enzof Posté(e) 25 août 2015 Posté(e) 25 août 2015 J'ai trouvé ce super modèle sur le blog d'un(e) collègue mais malheureusement je ne sais plus lequel. Tu peux en trouver d'autres sans difficultés grâce à la générosité de beaucoup de collègues blogueurs Permis+d.pdf Je l'imprime en plus petit et les enfants mettent leurs prénoms derrière
abel27 Posté(e) 25 août 2015 Posté(e) 25 août 2015 Et j ajouterai pour les cystites : les femmes adultes sont bien plus touchées que les enfants ( majorité de notre corps de métier, la cystite chez l enfant est heureusement peu frequente) pourtant tout le monde s en contre fiche de notre non possibilité d aller aux toilettes. La preuve en est la suppression des récréations l après midi depuis les fameux rythmes... Je suis hors la loi, je m'absente pendant la classe pour aller aux toilettes. J'explique aux enfants où je vais. J'ai eu de la chance aussi ces dernières années d'avoir des toilettes pas trop loin et des classes sympas. Je ne pouvais pas le faire avec mes classes de terribles... Quand à la suppression de la récré de l'am...
i.rose Posté(e) 25 août 2015 Posté(e) 25 août 2015 Pour limiter avec mes CE2, je leur donne en début de semaine 2 tickets de "permis d'aller aux toilettes", ils peuvent les utiliser quand ils veulent (si c'est peu de temps avant la récréation ou la sortie je leur demande s'ils ne peuvent pas attendre un peu histoire de ne pas perdre un ticket.) Quand ils veulent l'utiliser, ils me demandent, le posent dans la petite panière spécialement réservée à cela et y vont seuls (Les toilettes sont à côté de ma classe). Ca marche bien, évidemment certains les utilisent dès les premiers jours d'autres jamais mais cela les fait réfléchir. Exceptionnellement si un élève a une envie trop pressante et n'a plus de tickets il peut en emprunter un à un autre élève qu'il doit rendre le lundi matin quand on redonne les tickets. Exceptionnellement j'en ai donné 4 à une petite fille qui avait des soucis urinaires et ça lui suffisait largement. C'est le meilleur système que j'ai trouvé après avoir essayé toutes les formules possibles... très bonne idée le système des tickets abel27 !!!!! 'jy penserai si je retourne au primaire !!!! Ici, le passage aux toilettes est un vrai casse-tête ! Pas de toilettes extérieures. Donc, pour l'instant, c'est passage obligé pendant la classe ! Je suis preneuse d'idées ! Dans mon ancienne école, nous n'avions pas de toilettes extérieures non plus et c'était compliqué de gérer le nombre d'élèves aux toilettes afin de limiter les accidents, les bagarres et autres bêtises.... Surtout que personne dans l'équipe enseignante n'avait envie de faire Dame Pipi en surveillant les toilettes.... Cela faisait un service de récréation en plus et, dans ma commune, les rythmes scolaires n'ayant guère été modifiés (la journée d'école se terminait à 16h pour la plupart des élèves et à 16h30 pour ceux qui restaient aux APC, ce que j'ai toujours trouvé délirant, mais ce n'est pas le sujet), nous avions donc, sur permission de notre inspecteur une récréation aussi l'après-midi. Nous avons donc mis en place le système des pinces à linge : sur une tige de bois (genre canisse) nous accrochions 5 pinces à linge rouges pour les filles et 5 noires pour les garçons. Les enfants devait venir demander aux maitresses de service la permission d'aller aux toilettes et prenaient une pince. Quant il n'y avait plus de pince sur la tige, ils attendaient leur tour à côté des maîtresses. Cela a bien fonctionné et a été repris dans certaines écoles de la commune. Bien sûr, ça marche moins quand il fait chaud, surtout que la cour de l'école ne disposait pas de point d'eau extérieur
enzof Posté(e) 25 août 2015 Posté(e) 25 août 2015 On a eu ce système pour la récréation, pas de pinces à linge mais des tickets plastifiés en nombre limité à venir chercher. On a laissé tomber pour une question d'hygiène: les enfants vont aux toilettes avec leur pince ou leur ticket, mais ... où le mettent-ils pendant qu'ils sont "occupés"? Par terre, il le garde à la main...? Quand il faut récupérer les tickets au retour on se pose la question et perso pas très envie de les reprendre.
