LC Nantes dans le privé - 2012

[mat4986]

merci pour tes actions et tiens nous au courant.

[mat4986]

Salut,

Alors toujours pas de nouvelles du syndicat?.

A plus,

[cépérine]

Salut Mat4986,

toujours pas de nouvelles de la fep CFDT. Je viens juste de leur renvoyer une piqure de rappel.

Ne baissons pas les bras! C'est peut-etre illusoire mais après tout, nous aussi, dans le privé, on a des droits!

Cépérine

[cépérine]

Je n'arrive pas à vous mettre mon courrier envoyé à la CFDT en PJ, je vous fais donc un copier-coller!

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Bonjour,

je vous ai écrit, il y a une semaine, afin de connaitre les positions de la fep-cfdt concernant l'attribution des 1000 postes dans le public. A ce jour, je n'ai eu aucun retour de votre part.

Pour rappel, je suis enseignante dans une école catholique privée où malheureusement chaque classe commence à être surchargée d'élèves. A court terme, je crains que mon enseignement ne soit basé que sur du transmissif et non sur la pédagogie différenciée que j'appliquais auprès de mes élèves car la gestion d'un grand groupe me parait plus compliquée que celle d'un plus petit (où les élèves sont beaucoup plus acteurs dans leurs apprentissages).

De plus, ma soeur est sur la liste complémentaire des Pays de la Loire. Concrètement, cela veut dire qu'elle est admissible au concours mais qu'il n'y a pas assez de postes pour elle?

Je trouve révoltant que nous enseignants du privé nous baissions les bras et que nous ne manifestions pas notre mécontentement!

J'ai écouté avec attention le discours de Bruno Lamour le 1er juin sur l'antenne de France Inter. Je suis tout à fait d'accord lorsqu'il dit :"Ce qu'on attend du ministre Peillon, c'est que le privé bénéficie, en proportion de ce qu'il représente, d'emplois. Pour nous, la mesure d'urgence, en tous les cas en terme d'affichage, c'est que le privé ne soit pas privé de la re-création de postes pour la rentrée qui s'annonce" et lorsqu'il ajoute si le ministre ne devait pas prendre en compte nos revendications, de montrer "[notre] colère et certainement [une] mobilisation, c'est à dire qu'on envahira la rue pour manifester notre mécontentement. Il ne s'agit pas de rallumer la guerre scolaire ... Il ne s'agit pas d'opposer 2 France comme en 1984 mais, nous ce qu'on dit : DANS LES 2 SECTEURS : MÊMES DROITS, MÊMES OBLIGATIONS"

Alors, êtes-vous prêts, nos représentants syndicaux à "monter au créneau"?

Cette situation préoccupe beaucoup de mes collègues titulaires de l'enseignement catholique ainsi que les admissibles sur les listes complémentaires.

Quelles mesures comptez-vous prendre? Comment peut-on faire entendre nos voix? Comment peut-on vous aider rapidement?

Je vous remercie de nous tenir informés.

Cordialement

[mat4986]

ok, merci.

oui mais nos droits et nos demandes ne sont pas toujours entendus....

Alors oui il faut continuer.

[cépérine]

Bonjour à tous,

ma soeur vient de m'appeler : 70 postes ont été attribués par Mr Peillon dans le privé.

Comme je ne sais pas mettre les liens (!!!), je vous envoie la référence de l'article : Le monde Education du 05/07/2012

"

Éducation

• Éducation
  
• École primaire et secondaire
  

L'enseignement privé bénéficie de 70 postes supplémentaires en primaire dès la rentrée

Le Monde.fr | 05.07.2012 à 14h08 • Mis à jour le 05.07.2012 à 14h08

Par Mattea Battaglia

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L'enseignement privé vient de faire mouche. A quelques heures du lancement de la concertation sur la refondation de l'école, qui doit débuter à la Sorbonne (Paris-5^e), ce jeudi 5 juillet après-midi, et à quelques pas de là – puisque le Secrétariat général de l'enseignement catholique (SGEC) siège dans ce même cinquième arrondissement parisien –, Eric de Labarre, son secrétaire général, a pris un peu d'avance sur la Rue de Grenelle. Et pris de court, par la même occasion, la petite vingtaine de journalistes présents.

Après avoir, durant près d'une heure, expliqué point par point "les voies nouvelles de la contribution de l'enseignement catholique à l'œuvre d'intérêt général que constituent la formation et l'éducation des enfants" – et il y avait fort à dire, M. de Labarre ne s'étant plus exprimé depuis près d'un mois et demi –, il en est venu à la question des moyens.

