Vers la fin du temps plein pour les PES

[doucette49]

^{hyuguya je vois bien ce que tu veux dire pour les rapports entre collègues!!!!!!!!!!!!!!!!! Cette année j'ai une suppléance du 7 novembre au 24 mai sur une classe de CE2 , que nous pourrons qualifier d'assezs longue, mais je n'ai le droit de prendre aucune initiative et on me regarde de travers, car on pense que je n'ai pas d'expèrience ... évidemment , je ne parle pas des parents ... donc je sais pertinemment à quoi m'attendre l'année prochaine si jamais je suis PES.}

[liliclaire]

Cela dépend des écoles des équipes..

Cette année je suis aussi en suppléance

Je suis certes considérée comme nouvelle dans l'équipe, mais je suis aussi considérée en égale en tant que prof... Mon avis est pris en compte, on m'aide si j'ai besoin et vice versa... Je pense vraiment que cela dépend des écoles...

J'ai été suppléante dans une école où les 3/4 des prof étaient suppléants : bonjour l'ambiance, les suppléants se tiraient dans les pattes pour avoir une bonne évaluation..

Comme quoi on trouve de tout !

Une question : est ce que le gouvernement doit faire marche arrière ? la fin du master comme cela ? et l'an prochain à quoi s'attendre ?

[chamboultou]

Effectivement ça dépend, simple AVS mes collègues PE me parlent comme à un égal et surtout sont d'une dispo incroyable pour m'aider dans le concours : pas besoin de poser les questions ils anticipent et me montrent / me parlent de tout. Si je réussi le concours je leur devrait au moins 50% de ma réussite ! Mais l'ambiance n'est pas la même dans la 2° école où j'interviens (3H), donc on voit de tout

[Mimiou]

Pitié je ne veux plus retourner à l'Iufm l'année prochaine...

[Fort]

Pitié je ne veux plus retourner à l'Iufm l'année prochaine...

+1

[mra]

Toujours les mêmes débats qui finissent mal:

- ancienne/nouvelle formation (chaque "camp" s'offusque des dires de l'autre alors qu'au final chacun ne parle que pour son compte et non pas "contre l'autre camp"),

- passer le concours dans son académie ou ailleurs (le pour, le contre qui engendre encore d'autres "camps", s'offusquant qu'on ait pu dire du mal de leur choix ou des informations qu'ils partageraient pour "déstabiliser"...)

- les parents de 3 enfants, sportifs de haut niveau et autres qui n'ont pas a passé certains diplômes ou certificats...

Autant de discussion qui tournent toujours mal parce que les gens sont centrés sur leur vécu personnel et ne voit bien souvent que leurs propres difficultés.

Certes les forums servent à l'entraide mais de là à se passer les nerfs sur les situations des autres en les présentant comme plus simples...

Je pense qu'on peut conclure en disant que ce concours ne va pas en se facilitant ni pour l'avant, pendant ou l'après concours et que chaque situation présente sa part de difficulté.

Il serait sans doute plus constructif de dépenser notre énergie à chercher à palier à nos propres difficultés qu'à amoindrir celles des autres.

Enfin, il serait bon de se souvenir que finalement, ce concours, c'est avant tout un combat avec soi-même avant d'être une bataille avec les autres...

J't'aime bien toi!!

Un peu de fraicheur dans ce post.

Mais bon cherchez pas, de toutes façons, quand je l'ai passé en 1995, le concours il était plus dur que maintenant, sans blague!!! Et encore plus dans mon département, les épreuves étaient difficilissimes

Depuis c'est de la gnognotte!

Allez bon courage à tout le monde et crachez pas trop sur les iufm quand même

Je pense que là vaut mieux se serrer les coudes, on est tous dans la même galère des vilains profs nantis...

Moi aussi j'ai fait des choix, ce sont ceux que j'ai fait à ce moment là pis c'est comme ça.

Je suppose que je referais les mêmes en plus.

Pour ceux qui n'auraient pas compris le coup de la gnognotte c'était de l'humour.

[lafrancilienne]

Toujours les mêmes débats qui finissent mal:

- ancienne/nouvelle formation (chaque "camp" s'offusque des dires de l'autre alors qu'au final chacun ne parle que pour son compte et non pas "contre l'autre camp"),

- passer le concours dans son académie ou ailleurs (le pour, le contre qui engendre encore d'autres "camps", s'offusquant qu'on ait pu dire du mal de leur choix ou des informations qu'ils partageraient pour "déstabiliser"...)

- les parents de 3 enfants, sportifs de haut niveau et autres qui n'ont pas a passé certains diplômes ou certificats...

Autant de discussion qui tournent toujours mal parce que les gens sont centrés sur leur vécu personnel et ne voit bien souvent que leurs propres difficultés.

Certes les forums servent à l'entraide mais de là à se passer les nerfs sur les situations des autres en les présentant comme plus simples...

Je pense qu'on peut conclure en disant que ce concours ne va pas en se facilitant ni pour l'avant, pendant ou l'après concours et que chaque situation présente sa part de difficulté.

Il serait sans doute plus constructif de dépenser notre énergie à chercher à palier à nos propres difficultés qu'à amoindrir celles des autres.

Enfin, il serait bon de se souvenir que finalement, ce concours, c'est avant tout un combat avec soi-même avant d'être une bataille avec les autres...

J't'aime bien toi!!

Un peu de fraicheur dans ce post.

Mais bon cherchez pas, de toutes façons, quand je l'ai passé en 1995, le concours il était plus dur que maintenant, sans blague!!! Et encore plus dans mon département, les épreuves étaient difficilissimes

Depuis c'est de la gnognotte!

Allez bon courage à tout le monde et crachez pas trop sur les iufm quand même

Je pense que là vaut mieux se serrer les coudes, on est tous dans la même galère des vilains profs nantis...

Moi aussi j'ai fait des choix, ce sont ceux que j'ai fait à ce moment là pis c'est comme ça.

Je suppose que je referais les mêmes en plus.

Pour ceux qui n'auraient pas compris le coup de la gnognotte c'était de l'humour.

Tu fais bien de préciser !

[mra]

Tu fais bien de préciser !

Faut pas se laisser diviser. Les difficultés sont différentes et cela ne dépend pas des études ou du concours mais aussi du contexte dans lequel on le passe.

Mes parents "n'avaient" qu'un bac et leurs deux ans d'EN et avaient à mon avis un niveau de compétences et de culture générale bien supérieurs au mien, à l'instar des instits qui m'ont épaulée à mes débuts, ceci dit ils vivaient dans un contexte plus serein, plus respectueux qu'à l'heure actuelle. Et donc cela générait moins de stress.

La conjoncture actuelle fait aussi que je ne souhaiterais pas passer le concours maintenant car pas de formation et surtout mentalement je suis pas une wineuse, je réussirais pas: là les jeunes il leur faut un mental d'acier, une force psychoogique que je n'aurais pas, je pense

Bref, tout n'est pas blanc, tout n'est pas noir, et il est bien difficile de comparer les situations complexes des uns et des autres

Bon courage en tous cas à tous les PEFS de l'hexagone, et à ceux qui tentent le concours. J'ai honte qu'on ai pas réussi à garder une formation digne de ce nom