abel27 Posté(e) 25 août 2015 Posté(e) 25 août 2015 On a eu ce système pour la récréation, pas de pinces à linge mais des tickets plastifiés en nombre limité à venir chercher. On a laissé tomber pour une question d'hygiène: les enfants vont aux toilettes avec leur pince ou leur ticket, mais ... où le mettent-ils pendant qu'ils sont "occupés"? Par terre, il le garde à la main...? Quand il faut récupérer les tickets au retour on se pose la question et perso pas très envie de les reprendre. La pince à linge, ça peut s'accrocher sur le vêtement, sur le col. Après, le lavage des mains n'est pas systématique donc...
i.rose Posté(e) 25 août 2015 Posté(e) 25 août 2015 On a eu ce système pour la récréation, pas de pinces à linge mais des tickets plastifiés en nombre limité à venir chercher. On a laissé tomber pour une question d'hygiène: les enfants vont aux toilettes avec leur pince ou leur ticket, mais ... où le mettent-ils pendant qu'ils sont "occupés"? Par terre, il le garde à la main...? Quand il faut récupérer les tickets au retour on se pose la question et perso pas très envie de les reprendre. La pince à linge, ça peut s'accrocher sur le vêtement, sur le col. Après, le lavage des mains n'est pas systématique donc.. oui, le pince devait rester accrochée sur le vêtement ou dans la poche .... Et les maitresses n'y touchaient pas : les enfants les raccrochaient directement sur la tige
Goëllette Posté(e) 26 août 2015 Posté(e) 26 août 2015 Mais bon, quand tu vois que certains de tes collègues du cycle 3 les laissent aller aux toilettes quand ils veulent, tu te dis que finalement, tu t'es fait suer pour rien !!!!! aaaaahhhhh ! le travail en équipe !!!!!!!! Ça montre bien que c'est surtout une question d'exigence des adultes. Si un enfant de 7 ans peut se retenir une heure, il est évident qu'un de 10 ans le peut aussi ! Pour limiter avec mes CE2, je leur donne en début de semaine 2 tickets de "permis d'aller aux toilettes", ils peuvent les utiliser quand ils veulent (si c'est peu de temps avant la récréation ou la sortie je leur demande s'ils ne peuvent pas attendre un peu histoire de ne pas perdre un ticket.) Quand ils veulent l'utiliser, ils me demandent, le posent dans la petite panière spécialement réservée à cela et y vont seuls (Les toilettes sont à côté de ma classe). Ca marche bien, évidemment certains les utilisent dès les premiers jours d'autres jamais mais cela les fait réfléchir. Exceptionnellement si un élève a une envie trop pressante et n'a plus de tickets il peut en emprunter un à un autre élève qu'il doit rendre le lundi matin quand on redonne les tickets. Exceptionnellement j'en ai donné 4 à une petite fille qui avait des soucis urinaires et ça lui suffisait largement. C'est le meilleur système que j'ai trouvé après avoir essayé toutes les formules possibles... Ça fait beaucoup, 2 voyages "pipi" par élève, je trouve. Ça veut dire, pour une classe de 25, que tu acceptes d'être dérangée 50 fois par semaine, c'est à dire plus de 5 fois par demi-journée ! Pour combien d'envie pressante réelle n'ayant pas pu être satisfaite pendant la récréation ? En plus, ça fait ça de plus à gérer (les tickets).
