

Sans doute, mais "l'usage" ou "les coutumes derrières lesquelles certains se réfugient" sont apparus pour certaines raisons...

C'est quoi, le versant "responsabilité du directeur" (ou de l'IEN...)? C'est l'attribution à la tête du client... Et ce sont les copains ou les copines qui obtiendront gain de cause.

Et soyez assurés qu'on arrive toujours à trouver des justifications pédagogiques à n'importe quelle situation...

Bien sûr que la règle de "l'ancienneté dans l'école" n'est pas parfaite, mais de là à préférer mettre en place un système totalement arbitraire, on peut y réfléchir à deux fois...

Voilà qui devait être dit.

C'est sur que si on ne voit le directeur que comme le grand méchant loup, roi du copinage ...

Mais tant qu'à réfléchir à deux fois... il doit quand même exister des directeurs qui cherchent un bon équilibre dans leur école et font en sorte arbitrairement s'il le faut, de ne pas laisser le pire du pire au dernier arrivé, mais de répartir un peu les élèves difficiles (car c'est souvent de ça qu'il s'agit) dans différentes classes.

Posté(e)

Autre possibilité si personne ne veut du cp/ce1, en faire 2 !!! mais il faudrait connaître les effectifs de l'école.

Oui, c'est une bonne idée.

Mon autre idée est que certainement, ton cours double, dans sa composition actuelle, n'est pas assez "attractif" (nombre d'élèves, composition de la classe ...). Vois les effectifs puis propose une solution qui équilibre les trois classes : des cours simples bien plus chargés, avec la plupart des élèves pénibles, et un cours simple plus léger, avec les bons éléments et les éléments autonomes.

Tu verras, l'un d'eux se désignera. wink.gif

Jed pense que tu voulais dir un cours double plus léger... sleep.gif

wink.gif

:blush: Ca doit être parce que je voyais ... double, quand j'ai écrit ça !

Posté(e)

Sans doute, mais "l'usage" ou "les coutumes derrières lesquelles certains se réfugient" sont apparus pour certaines raisons...

C'est quoi, le versant "responsabilité du directeur" (ou de l'IEN...)? C'est l'attribution à la tête du client... Et ce sont les copains ou les copines qui obtiendront gain de cause.

Et soyez assurés qu'on arrive toujours à trouver des justifications pédagogiques à n'importe quelle situation...

Bien sûr que la règle de "l'ancienneté dans l'école" n'est pas parfaite, mais de là à préférer mettre en place un système totalement arbitraire, on peut y réfléchir à deux fois...

Voilà qui devait être dit.

C'est sur que si on ne voit le directeur que comme le grand méchant loup, roi du copinage ...

Mais tant qu'à réfléchir à deux fois... il doit quand même exister des directeurs qui cherchent un bon équilibre dans leur école et font en sorte arbitrairement s'il le faut, de ne pas laisser le pire du pire au dernier arrivé, mais de répartir un peu les élèves difficiles (car c'est souvent de ça qu'il s'agit) dans différentes classes.

Mais tant qu'à réfléchir à deux fois... autant parler du sujet, à savoir l'attribution (et non la constitution) des classes et la règle de "l'ancienneté dans l'école".

Pour revenir au sujet, que le dirlo soit ou non "roi du copinage", c'est bien de copinage (autre terme pour "à la tête du client") qu'il s'agit quant on abandonne la règle de "l'ancienneté dans l'école". Et quand je disais qu'on arrive toujours à trouver des justifications pédagogiques, en voilà un bon exemple: il doit quand même exister des directeurs qui cherchent un bon équilibre dans leur école...

Posté(e)
Mais tant qu'à réfléchir à deux fois... autant parler du sujet, à savoir l'attribution (et non la constitution) des classes et la règle de "l'ancienneté dans l'école".

Pour revenir au sujet, que le dirlo soit ou non "roi du copinage", c'est bien de copinage (autre terme pour "à la tête du client") qu'il s'agit quant on abandonne la règle de "l'ancienneté dans l'école". Et quand je disais qu'on arrive toujours à trouver des justifications pédagogiques, en voilà un bon exemple: il doit quand même exister des directeurs qui cherchent un bon équilibre dans leur école...

Du grand n’importe quoi, Jean… :angel_not:

- « L’ancienneté dans l’école » n’est qu’une vaste foutaise, injustifiable sur la forme (ancienneté dans l’école, ancienneté générale, AGS, comparatif du nombre d’années, de mois, de jours ?) comme sur le fond (instaurer pour certains collègues les privilèges de l’âge)

- Il y a d’un côté des lois, qui disent le droit, de l’autre, des coutumes, des traditions. Moi, je veux bien que l’on fasse dans l’ancestral, sous réserve toutefois que cela ne nie pas le droit. Et prétendre remplacer la loi par la coutume, c’est la base de toute mafia…

- Texte de loi qui, pour une fois, est clair et précis : l’IEN n’a rien à voir dans l’attribution des classes. C’est notre boulot de dirlos, après avis de l’ensemble des collègues. Point barre et rien à y redire, si ce n’est que postuler à l’avance que tout dirlo faisant son travail de dirlo n’opérerait que sur copinage, est un tantinet insultant pour nous

- On peut légitimement trouver un texte de loi mauvais et vouloir le changer, mais il n’y a aucune légitimité à nier le droit au nom de la tradition. On peut sans honte vouloir, par idéologie, rabioter les attributions des dirlos, minorer leur rôle dans l’école, mais on doit le dire clairement, sans cacher cela derrière des coutumes n’ayant ni sens, ni fondement réel…

Thierry fabre

Posté(e)
Mais tant qu'à réfléchir à deux fois... autant parler du sujet, à savoir l'attribution (et non la constitution) des classes et la règle de "l'ancienneté dans l'école".

