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Grève du 28 mars  

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Posté(e)

si le seul argument pour refuser cette réforme des rythmes était tout simplement "Nous n'avons pas envie de travailler le mercredi !", je le comprendrais même si je ne le soutiendrais mais tous les autres arguments sont empreints de mauvaise foi. Ce que défendent les collègues, ce ne sont pas les élèves mais eux-mêmes, ce que je peux entendre toutefois.

La mauvaise foi n'est pas là où tu le dis.

Pour nombre de collègues (dont je fais partie), il s'agit bien de refuser le travail du mercredi qui dégrade nos conditions de travail et nos conditions de vie.

Devant ce refus, le ministre, aidé par certains syndicats, a sorti toute une série d'arguments concernant les élèves (amélioration de ceci et de cela pour eux) et jetant en pâture ces enseignants "corporatistes" attachés à leur petit confort.

Or l'examen des "mesures" prévues montre à l'évidence que la situation des enfants et des élèves va également se dégrader! Même ça Peillon et ses affidés ne peuvent plus le défendre.

Entendre maintenant que les opposants "utilisent les élèves", alors qu'ils ne font que répondre à des arguments spécieux, c'est un peu fort de café!

"C'est pour le bien des enfants! C'est pour le bien des élèves" entend-on depuis le début (et même de ta part, ce qui est révélateur de ta conception du syndicalisme enseignant...)

Qui est-ce qui "utilise les élèves" ? Qui les "utilise" depuis le début ?

Posté(e)

Et cela pose t'il un problème si on a tout simplement pas envie d'aller bosser le mercredi?

Je connais peu de personnes qui seraient contentes de bosser un jour de plus ds la semaine même si on leur raconte que c'est pour le bien de ceci ou de cela. Ne soyons pas hypocrite!

Perso, je suis insomniaque et j'ai beaucoup de mal à gérer mon sommeil. Mes insomnies se situent le soir à l'endormissement. C'est terrible mais rien y fait.

Le mercredi me permet de dormir un peu plus le matin et donc de récupérer et donc d' être du coup plus disponible pour les enfants le jeudi et le vendredi.

Est-ce un mal de dire que oui travailler le mercredi va me crever bien plus qu'avant?

L'an prochain, je serai un zombi dès le mercredi dans ma classe.

Ne vaut -il pas mieux arriver dans sa classe en étant frais et dispo?

Alors oui, on peut AUSSI penser à soi dans cette histoire. Je ne vois pas où est le mal.

Je rajoute que moi c'est ça, mais d'autres ont des problèmes differents, enfants, personnes à charges, trajets, etc et que TOUT CELA compte AUSSI!!!

Flûte quoi!

Moi aussi je suis insomniaque et je bosse le mercredi sans que ça ne me fatigue plus que ça... Par contre, moi ce qui me fatigue le plus, c'est d'avoir 6 heures en double niveau et les corrections qui l'accompagnent le soir.

Et comme je l'ai déjà écrit, je préfère quelqu'un qui assume le fait de ne pas vouloir travailler le mercredi que quelqu'un qui se cache derrière le bien être des élèves.

Posté(e)

Comme on dit parfois : lieux vaut laisser le mérinos que continuer à argumenter dans le vide ... :online2long:

Encore faudrait-il argumenter ?

Posté(e)

a mauvaise foi n'est pas là où tu le dis.

Pour nombre de collègues (dont je fais partie), il s'agit bien de refuser le travail du mercredi qui dégrade nos conditions de travail et nos conditions de vie.

Devant ce refus, le ministre, aidé par certains syndicats, a sorti toute une série d'arguments concernant les élèves (amélioration de ceci et de cela pour eux) et jetant en pâture ces enseignants "corporatistes" attachés à leur petit confort.

Or l'examen des "mesures" prévues montre à l'évidence que la situation des enfants et des élèves va également se dégrader! Même ça Peillon et ses affidés ne peuvent plus le défendre.

