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stress découragement ?


clé5127

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Bonsoir à tous,

Je voulais savoir si j'étais la seule à qui le découragement tendait les bras très régulièrement. En effet, avec toutes les mauvaises nouvelles sur l'avenir du métier , le manque d'information vis à vis des oraux .... je me retrouve parfois toute angoissée mais également totalement découragée. De plus, la surcharge de travail demandée par l'IUFM n'aide pas à crois que arriver à devenir PE devient impossible ....

S'il vous plait rassurez moi et dites moi que c'est normal et que je ne suis pas la seule dans ce cas.

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Bonsoir clé5127...

Ah.....le découragement, il nous guette toutes et tous...pourtant, il faut le surmonter, même si c'est facile à dire. Je suis parfois découragé, car la tâche est immense et puis mon cas est particulier à bientôt 41 ans, je prépare ces oraux seul... avec les bouquins mais hors du contexte des études, le plus dur c'est trouver et conserver la motivation...

Travailler régulièrement, savoir déconnecter quand il le faut...et varier les matières, et exercies... pour rompre la routine et éviter la démotivation et la sensation de se noyer dans nos préparations....

Courage à toutes et tous !!!! il en faut des tonnes !!!!!

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:smile: Allez dites vous que personne ne se sent en confiance, et que ce soit l'IUFM ou le boulot ou la vie de famille, selon les situations, chacun a une charge de travail énorme pour y arriver. Et puis ceux ou celles qui sont trop confiants ne sont pas ceux qui vont réussir ; alors comme le dit Delta varie les exercices pour éviter la monotonie, il faut mieux bosser peu mais bien, et pense positif et soit fière de toi quand tu réussis à faire quelque chose, par petites étapes et petits objectifs ça parait moins insurmontable ;)

Et puis malgré les annonces de réduction de postes et autres il y a des postes à pourvoir : pourquoi ce serait quelqu'un d'autre plutôt que toi ? Tu en as les capacités, vois le verre à moitié plein, ça aide à se booster :wink:

Courage et dans les moments de doute fais le vide, le temps de se recentrer, puis décompression ! Dans quelques mois ce sera passé alors donne toi toutes tes chances :)

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Je sais que la charge de travail que l'on vous demande est impressionnante et que vous vous sentez dépassés MAIS vous avez franchi une première étape, celle des écrits et déjà cela c'est un beau résultat (gardez le à l'esprit). Les oraux étant tout nouveaux, vous êtes tous et toutes dans l'incertitude la plus totale (ce que je trouve anormal). Entrainez vous si possible à plusieurs pour présenter vos séquences, échangez vos séquences sur le forum, piochez sur le site des académies.

Pour Deltafoxx, essaye peut-être sur EDP de trouver des personnes qui comme toi peuvent bosser via mail (tu l'as peut-être déjà fait)

J'ai déposé mon exposé de danse sur le site, si certains en ont besoin.

Vous avez aussi 3 livres intéressants (qui vous serviront plus tard) : Mettre en oeuvre les programmes de français du CP au CM2 (que vous pouvez feuilleter ici :http://www.iufm.fr/applis/actualites/spip.php?article808 ), Mettre en oeuvre les programmes de maths du CP au CM2 ici : http://pvevent1.immanens.com/fr/pvPage2.asp?skin=haenoicons&pa=1&puc=002363ν=1 sans oublier Mettre en oeuvre le programme à l'école maternelle là : http://www.enseignants.hachette-education.com/pi/fiche.php?idArticle=379146.

Ces trois livres (conformes aux programmes 2008) décortiquent les compétences des programmes (donc peuvent vous servir pour la construction de vos séquences) et pointent les difficultés dans chaque domaine (de manière assez brève certes).

Et bien évidemment pour se tenir informé de l'actualité, le site Eduscol et le site du ministère sont de bonnes bases.

Pour des questions, n'hésitez pas par MP.

Bon co courage ! :clover:

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Stress découragement! Voilà 2 mots qui font partie de mon quotidien depuis que je me suis lancée dans l'aventure du CRPE! A tel point qu'après avoir passé le concours 3fois admissible mais non admise je me suis arrêtée 2ans sinon j'allais capoter!!

Mais je m'y suis remise cette année et je suis admissible et finalement je trouve que c'est bien que ce soit de nouvelles épreuves au moins nous sommes tous logés à la même enseigne!

Alors courage! :wink:

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Le même post existe sur le forum forprof. Que l'on aie ou non une formation, j'ai l'impression que la doute prédomine chez la plupart des candidats...

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Bonsoir !

C'est le sujet de discussion qui m'a interpellé en premier lorsque je me suis connectée hier mais je ne pouvais pas encore répondre car je suis une toute nouvelle inscrite. Je suis en M2, inscrite à l'IUFM et je n'ai pas été admissible cette année au CRPE. Cependant, je ressens moi aussi beaucoup de pression et de stress à cause des diminutions de poste auxquelles je devrai faire face dans quelques mois.