Goëllette Posté(e) 26 août 2015 Posté(e) 26 août 2015 Bonjour Pour enrichir mon blog, je m’engage chaque semaine dans une nouvelle exploration thématique sur le Web. J’ai découvert ce blog que j’ai intégré à un dossier documentaire « Déplacement des élèves » déjà mis en ligne Je tiens donc à vous informer que ce dossier existe et qu’il est librement accessible sur www.gestesprofessionnels.com. Sachez qu’il a été réalisé par un non-spécialiste, et que par conséquent j’accepte avec intérêt que l’on me signale toute erreur que j’aurais pu commettre. Si elles vous intéressent, j’expose les motivations qui m’ont poussé à créer ce blog http://www.gestesprofessionnels.com/pourquoi-un-repertoire-des-gestes-professionnels-c25686974 . Peut-être accepteriez-vous de soutenir mon action : en en faisant la promotion à votre convenance ; en me faisant parvenir un simple message qui exprimerait en quoi ce projet vous semble utile, pertinent, efficient et qui serait publié dans une rubrique dédiée accompagné des vos références. Je reste à votre disposition pour tout dialogue ou information complémentaire. Cordialement Jacques Fraschini Ne voyant pas trop bien le rapport entre le sujet et votre intervention, j'ai consulté "google" pour en savoir plus sur vous et je suis tombée sur cet article des cahiers pédagogiques (http://www.cahiers-pedagogiques.com/Le-statut-d-enseignant%E2%80%89-la-medaille-et-ses-revers), que je vous copie-colle ici. N'oubliez pas de vous asseoir avant. Le statut d’enseignant : la médaille et ses revers Jacques Fraschini 22 mars 2013 Sortie du nouveau numéro des Cahiers "Le sens de l’orientation". Comment adapter l’éducation à l’orientation aux besoins de chaque élève, en prenant en considération les plus fragiles ? Comment concilier les compétences et le rôle de chaque acteur ? Comment éduquer à l’autonomie, développer l’estime de soi dans un système qui aiguille le plus souvent uniquement en fonction des résultats scolaires ? A lire dans le numéro, le billet du mois, signé Jacques Fraschini. Le statut de fonctionnaire offre un emploi à vie et des changements d’échelons, donc des augmentations de salaire programmées et quasi automatiques. Les agents de la fonction publique peuvent donc s’engager dans des projets à long terme et regarder leur avenir avec une certaine sérénité, ce qui n’est plus le cas pour qui a un emploi en dehors du statut de fonctionnaire. Plus spécifiquement, et comme il le leur est parfois reproché, les enseignants bénéficient des vacances scolaires. Ce qui leur permet, par rapport aux autres salariés, de vivre une relation plus présente avec leurs enfants puisque leurs horaires sont proches, ils sont libres les mercredis, les weekends, les vacances scolaires et ne travaillent pas la nuit. Ces acquis sont-ils pourtant à considérer comme des privilèges ? Sans doute non, si l’on considère que l’entrée dans le métier est toujours très difficile pour ces jeunes enseignants, qui sont souvent nommés dans les postes les plus difficiles et à qui une formation trop théorique impose ensuite sur le terrain une surcharge de travail difficilement gérable. Non certainement, pour qui sait combien de plus en plus d’élèves ont des attitudes et comportements qui ne favorisent pas les apprentissages dans le cadre scolaire : ils peuvent être incapables de rester assis calmement, d’être attentifs plus de quelques minutes, de se concentrer sur une tâche. Tout cela engendre beaucoup de fatigue nerveuse et une énergie de tous les jours pour ne pas renoncer à ses idéaux. Non enfin, lorsque l’enseignant se voit de plus en plus chargé par l’institution d’assurer une mission de justice sociale dont on charge l’école. Même si le métier est difficile donc, il offre à l’enseignant un statut relativement enviable par rapport à une grande partie de la population. Alors le monde enseignant ne pourrait-il pas travailler à rendre ce statut plus légitime aux yeux de tous, en se montrant plus comme force de proposition dynamique que complice d’un immobilisme qui ne se mobiliserait que pour défendre un statuquo face aux réformes, aux réductions budgétaires ? Par exemple, en revendiquant clairement comme non prioritaire l’augmentation du salaire des enseignants dans le cadre de la crise actuelle. Et en travaillant à faire des propositions de pistes d’économie au lieu de paraitre comme demandant sans cesse plus de moyens, malgré la crise. D’autres acquis statutaires ou résultant de luttes syndicales devraient avantageusement pouvoir être discutés. Pour exemple, ne pourrait-on pas discuter du fondement d’une inspection ? Si ce fondement est l’évaluation de ce que l’enseignant est capable de faire, alors l’inspection doit être organisée à une date prévue, afin que l’enseignant ait toutes ses chances pour préparer et montrer le meilleur de lui-même. Mais si ce fondement est l’évaluation de ce que l’enseignant fait au quotidien dans sa classe, alors l’inspection devrait pouvoir se dérouler de manière imprévue, l’accent étant alors mis non sur une performance à un instant T, mais sur l’ensemble du travail réalisé tout au long de l’année. Il serait aussi sans doute utile de revenir sur le principe de la fonction acquise à vie : formateurs et conseillers pédagogiques ne pourraient-ils pas être nommés pour une certaine période, puis reprendre leur fonction d’enseignant dans une classe ?
