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Un métier dévorant


EncreRouge

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Parfois, quand on se plonge trop dans son boulot au détriment de sa vie amoureuse, en n' ayant plus le goût au reste,quand on voudrait rester au boulot pour fuir sa maison, c'est qu'il y a un problème qu'on n'a pas encore déceler ou qu'on ne veut pas voir...

Ah ouais, moi je l'ai pas senti comme ça mais plutôt comme quelqu'un d'euphorique d'y arriver après pas mal d'embûches.

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Parfois, quand on se plonge trop dans son boulot au détriment de sa vie amoureuse, en n' ayant plus le goût au reste,quand on voudrait rester au boulot pour fuir sa maison, c'est qu'il y a un problème qu'on n'a pas encore déceler ou qu'on ne veut pas voir...

Ah ouais, moi je l'ai pas senti comme ça mais plutôt comme quelqu'un d'euphorique d'y arriver après pas mal d'embûches.

On peut être euphorique dans son métier, d'éclater en classe, apprécier ses élèves mais également apprécier d'être avec son compagnon, ou avec ses amis.

Le problème , c'est que l'euphorie, elle n'en a que pour son métier, et plus pour sa vie perso et sociale... Quand on dit qu'on redoute le moment de rentrer chez soi, qu'on préfèrerait passer aussi le week end avec ses élèves plutôt qu'avec ses amis,c'est excessif non? Souvent , on réagit ainsi quand y'a un terrain dépressif derrière, je dis pas que c'est ça, c'est pour ça que je lui demande comment ça va dans sa vie perso.

Je le redis, mon métier , c'est ma passion mais , ma vie , c'est pas que mon métier.

J'ai beaucoup de plaisir de le faire mais aussi beaucoup de plaisir à faire autre chose avec mes amis et surtout , iet même si je pars souvent à 18H de la classe, il me tarde de rentrer chez moi car j'y suis bien avec mon conjoint, tout comme après les grandes vacances, il me tarde aussi de revoir mes élèves...

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Merci pour vos avis et vos différents éclairage... tu dis vrai mra, notamment, quand tu dis que quand on ne vit que pour son métier, si ça se passe mal on est détruit, on n'a l'impression de n'être plus rien.

C'est vrai que je suis "euphorique" de voir qu'enseigner, c'est très chouette, alors que mes 2 premières années dans le métier m'avaient un peu persuadée du contraire.

Mais je crois que tu n'as pas complètement tort dans ce que tu dis Mariine... Oui, à 16h30 (ou plutôt 17h10 avec le soutien), quand les élèves sont partis, je n'ai pas vraiment envie de rentrer chez moi. Je voudrais que les élèves restent et qu'on continue la journée... Ce qui est très étrange car avec mon copain ça se passe bien, j'ai 2 chiens qui m'attendent et que j'adore.... mais... j'ai l'impression, quand je rentre chez moi, de retourner à une routine très fade. J'ai l'impression d'être exaltée, toute la journée, en classe, avec les élèves, et que ça retombe le soir. Que ma vie, en dehors de l'école, est triste, fade, pas intéressante...

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Ben oui, mais il y a l'euphorie de réussir la journée là où ça n'allait pas avant...

Et peut-être qu'avec ton copain il y a une routine à bousculer, maintenant, non?

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