Entendre maintenant que les opposants "utilisent les élèves", alors qu'ils ne font que répondre à des arguments spécieux, c'est un peu fort de café!

"C'est pour le bien des enfants! C'est pour le bien des élèves" entend-on depuis le début (et même de ta part, ce qui est révélateur de ta conception du syndicalisme enseignant...)

Qui est-ce qui "utilise les élèves" ? Qui les "utilise" depuis le début ?

Les 60000 postes vont-ils mettre en danger les élèves ? Le retour d'une certaine formation initiale va-t-elle être un danger pour les élèves ? La disparition d'une partie de l'AP est-elle un danger pour les élèves ?

Et surtout, puisque apparemment, je ne m'intéresse pas aux collègues, cela va-t-il dégrader nos conditions de travail que d'avoir des PES un peu mieux formés (pour toi, ça ne change pas grand-chose puisque ce qui compte, c'est d'être tranquille dans ta classe, avoir un jeune enseignant dans la merde à côté de toi, tu t'en moques - et ne me dis pas que ce n'est pas à toi de le former car dans n'importe quel boulot on apprend toujours plus de ses pairs, quelque soit la qualité de la formation), cela va-t-il dégrader nos conditions de travail que d'avoir un enseignant supplémentaire dans la classe (je sais, toi tu 'en veux pas parce que t'es tellement bon que tu n'as besoin de personne), cela va-t-il dégrader nos conditions de travail que de pouvoir inscrire dans nos heures de travail les équipes pédagogiques, les rendez-vous avec les parents et le temps que l'on met par exemple pour remplir les dossiers RASED ou MDPH ?

Posté(e)

a mauvaise foi n'est pas là où tu le dis.

Pour nombre de collègues (dont je fais partie), il s'agit bien de refuser le travail du mercredi qui dégrade nos conditions de travail et nos conditions de vie.

Devant ce refus, le ministre, aidé par certains syndicats, a sorti toute une série d'arguments concernant les élèves (amélioration de ceci et de cela pour eux) et jetant en pâture ces enseignants "corporatistes" attachés à leur petit confort.

Or l'examen des "mesures" prévues montre à l'évidence que la situation des enfants et des élèves va également se dégrader! Même ça Peillon et ses affidés ne peuvent plus le défendre.

Entendre maintenant que les opposants "utilisent les élèves", alors qu'ils ne font que répondre à des arguments spécieux, c'est un peu fort de café!

"C'est pour le bien des enfants! C'est pour le bien des élèves" entend-on depuis le début (et même de ta part, ce qui est révélateur de ta conception du syndicalisme enseignant...)

Qui est-ce qui "utilise les élèves" ? Qui les "utilise" depuis le début ?

Les 60000 postes vont-ils mettre en danger les élèves ? Le retour d'une certaine formation initiale va-t-elle être un danger pour les élèves ? La disparition d'une partie de l'AP est-elle un danger pour les élèves ?

Et surtout, puisque apparemment, je ne m'intéresse pas aux collègues, cela va-t-il dégrader nos conditions de travail que d'avoir des PES un peu mieux formés (pour toi, ça ne change pas grand-chose puisque ce qui compte, c'est d'être tranquille dans ta classe, avoir un jeune enseignant dans la merde à côté de toi, tu t'en moques - et ne me dis pas que ce n'est pas à toi de le former car dans n'importe quel boulot on apprend toujours plus de ses pairs, quelque soit la qualité de la formation), cela va-t-il dégrader nos conditions de travail que d'avoir un enseignant supplémentaire dans la classe (je sais, toi tu 'en veux pas parce que t'es tellement bon que tu n'as besoin de personne), cela va-t-il dégrader nos conditions de travail que de pouvoir inscrire dans nos heures de travail les équipes pédagogiques, les rendez-vous avec les parents et le temps que l'on met par exemple pour remplir les dossiers RASED ou MDPH ?

Je parle des rythmes et tu réponds par la propagande de Peillon... Comprendra qui peut.

