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pour des élèves difficiles il m'est arrivé deux fois de les mettre en fond de classe assis à une table, dos tourné et de leur interdire de travailler.Tout ceci dit et expliqué avec la "voix du ventre" et un grand calme apparent.Cela duré 15 à 20 minutes et dès qu'ils tournaient la tête pour voir ce que nous faisions hop retour à l'interdiction de travailler.Les deux ont fini par lever le doigt pour demander de revenir dans le groupe classe:accordé de suite puis discution à la récréation et prise de contact avec les parents.Je rappel aussi de temps en temps que l'école n'est pas obligatoire mais seule l'instruction...cela fait réfléchir certains.

mais bon si je tente une troisième fois cela ne fonctionnera pas forcément...

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De retour de petites vacances :)

bon vais essayer de n'oublier personne :

@ lincoconue : Dans le cas d'un refus de travailler, je lui explique que le travail n'est pas à la carte mais est une succession de choses et qu'ainsi il se prive du reste des apprentissages. Résultat, je ne lui donne plus aucun travail à faire tant que le travail donné n'est pas fait.

S'il s'agit d'un refus de faire sa punition, je rentre dans le sadisme. Vous pouvez être sur que le lendemain je vais pratiquer une activité que cet élève adore et lui expliquer avec beaucoup de compassion que malheureusement, je ne puis le faire participer puisque la punition qui doit marquer sa reconnaissance du non respect des règles n'a pas été faite. Généralement, cela suffit à obtenir réparation. Maintenant, l'expérience et le soutien des parents aident énormément.

@ Kalami : Le verbe (à conjuguer au présent, futur, imparfait) passe assez bien auprès des parents qui préfèrent cette sanction à des lignes. Ensuite, comme je les autorise à prendre le Bescherelle pour le faire, cela va assez vite et les résultats s'en ressentent lors des évals de conjugaison. Maintenant, je ne prétends pas que cela soit un remède miracle, mais lorsque je dis cahier de texte, l'élève sait qu'il va se faire punir et s'il râle, je lance avec un sourire :" Le verbe râler également ?" Et là, l'élève se tait le plus souvent.

Concernant les récompenses, j'ai longtemps été partagé. Mais faire prendre conscience à certains enfants qu'ils travaillent pour leur avenir, c'est un peu dur. Je ne veux pas tomber dans le misérabilisme, mais nombre d'entre eux ont des parents qui ont travaillé sérieusement et sont malheureusement au chomage... donc le coup du travail bien pour avoir un beau métier, on repassera. Et puis, si je donne des punitions quand ils sont difficiles, le juste pendant des choses exige que je les récompense lorsqu'ils ont fourni un effort méritoire. (Ca se dit ça, méritoire ?).

Maintenant, de manière générale, je ne saurai trop conseiller de parler avec les collègues des difficultés rencontrées. On est a priori tous dans la même galère et on doit se serrer les coudes. Mais surtout, dites vous bien que nous avons tous commencé un jour et ce jour là, nous avons nous aussi été en difficulté.

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Merci Papy !

Heureusement que dans chaque classe, à part dans un de mes 1/4, j'ai des matières qui "plaisent" comme sport et arts plastiques ! Ca donne un peu d'eau à mon moulin si jamais je veux refuser un élève pour lui faire comprendre que ce sont les règles !

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wahou !

je viens de me taper tout le post, et je vous remercie tous pour vos suggestions.

Pour ma part, je prends un CM1 pour la 4ème année, avec des élèves plutôt sympa et toujours un, deux voire quatre gros cas.

Je suis à l'étranger et les problématiques ne sont pas les mêmes que les vôtres : on a par ex des élèves qui sont frappés à la maison. Leurs parents me disent en début d'année : tu peux taper mon fils !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ouioui !!!vous imaginez quand j'arrive avec mon petit billet de punition ....

On a aussi des enfants renvoyés au pays chez un oncle, une tante ou une grand-mère qui s'en occupent très peu, envoient d'autres personnes aux RDV.... bref pas toujours de soutien et c'est ça que je trouve le plus difficile.

Pour ma aprt, j'ai jusqu'à présent beaucoup fait copier de lignes. En fait, je me rends compte que c'est ridicule. Ca n'empêche pas vraiment aux élèves de recommencer. En général, c'est juste la jubilation de me dire que le môme va y passer une bonne partie de l'après-midi pendant que ses copians s'amuseront. Je sais, c'est bête, alors on change !

Cette année, ce sera billet avec :

- j'explique ce que j'ai fait ;

- j'explique pourquoi c'est interdit;

- je copie la règle de la classe que je n'ai pas respecté en començant ma phrase par "aujourd'hui, je n'ai pas respecté la règle qui dit que...."

