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Merci Pepettebond !!

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pour l'anecdote, j'ai une maman qui m'a cassé les pieds 1 année ...et là, 6 ans plus tard, elle m'a écrit une super gentille lettre pour dire combien j'avais marqué la scolarité de son fils...Comme quoi, des fois...

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En effet, ce que tu décris ressemble beaucoup à de la dyspraxie. Problème : les psys scolaires ne peuvent pas réaliser un diagnostic (et beaucoup n'y connaissent rien !), seul un neuro-pédiatre le peut après plusieurs bilans (QI, bilan psycho-moteur en particulier). Et ça coûte cher...

Je ne comprends pas pourquoi tu dis que les psy sco ne peuvent pas le faire, le ou la psy peut faire un WISC, ça permettra de montrer, le cas échéant, que les épreuves nécessitant des compétences practo-spaciales sont pathologiquement échouées alors que les épreuves qui ne sont ni gestuelles ni spatiales (ex: épreuves verbales, mnésiques, conceptuelles et raisonnementales) sont plutôt bien réussies. Enfin, il me semble.

Posté(e)

Les épreuves de wisc et autres tests psychologiques donnent des indications et font partie des éléments d'un diagnostique différentiel.

Mais le diagnostique de dyspraxie, dyslexie, dys ... tdah ou autre est un diagnostique médical qui ne peut être posé que par un médecin.

Si la maladie est diagnostiquée, une demande de compensation peut être faite auprès de la MDPH et la boucle est bouclée pour des prises en charges orthophonistes, ergothérapeutes, psychomotriciens, psychologues et aussi pour les demandes complémentaires AVS , sessad, taxis ,...

Pour les dys en principe il y a des Centres référents pour les troubles dys ce sont des centres de consultation

multidisciplinaire attachés à des équipes hospitalières universitaires.

Depuis 2004, il en existe dans chacune des régions en France métropolitaine

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En effet, ce que tu décris ressemble beaucoup à de la dyspraxie. Problème : les psys scolaires ne peuvent pas réaliser un diagnostic (et beaucoup n'y connaissent rien !), seul un neuro-pédiatre le peut après plusieurs bilans (QI, bilan psycho-moteur en particulier). Et ça coûte cher...
Je ne comprends pas pourquoi tu dis que les psy sco ne peuvent pas le faire, le ou la psy peut faire un WISC, ça permettra de montrer, le cas échéant, que les épreuves nécessitant des compétences practo-spaciales sont pathologiquement échouées alors que les épreuves qui ne sont ni gestuelles ni spatiales (ex: épreuves verbales, mnésiques, conceptuelles et raisonnementales) sont plutôt bien réussies. Enfin, il me semble.

Bonjour,

Je ne dis pas que le psy scolaire ne peut pas faire de WISC, je dis qu'il ne peut pas faire de diagnostic de dyspraxie : au mieux, il constatera comme tu le dis l'hétérogénéité des résultats, et orientera les parents pour la suite du bilan. Mais bien souvent, les psys scolaires (et certains psys libéraux) ne savent pas interpréter ce type de résultats, voire ne les communiquent pas aux parents, ce qui bloque la suite du processus (et impossible de refaire un test, il ne serait pas fiable). Après, si le psy scolaire connait bien la question, ça peut être un bon début...

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En effet, ce que tu décris ressemble beaucoup à de la dyspraxie. Problème : les psys scolaires ne peuvent pas réaliser un diagnostic (et beaucoup n'y connaissent rien !), seul un neuro-pédiatre le peut après plusieurs bilans (QI, bilan psycho-moteur en particulier). Et ça coûte cher...
Je ne comprends pas pourquoi tu dis que les psy sco ne peuvent pas le faire, le ou la psy peut faire un WISC, ça permettra de montrer, le cas échéant, que les épreuves nécessitant des compétences practo-spaciales sont pathologiquement échouées alors que les épreuves qui ne sont ni gestuelles ni spatiales (ex: épreuves verbales, mnésiques, conceptuelles et raisonnementales) sont plutôt bien réussies. Enfin, il me semble.

Bonjour,

Je ne dis pas que le psy scolaire ne peut pas faire de WISC, je dis qu'il ne peut pas faire de diagnostic de dyspraxie : au mieux, il constatera comme tu le dis l'hétérogénéité des résultats, et orientera les parents pour la suite du bilan. Mais bien souvent, les psys scolaires (et certains psys libéraux) ne savent pas interpréter ce type de résultats, voire ne les communiquent pas aux parents, ce qui bloque la suite du processus (et impossible de refaire un test, il ne serait pas fiable). Après, si le psy scolaire connait bien la question, ça peut être un bon début...

:angry: Les psychologues sont tenus de donner aux parents les résultats des évaluations et tests faits !!!!

Posté(e)
En effet, ce que tu décris ressemble beaucoup à de la dyspraxie. Problème : les psys scolaires ne peuvent pas réaliser un diagnostic (et beaucoup n'y connaissent rien !), seul un neuro-pédiatre le peut après plusieurs bilans (QI, bilan psycho-moteur en particulier). Et ça coûte cher...
Je ne comprends pas pourquoi tu dis que les psy sco ne peuvent pas le faire, le ou la psy peut faire un WISC, ça permettra de montrer, le cas échéant, que les épreuves nécessitant des compétences practo-spaciales sont pathologiquement échouées alors que les épreuves qui ne sont ni gestuelles ni spatiales (ex: épreuves verbales, mnésiques, conceptuelles et raisonnementales) sont plutôt bien réussies. Enfin, il me semble.

