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Violence à l'école


Annael

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Je suis professeur des écoles et maman.

Mon fils est en CE1 dans l'école du village (je n'enseigne pas là).

Il m'a dit hier soir qu'il n'était pas le bienvenue dans cette école (il y est arrivé en septembre), que les autres enfants étaient cruels et qu'ils se livraient à un jeu où ils coursaient un gamin qui passent près d'eux (mon fils donc), l'immobilisent à plusieurs, le secouent comme un prunier et finissent par lui mettre des coups de pieds voir de poings.

Il refuse de retourner à l'école, pleure et a mal au ventre chaque soir et matin.

Je suis allée voir la maîtresse aujourd'hui qui me dit que c'est impossible que ça se passe en récré... sauf qu'il n'a pas pu inventer cela tout seul; Et la peur qu'il a au ventre non plus.

Sa maîtresse m'a dit qu'elle allait voir...

Les vacances arrivent et je pense que je ne verrai si les choses s'arrangent qu'après. J'envisage de rencontrer la directrice, voir de faire un courrier histoire de laisser des traces.

Je ne sais pas si je dois faire un courrier à l'ien si cela ne s'arrange pas après et qu'il continue à être maltraité.

Je suis démunie face à cette violence, je ne sais pas quoi faire, ni quoi dire :-(

Je lui ai dit d'aller voir un adulte, mais il me dit qu'il l'empêche de bouger. Je lui ai dit de hurler alors pour les attirer.

Je suis totalement perdue en tant que maman ce soir.

Annael

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Bonsoir,

Amusant comme le sujet intéresse quand on se sent concerner.....et enseignante de surcroit !

Je ne rentrerai pas dans le détail de mon histoire, j'en ai pris plein la figure il y a des mois lorsque je suis venue la raconter ici. Elle ressemble à la votre

Ce que moi j'ai fait ? tout simple, j'ai fait remonter assez haut pdt 1 an et ma fille en a fait les frais ( yes, super le corps enseignant parfois, heureusement qu'ils les aiment les gamins ). Résultats des courses, année d'enfer pour elle, j'ai dù la descolariser 2 ou 3 fois dans l'année, dont la dernière, qui remonte à fin Mai 2010, année terminée pour elle à ce moment là, elle était en CM1 à l'époque !

Je n'ai rencontré que mépris et indifférence et finalement j'ai décidé de la changer d'école pour sa dernière année en primaire. Elle est dans le privé, je n'ai pas eu le choix mais bonjour les dégats, elle accuse 1 retard certain en CM2......

Bref, si comme avec ma fille, on préfère faire l'autruche et protéger ses arrières pour votre enfant, alors n'hésitez pas et changez le d'école avant que la phobie scolaire ne s'installe.....Bon courage

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On ne peut pas tout voir à la récré. On essaie, mais il m'arrive d'apprendre par des élèves que des actes violents ont été commis sous mon nez.

Quand on nous signale un harcèlement, on tient les gamins à l'œil et généralement ça se tasse vite. Mais si les PE sont débordés ou, ce qui m'étonnerait plus, négligents ou aveugles, pourquoi ne pas dire à votre fils de rester à proximité des enseignants (pas collé, à proximité :smile: ) pendant la récré, le temps que ses "bourreaux" trouvent un autre défouloir ?

Après, savoir si ce sont de simples brimades ou des jeux dangereux, il faudrait des témoins.

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Je te laisse ces liens :

http://www.google.fr/url?url=http://www.sosbenjamin.org/&rct=j&sa=U&ei=Jpu-TOT8IMK4jAfk5OyEAg&ved=0CCEQFjAC&q=jeux+dangereux&usg=AFQjCNHD_Myq2D4J8xIzejw_X8hjlel8IQ&cad=rja

ce n'est pas pour te faire peur, mais juste pour que tu vois que ton fils n'est pas le seul dans ce cas et qu'il faut réagir avant que le pire n'arrive. D'après ton récit il s'agit bien d'un "jeu dangereux".

http://www.google.fr/url?url=http://eduscol.education.fr/D0203/jeux_dangereux.htm&rct=j&sa=U&ei=Jpu-TOT8IMK4jAfk5OyEAg&ved=0CCUQFjAD&q=jeux+dangereux&usg=AFQjCNG0lZjO5Csw8GLUQupS1nXy4rtE_Q&cad=rja

Là c'est la fiche EN, tu as un lien vers un dossier descriptif, tu y trouveras ce que toi tu peux faire.

