esterella Posté(e) 23 juillet 2011 Posté(e) 23 juillet 2011 A lire je me rends compte que 2 choses se mélangent dans la discussion : le recrutement et le mouvement. C'est le recrutement qui est rejeté en bloc par les personnes ici. Je mets une citation du député à l'origine du rapport : http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=1&ved=0CC4QFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.atlantico.fr%2Fdecryptage%2Frapport-information-professeurs-enseignants-capes-agregation-concours-139737.html&rct=j&q=fin%20concours%20pour%20profs&ei=sqcqTpjbGMed-QbNkNzrBg&usg=AFQjCNGMZB73nl7QtWuuJBQsbcnDG5qb-Q&cad=rja "Les académies prendraient alors les meilleurs étudiants, qui sortent d’un master, avec un concours régional. Et je voudrais aussi que les chefs d’établissement fassent partie des jurys de concours." On parle bien de chef d'établissement et plus de directeur d'école... et on ne parle pas de les prendre tous, mais uniquement les meilleurs avec concours, jury... et ce n'est pas pour un poste, mais bien pour être sur la liste des IA. Et un autre article qui explique explique les conséquences de perte du statut de fonctionnaire : http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=2&ved=0CCAQFjAB&url=http%3A%2F%2Fwww.lepost.fr%2Farticle%2F2011%2F07%2F15%2F2549486_bientot-la-suppression-des-concours-de-professeur-des-ecoles.html&rct=j&q=fin%20concours%20pour%20profs%20et%20s%C3%A9curit%C3%A9%20de%20l%27emploi&ei=96oqTqLcA4n0-gadl-HxBg&usg=AFQjCNFRL4NJdE78bSXlEQI2nJQAef7bYQ&cad=rja "Une finalité idéologique : en perdant leur statut de fonctionnaire et la sécurité de l’emploi, les enseignants risquent de perdre très rapidement leur liberté pédagogique. Recrutés sur profil en fonction des projets d’établissement, eux-mêmes subordonnés aux impératifs des bassins d’emploi et des politiques régionales, les enseignants seront mis à la botte de pouvoirs locaux dont dépendra la reconduction de leur contrat. La volonté de faire disparaître les IUFM est un autre aspect idéologique de la réforme de la formation des enseignants. Le gouvernement veut en finir avec ces instituts où s’élabore et se diffuse une pensée critique sur les pratiques d’enseignement, s’appuyant sur les acquis de la recherche et non sur les injonctions ministérielles. " (J'ai volontairement ignoré les textes des syndicats...) C'est vraiment ça que vous voulez, j'en doute fort...
titandalouses Posté(e) 23 juillet 2011 Posté(e) 23 juillet 2011 Pas faux ce que tu dis Esterella, le sujet de base était le recrutement qui ensuite a dévié sur le mouvement. L'entretien en Angleterre remplace notre actuel mouvement, et je reconnais que je ne sais pas comment sont recrutés à la base les enseignants. Par contre le texte que tu cites a été rédigé par des syndicats, il est sur le site de l'Express, mais c'est sans importance. Le problème c'est que les intentions de notre gouvernement ne sont pas dans une logique de réussite de l'élève donc forcément vu sous cet angle tout entretien apparait comme une hérésie, mais je suis certaine que ça pourrait être efficace. La Suède, la Finlande, ... le pratiquent et ce sont des pays plutôt performants dans le domaine. Bien sûr ils ont des tas d'autres raisons qui expliquent leur réussite...que malheureusement nous ne sommes pas prêts de voir apparaître dans nos écoles !