del20160925 Posté(e) 1 septembre 2015 Posté(e) 1 septembre 2015 Oui heureusement que j étais assise !Il sort d où celui ci ???
Melle Posté(e) 1 septembre 2015 Posté(e) 1 septembre 2015 On a eu ce système pour la récréation, pas de pinces à linge mais des tickets plastifiés en nombre limité à venir chercher. On a laissé tomber pour une question d'hygiène: les enfants vont aux toilettes avec leur pince ou leur ticket, mais ... où le mettent-ils pendant qu'ils sont "occupés"? Par terre, il le garde à la main...? Quand il faut récupérer les tickets au retour on se pose la question et perso pas très envie de les reprendre. Nous les "tickets" ont du velcro et sont accrochés par les élèves à la porte principale qui donne sur le cour : de loin on voit vite si les toilettes sont occupées, et les élèves savent s'ils peuvent y aller, si non ils attendent dehors.
Goëllette Posté(e) 1 septembre 2015 Posté(e) 1 septembre 2015 Oui heureusement que j étais assise !Il sort d où celui ci ??? Je n'en avais jamais entendu parler avant mais a priori, il a son audience ...
del20160925 Posté(e) 4 septembre 2015 Posté(e) 4 septembre 2015 Pour limiter avec mes CE2, je leur donne en début de semaine 2 tickets de "permis d'aller aux toilettes", ils peuvent les utiliser quand ils veulent (si c'est peu de temps avant la récréation ou la sortie je leur demande s'ils ne peuvent pas attendre un peu histoire de ne pas perdre un ticket.) Quand ils veulent l'utiliser, ils me demandent, le posent dans la petite panière spécialement réservée à cela et y vont seuls (Les toilettes sont à côté de ma classe). Ca marche bien, évidemment certains les utilisent dès les premiers jours d'autres jamais mais cela les fait réfléchir. Exceptionnellement si un élève a une envie trop pressante et n'a plus de tickets il peut en emprunter un à un autre élève qu'il doit rendre le lundi matin quand on redonne les tickets. Exceptionnellement j'en ai donné 4 à une petite fille qui avait des soucis urinaires et ça lui suffisait largement. C'est le meilleur système que j'ai trouvé après avoir essayé toutes les formules possibles... Pour limiter avec mes CE2, je leur donne en début de semaine 2 tickets de "permis d'aller aux toilettes", ils peuvent les utiliser quand ils veulent (si c'est peu de temps avant la récréation ou la sortie je leur demande s'ils ne peuvent pas attendre un peu histoire de ne pas perdre un ticket.) Quand ils veulent l'utiliser, ils me demandent, le posent dans la petite panière spécialement réservée à cela et y vont seuls (Les toilettes sont à côté de ma classe). Ca marche bien, évidemment certains les utilisent dès les premiers jours d'autres jamais mais cela les fait réfléchir. Exceptionnellement si un élève a une envie trop pressante et n'a plus de tickets il peut en emprunter un à un autre élève qu'il doit rendre le lundi matin quand on redonne les tickets.Exceptionnellement j'en ai donné 4 à une petite fille qui avait des soucis urinaires et ça lui suffisait largement.C'est le meilleur système que j'ai trouvé après avoir essayé toutes les formules possibles... Enzof , tu redonnes 2 tickets supplémentaires à ceux qui ne les ont pas utilisés, c'est cumulable ou c'est 2 quoi qu'il en soit ?
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