De plus : "pouvoir inscrire dans nos heures de travail les équipes pédagogiques, les rendez-vous avec les parents et le temps que l'on met par exemple pour remplir les dossiers RASED ou MDPH" est une mesure qui a été introduite sous Sarkozy (les "24 h" des "108h" dues aux 4 jours). Conservé par Peillon (qui y a ajouté même les concertations cm2/6e ! déjà que les 24 h suffisent pas)... Toi qui nous serine avec ça depuis le début, te voilà un fervent supporter des mesures prises par Darcos sous Sarko... Encore un effort et bientôt tu défendras les 4 jours...

Posté(e)

Là où je te rejoins, c'est que c'est une solution "bâtarde". Soit on considère un temps de travail enseignant dans lequel on intègre préparation, correction, réunion, rendez-vous, ce que certains collègues prônent, soit on supprime les 108 heures et le temps de travail est aléatoire selon le collègue.

Je défends plutôt la seconde mais en attendant, je préfère que la concertation et les rendez-vous, que de toute façon, je ferai quoiqu'il en soit, remplace une partie de cette pseudo aide aux élèves.

Et au passage, ne fais-tu pas partie de ceux qui demandent l'abrogation de la loi de refondation ? Et en plus, le décret sur le temps enseignant est-il le même que celui des rythmes ?

Posté(e)

Là où je te rejoins, c'est que c'est une solution "bâtarde". Soit on considère un temps de travail enseignant dans lequel on intègre préparation, correction, réunion, rendez-vous, ce que certains collègues prônent, soit on supprime les 108 heures et le temps de travail est aléatoire selon le collègue.

Je défends plutôt la seconde mais en attendant, je préfère que la concertation et les rendez-vous, que de toute façon, je ferai quoiqu'il en soit, remplace une partie de cette pseudo aide aux élèves.

Et au passage, ne fais-tu pas partie de ceux qui demandent l'abrogation de la loi de refondation ? Et en plus, le décret sur le temps enseignant est-il le même que celui des rythmes ?

Au passage, les 24h pour "pouvoir inscrire dans nos heures de travail les équipes pédagogiques, les rendez-vous avec les parents et le temps que l'on met par exemple pour remplir les dossiers RASED ou MDPH" est-elle une mesure qui a été introduite sous Sarkozy ou non ?

Posté(e)

Allez, une petite citation (décembre 2008, bureau du Snuipp):

"La mise en oeuvre de programmes plus lourds, la diminution de deux heures d’enseignement, la suppression de 3 000 postes de RASED, un nouveau dispositif d’évaluation, la mise en place chaotique de l’aide personnalisée remettent en cause les fondements de l’école publique. La mise en place des nouveaux dispositifs s’effectue dans la confusion au mépris de tout dialogue social et du respect des personnels et des élèves."

Ou, en janvier 2009:

"Qui peut croire un seul instant qu’avec un horaire diminué, des programmes plus lourds, moins d’enseignants, des RASED fragilisés, des dispositifs d’aides improvisés, les élèves pourraient mieux réussir à l’école ?"

Ou, en mai 2010:

"La circulaire de rentrée 2010 évoque la possibilité de revenir à la semaine de 4,5 jours en faisant travailler élèves et enseignants de l’école primaire le mercredi matin... Tour de passe passe :


puce-68c92.gif Dans un premier temps, le gouvernement supprime le samedi matin et 1500 postes de RASED en inventant l’aide personnalisée.

puce-68c92.gif Du coup les journées des élèves et des enseignants se rallongent. Puis tout le monde s’aperçoit que ça ne va pas.

puce-68c92.gif Dans un second temps on rétablit le mercredi matin travaillé pour les élèves, donc pour les enseignants.

puce-68c92.gif Résultat : l’amplitude du temps de présence des enseignants dans les écoles augmente pendant que le temps d’enseignement des élèves a diminué...