Ce que je pense c'est qu'il faut donner le meilleur de soi peu importe ce que l'on fait, que ce soit le mémoire, l'entraînement à l'oral et se dire que le travail doit être fourni pour nous mais aussi pour nos futurs élèves et tous ceux que l'on va fréquenter et qui ne verront qu'en nous que le professeur. En ce qui concerne le manque d'informations, je crois qu'il faut s'y faire pour le moment car d'après ce que j'ai vu lors de mon stage, il faut savoir être très patient, rester calme et composer avec les renseignements que l'on a déjà la plupart du temps et ça c'est une des composantes du métier aussi.

Bon travail et beaucoup de persévérance.

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Bonsoir !

C'est le sujet de discussion qui m'a interpellé en premier lorsque je me suis connectée hier mais je ne pouvais pas encore répondre car je suis une toute nouvelle inscrite. Je suis en M2, inscrite à l'IUFM et je n'ai pas été admissible cette année au CRPE. Cependant, je ressens moi aussi beaucoup de pression et de stress à cause des diminutions de poste auxquelles je devrai faire face dans quelques mois.

Ce que je pense c'est qu'il faut donner le meilleur de soi peu importe ce que l'on fait, que ce soit le mémoire, l'entraînement à l'oral et se dire que le travail doit être fourni pour nous mais aussi pour nos futurs élèves et tous ceux que l'on va fréquenter et qui ne verront qu'en nous que le professeur.

Le problème, c'est qu'avec la baisse des postes, un grand nombre de M2 métiers de l'enseignement ne sera jamais enseignant. C'est cruel mais c'est la réalité. Ils vont devoir se réorienter avec leur bac+5 qui ne servira à rien. Quant à la vie de vacataire éducation nationale, tu ne peux rien bâtir avec un emploi précaire! D'où le stress et la pression ressentis par un grand nombre de candidats qui ont consacré en plus de leurs années d'études un grand nombre d'années au concours! :cry::glare:

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Bonsoir !

C'est le sujet de discussion qui m'a interpellé en premier lorsque je me suis connectée hier mais je ne pouvais pas encore répondre car je suis une toute nouvelle inscrite. Je suis en M2, inscrite à l'IUFM et je n'ai pas été admissible cette année au CRPE. Cependant, je ressens moi aussi beaucoup de pression et de stress à cause des diminutions de poste auxquelles je devrai faire face dans quelques mois.

Ce que je pense c'est qu'il faut donner le meilleur de soi peu importe ce que l'on fait, que ce soit le mémoire, l'entraînement à l'oral et se dire que le travail doit être fourni pour nous mais aussi pour nos futurs élèves et tous ceux que l'on va fréquenter et qui ne verront qu'en nous que le professeur.

Le problème, c'est qu'avec la baisse des postes, un grand nombre de M2 métiers de l'enseignement ne sera jamais enseignant. C'est cruel mais c'est la réalité. Ils vont devoir se réorienter avec leur bac+5 qui ne servira à rien. Quant à la vie de vacataire éducation nationale, tu ne peux rien bâtir avec un emploi précaire! D'où le stress et la pression ressentis par un grand nombre de candidats qui ont consacré en plus de leurs années d'études un grand nombre d'années au concours! :cry::glare:

cet état d'esprit de découragement n'est pas l'apanage des seuls "jeunes enseignants", malheureusement, navigant quotidiennement dans les écoles de ma circonscription, je ne peux que constater ce fait quelle que soit la tranche d'âge des collègues rencontrés.

:sad:

Il devient de plus en plus difficile d'exercer notre métier et bon nombre des T1 ou T2 que je rencontre commencent sérieusement à réfléchir à une autre voie professionnelle tant la pression, la charge de travail et le peu de considération contribuent à saper systématiquement tous les rares plaisirs que l'ont peut encore éprouver dans son métier...

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Bonjour,

Ca me fait du bien de voir que je ne suis pas la seule à douter.

Moi aussi je passe par toutes les couleurs de l'arc en ciel : stressée / démotivée avec l'impression n'être nulle et incapable d'y arriver (augmentée car j'ai dû avoir des notes aux oraux vraiment mauvaises) / puis motivée en me disant que nous sommes tous dans la même galère.

Cette préparation est vraiment difficile car les candidats ne connaissent pas le niveau attendu pour les oraux... mais je pense que c'est aussi le cas des futurs jurys : dans la mesure où c'est la première fois qu'on a ce type d'épreuve, il est difficile d'évaluer le niveau des candidats.

Nous sommes vraiment dans une configuration concours où notre prestation sera jugée par rapport à celles des autres.