esterella Posté(e) 23 juillet 2011 Posté(e) 23 juillet 2011 Oupps pour le texte , moi qui pensait trouver de l'impartialité, me suis faite avoir . Tout à fait, il suffit de regarder les personnes citées dans le rapport sur les rythmes scolaires (comment ça y a pas d'enseignants dedans...), ça en dit long sur les priorités actuelles. Du changement il en faut et il en faudra toujours, puisque la société évolue, mais pas au détriment des enfants. Et pour cela il ne faut pas qu'on perde nos libertés de penser, pédagogique, projet, assurées et exigées par notre statut. Les simples différences entre les IA d'une même région en sont l'illustration type. Qu'en aurait-il été des modalités exactes des jurys, sûrement laissées au bon jugement des IA et du rectorat, pas une belle perspective. Le système de recrutement anglais, je ne le connais pas. Par contre en Allemagne (enfin dans le Land où j'ai enseigné 1an par le système d'échange de maîtres) les enseignants sont recrutés par l'IA, inscrits sur une liste et formulent des vœux d'école uniquement. Par contre ils doivent 1an de ZIL dans leur carrière obligatoirement (libre a eu de le redemander et d'y rester, par contre pas de nomination à l'improviste comme chez nous). Le directeur évalue ses enseignants (et est un supérieur hiérarchique, l'IEN n'existant pas) et il a son mot à dire quant à la composition de son équipe. Il peut garder un enseignant ou demander son changement (le poste est remis dans la liste à pourvoir et l'enseignant doit partir). Jusque là rien ne m'a choqué, c'est légèrement différent de chez nous, mais je trouvais cela pas si mal. J'ai déchanté par la suite. La collègue du CP (nouvellement nommée sur le poste) a travaillé 3 semaines puis est partie en congé maternité. Une ZIL est venue, 3ans d'ancienneté de moins qu'elle. Au moment de reprendre son poste la collègue a eu une lettre de son l'IA, lui expliquant que la directrice avait demandé son changement de poste : la ZIL a commencé des projets qu'il serait bon qu'elle puisse terminer, que les parents avaient de bons contacts avec elle etc... (je ne me souviens plus du reste). Elle a été changé de poste en cours d'année et la ZIL est devenue titulaire du poste. Ce qui m'a le plus choqué c'est que la collègue du CM1 m'a dit qu'en réalité c'est uniquement parce que durant ces 3semaines elle avait osé dire non à un projet et que la ZIL a tout de suite été partante. Et j'oubliai, ils sont aussi fonctionnaires comme nous et on la sécurité de l'emploi (mais pas la garantie de conserver leur poste). D'ailleurs dans mon autre école une collègue (1an avant sa retraite et en poste depuis 4ans) a dû partir, le directeur n'en voulait plus, pas assez d'autorité sur les enfants à son goût. Là j'ai définitivement préféré notre système, même imparfait, c'est toujours mieux que ça...
FannyW Posté(e) 23 juillet 2011 Posté(e) 23 juillet 2011 Le système allemand n'est pas national. Dans le land où j'ai bossé 7 ans, il y avait des tas d'enseignants au sans emploi. Ils étaient bien titulaires d'un diplôme équivalent à notre master enseignement mais comme il n'y a pas de concours ( et qu'en plus, les allemands n'ont plus beaucoup d'enfant et que des classes ferment à tour de bras), seuls les très bien notés ou pointus dans un domaine étaient convoqués pour un entretien d'embauche. la "fonctionnarisation" ou titularisation n'est pas automatique. pas de places, beaucoup de diplômés = pas de mouvement institutionalisé, les seules places existant étant en gros les départs en retraites. Bref, je n'envie pas leur système qui est en passe de devenir le nôtre. De toutes façons, les personnes qui prônent le système de la sélection se croient intouchables (il suffit de lire les propos perfides sur le travail des autres parce qu'elles, elles travaillent mieux que tout le monde (a ce sujet, les bonifications pour enfants qui sont dénoncées par ces mêmes personnes sont souvent reprises dans l'argumentaire anti-système actuel mais du bout des lèvres)). Forte en G... mais pas trop quand même... Bien sûr, dans une telle forme de pensée, le dossier, la lettre de motivation, l'entretien et, pourquoi pas, la marche à reculons ne doivent pas effrayer. Pour leur petit arrangement personnel, il est utile de foutre en l'air un système qui, s'il n'est pas parfait, possède la vertu d'éviter (dans ses grandes largeurs) le népotisme, le favoritisme, la perfidie chronique (de la bonne collègue qui se croie plus forte (les deux qui prônent le changement n'arrêtent pas de le rappeler encore ici)), voire le droit de cuissage, que sais je encore... L'UMP a pour projet mettre ce système en place après 2012 s'il reste au gouvernement. Mes propos n'ont rien à voir avec l'embauche (même si cela rentre dans une logique identique) mais bien le mouvement qui passerait au local et serait encore plus décentralisé. Pourquoi croyez vous que la loi sur la mobilité et la mise en disponibilité sans traitement à été mise en place? Les pourfendeurs du système actuel n'ont rien d'autres à proposer que des "on-dits", "j'ai vu un cas (ou un pays)" ou "les plaintes" de ceux qui ne se manifestent pas. Bref, à part leur propre intérêt (de jeunes louves?)oubliant les causes et ne regardant que les effets qui les touche plus ou moins directement, que reste-t-il comme vrai argument sur la nécessité de réformer le système dans sa globalité? Rien! Je pense que les personnes comme elles ne sont pas nombreuses et changent vite d'avis lorsqu'elles bénéficient elles-mêmes du dit système .