- je réfléchis à une manière de réparer ma bêtise, mon erreur

En retour, si un élève se comporte comme un ange, il gagne ma sympathie +++ (les enfants y sont très sensibles mine de rien), au bout de pleins de points verts (pas encore déterminé le nombre), le droit de choisir son métier de la semaine suivante en premier, mais pas de bonbecs.

J'estime qu'en se comportant dans le respect des règles, ils on tfait ce qu'ils ont à faire, rien de plus.

Quand on conduit prudemment tout le temps, on ne gagne pas de point sur nos permis !

Posté(e)

Tu es fatiguée? dis leur sans fard d'autant plus qu'ils le sentiront de toutes façons.. tu as mal au crâne? je te parie qu'ils seront bien plus calmes si tu leur dis gentiment

Je suis assez d'accord avec toi. Je n'ai jamais autant le silence que les jours où j'arrive malade et que je leur dis franchement le matin. Mais bon, de là à avoir l'angine tous les jours. :getlost:

Posté(e)

Tu es fatiguée? dis leur sans fard d'autant plus qu'ils le sentiront de toutes façons.. tu as mal au crâne? je te parie qu'ils seront bien plus calmes si tu leur dis gentiment

Je suis assez d'accord avec toi. Je n'ai jamais autant le silence que les jours où j'arrive malade et que je leur dis franchement le matin. Mais bon, de là à avoir l'angine tous les jours. :getlost:

Il y a une erreur dans la citation que tu as faite c'est Pablo qui a indiqué cela.

Posté(e)

Je suis tout à fait d'accord avec toi ! Mais l'an dernier j'étais dans un RPI et seule sur l'école donc bien difficile d'envoyer dans une autre classe ! Et puis même si je n'étais pas seule, je voudrais essayer au maximum de ne pas trop embêter les collègues.

Je me suis retrouvée vraiment bloquée par cet élève qui refusait toute sanction : sanction écrite mais aussi rester à un endroit isolé, etc. Un enfer lors duquel on se sent vraiment impuissant. Je ne veux plus revivre ça.

J'étais exactement dans la même impuissance que toi! Quoi faire quand un élève a la tête dur et ne veut pas faire ce que tu lui a demandé? Attendre qu'il se calme et discuter avec lui sans le regard de ses compaires?.....

Je n'ai trouvé que ça. J'ai convoqué sa tante aussi pour marquer le coup(élève sous tutelle) mais cette charmante dame est une personne qui souhaite discuter de tout, connaître les tenants et les aboutissants avant de sévir, chose qu'elle n'a pas faite, la discussion comme sanction en somme !

Oui, l'élève est juste sorti de ma classe/école pour rentrer chez lui car un camarade pour le taquiner lui avait piqué sa casquette accrochée à la chaise ! J'aidais des élèves au fond de la classe et lui était devant à 2 pas de la porte... Même speedy gonzalès n'aurait rien pu faire !

Obligée de ceinturer sur la place du village cet élève qui fait ma taille et mon double de poids avant qu'il ne traverse sans regarder ! Et en crise complète, ingérable ! Et pendant ce temps les autres étaient seuls... La dame de cantine n'était pas arrivée... Personne ! Ma solitude et moi !

J'ai fait un signalement à l'inspection, à la direction dans l'autre village, convoqué donc la tante qui n'a vraiment pas semblé choquée... :getlost:

J'ai vécu ça ma première année d'enseignement(directrice seule avec un cm1/cm2 dont 3 fugueurs)...Ensuite quand je suis arrivée en "ville sensible", j'ai trouvé ça trop facile!lol!

Posté(e)

wahou !

je viens de me taper tout le post, et je vous remercie tous pour vos suggestions.

Pour ma part, je prends un CM1 pour la 4ème année, avec des élèves plutôt sympa et toujours un, deux voire quatre gros cas.

Je suis à l'étranger et les problématiques ne sont pas les mêmes que les vôtres : on a par ex des élèves qui sont frappés à la maison. Leurs parents me disent en début d'année : tu peux taper mon fils !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ouioui !!!vous imaginez quand j'arrive avec mon petit billet de punition ....

On a aussi des enfants renvoyés au pays chez un oncle, une tante ou une grand-mère qui s'en occupent très peu, envoient d'autres personnes aux RDV.... bref pas toujours de soutien et c'est ça que je trouve le plus difficile.

Pour ma aprt, j'ai jusqu'à présent beaucoup fait copier de lignes. En fait, je me rends compte que c'est ridicule. Ca n'empêche pas vraiment aux élèves de recommencer. En général, c'est juste la jubilation de me dire que le môme va y passer une bonne partie de l'après-midi pendant que ses copians s'amuseront. Je sais, c'est bête, alors on change !

