pupuce2000 Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 Le problème fut le même dans l'école privée où je suis cette année, une fuite de 5 élèves (dont 4 de CM2) cette année, du fait de problèmes avec la direction. Mais catégoriser le privé comme une école qui sert de bac de récupération à ce qui ne sont pas contents de l'enseignement publique me déplaît. C'est une école comme une autre. On enseigne les mêmes choses, peut-être différemment ou pas, on a des projets, ... Nous avons tout simplement un projet qui s'inscrit dans l'enseignement catholique. Donc, non, reléguer le privé comme la seconde option ou comme ceux qui prennent tout ce qui passe, c'est faux. La directrice d'une des écoles publiques a ses enfants chez nous, et nous nous entendons très bien, nous avons parfois des arrivées de chez elle, que nous refusons parfois, et des gens partent pour son école, mais à quoi bon catégoriser. On enseigne, point à la ligne. Désolé du coup de gueule, mais j'aimerai décoller l'étiquette "WARNING privé". Ce qui me laisse tout de même bien songeuse...
dada Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 Le problème fut le même dans l'école privée où je suis cette année, une fuite de 5 élèves (dont 4 de CM2) cette année, du fait de problèmes avec la direction. Mais catégoriser le privé comme une école qui sert de bac de récupération à ce qui ne sont pas contents de l'enseignement publique me déplaît. C'est une école comme une autre. On enseigne les mêmes choses, peut-être différemment ou pas, on a des projets, ... Nous avons tout simplement un projet qui s'inscrit dans l'enseignement catholique. Donc, non, reléguer le privé comme la seconde option ou comme ceux qui prennent tout ce qui passe, c'est faux. La directrice d'une des écoles publiques a ses enfants chez nous, et nous nous entendons très bien, nous avons parfois des arrivées de chez elle, que nous refusons parfois, et des gens partent pour son école, mais à quoi bon catégoriser. On enseigne, point à la ligne. Désolé du coup de gueule, mais j'aimerai décoller l'étiquette "WARNING privé". Ce qui me laisse tout de même bien songeuse... Pourquoi??? La scolarisation est une affaire de couple non? Si le conjoint d'un enseignant du public est enseignant dans la privé par exemple ( j'ai le cas dans mon école) ou si le conjoint souhaite que ses enfants soient scolarisés dans le privé pour X raisons...
dhaiphi Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 Si le public et le privé ont plein de points communs (enseignement, programmes, projets, etc.), la grande diffé&rence c'est que le public est tenu d'accueillir tout le monde alors que le privé peut refuser ou renvoyer un élève... Ce qui met en péril son existence.
hamster Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 En général, c'est pas toujours les meilleurs qui arrivent chez nous ... Il y en a, évidemment, mais on a des cas aussi très particulier : des élèves qui savent pas lire en CM, des élèves violents, ... Et on ne les garde pas forcément. Et vous en faites quoi?
pimouss26 Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 Le problème fut le même dans l'école privée où je suis cette année, une fuite de 5 élèves (dont 4 de CM2) cette année, du fait de problèmes avec la direction. Mais catégoriser le privé comme une école qui sert de bac de récupération à ce qui ne sont pas contents de l'enseignement publique me déplaît. C'est une école comme une autre. On enseigne les mêmes choses, peut-être différemment ou pas, on a des projets, ... Nous avons tout simplement un projet qui s'inscrit dans l'enseignement catholique. Donc, non, reléguer le privé comme la seconde option ou comme ceux qui prennent tout ce qui passe, c'est faux. La directrice d'une des écoles publiques a ses enfants chez nous, et nous nous entendons très bien, nous avons parfois des arrivées de chez elle, que nous refusons parfois, et des gens partent pour son école, mais à quoi bon catégoriser. On enseigne, point à la ligne. Désolé du coup de gueule, mais j'aimerai décoller l'étiquette "WARNING privé". Je pense que petit guizmo a précisé que les enfants partaient dans le privé non pour polémiquer sur public/privé mais juste pour donner un détail. Les parents ne peuvent pas inscrire leurs enfants où ils veulent dans le public mais dans le privé ils ont le choix, j'avais la même situation l'an passé (pour ceux qui s'en souviennent avec radio-vichy!!!)
dhaiphi Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 Et vous en faites quoi? C'est une plaisanterie, je présume.