Boogie44 Posté(e) 23 juillet 2011 Posté(e) 23 juillet 2011 Oupps pour le texte , moi qui pensait trouver de l'impartialité, me suis faite avoir . Merci d'avoir élucider le malentendu autour du sujet, mais mais mais... pourquoi un texte, à partir du moment où il est d'origine syndicale, est-il de facto disqualifié ? Ce qui compte c'est le contenu, non ? De plus, croire que "l'impartialité" existe quelque part en matière politique, c'est vraiment une vieille lune. N'importe quel producteur de discours parle de quelque part, avec un point de vue social et des intérêts spécifiques. Ceci n'empêchant absolument pas qu'il ou elle produise une analyse qui ait de la valeur, si tant est qu'elle s'efforce de se dégager des contingences et de l'imposition de ses propres intérêts. Et un syndicat peut tout à fait bien produire un texte pointu avec une analyse intéressante. fou ça
FannyW Posté(e) 23 juillet 2011 Posté(e) 23 juillet 2011 En fait, cela en dit long sur le schéma de pensée des personnes qui pointent ce "détail"... Il est "étonnant" que ce pointillisme ne s'applique pas aux projets (et aux conséquences) des "réformateurs" de l'éducation nationale... Cela semble être à sens unique... Mais à lire les propos des dites personnes et notamment leur pensée sur les autres collègues (non dénuées de suspicion pour mieux assoir leurs qualités intrinsèques (et donc non vérifiable)), cela n'est guère étonnant. Nous ne situons pas le "mal" au même endroit...
esterella Posté(e) 23 juillet 2011 Posté(e) 23 juillet 2011 Oupps pour le texte , moi qui pensait trouver de l'impartialité, me suis faite avoir . Merci d'avoir élucider le malentendu autour du sujet, mais mais mais... pourquoi un texte, à partir du moment où il est d'origine syndicale, est-il de facto disqualifié ? Ce qui compte c'est le contenu, non ? De plus, croire que "l'impartialité" existe quelque part en matière politique, c'est vraiment une vieille lune. N'importe quel producteur de discours parle de quelque part, avec un point de vue social et des intérêts spécifiques. Ceci n'empêchant absolument pas qu'il ou elle produise une analyse qui ait de la valeur, si tant est qu'elle s'efforce de se dégager des contingences et de l'imposition de ses propres intérêts. Et un syndicat peut tout à fait bien produire un texte pointu avec une analyse intéressante. fou ça Je voulais juste éviter qu'on vienne avec les vieilles rengaines du type : "Mouais ça vient d'un tel syndicat, qui est comme-ci, qui pense comme-ça" "C'est un syndicat de telle visée politique...". Bref tendre une perche qui ne fait pas avancer la discussion et qui pourrait même discréditer d'office (pour certains) des analyses, comme celle-ci, que je trouve très intéressante et réaliste .