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Bahhhhhhhhh bien sur ! il est tellement facile de minimiser une situation, quand on est

pas concerné perso par le problème ......Et si c'était vos propres enfants pour une fois....( ça n'arrive pas QUE chez les autres " sourire " )

On sait pourtant, combien les instit sont souvent " distaites " par leurs propres

soucis familiaux entre elles au moment des récréations plutot que de surveiller

consciencieusement ce qui peut se passer à seulement quelques petits mètres d'elles....

Et c'est la cata........

Je n'invente rien, c'est du vécu aussi et ça sort aussi de la bouche de mes enfants

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Bahhhhhhhhh bien sur ! il est tellement facile de minimiser une situation, quand on est

pas concerné perso par le problème ......Et si c'était vos propres enfants pour une fois....( ça n'arrive pas QUE chez les autres " sourire " )

On sait pourtant, combien les instit sont souvent " distaites " par leurs propres

soucis familiaux entre elles au moment des récréations plutot que de surveiller

consciencieusement ce qui peut se passer à seulement quelques petits mètres d'elles....Et c'est la cata........

Je n'invente rien, c'est du vécu aussi et ça sort aussi de la bouche de mes enfants

:blink::blink: Ca, c'est sûr que ca va aider Annael...Tu peux avoir une expérience malheureuse mais inclure tout le monde dans le même panier, c'est super limite...Evite de dire des choses comme ça, même si tu les as vécues dans une école, cela ne veut pas dire que toutes les écoles, toutes les maîtresses sont pareilles (parce que sinon, moi je vais englober aussi tout ce que m'ont dit certaines mamans pas toujours très agréables et je suis sûre que ca ne te plaira pas que je te mette dans le même sac !)..

Pour revenir au sujet, Annael, je pense que tu as très bien fait de contacter la maîtresse. Il arrive qu'on ne voit pas tout dans la cour, ne serait-ce qu'à cause d'éventuels obstacles (arbres, coins invisibles, murets, etc) ou d'autres événements dans la cour (autres évidemment que nos petits problèmes personnels :glare: )... Je pense que la maîtresse va observer plus ces enfants-là (qui parfois ne sont pas des enfants vilains au quotidien et qu'on ne suspecte pas !) et agira en conséquence... Tu as bien raison, l'essentiel est de protéger ton enfant. Et c'est la démarche à effectuer. Je suis sûre que tu auras assez vite des retours.

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Oui, il faut bien sûr prévenir la maîtresse, mais il faut aussi souffler un bon coup et ne pas dramatiser tout de suite. Je ne dis pas que ce que tu racontes est faux, hein, mais tu le sais comme nous toutes, la version de l'histoire enfant-parent/élève-enseignant n'est pas toujours la même.

Pour illustrer mon propos, une anecdote qui date de cette semaine:

- le directeur vient me voir pour me dire que la maman de L. a appelé, très énervée, pour signaler que sa fille avait été "gravement maltraitée" par D. durant la récréation, que rien n'avait été fait par les maîtresses et que sa fille était terrifiée.

- je vais voir L. et lui demande de me raconter l'histoire en lui disant ne pas savoir de quoi il s'agissait.

- au final, la version de l'histoire par L. : L. a été pincée à la joue par D. sur le temps de la cantine après une dispute. L. l'a signalé à l'animatrice de la cantine qui a demandé à D. de s'excuser et qui l'a punie. D. n'a pas recommencé. L. n'a pas peur de D., elle n'a juste pas apprécié l'histoire.

Donc: en fait de grave maltraitance, il s'agissait d'un geste certes non acceptable mais pas grave, l'histoire ne s'est pas déroulée sur le temps de classe comme le disait la maman, contrairement à ce qu'elle disait, l'enfant coupable a été punie et la victime entendue, sa fille ne paraît pas traumatisée par l'évènement. Je précise ici que mon élève est une élève de CE2 pas spécialement timide qui me dit franchement les choses.

Maintenant, si l'histoire concernant ton enfant se reproduit, prend rdv avec la maîtresse qui n'a aucun intérêt à te mentir à ce sujet.

Pour finir sur une autre anecdote, j'ai travaillé dans une classe de PS à mi-temps avec une collègue qui filmait les enfants durant plusieurs semaines après la rentrée. Le jour de la réunion des parents, certains se rendaient compte que non, leur enfant ne pleurait pas toute la journée, et que oui, 3mn après le départ des parents, leur enfant jouait avec plaisir dans la classe... Cela dédramatisait bien des situations !

A toutes fins utiles, je précise que je suis moi aussi maman, puisqu'Estelle semble faire grand cas de la question, et que non, durant la récréation, je ne discute pas de mes "problèmes familiaux" avec mes collègues... on a bien d'autres choses à faire à ce moment là... mais peut être a-t-elle le temps, elle, de discuter de sa vie avec ses collègues durant son temps de travail....

