lasmoule Posté(e) 17 septembre 2012 Posté(e) 17 septembre 2012 Comment dire...Je ne suis pas spécialement fière mais....j'ai un doute sur le mot lecture: 2 ou 3 syllabes? idem pour "image"
maryl Posté(e) 17 septembre 2012 Posté(e) 17 septembre 2012 À l'oral 2 (sauf dans le sud ouest :p ). À l'écrit 3.
Goëllette Posté(e) 17 septembre 2012 Posté(e) 17 septembre 2012 Il n'y a que l'écrit qui compte : 3 syllabes. C'est ce qu'il faut faire apprendre aux élèves, en leur expliquant que parfois et dans certains endroits, à l'oral, on ne prononce pas le "e" final.
carooline Posté(e) 17 septembre 2012 Posté(e) 17 septembre 2012 Il n'y a que l'écrit qui compte : 3 syllabes. C'est ce qu'il faut faire apprendre aux élèves, en leur expliquant que parfois et dans certains endroits, à l'oral, on ne prononce pas le "e" final. ça dépend des méthodes de lecture. Dans "A tire d'aile", on voit d'abord les syllabes orales (comme celles vues en maternelle) elles sont codées d'une certaine couleur. Ensuite on voit les syllabes écrites codées d'une autre couleur.
edmonde Posté(e) 17 septembre 2012 Posté(e) 17 septembre 2012 Je leur dis comme maryl : 2 syllabes à l'oral (quand on frappe dans les mains) mais 3 syllabes à l'écrit : lec/tu/re : c'est surtout ce qui nous sert, en CE, quand il s'agit de couper des mots en bout de ligne. (encore que dans mes lointains souvenirs de lettres modernes, j'ai cru comprendre que ça ne se faisait pas vraiment de couper un mot avant une syllabe quasi muette. Genre "lecture", on peut le couper là : lec-ture mais pas là : lectu-re)
Anwamanë Posté(e) 18 septembre 2012 Posté(e) 18 septembre 2012 Le logicile "coupe-mots" me propose LECTURE
Anwamanë Posté(e) 18 septembre 2012 Posté(e) 18 septembre 2012 Document intéressant même si c'est pour les enfants : http://extranet.edit...63438303132.pdf
Goëllette Posté(e) 18 septembre 2012 Posté(e) 18 septembre 2012 Il n'y a que l'écrit qui compte : 3 syllabes. C'est ce qu'il faut faire apprendre aux élèves, en leur expliquant que parfois et dans certains endroits, à l'oral, on ne prononce pas le "e" final. ça dépend des méthodes de lecture. Dans "A tire d'aile", on voit d'abord les syllabes orales (comme celles vues en maternelle) elles sont codées d'une certaine couleur. Ensuite on voit les syllabes écrites codées d'une autre couleur. On lit avec les yeux, pas avec les oreilles, et le mot LECTURE comporte 3 syllabes, donc on met l'enfant en difficulté si on lui fait apprendre le contraire. Dans le sud, on prononce tous les "è" "é" mais ce n'est pas pour autant qu'on fait apprendre aux élèves que le "è" se prononce "é".
Archilecture Posté(e) 18 septembre 2012 Posté(e) 18 septembre 2012 Bravo, Goëllette, pour ce résumé si clair. Je retiens la formule : on lit avec les yeux, pas avec les oreilles. Je sens que je vais la ressortir, celle-là !
Goëllette Posté(e) 19 septembre 2012 Posté(e) 19 septembre 2012 :lol: Je ne l'ai pas vraiment inventé. J'ai juste débuté à une époque où la recherche en lecture était plus courageuse, et je crois que ça faisait partie du livre du maître de la première méthode que j'ai utilisée ("La Sorcière et moi" de Retz), dont l'esprit était global, mais à laquelle je rajoutais l'étude de la valeur des lettres, en utilisant les mots vus dans l'histoire et dans la vie de classe. (Pour la lettre "A", par exemple, on n'apprenait pas que ça produisait le son [a], puisque c'est majoritairement faux, on constatait toutes les possibilités.) Si quelqu'un connait, c'était une fabuleuse méthode dont l'élève était le héros, avec des exercices très intelligents sur le sens et la rapidité de lecture.
lasmoule Posté(e) 23 septembre 2012 Auteur Posté(e) 23 septembre 2012 Merci à vous pour vos réponses.
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