Rappel : Deux heures d’enseignement en moins par semaine c’est 36 semaines x 2 = 72 heures de classe en moins par an soit 3 semaines actuelles d’enseignement... Sur une scolarité de 3 ans en maternelle et de 5 ans en élémentaire c’est 24 semaines de classe en moins, soit les 2/3 d’une année scolaire... Tout cela pour mettre en place l’aide personnalisée censée suppléer aux fermetures de postes en RASED...

La décision prise par le gouvernement à la rentrée 2008 est lourde de conséquences sur la journée des élèves, mais aussi sur celle des enseignants. Lorsque le samedi matin était travaillé, il était suivi par 1,5 jour de repos. Travailler le mercredi matin pose d’autres problèmes.

En ajoutant le mercredi matin comme journée de présence devant les élèves, à quel moment se feront les concertations et animations pédagogiques : le mercredi après midi ? Les salariés que sont les instits et les P.E. ont aussi leur mot à dire, c’est pourquoi nous serons vigilants quant au respect des textes : ni les municipalités, ni l’administration de l’Education Nationale ne pourront prendre leurs décisions seules."

Moi, je ne comprends pas: à part les "60000 postes" (qui ne sont "que" 14 000 d'enseignants du primaire, dont 10 000 réservés aux moins de 3 ans et à plus de maîtres que de classes!!!), à part le retour d'une formation initiale (soumise à la loi LRU), qui sont pour moi insuffisants, qu'est-ce qui a si profondément changé pour que les positions du Snuipp soit si différentes?

Posté(e)

Là où je te rejoins, c'est que c'est une solution "bâtarde". Soit on considère un temps de travail enseignant dans lequel on intègre préparation, correction, réunion, rendez-vous, ce que certains collègues prônent, soit on supprime les 108 heures et le temps de travail est aléatoire selon le collègue.

Pas si on définit les obligations de services en heures d'enseignement!

Mais ravie de voir que...

Je défends plutôt la seconde mais en attendant, je préfère que la concertation et les rendez-vous, que de toute façon, je ferai quoiqu'il en soit, remplace une partie de cette pseudo aide aux élèves.

Posté(e)

Là où je te rejoins, c'est que c'est une solution "bâtarde". Soit on considère un temps de travail enseignant dans lequel on intègre préparation, correction, réunion, rendez-vous, ce que certains collègues prônent, soit on supprime les 108 heures et le temps de travail est aléatoire selon le collègue.

Pas si on définit les obligations de services en heures d'enseignement!

Mais ravie de voir que...

???

Je défends plutôt la seconde mais en attendant, je préfère que la concertation et les rendez-vous, que de toute façon, je ferai quoiqu'il en soit, remplacent une partie de cette pseudo aide aux élèves.

Posté(e)

Allez, une petite citation (décembre 2008, bureau du Snuipp):

"La mise en oeuvre de programmes plus lourds, la diminution de deux heures d’enseignement, la suppression de 3 000 postes de RASED, un nouveau dispositif d’évaluation, la mise en place chaotique de l’aide personnalisée remettent en cause les fondements de l’école publique. La mise en place des nouveaux dispositifs s’effectue dans la confusion au mépris de tout dialogue social et du respect des personnels et des élèves."

Ou, en janvier 2009:

"Qui peut croire un seul instant qu’avec un horaire diminué, des programmes plus lourds, moins d’enseignants, des RASED fragilisés, des dispositifs d’aides improvisés, les élèves pourraient mieux réussir à l’école ?"

Ou, en mai 2010:

"La circulaire de rentrée 2010 évoque la possibilité de revenir à la semaine de 4,5 jours en faisant travailler élèves et enseignants de l’école primaire le mercredi matin... Tour de passe passe :

puce-68c92.gif Dans un premier temps, le gouvernement supprime le samedi matin et 1500 postes de RASED en inventant l’aide personnalisée.

puce-68c92.gif Du coup les journées des élèves et des enseignants se rallongent. Puis tout le monde s’aperçoit que ça ne va pas.

puce-68c92.gif Dans un second temps on rétablit le mercredi matin travaillé pour les élèves, donc pour les enseignants.

puce-68c92.gif Résultat : l’amplitude du temps de présence des enseignants dans les écoles augmente pendant que le temps d’enseignement des élèves a diminué...

