elopoup Posté(e) 26 novembre 2010 Posté(e) 26 novembre 2010 Bonjour, Une collègue me fait part de son ennui car sa collègue (école à 2 classes) use de vexations constantes vis à vis d'un élève en difficulté, d'humiliations verbales et de moqueries auxquelles sont invités à participer les autres élèves. Elle ne sait pas quoi faire. La communication avec cette personne est très difficile et elle ne se sent pas de lui faire une remarque directe. Auriez vous des conseils? Merci
Kikie Posté(e) 26 novembre 2010 Posté(e) 26 novembre 2010 Et bien si tu dis vrai, je serais plus directe que cela : c'est l'intérêt des élèves qui doit primer ! Ta collègue devrait essayer de lui parler de manière indirecte, pour savoir pourquoi elle agit comme ça et comment elle considère cet élève. Si elle n'en a pas le courage, il faudrait qu'elle puisse trouver un autre interlocuteur (CPC ? IEN ?...) Et qu'en dit cet enfant ? Parle-t-il de son mal-être dans cette classe ?...
audreycita Posté(e) 26 novembre 2010 Posté(e) 26 novembre 2010 si c'est avéré, je n'hésiterais pas à intervenir pour le bien de l'élève, et même s'il s'agit d'une école à 2 classes, et que l'ambiance s'en ressente ensuite. Je ne pourrais pas faire comme s'il ne se passait rien, si la santé morale d'un enfant est en jeu.
eugénie Posté(e) 27 novembre 2010 Posté(e) 27 novembre 2010 Et les parents de l'élève ne peuvent pas intervenir : rencontre avec l'enseignant, lettre à l'inspection, voire même plainte pour calmer l'enseignant....
elopoup Posté(e) 27 novembre 2010 Auteur Posté(e) 27 novembre 2010 Merci de vos réponses. D'après ce que j'ai compris, les parents ne sont pas au courant. Je ne crois pas que l'enfant se plaigne à d'autres adultes. La discussion avec l'enseignante me paraît aussi la meilleure option pour commencer, sachant que de toute façon l'entente entre les deux collègues est déjà mauvaise. Je vais insister pour lui donner du courage. La proposition de prendre l'élève dans sa classe me paraît intéressante également. La question est à partir de quel point on est responsable et on doit signaler à notre supérieur les dérives de nos collègues (quand ça ne peut pas se régler par la communication directe).
gene1 Posté(e) 27 novembre 2010 Posté(e) 27 novembre 2010 Et si l'enfant ne se plaint pas, comment ta collègue sait-elle ce qui se passe ??? D'autres anfants en ont parlé ? L'a-t-elle vu et entendu elle même ? Comment ???
elopoup Posté(e) 27 novembre 2010 Auteur Posté(e) 27 novembre 2010 Et si l'enfant ne se plaint pas, comment ta collègue sait-elle ce qui se passe ??? D'autres anfants en ont parlé ? L'a-t-elle vu et entendu elle même ? Comment ??? Elle l'entend!! par la porte, par le couloir!
Goëllette Posté(e) 27 novembre 2010 Posté(e) 27 novembre 2010 Et si l'enfant ne se plaint pas, comment ta collègue sait-elle ce qui se passe ??? D'autres anfants en ont parlé ? L'a-t-elle vu et entendu elle même ? Comment ??? Elle l'entend!! par la porte, par le couloir! Il faut qu'elle fasse bien attention à s'assurer, avant d'intervenir autrement qu'avec une discussion avec la collègue, qu'elle soit certaine de ce qui se passe et qu'il y ait un événement déclencheur : plainte de l'enfant, ses parents, ou un camarade ou des parents d'autres élèves. C'est fou, ça, que personne ne s'en soit inquiété !
gene1 Posté(e) 27 novembre 2010 Posté(e) 27 novembre 2010 Et si l'enfant ne se plaint pas, comment ta collègue sait-elle ce qui se passe ??? D'autres anfants en ont parlé ? L'a-t-elle vu et entendu elle même ? Comment ??? Elle l'entend!! par la porte, par le couloir! Il faut qu'elle fasse bien attention à s'assurer, avant d'intervenir autrement qu'avec une discussion avec la collègue, qu'elle soit certaine de ce qui se passe et qu'il y ait un événement déclencheur : plainte de l'enfant, ses parents, ou un camarade ou des parents d'autres élèves. C'est fou, ça, que personne ne s'en soit inquiété ! Ben voilà, c'était le fond de ma pensée ... De même qu'il faut être prudent et ne pas laisser perdurer ce genre de situation si humiliation il y a vraiment, de même il faut être prudent et ne pas lever un lièvre qui n'existe pas ( le "y a pas de fumée sans feu" aurait vite raison de la carrière et de la réputation de la collègue si jamais il s'avérait que , pourtant, il n'y avait rien de vrai ... ) : des faits, rien que des faits
elopoup Posté(e) 27 novembre 2010 Auteur Posté(e) 27 novembre 2010 De très bonnes réflexions... merci bien
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