Pour revenir au sujet, que le dirlo soit ou non "roi du copinage", c'est bien de copinage (autre terme pour "à la tête du client") qu'il s'agit quant on abandonne la règle de "l'ancienneté dans l'école". Et quand je disais qu'on arrive toujours à trouver des justifications pédagogiques, en voilà un bon exemple: il doit quand même exister des directeurs qui cherchent un bon équilibre dans leur école...

Je remercie JeanLatreck de dire que c'est une bonne justification. Je la trouve meilleure à la tienne : dernier arrivé= dé... toi !

Par ailleurs, tu devrais expliquer comment tu peux attribuer des classes si elles ne sont pas constituées ! (sauf à attribuer des numéros aux élèves)

Pour moi, s'il y a un problème d'attribution, c'est bien souvent parce qu'il y un problème de constitution.

Bon, on peux suivre ta logique : plus ancien choisi ses élèves et donc sa classe ou inversement etc etc...

Ça doit être sympa !

Posté(e)

Pour revenir au sujet, que le dirlo soit ou non "roi du copinage", c'est bien de copinage (autre terme pour "à la tête du client") qu'il s'agit quant on abandonne la règle de "l'ancienneté dans l'école".

Du grand n’importe quoi, Jean… :angel_not:

- « L’ancienneté dans l’école » n’est qu’une vaste foutaise, injustifiable sur la forme (ancienneté dans l’école, ancienneté générale, AGS, comparatif du nombre d’années, de mois, de jours ?) comme sur le fond (instaurer pour certains collègues les privilèges de l’âge)

- Il y a d’un côté des lois, qui disent le droit, de l’autre, des coutumes, des traditions. Moi, je veux bien que l’on fasse dans l’ancestral, sous réserve toutefois que cela ne nie pas le droit. Et prétendre remplacer la loi par la coutume, c’est la base de toute mafia…

- Texte de loi qui, pour une fois, est clair et précis : l’IEN n’a rien à voir dans l’attribution des classes. C’est notre boulot de dirlos, après avis de l’ensemble des collègues. Point barre et rien à y redire, si ce n’est que postuler à l’avance que tout dirlo faisant son travail de dirlo n’opérerait que sur copinage, est un tantinet insultant pour nous

- On peut légitimement trouver un texte de loi mauvais et vouloir le changer, mais il n’y a aucune légitimité à nier le droit au nom de la tradition. On peut sans honte vouloir, par idéologie, rabioter les attributions des dirlos, minorer leur rôle dans l’école, mais on doit le dire clairement, sans cacher cela derrière des coutumes n’ayant ni sens, ni fondement réel…

Thierry fabre

Hola... Le droit contre la coutume... La majorité des écoles ne respecteraient pas le droit en appliquant la coutume "ancestrale" (comprendre, pour nos futurs chefs d'établissement, "ringarde") de "l'ancienneté dans l'école". Et ça va très loin, puisqu'il s'agirait de "nier le droit"... Mazette.

En tant que dirlo, je ne vois pas comment je déciderai d'attribuer telle ou telle classe à tel collègue plutôt qu'à tel autre (si ce n'est par copinage...), en cas de désaccord du conseil des maîtres. J'applique donc un critère objectif (voilà le sens et le fondement réel de la coutume) plutôt que le fait du prince (que je ne considère pas comme une des "attributions" du dirlo...).

Maintenant cette revendication peut parfaitement se comprendre lorsqu'elle émane de personnes revendiquant un statut de chef d'établissement, car cela peut permettre de "tenir ses troupes" en se constituant une petite cour qu'on pourra récompenser chaque année lors de l'attribution des classes...

Posté(e)

Je ne revendique pas le statut de chef d'établissement et si tu lisais bien tu verrais que la majorité des dirlos ne le réclament pas... Pourtant je suis contre cette coutume, combien de fois ai-je lu ici ou ailleurs des jeunes PE totalement démotivée, voir écoeurée car on leur avait réservé la dernière classe de l'école, la "classe poubelle" avec tous les "cas" au nom de cette sacro-sainte coutume...

Alors oui , il faut une décision et malheureusement pour toi, la loi dit bien que c'est bien le directeur de l'école qui en dernier lieu est maître à bord.

Copinage si tu veux mais bon l'ancienneté veut aussi dire copinage quand l'équipe est en place depuis 10 ans et bien soudée malgré le départ à la retraite de l'un d'entre eux et que c'est un petit jeunot qui arrive..., pour moi ce n'est pas un critère plus objectif qu'un autre :glare:

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