FannyW Posté(e) 23 juillet 2011 Posté(e) 23 juillet 2011 Dans 10 ans, les dites personnes auront accumulé de l'ancienneté et il y a fort à parier qu'elle prêcheront pour le système actuel de points! Hum, pas sur... Les propos sont quand même forts envers le système et le rapport avec les collègues (jugés peureux ou déficients (sur quelle base?)). Se sentir fort, sur de soi, c'est bien. Mais croire que cela va durer, que les incidents ou accidents de la vie ne peuvent altérer cette force et ne pas comprendre ainsi certaines situations, voire même vouloir en tirer un avantage, démontrent un fossé avec une réalité qui est loin d'être rose. Il est une forme de jeunesse dont le cynisme fait peur...
fifie83 Posté(e) 24 juillet 2011 Posté(e) 24 juillet 2011 Dans tout ça il y a juste un point qui me chiffonne...J'ai lu que le mouvement tel qu'il est n'est pas impartial, et joue sur le piston, les relations. Mais pour avoir passé bon nombre d'entretiens dans le secteur privé, je peux garantir que si sur 10 candidats il y en avait un qui connaissait le chef des ressources humaines, ben t'avais beau avoir un dossier béton et des projets plein la tête, le poste te passait sous le nez et tout ceci sans aucun recours genre syndicat ou cie car tu ne "fais pas encore partie de l'entreprise".. Mettre ceci entre les mains d'une seule personne... Je n'ai pas confiance...Le pouvoir corrompt l'homme..et la femme .. ! Bref je ne vois pas comment ça pourrait être moins "les petits arrangements entre amis" si c'est le directeur qui choisit .. Pas frapper hein..moi juste poser question
del140412 Posté(e) 24 juillet 2011 Posté(e) 24 juillet 2011 Tes propos sont contradictoires. Dans le public, tu bénéficies d'une priorité. Ce dispositif existe-t-il dans le privé (enseignement ou non - pour le non, je connais la réponse ) ? Dans le public, tu as pu bénéficier de conditions de concours favorables avant de revenir, finalement rapidement (les discus de "scotchées au loin avec 3 mômes" en font foi), dans ta région d'origine. Est-ce possible dans le privé (enseignement ou non - pour le non, je connais la réponse, elle passe par la case chômage... )? Tu refuses d'être polyvalente, en exigeant de la maternelle. Que tu obtiens, année après année. Sais-tu qu'avec ton ancienneté, beaucoup en rêvant n'y ont jamais mis les pieds, et devront attendre 20 ans d'ancienneté pour y mettre un orteil... à moins de partir à un bon nombre de kilomètres? Tu penses être capable de bien te vendre. Mais... sais-tu que radio-dirlo fonctionne, et que ton passage prévisiblement mouvementé dans ton école 2011-2012 risque de te poursuivre longtemps? D'autres te l'ont déjà expliqué: si tu as des éléments factuels prouvant que les règles du mouvement ne sont pas respectées dans ton département, expose-les au tribunal administratif. Et bien dis donc Chloé, encore une fois, le simple fait que tu aies l'audace de poser une simple question sur cet éventuel changement concernant le mouvement ( car au début, relisez vous, c'était une simple question qu'elle posait) a provoqué un lynchage sur ton compte! Heureusement que tu ris de tout ça! Moi aussi d'ailleurs! On en vient jusqu'à te reprocher d'avoir une priorité médicale! Mais quelle idée aussi! On n'a pas le droit d'avoir des problèmes médicaux, un piston oui, pas de problème, ça personne ne le dénonce car certaines peut être en bénéficient, mais un dossier médical, alors ça non non et non, c'est injuste! Qu'on vienne te mettre en figure ta priorité médicale, c'est d'une intolérance insupportable, personne ne vient un peu modérer ces propos ? Je ferai court, je pense comme mes deux collègues que vous traitez de égoiste, poseuse et ignorante ( je ne comprends pas qu'après un tel déferlement d'insultes, personne ne censure vos messages ou vous bloque temporairement pour vous calmer les nerfs), je pense donc qu'un changement dans le mouvement actuel ferait le plus grand bien surtout à des personnes intolérantes et envieuses comme vous! Quand je vous lis, je me dis que finalement, je préfère rester en provisoire toute ma vie plutot que de me retrouver dans une des écoles où vous enseignez en définitif grâce à vos petits points obtenus à votre cher mouvement adoré... Sur ce, je crois que vous devriez prendre un petit billet aller retour pour notre belle région, le soleil, l'air de la mer, l'accent chantant, ça vous " déconstiperait" et vous rendrait moins " amères"! Bonnes vacances!