Cette année, ce sera billet avec :

- j'explique ce que j'ai fait ;

- j'explique pourquoi c'est interdit;

- je copie la règle de la classe que je n'ai pas respecté en començant ma phrase par "aujourd'hui, je n'ai pas respecté la règle qui dit que...."

- je réfléchis à une manière de réparer ma bêtise, mon erreur

En retour, si un élève se comporte comme un ange, il gagne ma sympathie +++ (les enfants y sont très sensibles mine de rien), au bout de pleins de points verts (pas encore déterminé le nombre), le droit de choisir son métier de la semaine suivante en premier, mais pas de bonbecs.

J'estime qu'en se comportant dans le respect des règles, ils on tfait ce qu'ils ont à faire, rien de plus.

Quand on conduit prudemment tout le temps, on ne gagne pas de point sur nos permis !

Tu es où à l'étranger, par curiosité ???

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Je suis tout à fait d'accord avec toi ! Mais l'an dernier j'étais dans un RPI et seule sur l'école donc bien difficile d'envoyer dans une autre classe ! Et puis même si je n'étais pas seule, je voudrais essayer au maximum de ne pas trop embêter les collègues.

Je me suis retrouvée vraiment bloquée par cet élève qui refusait toute sanction : sanction écrite mais aussi rester à un endroit isolé, etc. Un enfer lors duquel on se sent vraiment impuissant. Je ne veux plus revivre ça.

J'étais exactement dans la même impuissance que toi! Quoi faire quand un élève a la tête dur et ne veut pas faire ce que tu lui a demandé? Attendre qu'il se calme et discuter avec lui sans le regard de ses compaires?.....

Je n'ai trouvé que ça. J'ai convoqué sa tante aussi pour marquer le coup(élève sous tutelle) mais cette charmante dame est une personne qui souhaite discuter de tout, connaître les tenants et les aboutissants avant de sévir, chose qu'elle n'a pas faite, la discussion comme sanction en somme !

Oui, l'élève est juste sorti de ma classe/école pour rentrer chez lui car un camarade pour le taquiner lui avait piqué sa casquette accrochée à la chaise ! J'aidais des élèves au fond de la classe et lui était devant à 2 pas de la porte... Même speedy gonzalès n'aurait rien pu faire !

Obligée de ceinturer sur la place du village cet élève qui fait ma taille et mon double de poids avant qu'il ne traverse sans regarder ! Et en crise complète, ingérable ! Et pendant ce temps les autres étaient seuls... La dame de cantine n'était pas arrivée... Personne ! Ma solitude et moi !

J'ai fait un signalement à l'inspection, à la direction dans l'autre village, convoqué donc la tante qui n'a vraiment pas semblé choquée... :getlost:

J'ai vécu ça ma première année d'enseignement(directrice seule avec un cm1/cm2 dont 3 fugueurs)...Ensuite quand je suis arrivée en "ville sensible", j'ai trouvé ça trop facile!lol!

Tu avais géré comment ces "fugues" ? Ca ne m'est arrivé qu'une fois, le dernier jour avec cette classe, mais j'en tremble encore !

J'ai vraiment été sonnée, même si je n'ai rien montré devant les élèves. Le principal concerné n'en a peut être pas pris conscience car isolé mais le reste de la classe qui m'a vue pendue au téléphone avec la directrice du RPI pendant quelques conversations s'est bien rendu compte de la gravité de la chose !

Je pense aussi à ma 1ère année où les collègues étaient réticents voire refusaient de garder un enfant très perturbateur (hopital de jour tous les matins) dans leur classe alors qu'il devenait violent envers un autiste de la classe... Il peut y avoir aussi cette solitude là, pas que géographique ! Que les collègues essaient de te donner une leçon d'autorité en te laissant te débrouiller seul... :getlost:

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Je suis tout à fait d'accord avec toi ! Mais l'an dernier j'étais dans un RPI et seule sur l'école donc bien difficile d'envoyer dans une autre classe ! Et puis même si je n'étais pas seule, je voudrais essayer au maximum de ne pas trop embêter les collègues.

Je me suis retrouvée vraiment bloquée par cet élève qui refusait toute sanction : sanction écrite mais aussi rester à un endroit isolé, etc. Un enfer lors duquel on se sent vraiment impuissant. Je ne veux plus revivre ça.

J'étais exactement dans la même impuissance que toi! Quoi faire quand un élève a la tête dur et ne veut pas faire ce que tu lui a demandé? Attendre qu'il se calme et discuter avec lui sans le regard de ses compaires?.....