Rappel : Deux heures d’enseignement en moins par semaine c’est 36 semaines x 2 = 72 heures de classe en moins par an soit 3 semaines actuelles d’enseignement... Sur une scolarité de 3 ans en maternelle et de 5 ans en élémentaire c’est 24 semaines de classe en moins, soit les 2/3 d’une année scolaire... Tout cela pour mettre en place l’aide personnalisée censée suppléer aux fermetures de postes en RASED...

La décision prise par le gouvernement à la rentrée 2008 est lourde de conséquences sur la journée des élèves, mais aussi sur celle des enseignants. Lorsque le samedi matin était travaillé, il était suivi par 1,5 jour de repos. Travailler le mercredi matin pose d’autres problèmes.

En ajoutant le mercredi matin comme journée de présence devant les élèves, à quel moment se feront les concertations et animations pédagogiques : le mercredi après midi ? Les salariés que sont les instits et les P.E. ont aussi leur mot à dire, c’est pourquoi nous serons vigilants quant au respect des textes : ni les municipalités, ni l’administration de l’Education Nationale ne pourront prendre leurs décisions seules."

Moi, je ne comprends pas: à part les "60000 postes" (qui ne sont "que" 14 000 d'enseignants du primaire, dont 10 000 réservés aux moins de 3 ans et à plus de maîtres que de classes!!!), à part le retour d'une formation initiale (soumise à la loi LRU), qui sont pour moi insuffisants, qu'est-ce qui a si profondément changé pour que les positions du Snuipp soit si différentes?

Mais en quoi les positions du SNUipp ont-elles variés ? Le SNUipp n'a-t-il pas demandé la réécriture du décret sur les rythmes ? Le SNUipp ne dénonce-t-il pas le maintien de l'école du socle et la loi LRU ? Nous continuons de pointer du doigt que cette loi de refondation, sur certains points, ne se démarquent pas de la politique de N. Sarkozy. N'a-t-on pas appelé à la grève le 12/02 ? N'organisons-nous pas une journée de manifestation le 6 avril ?

Rappel du mot d'ordre du 6 avril :

  • Pour la prolongation de la scolarité obligatoire à 18 ans,
  • Pour la reconnaissance sociale de tous les métiers de l’éducation.
  • Pour une amélioration des conditions de scolarisation des élèves (effectifs, contenus enseignés...).

Dans le primaire, cela passe notamment par :
  • une réforme des rythmes scolaires réussie et donc par un report de la réforme en 2014 pour donner le temps à une réécriture du décret.
  • Pour la révision des programmes, une véritable formation initiale et continue de qualité et en quantité, une prévention de la difficulté scolaire …
  • Pour une relance de l’Education Prioritaire
  • Pour une amélioration des conditions de travail, d’emploi et de service de tous les personnels et le développement de l’offre de formation.
  • Pour la fin au gel du point d’indice et pour une réelle revalorisation salariale pour tous les personnels
  • Pour la création de postes et la programmation des moyens nécessaires à l’accomplissement des missions.
  • Pour un véritable plan d’envergure de pré recrutements.
  • ...

Et surtout, il y a un aspect que vous feignez d'ignorer : il n'y a aucune unanimité au sein du monde enseignant en termes de rythmes scolaires. C'est facile pour vous qui de toute façon, ne vous prononcez pas pour ne pas vous mettre à dos certains collègues.

Personnellement, je l'ai dit et redit, je suis favorable à un retour au samedi matin mais cette solution n'est pas appréciée de l'ensemble de la profession. Les enseignants expliquent privilégier les 4 jours et demie (58 % selon notre enquête) mais quels aménagements satisferaient tout le monde ?

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