titandalouses Posté(e) 24 juillet 2011 Posté(e) 24 juillet 2011 Pour leur petit arrangement personnel, il est utile de foutre en l'air un système qui, s'il n'est pas parfait, possède la vertu d'éviter (dans ses grandes largeurs) le népotisme, le favoritisme, la perfidie chronique (de la bonne collègue qui se croie plus forte (les deux qui prônent le changement n'arrêtent pas de le rappeler encore ici)), voire le droit de cuissage, que sais je encore... Tu pourras me dire à quel moment j'ai écris que j'étais supérieure ?? J'ai dit que ça serait bien qu'on se base un peu plus sur l'expérience professionnelle, la motivation, et ce qu'on peut apporter à une école plutôt que sur des points basés sur l'ancienneté et le nombre d'enfants. Je crois pas avoir dit que t'étais moins douée que moi... Il est une forme de jeunesse dont le cynisme fait peur... Désolée de ne pas être un petit mouton qui dit amen à tout, désolée de me renseigner sur ce qui se passe autour de moi et de voir un peu ailleurs comment ça fonctionne. Je pense qu'on a le droit de s'interroger et de réfléchir à un moyen de faire évoluer les choses. En tous cas vous m'enlèverez pas de l'idée que des affectations un peu plus basées sur ce que les enseignants peuvent apporter dans les écoles ne seraient pas plus mal. Je ferai court, je pense comme mes deux collègues que vous traitez de égoiste, poseuse et ignorante ( je ne comprends pas qu'après un tel déferlement d'insultes, personne ne censure vos messages ou vous bloque temporairement pour vous calmer les nerfs), je pense donc qu'un changement dans le mouvement actuel ferait le plus grand bien surtout à des personnes intolérantes et envieuses comme vous! Rien à rajouter.
FannyW Posté(e) 24 juillet 2011 Posté(e) 24 juillet 2011 En effet, rien à ajouter de quelqu'un qui subit malheureusement les difficultés (ou les bidouilles) du mouvement et que cela rend amer (ou constipé)! Par contre, employer le mot insulte à tout va (en oubliant le sens primaire comme d'autres sortent de la "pensée unique") est trop facile et surtout, je pense, disproportionné. Dites moi? Vous faites tou(te)s partie de cette région méridionale qui semble concentrer la majeure partie des témoignages de ceux qui subissent les bizarreries du mouvement??? Cloêêê posait peut être une question mais, avant de prendre sa défense, il faudrait lire ses autres contributions sur ses positions concernant les changements opérés dernièrement dans l'éduc et sur les projets à venir (dont celui de la destruction du statut et du recrutement (lié au mouvement puisque cela ne concerne pas seulement le début de carrière mais aussi les mouvements a suivre qui resterait du même acabit)). Ceci explique la réactivité de certains contributeurs. Tenants et aboutissants... Concernant l'histoire du reproche sur les points médicaux, hormis Cloêêê elle-même qui en fait allusion, personne ne semble lui reprocher d'avoir une bonification médicale... A mon humble lecture. Le monde à l'envers? Enfin, on attend toujours les arguments autres que ceux énoncés jusqu'à présent (et qui sont pour le moins particulièrement subjectifs) pour débattre et apporter un peu de réflexion sur l'intérêt d'un tel projet (hormis "se vendre" avec tous les excès que cela implique) On cherche encore... Boire du pastis pour mieux supporter les changements? C'est une façon de voir...
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