Bonjour,

Je ne dis pas que le psy scolaire ne peut pas faire de WISC, je dis qu'il ne peut pas faire de diagnostic de dyspraxie : au mieux, il constatera comme tu le dis l'hétérogénéité des résultats, et orientera les parents pour la suite du bilan. Mais bien souvent, les psys scolaires (et certains psys libéraux) ne savent pas interpréter ce type de résultats, voire ne les communiquent pas aux parents, ce qui bloque la suite du processus (et impossible de refaire un test, il ne serait pas fiable). Après, si le psy scolaire connait bien la question, ça peut être un bon début...

:angry: Les psychologues sont tenus de donner aux parents les résultats des évaluations et tests faits !!!!

Mais un résultat non détaillé (sans les scores à toutes les épreuves) n'est d'aucun intérêt pour le médecin qui doit poser le diagnostic !

Posté(e)
En effet, ce que tu décris ressemble beaucoup à de la dyspraxie. Problème : les psys scolaires ne peuvent pas réaliser un diagnostic (et beaucoup n'y connaissent rien !), seul un neuro-pédiatre le peut après plusieurs bilans (QI, bilan psycho-moteur en particulier). Et ça coûte cher...
Je ne comprends pas pourquoi tu dis que les psy sco ne peuvent pas le faire, le ou la psy peut faire un WISC, ça permettra de montrer, le cas échéant, que les épreuves nécessitant des compétences practo-spaciales sont pathologiquement échouées alors que les épreuves qui ne sont ni gestuelles ni spatiales (ex: épreuves verbales, mnésiques, conceptuelles et raisonnementales) sont plutôt bien réussies. Enfin, il me semble.

Bonjour,

Je ne dis pas que le psy scolaire ne peut pas faire de WISC, je dis qu'il ne peut pas faire de diagnostic de dyspraxie : au mieux, il constatera comme tu le dis l'hétérogénéité des résultats, et orientera les parents pour la suite du bilan. Mais bien souvent, les psys scolaires (et certains psys libéraux) ne savent pas interpréter ce type de résultats, voire ne les communiquent pas aux parents, ce qui bloque la suite du processus (et impossible de refaire un test, il ne serait pas fiable). Après, si le psy scolaire connait bien la question, ça peut être un bon début...

:angry: Les psychologues sont tenus de donner aux parents les résultats des évaluations et tests faits !!!!

Mais un résultat non détaillé (sans les scores à toutes les épreuves) n'est d'aucun intérêt pour le médecin qui doit poser le diagnostic !

+ 1 Plus que vrai et en plus comme tu le dis bien cela fausse les résultats, si le test doit être refait il faut attendre deux ans.

Mais les parents doivent exiger d'avoir les résultats, la déontologie existe même pour les psy scolaires.

Posté(e)

J'ai cru comprendre que tous les psy ne peuvent pas valablement faire passer ces tests, et que certains psy sco pourraient se faire taper sur les doigts s'ils rendaient un écrit à propos de tests... qu'ils n'ont pas le droit de faire passer en réalité.

Qu'en est-il réellement ?

Posté(e)
En effet, ce que tu décris ressemble beaucoup à de la dyspraxie. Problème : les psys scolaires ne peuvent pas réaliser un diagnostic (et beaucoup n'y connaissent rien !), seul un neuro-pédiatre le peut après plusieurs bilans (QI, bilan psycho-moteur en particulier). Et ça coûte cher...
Je ne comprends pas pourquoi tu dis que les psy sco ne peuvent pas le faire, le ou la psy peut faire un WISC, ça permettra de montrer, le cas échéant, que les épreuves nécessitant des compétences practo-spaciales sont pathologiquement échouées alors que les épreuves qui ne sont ni gestuelles ni spatiales (ex: épreuves verbales, mnésiques, conceptuelles et raisonnementales) sont plutôt bien réussies. Enfin, il me semble.

Bonjour,

Je ne dis pas que le psy scolaire ne peut pas faire de WISC, je dis qu'il ne peut pas faire de diagnostic de dyspraxie : au mieux, il constatera comme tu le dis l'hétérogénéité des résultats, et orientera les parents pour la suite du bilan. Mais bien souvent, les psys scolaires (et certains psys libéraux) ne savent pas interpréter ce type de résultats, voire ne les communiquent pas aux parents, ce qui bloque la suite du processus (et impossible de refaire un test, il ne serait pas fiable). Après, si le psy scolaire connait bien la question, ça peut être un bon début...

Ok, je comprends mieux le sens de ton intervention :)

Effectivement, c'est ce qui s'est passé pour mon dyspraxique. Nous avons orienté les parents à neuro (gros délais), et en montant le dossier de demande d'AVS, la psy avait réalisé un WISC qui appuyait notre demande. Bien entendu, en aucun cas, elle n'a posé le diagnostique.

Et là, je suis repartie pour un enfant dyspraxique ET dysphasique.

Posté(e)

Si un psy fait passer des tests , il se doit de pouvoir donner les résultats aux parents, sinon les parents peuvent porter plainte contre lui, on a pas le droit de faire n'importe quoi !!!

les responsables légaux des enfants sont les parents même quand ils sont à l'école. , ...

certains psy scolaires et même de nombreux psy aujourd'hui sont habilités, il suffit de leur demander et ils te le disent, y a pas de honte à ne pas être habilité , juste à être honnête,

:angry:maintenant si les psy sont malhonnêtes .... :cry:

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