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Mon fils de CE1 m'a annoncé il y a une semaine que des enfants de sa classe le tapaient et se moquaient de lui à la récré depuis la rentrée. J'ai dit à mon bonhomme qu'il avait bien fait d'en parler.

J'ai mis un petit mot dans le carnet pour signaler les faits à la maîtresse (sans donner les noms des autres) et je lui ai proposé de la rencontrer si elle le jugeait nécessaire pour en discuter.

Elle m'a remercié par mot et m'a dit que des solutions avaient été mises en place.

Je ne sais pas lesquelles. Mon fils n'a pas voulu m'en dire plus mais il a retrouvé sa joie de vivre. Même si ma curiosité n'est pas satisfaite, ça me suffit. J'aime bien quand les affaires de l'école se règlent à l'école.

C'est la première fois que cela arrive au petit mais cette situation, nous l'avons déjà vécue (souvent :( )avec son frère.

A chaque fois, (dans des écoles différentes, avec des maîtresses différentes), nous sommes tombé sur des enseignants qui étaient à l'écoute et qui prenaient des mesures pour que le harcèlement cesse.

C'est pourquoi, j'ai tendance à croire que le cas d'une maîtresse qui serait indifférente à la détresse d'un élève serait plus l'exception que la règle.

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pourquoi ne pas dire à votre fils de rester à proximité des enseignants (pas collé, à proximité :smile: ) pendant la récré, le temps que ses "bourreaux" trouvent un autre défouloir ?

???????????

J'ai dû mal lire ... ou tu as bien écrit CA ??????

C'est chacun pour soi, donc, et tant que c'est les enfants des autres, on s'en moque. On pourrait aussi instaurer un roulement, tiens. Cette semaine, on casse la figure à truc, la semaine prochain, à machin, et ainsi de suite jusqu'à la fin de la liste, et on recommence. Le principal, c'est que les parents ( qui ne se préoccupent bien sûr que de leurs propres rejetons) puissent être facilement endormis : "mais si, vous voyez bien qu'on fait quelque chose, votre enfant n'est plus frappé à la récré".

Après, savoir si ce sont de simples brimades ou des jeux dangereux, il faudrait des témoins.

Sauf que dans le cas d'une agression (ce n'est visiblement pas un JEU pour tous les participants), les quelques enfants témoins ont peur d'être victimes à leur tour s'ils parlent. Donc, des témoins, ce ne sera pas forcément évident à trouver !

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pourquoi ne pas dire à votre fils de rester à proximité des enseignants (pas collé, à proximité :smile: ) pendant la récré, le temps que ses "bourreaux" trouvent un autre défouloir ?

???????????

J'ai dû mal lire ... ou tu as bien écrit CA ??????

Oui, m'dame :oooh:

Je vois à chaque récréation se jouer des rapports de bourreaux et de victimes entre des enfants, souvent les mêmes, avec parfois des échanges de rôle.

C'est chacun pour soi, donc, et tant que c'est les enfants des autres, on s'en moque.

:wacko: Tu démarres au quart de tour dis-moi. Et puis j'aime beaucoup qu'on parle à ma place pour dire des inepties.

On pourrait aussi instaurer un roulement, tiens. Cette semaine, on casse la figure à truc, la semaine prochain, à machin, et ainsi de suite jusqu'à la fin de la liste, et on recommence.

C' est une idée... pas bien originale et appliquée dans les cours de récréation depuis qu'il y a des cours de récréation. Alors nous on fait ce qu'on peut (quand on n'est pas en train de se raconter Secret story ou Kho Lanta) pour apprendre la civilité à certains, mais on ne va pas refaire leur éducation non plus. Et je parle d'enfants qui s'embêtent à la récré, pas de déséquilibrés qui font des expériences de mort imminente consenties ou non.

Après, savoir si ce sont de simples brimades ou des jeux dangereux, il faudrait des témoins.

Sauf que dans le cas d'une agression (ce n'est visiblement pas un JEU pour tous les participants), les quelques enfants témoins ont peur d'être victimes à leur tour s'ils parlent. Donc, des témoins, ce ne sera pas forcément évident à trouver !

Et qu'as-tu vu s'il te plaît ? La même chose qu'Estelle qui envoie des liens super angoissants à une mère qui est en train de découvrir une situation qui est j'espère beaucoup moins dramatique, voire qui marque simplement quelques difficultés d'adaptation de son fils ? Tu vis dans ton monde, moi je vis dans le mien où on n'ignore pas les dangers mais où on sait qu'à l'école primaire de belles amitiés commencent parfois par une tarte. Ce qui ne sera probablement pas notre cas, mais bon, c'est la vie.