Personnellement je me demande si c'est la première partie de présentation de la séquence ou la deuxième partie entretien qui aura le plus d'importance dans la notation... en espérant que l'entretien pourra servir à se "rattraper" dans le cas où la séquence ne serait pas terrible.

C'est tout de même ce qui se passe lorsqu'on est enseignant débutant : on prépare, on applique et on constate si ça marche ou pas, on est (théoriquement) conseillé afin d'améliorer notre pratique, et donc on ajuste ! Comment nous demander d'être "bons" sans avoir pratiqué ??? Et sur tous les cycles tous les niveaux ? Même avec un stage en responsabilité, on n'a pas fait tous les cycles, tous les domaines...

De la motivation !

Et je rajoute : vive le forum EDP, vraiment précieux à plusieurs niveaux :smile: .

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A mon avis c'est le tout de ta présentation qui compte ; et la remise en question de ce que tu présentes, avec les questions du jury, sert aussi à réajuster par rapport à ce que tu proposes. Un candidat crispé, pas du tout dans l'esprit du concours, qui n'a pas réfléchi aux questions qu'on pourrait lui poser, qui ne se remet pas en cause ou qui n'est pas très constructif avec les remarques qu'on lui fait, j'imagine que ça ne laisse pas une très bonne impression... Pas mal de paramètres vont jouer, mais à l'inverse ne pas être sur de son truc et ne pas le défendre quand c'est nécessaire, pas génial non plus...

Bref, ne pas se décourager ;)

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stress et découragement, dame oui ! (comme on dit en bretagne)...

j'ai déjà un master, formation qui m'a donné beaucoup de plaisir, qui m'a apporté beaucoup - et je peux vous dire pourtant que ça été déstabilisant et exigeant, comme tous les apprentissages

mais là je suis proprement scandalisé de la façon dont se déroule les masters. Je ne connais rien d'autre que de la surcharge, de travail, de pression, d'informations (moi je trouve qu'on est saturé d'infos, vu que tout bouge tout le temps, évolue en permanence, c'est usant), et tout ça aboutit à une surcharge cognitive

comment se former à un métier dans un tel état d'esprit ? Le temps de prendre du recul, de réfléchir, de faire autre chose aussi (les moments apparemment "improductifs", bannis de plus en plus dans toutes les organisations du travail, sont en fait extrêmement utiles !), tous ces temps n'ont pas droit de cité. Moi je ne supporte pas d'être soumis à une pression aussi forte, c'est tout simplement insupportable. On nous fixe des objectifs inatteignables : C2i2e, CLES ou BULLATS, dossiers, séquences et exposés, préparation des oraux, préparations de nos classes, construction d'un mémoire de recherche... halte là ! Rien que la préparation des oraux suffirait largement à remplir un emploi du temps... ce qu'on vit est COMPLETEMENT fou ! Et je crains qu'à force on ne s'en rende même plus compte. Ce à quoi me fait penser ce qu'on traverse, c'est ce que vivent énormément de salariés du privé (et du public, de plus en plus) qui sont soumis aux nouvelles formes hallucinées et totalisantes des pratiques de l'idéologie managériale : plus, toujours plus, toujours plus. Aucune respirations, une standardisation des comportements professionnels attendus (et évalués !) qui flirtent avec des conceptions mécanistes de l'humain, aucune ou, au mieux, de moins en moins de possibilités laissées aux professionnels de s'acquitter de leur travail de la façon dont ils et elles souhaitent s'en acquitter - puisque le temps est à la méfiance, au flicage et au contrôle, et plus du tout ou de moins en moins à la confiance dans l'investissement dont les personnes peuvent faire preuve quant à leur poste de travail et aux missions de service public qui y sont attachées.

On devient fous à cause d'une idéologie folle et destructrice, l'idéologie managériale, adossée au néo-libéralisme, dont elle est le bras armé. Le néo-libéralisme n'est pas qu'un mot et certainement pas qu'une invocation, c'est, comme le fascisme en son temps, l'idéologie dominante qui nous pourrit la vie, et qu'il nous revient de combattre, au quotidien - après tout, elle affecte l'ensemble des économies d'échanges, parfois jusqu'aux plus intimes.

je suis découragé, et si je poursuis et travaille les oraux c'est avant tout pour ma famille, parce que si j'étais seul et sans enfant je serai déjà parti loin de ce carnage. C'est un carnage : ils ont détruit l'alternance, ils nous mettent en concurrence les un.e.s avec les autres, ils nous imposent des conditions de formation (et plus généralement, et de plus en plus, des conditions de travail) qui ne permettent pas de souffler, de réfléchir, de faire autre chose : tout, tout, tout pour le système productif, tout pour le système productif, nouvel ogre qui nous bouffe littéralement la vie.