LA RÉPARTITION ACADÉMIQUE DES 70 POSTES DIVULGUÉE

Et révélé ce que – presque – plus personne n'escomptait : les écoles primaires privées bénéficieront elles aussi, dès septembre, de postes créés en urgence. 70 postes exactement – quand 1 000 postes sont d'ores et déjà attribués aux écoles primaires publiques pour remédier aux difficultés les plus criantes de septembre, 5 700 coupes étant inscrites au budget dans le premier degré.

La décision est récente – "elle remonte à lundi", lâche-t-on dans l'entourage de M. de Labarre, "et d'ultimes ajustements ont encore été réalisés cette nuit". Ses différentes rencontres avec Vincent Peillon ("quatre", a précisé M. De Labarre, "et encore une est programmée avant la fin du mois"), lui ont permis d'étudier avec le ministère l'affectation des 70 nouveaux emplois, dont la répartition académique a été divulguée.

Dix postes sont attribués à Rennes ; 7,75 pour Lille ; 5,25 à Bordeaux ; 5 pour Nantes, Poitiers et Aix-Marseille ; 4 pour Nancy-Metz ; 3,5 à Versailles et Grenoble ; 2,75 pour Amiens ; 2,5 pour Toulouse ; 2 à Orléans-Tours, la Réunion et la Guyane ; 1,5 pour Nice ; 1 poste pour Besançon, Caen, Clermont-Ferrand, Lyon, Montpellier, Reims et Strasbourg ; 0,75 poste pour Dijon, et, enfin, 0,5 poste pour Limoges. Le compte est rond.

"FAIRE PREUVE DE RÉALISME ET D'HUMILITÉ"

Interrogé, le ministère de l'éducation nationale confirme l'information, "dans un souci d'équilibre et de justice, notamment au niveau territorial dans les académies où le privé est fort et où il y a croissance démographique ", explique-t-on dans l'entourage de Vincent Peillon. "Une partie, les deux tiers environ des 70 postes, sont créés sur la loi de finance rectificative, le tiers restant relevant de la loi de finance déjà votée ", précise Pierre Marsollier, délégué général de l'enseignement catholique en charge des relations politiques.

Sans nier les tensions qu'il y a pu y avoir entre enseignement public et privé, Eric de Labarre a signifié, à plusieurs reprises, que "le chemin des bonnes habitudes" semblait avoir été trouvé. Dans l'entretien publié le 24 mai par nos confrères de La Croix, Eric de Labarre avait rappelé ses exigences : la création dans les cinq ans à venir de 5 100 postes dans l'enseignement catholique – qui représente 95 % de l'enseignement privé –, sur les 60 000 promis par François Hollande. Soit une proportion de 10 %, équivalente, selon le SGEC, à celle des suppressions de postes essuyées dans le privé sous le précédent quinquennat – 6 700 sur 80 000 au total.

Le SGEC sera présent à la Sorbonne pour la "grande concertation", même si, a-t-il rappelé ce matin, "il faut faire preuve de réalisme et d'humilité". "Nous ne croyons pas au grand soir de l'école. C'est au fur et à mesure, avec le temps, que les choses peuvent évoluer." Sa préférence : un "discours de la méthode" plutôt qu'un "discours de la réforme".

Mattea Battaglia "

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C'est une bonne nouvelle pour certains! Félicitations pour eux!

Ma soeur est tout près dans la LC.

SAVEZ-VOUS S'IL Y A EU DES DESISTEMENTS dans la liste principale de Nantes ???

Merci de nous tenir informés!

Cépérine

[Noeherve]

Ohlala j'espère tellement qu'ils vont aller chercher sur liste complémentaire!!! Je suis deuxième sur la liste complémentaire dans l'académie de Rennes. Croisons les doigts!!!

[mat4986]

Bonjour à tous,

Alors certains ont eu des bonnes surprises ou pas? Faîtes nous partager votre bonheur que ça nous donne du courage pour affronter la suite (septembre)...

[Noeherve]

Moi j'ai appris que ces postes étaient des postes d'enseignants et non de concours donc pas pour les listes complémentaires...je suis dégoutée, encore plus parce que je suis 2ème (dans l'académie de Rennes) et que la première a été prise (désistement)... Plus qu'à se remettre dedans!