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Non, on ne vit visiblement pas dans le même monde, et je suis bien contente que tu n'officies pas dans l'école de mes enfants ... Au passage, je suis prof, et il m'arrive trop souvent d'intervenir pour arrêter des 'jeux' dangereux dans la cour (les jeux dangereux, ce n'est pas seulement les jeux de non oxygénation auxquels tu sembles faire référence et que les enfants ne pratiquent pas devant des adultes, c'est aussi les jeux d'agression, les prises de catch ...), que les 'joueurs' soient consentants ou non. Ca m'a même valu de me retrouver à témoigner au poste, ayant été la seule adulte à intervenir pour protéger un loupiot de 5ème d'un 3ème qui venait de lui en coller une ("mais m'dame, c'était pour le taquiner !"). Je ne suis pas pour la judiciarisation, je pense que la police et la justice ont bien d'autres choses à faire ... mais en même temps, si on laisse les gamins développer sans recadrage ce genre de comportements sous prétexte qu'ils 'jouent', il ne faut pas s'étonner que ça se termine comme ça non plus.

Par ailleurs, justifier la passivité par "ça a toujours été ainsi", ça me semble un argument fallacieux. Pour bien m'en souvenir, nous nous battions assez peu dans la cour, et quand ça arrivait, on était clairement recadrés (je n'étais pas un ange, je me battais avec les garçons à l'occasion ...). C'est bien pour cela d'ailleurs, qu'on avait tendance à régler nos problèmes à la sortie. Et quand ça arrivait, ça n'avait rien d'un jeu, en fait ... Et je n'imagine même pas une seconde que les instits auraient pu observer des plus jeunes / faibles se faire frapper par d'autres sans réagir. Dans l'école de mes enfants, je n'ai pas non plus connaissance de 'jeux' de cet ordre. Tous les dépassements de bornes font l'objet d'un recadrage sérieux (exemple en début d'année dans la classe de ma fille : les agresseurs n'ont pas recommencé). Alors, bien sûr, les garçons jouent à la guerre et à la bagarre (le mien le premier, c'est un fan d'arts martiaux), mais les coups ne portent pas vraiment. Et j'espère bien que s'il y avait dérapage de sa part, les instits réagiraient comme ils ont réagi pour d'autres, c'est-à-dire tout de suite.

Bref : la violence dans les cours d'école, ça existe. C'est même assez naturel que des enfants en arrivent à se frapper pour résoudre un problème, s'ils ne connaissent pas d'autres manières d'y parvenir. Mais c'est le rôle des adultes de pacifier la cour de récré et d'y protéger tous les enfants. Et accessoirement, d'apprendre à ces chers petits comment résoudre des situations conflictuelles autrement que par des coups, et que frapper n'est pas jouer.

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Tout à fait JulieMarmotte :wink: .

@maiden :

1. Ce n'est pas Estelle mais esterella, ne confond pas les membres :wink:.

2. Ce n'est pas une maman, mais aussi une collègue (PE), donc oui je lui mets 2 liens dont un direct EN, que toi aussi tu es sensée connaître. Je ne faisais que répondre à son interrogation sur les suites à donner, si jamais les choses ne s'arrangeaient pas ! :wink:

3. Est-il donc encore utile de répéter que la violence à l'école, qu'elle que soit sa forme est intolérable et qu'elle commence par le rejet/l'exclusion, la violence physique étant le stade suivant.

4. Contrairement à toi je prends cela au sérieux, car j'ai déjà dû m'interposer physiquement lorsqu'un de mes élèves à tabasser une fille de la classe. Et oui, ça existe ! Pour ne pas en arriver là, il aurait fallu que dès le CP on lui fasse comprendre que la violence physique est interdite à l'école... je ne blâme personne, les collègues de l'époque devaient penser comme toi (au passage il a bien failli s'en prendre à moi aussi). Pour finir des enfants développent une sorte de phobie scolaire, découlant de ce genre de situations (ça aussi je l'ai connu malheureusement, je peux te dire qu'aider cet élève à se reconstruire n'a pas été facile du tout, surtout que les faits c'étaient passés dans une autre école et que la seule solution que les parents ont trouvé a été de déménager, il était 7 ans quand ça a commencé).

Voilà j'espère que maintenant tu comprends mieux pourquoi je ne restes pas là assise à ne rien dire, il s'agit d'enfant et oui on doit les éduquer à l'école, pour qu'ils aient un comportement acceptable à l'école. En dehors c'est le problème des parents, mais dans la cour de récréation c'est le nôtre.

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