Nos heures les plus "matinales", comme dit Henry David Thoreau (pour celles et ceux qui ont lu "walden"), c'est à dire nos heures où nous sommes le plus disponible émotionnellement et intellectuellement, à quoi les consacrons-nous ?

A bosser, à bosser, à bosser. On les passe sur nos lieux de travail, et on a guère le loisir de les consacrer à nos enfants, à nos parents, à nos conjoints, à nos voisins, à nous-même, à notre lieu de vie, etc. On se fait bouffer le temps, on se fait dévorer par cette bête immonde qui nous enjoint de consacrer nos vies à produire, produire, produire, et dans notre cas, jeunes enseignants en formation, à standardiser la pratique de notre métier sur la base d'une centration sans précédent sur les savoirs strictement scolaires, sur la base d'une obsession rentabiliste d'une maîtrise des savoirs scolaires, en évacuant dans le quotidien des enfants (comme dans le nôtre) toute part potentiellement consacrable au rêve, à l'ennui, à la découverte fortuite, à l'évasion, et même à la coopération, à la découverte des autres, de soi, de ce que c'est que de partager une activité à plusieurs individus très différents, à découvrir et comprendre la vie des autres et notre propre vie... tout ça, pourtant le cœur même d'une vie porteuse de sens et d'apprentissage, est évacué et enterré sous des monceaux d'injonctions incessantes et enfermantes qui nous enjoignent de tirer profit du moindre morceau de temps disponible, sans perdre un instant, sans tarder, afin de préparer au mieux les enfants, dés la maternelle, à la vie qu'on leur a préparer, c'est à dire, comme tout le monde, bosser tout le temps, servir le système productif parce que, quand même, on le sait, c'est évident, la croissance des points de PIB c'est le bonheur de la population - qu'on soit les champions du monde de consommation de neuroleptiques et diverses substances médicamenteuses qui permettent de masquer nos souffrances et nos doutes est un détail sur lequel il ne faut pas s'attarder; il faut plutôt écouter les économistes au service de l'ordre social et économique nous dire qu'il faut travailler plus, et moins réfléchir encore, d'autres s'en occupent pour nous.

De ce point de vue, il faut être honnête, et constater une chose : ce qui arrive à la profession enseignante en ce moment n'est ni plus ni moins ce que connaissent déjà et depuis longtemps la majorité de la population active. Relativement protégés par le fonctionnariat (évidemment de moins en moins, comment ne pas le constater), les enseignants rejoignent actuellement le lot commun du salariat moderne... peut-être alors peut-on se saisir de cette chance pour comprendre certains enfants, ou plutôt certaines catégories d'enfants, dont les parents vivent l'exploitation à tout les niveaux de leur vie depuis toujours, à la suite de leurs propres parents ? Comment est-il encore possible de s'interroger sur les évolutions du public scolaire sans faire le lien avec ce que vivent les parents sur leurs lieux de travail et dans l'organisation de leur journée ? Je ne comprends pas ceux qui déblatèrent et glosent sur tout ce qui est possible (surtout le plus stupide et le plus généralisant) en termes de causes des (nouvelles ?) attitudes des enfants à l'école en oubliant, c'est étrange, de parler de l'inscription des enfants dans leur cellule familiale, et de la vie trépidante de beaucoup d'entre eux, et de la perception qu'ils et elles ont du travail de leurs parents qui en chient des ronds de chapeau dans leur usine, dans leur bureau, sur leur chantier ?

Le problème du droit du travail, des conditions de travail, de cette écrasante domination de l'idéologie managériale, c'est le problème de l'école, parce que c'est ce que portent les élèves comme conception du monde des adultes, qui vivent plus au travail qu'éveillés dans leur propre famille, et c'est ce vers quoi tendent à les préparer l'école, au lieu de travailler à transformer et améliorer notre organisation sociale.

Bon j'ai écrit un roman, je crois que je ne vais pas aller en cours cette AM non plus, je dois préparer ma classe. Et réfléchir à mon mémoire. Et programmer mes activités de C2I. Me renseigner sur quand sont les heures de préparation au CLES d'anglais. Prévoir un temps pour les évaluations en dida de maths, de français, d'histoire géo, d'APS, de SGE et de sciences, et de musique aussi. Ah et je dois aussi penser à préparer un peu mes oraux. et je dois courir le 1500 mètres, je n'ai que 12 avec mon temps actuel.

Mais bon à part ça, ceux et celles qui vont devenir PES cette année pourront se dire que, quand même, c'est eux les meilleur.e.s et que les autres bah ils et elles ont pas su bosser et puis c'est tout quoi, quand on veut se donne les moyens quoi, que le meilleur gagne... quand je vois comment certain.e.s de mes camarades font face aux relations humaines... vivent la pédagogie qui vise à l'émancipation et à l'auto-formation... hourra.

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