fanette Posté(e) 4 janvier 2011 Posté(e) 4 janvier 2011 Pour garder un oeil critique sur le système, je vous soumets cette lecture...Ecole démocratique médiapart.pdf
fanette Posté(e) 5 janvier 2011 Auteur Posté(e) 5 janvier 2011 Déprimant peut-être, mais salutaire, certainement ! Un sursaut de tous est indispensable pour sauver/refonder l'école démocratique. Pour connaitre les études antérieures de ce chercheur, il n'exagère pas...
kabibi9 Posté(e) 7 janvier 2011 Posté(e) 7 janvier 2011 article de LIBÉRATION du 7/01/2011 Jacob veut remettre en cause «l'embauche à vie des fonctionnaires» Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale propose d'«envisager, à l’avenir, des contrats d’objectifs sur cinq ou dix ans» Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Christian Jacob, s'interroge sur «la pertinence» de «l'embauche à vie des fonctionnaires», dans un entretien au mensuel Acteurs publics, daté de janvier. A la question de savoir si «la question du statut» des fonctionnaires est «taboue», il répond: «Jusqu'à aujourd'hui, oui». «Lorsque j’étais ministre, j’en avais parlé de manière informelle avec les syndicats. L’accueil avait été frais, mais il ne faut pas s’interdire d’en débattre. Comme il ne faut pas s’interdire non plus de réfléchir à la pertinence de l’embauche à vie des fonctionnaires», ajoute le député-maire de Provins (Seine-et-Marne) qui avait été ministre de la Fonction publique entre 2005 et 2007. «Du secteur privé au secteur public et vice versa» «Ne pourrait-on pas envisager, à l’avenir, des contrats d’objectifs sur cinq ou dix ans, qui permettraient à des gens de passer du secteur privé au secteur public et vice versa?», s'interroge-t-il encore. Le chef de file des députés UMP «sait que c’est compliqué pour les ministères régaliens, mais c’est peut-être possible, par exemple, dans l’équipement ou la recherche». «On doit pouvoir poser ce débat sans crainte.» Il juge, par ailleurs, qu'il faut «continuer» dans la voie de la réduction du nombre de corps de fonctionnaires, qu'il avait «accélérée» quand il était ministre, «parce que cela crée de la mobilité».
fanette Posté(e) 7 janvier 2011 Auteur Posté(e) 7 janvier 2011 argh mais c'est un sociologue ? En effet, c'est un sociologue de l'éducation. Penses-tu que son statut de sociologue représente un problème quant à la pertinence de son propos ? En effet, les professionnels du terrain se méfient parfois des chercheurs, la réciproque étant vérifiée aussi... C'est une vraie question, hein !, pas du tout une provocation J'aimerais connaître votre sentiment là-dessus d'ailleurs
Boogie44 Posté(e) 8 janvier 2011 Posté(e) 8 janvier 2011 en fait j'ai écrit ça parce que j'ai eu quelques échanges un peu vifs sur ce forum avec quelques participants qui défendent, hum disons... une forme aigüe d'anti-intellectualisme du type "le terrain réel et vrai versus la volatilité des théories fumeuses" j'avais rappelé à cette occasion que "la recherche" était aussi un terrain, plein de réel, de pratiques différentes, de lutte aussi, etc. mais la lâcheté crasse des "crânes d'œufs", qui ne sauraient qu'enfler leur discours vaporeux au détriment de la vraie vie des vrais gens de terrain, fini toujours par gagner, à la fin, voyez bref je m'égare : mon incise était très ironique. Choukri Ben AYed fait partie des sociologues que j'apprécie - car leurs travaux ne se valent pas tous.
fanette Posté(e) 8 janvier 2011 Auteur Posté(e) 8 janvier 2011 En posant mes questions, je ne souhaitais pas relancer une ancienne polémique (semble-t-il ?). Ce clivage terrain/recherche m'interpelle... J'aimerais connaitre les points de tensions entre les deux qui font que parfois, cela fait des étincelles... J'ai aussi connu des recherches menées conjointement entre des équipes enseignantes et des chercheurs et où cela s'est bien passé. Mufab, est-ce que l'école démocratique ne commence pas là, dans un respect de chacun ? Ou alors, l'école démocratique doit-elle rester aux mains des seuls acteurs de terrains ? Là encore, il n'y a aucune provocation, juste des interrogations. Tu peux me répondre en MP...
Invité mufab Posté(e) 8 janvier 2011 Posté(e) 8 janvier 2011 (modifié) Non, non. Je respecte. C'est juste que je n'ai pas grand chose à dire mais que je ne peux m'empêcher de l'ouvrir. (Après j'efface en général). Je vous lis, je vous lis. Faut continuer. Modifié 10 janvier 2011 par mufab
fanette Posté(e) 14 janvier 2011 Auteur Posté(e) 14 janvier 2011 Petit up pour vous redire de ne pas hésiter à diffuser autour de vous ce document
Boogie44 Posté(e) 14 janvier 2011 Posté(e) 14 janvier 2011 Et celui-ci : "dix idées reçues sur les élèves des classes populaires" Par ailleurs, pour celles et ceux qui ont un peu l'habitude de lire des publications savantes (et pour les autres qui ont envie - et le temps - de travailler), Choukri Ben Ayed a coordonné un récent numéro de la revue Acte de la recherche en sciences sociales titré : "Ecole ségrégative, école reproductive"
fanette Posté(e) 14 janvier 2011 Auteur Posté(e) 14 janvier 2011 Effectivement, et ce numéro est des plus intéressants... Je ne sais pas si on a les mêmes sources pour "dix idées reçues sur les élèves des classes populaires" mais je vous invite tous à rejoindre "le Phare"
fanette Posté(e) 21 février 2011 Auteur Posté(e) 21 février 2011 Au vu des récents sujets postés, je fais remonter cet article... Bon courage tout le monde !
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