Je n'ai trouvé que ça. J'ai convoqué sa tante aussi pour marquer le coup(élève sous tutelle) mais cette charmante dame est une personne qui souhaite discuter de tout, connaître les tenants et les aboutissants avant de sévir, chose qu'elle n'a pas faite, la discussion comme sanction en somme !

Oui, l'élève est juste sorti de ma classe/école pour rentrer chez lui car un camarade pour le taquiner lui avait piqué sa casquette accrochée à la chaise ! J'aidais des élèves au fond de la classe et lui était devant à 2 pas de la porte... Même speedy gonzalès n'aurait rien pu faire !

Obligée de ceinturer sur la place du village cet élève qui fait ma taille et mon double de poids avant qu'il ne traverse sans regarder ! Et en crise complète, ingérable ! Et pendant ce temps les autres étaient seuls... La dame de cantine n'était pas arrivée... Personne ! Ma solitude et moi !

J'ai fait un signalement à l'inspection, à la direction dans l'autre village, convoqué donc la tante qui n'a vraiment pas semblé choquée... :getlost:

J'ai vécu ça ma première année d'enseignement(directrice seule avec un cm1/cm2 dont 3 fugueurs)...Ensuite quand je suis arrivée en "ville sensible", j'ai trouvé ça trop facile!lol!

Tu avais géré comment ces "fugues" ? Ca ne m'est arrivé qu'une fois, le dernier jour avec cette classe, mais j'en tremble encore !

J'ai vraiment été sonnée, même si je n'ai rien montré devant les élèves. Le principal concerné n'en a peut être pas pris conscience car isolé mais le reste de la classe qui m'a vue pendue au téléphone avec la directrice du RPI pendant quelques conversations s'est bien rendu compte de la gravité de la chose !

Je pense aussi à ma 1ère année où les collègues étaient réticents voire refusaient de garder un enfant très perturbateur (hopital de jour tous les matins) dans leur classe alors qu'il devenait violent envers un autiste de la classe... Il peut y avoir aussi cette solitude là, pas que géographique ! Que les collègues essaient de te donner une leçon d'autorité en te laissant te débrouiller seul... :getlost:

eh oui malheureusement, pas toujours facile...

Je courais après!lol!

puis j'ai collé comme au collège et ça n'amusait pas du tout les parents du rpi de devoir se déplacer(j'avais la permission de l'inspectrice) et j'ai eu une aide-éducatrice dans la classe(pour d'autres cas que les fugueurs)

bref, une année haute en couleur mais qui s'est très bien terminée et ça , ça remonte le moral;-)

Posté(e)

Pas bête comme idée des heures de colle ! C'est ce qui aurait eu le plus d'impact vu le comportement de la tante...

En plus en CM, ça prépare au collège !

  • 1 mois plus tard...
Posté(e)

Bonjour à tous et à toutes,

Petite expérience personnelle à méditer!!!

Enseignante avec de très bons états de service et spécialiste du CM, j'ai toujours été perçue comme une enseignante sachant tenir sa classe (râleuse au dire des élèves) mais ayant un bon contact avec les élèves et les parents. Mais ça c'était avant...

L'an dernier a été mon "annus horibilis" car, directrice fraîchement nommée dans une école, j'ai eu fort à faire avec des parents trop consommateurs et trop au courant de leurs droits mais pas assez de leurs devoirs.

Certains parents ne comprenaient pas que je ne "materne" pas leurs petits chéris de CM1, on critiquait mes décisions, on venait me demander pourquoi tel élève ne venait pas en aide perso pour recopier son cahier de leçons très mal écrit, on critiquait ma manière d'enseigner et ma progression (devant les élèves), des parents se permettaient d'aller voir d'autres parents sur leur lieu de travail pour leur signifier que je "harcelais" leur petit chéri (une vraie peste au masculin enfant-roi). Cependant, mes relations avec les élèves étaient bonnes... Pour les perturbateurs, j'ai essayé de faire face et de mettre en place un système de codage couleur pour le comportement (rouge, orange et vert) des élèves. Mais...

Ce sont les parents qui ont gagné car, depuis mai, je suis en arrêt pour dépression suite à un courrier plus que virulent des parents à mon IEN qui ne m'a pas soutenue, au contraire!!! Courrier de l'IA avec un avertissement pour comportement professionnel inadéquat sans pouvoir me défendre. Pétition des parents (je l'ai appris par hasard) pour exiger mon renvoi de l'école mais, bizarre (???) refus de l'IA d'accéder à ma demande exceptionnelle de changement d'affectation.

Au vu de tout cela, je ne sais pas quoi en penser sur la façon d'agir en classe... Toujours en arrêt, je ne sais pas quelle attitude j'aurai quand je reviendrai dans une classe.

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