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Posté(e)

Bonjour,

je sais que certains ont toujours ici le texte de référence qu'il faut!!

Je voudrais savoir si la pub est autorisée à l'école et s'il existe un texte? En clair, peut-on faire de la pub pour un commerce dans le journal scolaire?

Merci

Posté(e)

Je parle d'une grande chaine de boulangerie qui a un encart dans le journal, contre quelques viennoiseries.

Posté(e)

Je parle d'une grande chaine de boulangerie qui a un encart dans le journal, contre quelques viennoiseries.

Donc c'est bien un encart publicitaire : la réponse est non.

Voir la circulaire 2001-053 du 28 mars 2001 que tu trouveras ici.

:wink:

Merci, c'est exactement ce que je cherchais!!!

Posté(e)

Le texte en question fait référence aux brochures scolaires de "présentation", pas aux journaux d'école...

Je ne suis pas certain que la réponse soit aussi tranchée, cf site du Clemi....

Comment financer un journal scolaire ? L’information n’est pas gratuite. Ne serait-ce que pour la reproduire, le matériel a un coût (ordinateur, traitement de texte, scanner, papier, photocopies,...)

Trois moyens de financement sont envisageables :

  • 1. Les lecteurs : vente du journal
  • 2. Les annonceurs : publicité (démarchage auprès d’annonceurs locaux potentiels), parrainage, prestations gracieuses
  • 3. Les subventions : mairie, conseil général, conseil régional...

Posté(e)

Et quid d'un IEN qui nous encourage à faire appel à des sponsors privés pour financer les voyages scolaires et diminuer le coût pour les familles ? Je sais que c'est un peu hors-cadre mais je voudrais éviter d'ouvrir un post rien que pour cela.

Merci.

Posté(e)

Le texte en question fait référence aux brochures scolaires de "présentation", pas aux journaux d'école...

Je ne suis pas certain que la réponse soit aussi tranchée, cf site du Clemi....

Comment financer un journal scolaire ? L'information n'est pas gratuite. Ne serait-ce que pour la reproduire, le matériel a un coût (ordinateur, traitement de texte, scanner, papier, photocopies,...)

Trois moyens de financement sont envisageables :

  • 1. Les lecteurs : vente du journal
  • 2. Les annonceurs : publicité (démarchage auprès d'annonceurs locaux potentiels), parrainage, prestations gracieuses
  • 3. Les subventions : mairie, conseil général, conseil régional...

La réponse est simple : neutralité du service public d'éducation...

Mais je poserais la question à mon IEN à la place de la collègue...

J'édite : je me méfierais des suggestions du CLEMI qui n'engage en rien sa resposnabilité, je me rapprocherais aussi de mon OCCE départementale pour poser la question...

Il n'est en effet pas certain que le principe de neutralité soit mis en cause dans ce cas. Pompiers et policiers diffusent également des "productions personnelles" (calendriers, journaux...) sponsorisées par des entreprises privées.

Posté(e)

Ce n'est pas une question de financement du projet, mais plutôt une histoire de contenu. Cette grande chaine de boulangerie a offert des viennoiseries aux élèves et en échange elle a une pub dans le joural. je trouve personnellement ces pratiques assez douteuses et c'est pourquoi je voulais un texte, celui du BO me semble très clair, le CLEMI donne un cadre pour le financement, ce qui n'est pas l'objet, son tirage est fait par la mairie.

Posté(e)

Le texte en question fait référence aux brochures scolaires de "présentation", pas aux journaux d'école...

Je ne suis pas certain que la réponse soit aussi tranchée, cf site du Clemi....

Comment financer un journal scolaire ? L'information n'est pas gratuite. Ne serait-ce que pour la reproduire, le matériel a un coût (ordinateur, traitement de texte, scanner, papier, photocopies,...)

Trois moyens de financement sont envisageables :

  • 1. Les lecteurs : vente du journal
  • 2. Les annonceurs : publicité (démarchage auprès d'annonceurs locaux potentiels), parrainage, prestations gracieuses
  • 3. Les subventions : mairie, conseil général, conseil régional...

La réponse est simple : neutralité du service public d'éducation...

Mais je poserais la question à mon IEN à la place de la collègue...

J'édite : je me méfierais des suggestions du CLEMI qui n'engage en rien sa resposnabilité, je me rapprocherais aussi de mon OCCE départementale pour poser la question...

Il n'est en effet pas certain que le principe de neutralité soit mis en cause dans ce cas. Pompiers et policiers diffusent également des "productions personnelles" (calendriers, journaux...) sponsorisées par des entreprises privées.

Pompier oui et dans le cadre stricte de leur association (d'ailleurs, ils n'ont normalement pas le droit d'utiliser leur tenue de service lors des actions comme vente de calendriers ou tenue de buvettes lors des manifestations diverses), mais policier, je 'ai jamais vu...

D'ailleurs, je n'ai jamais vu mention de sponsors sur leurs tenues de travail ou sur leurs véhicules... :lol:

Effectivement, celles que j'ai vues chez les policiers étaient dans des journaux syndicaux (que j'ai feuilletés par hasard en garde à vue pour avoir fait sponsoriser mon cours d'EPS par un grand laboratoire pharmaceutique... :cry: .... :devil_2: ).

Posté(e)

Merci pour ta réponse Dajta; je travaille dans le public et le message de l'IEN était : Fini les voyages au-delà de 40 euros par élève, essayez de trouver des sponsors si la municipalité ne peut pas suivre.

Peut-être que dans sa bouche sponsor voulait dire mécène anonyme ...

Posté(e)

Il y a peut-être une association des généreux mécènes anonymes ! :lol:

Ca me rappelle la première année où j'étais directrice, au moment de la préparation de la fête de l'école, car la coutume voulait qu'elle soit annoncée par une magnifique affiche encadrée d'une quinzaine de sponsors locaux dont certains vendant ... de l'alcool et même de la lingerie ! :D

Evidemment, ces sponsors fournissaient ... les lots de la tombola, pour laquelle les élèves faisaient du porte-à-porte dans leur quartier pour vendre les billets !

Et ce n'était pas la seule école où ça se passait ainsi !

Posté(e)

C'était un autre temps... :sad:

Oui, qu'il était bon le temps où les élèves faisaient du porte-à-porte pour vendre les billets de tombola deux fois leur prix, se faisant un peu d'argent de poche, et n'apportaient pas aux gagnants les bouteilles de pinard, qu'ils se vidaient dans le gosier en cours de route, ni les ensembles de lingerie qu'ils revendaient sous le manteau ! :lol:

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