dada Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 Le problème fut le même dans l'école privée où je suis cette année, une fuite de 5 élèves (dont 4 de CM2) cette année, du fait de problèmes avec la direction. Mais catégoriser le privé comme une école qui sert de bac de récupération à ce qui ne sont pas contents de l'enseignement publique me déplaît. C'est une école comme une autre. On enseigne les mêmes choses, peut-être différemment ou pas, on a des projets, ... Nous avons tout simplement un projet qui s'inscrit dans l'enseignement catholique. Donc, non, reléguer le privé comme la seconde option ou comme ceux qui prennent tout ce qui passe, c'est faux. La directrice d'une des écoles publiques a ses enfants chez nous, et nous nous entendons très bien, nous avons parfois des arrivées de chez elle, que nous refusons parfois, et des gens partent pour son école, mais à quoi bon catégoriser. On enseigne, point à la ligne. Désolé du coup de gueule, mais j'aimerai décoller l'étiquette "WARNING privé". Je pense que petit guizmo a précisé que les enfants partaient dans le privé non pour polémiquer sur public/privé mais juste pour donner un détail. Les parents ne peuvent pas inscrire leurs enfants où ils veulent dans le public mais dans le privé ils ont le choix, j'avais la même situation l'an passé (pour ceux qui s'en souviennent avec radio-vichy!!!) Dans ma ville , il n'y a pas de secteur scolaire donc les parents peuvent inscrire leurs enfants où ils veulent , comme dans le privé...
lillypo Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 Le problème fut le même dans l'école privée où je suis cette année, une fuite de 5 élèves (dont 4 de CM2) cette année, du fait de problèmes avec la direction. Mais catégoriser le privé comme une école qui sert de bac de récupération à ce qui ne sont pas contents de l'enseignement publique me déplaît. C'est une école comme une autre. On enseigne les mêmes choses, peut-être différemment ou pas, on a des projets, ... Nous avons tout simplement un projet qui s'inscrit dans l'enseignement catholique. Donc, non, reléguer le privé comme la seconde option ou comme ceux qui prennent tout ce qui passe, c'est faux. La directrice d'une des écoles publiques a ses enfants chez nous, et nous nous entendons très bien, nous avons parfois des arrivées de chez elle, que nous refusons parfois, et des gens partent pour son école, mais à quoi bon catégoriser. On enseigne, point à la ligne. Désolé du coup de gueule, mais j'aimerai décoller l'étiquette "WARNING privé". Je n'adhère pas à tes propos. Dans le public, nous avons pour obligation d'accueillir TOUS les enfants que la mairie inscrit. En cas de soucis, nous devons faire avec et en aucun cas, nous ne pouvons les renvoyer. De plus, les parents ne peuvent pas choisir librement l'école publique de leur enfant. Ils doivent demander une dérogation s'ils souhaitent l'inscrire dans une autre école que l'école de secteur/commune et ils ne l'obtiennent pas forcément. Alors qu'ils peuvent choisir l'école privé de leur enfant. Je trouve cela très différent
dhaiphi Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 Pure folie, je sais, mais les exclure, pourquoi? L'inspecteur viendrait rapido nous taper sur les doigts! La question est plutôt : les garder, pourquoi ? Vous taper sur les doigts ? Des pressions, j'en suis persuadé, mais c'est votre droit, non ?
choco28 Posté(e) 27 juin 2010 Posté(e) 27 juin 2010 En général, c'est pas toujours les meilleurs qui arrivent chez nous ... Il y en a, évidemment, mais on a des cas aussi très particulier : des élèves qui savent pas lire en CM, des élèves violents, ... Et on ne les garde pas forcément. Et vous en faites quoi? Pour ceux qu'on ne garde pas, je parlais des élèves violents. On les renvoie. Entre une collègue qui se prend un poing dans la mâchoire et un gamin enmené à cause d'un autre à l'hopital, on en arrive à là
Sophie 37 Posté(e) 28 juin 2010 Posté(e) 28 juin 2010 En général, c'est pas toujours les meilleurs qui arrivent chez nous ... Il y en a, évidemment, mais on a des cas aussi très particulier : des élèves qui savent pas lire en CM, des élèves violents, ... Et on ne les garde pas forcément. Et vous en faites quoi? Pour ceux qu'on ne garde pas, je parlais des élèves violents. On les renvoie. Entre une collègue qui se prend un poing dans la mâchoire et un gamin enmené à cause d'un autre à l'hopital, on en arrive à là Vous avez bien de la chance ; nous, on doit les garder (et tendre l'autre joue ?)
Petit_Gizmo Posté(e) 29 juin 2010 Auteur Posté(e) 29 juin 2010 ces enfants qui arrivent car ils sont renvoyés de toutes les écoles publiques du secteur... Ce que tu dis me surprend : une école publique n'a pas le droit de renvoyer un élève.
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