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La pédagogie, elle est dans ma classe et j'en suis libre... Bon, comme j'ai l'impression de me répéter sans cesse, je laisse tomber. D'ailleurs, j'efface mon passage sur la pub, parce que ça m'énerve.

Absolument. Je n'attends pas d'un syndicat qu'il se mêle de pédagogie. Chacun est libre, et encore heureux (à moins que vous ne soyez pour la chasse aux sorcières dans l'EN...).

Par contre j'attends d'un syndicat qu'il défende nos conditions de travail, sans concessions. Chacun ses priorités.

Posté(e)

Les Echos

14 juin 2013

Notre triste Sihr du machin -oups, syndicat- majoritaire déclare :

"Parmi les écoles qui passent aux nouveaux rythmes en 2013, s’annoncent de belles réussites [...]"

Si ça, ce n'est pas une belle pugnacité syndicale !!!

Posté(e)

journal 20 minutes

17 septembre 2013 :

"Admettant toutefois «être encore dans une phase de réglage, qui ne doit pas trop durer», l’élue [Colombe Brossel] avait prévu d’adresser aux directeurs d’établissements, ce lundi, un document «permettant de clarifier les choses».

Car «il peut y avoir un peu de tâtonnement ici ou là», confirme Sébastien Sihr." :hug:

Un peu de "tâtonnement"... Seb, les collègues que tu "défends" apprécieront.

Posté(e)

Lu sur enseignants-du-primaire.info, 26 juin 2013 :

Voici le courrier signé S. Sihr reçu par une collègue qui demandait des explications sur la position du SNUIPP sur la réforme des rythmes scolaires:

"Madame, chère collègue,


J'ai bien reçu votre courrier sur lequel vous exprimez votre position sur la réforme des rythmes. Je sais que les annonces intempestives et les atermoiements du ministre ont jeté le trouble dans les salles des maîtres. Depuis le début, notre ligne a été claire: Oui à une réforme des rythmes, mais avec l'exigence de qualité et le discours de vérité.Dès le mois d'Octobre, c'est le SNUIPP-FSU qui s'est adressé officiellement au premier ministre en lui faisant part de nos vives inquiétudes à propos d'une réforme des rythmes qui s'écartait des objectifs affichés par le ministre d'un mieux pour les enfants pour leur journée. Nous avons mis sur la table les vrais sujets: l'allègement de la journée scolaire à 5 heures, la mise en oeuvre des activités culturelles, artistiques et sportives de qualité pour tous les enfants, l'égalité de cette offre éducative pour tous les enfants sur tout le territoire ,la gratuité de toutes ces activités pour toutes les familles.

l'égalité de "l'offre éducative pour tous", gratuite, ça existe déjà, c'est l'Ecole, non ???


Dès ce mois d'Octobre, nous avons mis en garde le ministre pour que cette réforme concilie réussite des élèves et reconnaissance des enseignants en prenant en compte leurs conditions de travail notre situation de déclassement salariale qui n'a que trop duré et prenant en compte l'avis des enseignants via les conseils d'école.


Quelle grande déception... Force a été de constater que le décret sur l'aménagement du temps paru en Janvier n'offre pas suffisamment de souplesse aux communes , chaque jour plus réticentes devant des difficultés bien réelles. Force est de constater la cacophonie sur le versement du fond d'amorçage de 250 millions d'Euros ou le décret sur le taux d'encadrement du périscolaire qui vient de se faire retoquer au conseil d'état pour rupture d'égalité. Demander le report partout où les conditions de réussite de la réforme n'était pas réunie, exiger la réécriture du décret, nos demandes ont été et restent légitimes.


L'exigence de qualité et le discours de vérité: La journée de grève du 12 Février a résonné fortement dans la profession Oui, mais impulsée en amont par d'autres....Le mercredi 19 décembre 2012, peu de fanions SNUI-pp visibles dans le cortège parisien.... Ce jour-là, nous avons su offrir collectivement un espace d'expression et de contestation à nos collègues dont l'avis devait être entendu, les conditions de vie professionnelle et personnelle prises en compte. Cette journée, nous l'avons construite,ensemble, dans un va et vient instantané et dans une démarche collective assumée Rattrapé par la base, mon cher Sébastien, il fallait bien que tu sauves la face. Nous avons eu le souci de nous rassembler prenant en compte la diversité des situations départementales. Et bien, oui, cela n'a pas été facile. On n'appelle pas 330000 collègues à se mettre en grève par facilité. C'est une vraie responsabilité. Nous l'avons assumée pour dire notre déception de cette réforme, déception qui se vérifie aujourd'hui sur le terrain dans un certain nombre d'écoles, et affirmer notre exigence d'une réforme réussie pour tous les enfants sur tout le territoire.


Nous avons joué carte sur table. Nous n'avons pas été les adeptes du "débrouillez-vous dans votre école et tout ira bien", mais nous n'avons pas glouglouté pour autant, ni hurlé avec les loups nostalgiques de la semaine de Darcos. Ni vendeurs de rêves, ni conservateurs butés. Nous sommes restés nous-mêmes, exigeant qualité et discours de vérité. Cette ligne, nous la tenons encore aujourd'hui. Pour les écoles passant en 2013, à l'heure des choix, nous sommes en première ligne pour défendre et porter les projets de nos collègues, souvent rejoints aujourd'hui par ceux qui chantaient, il n'y a pas si longtemps "tout va très bien, madame la Marquise".


Dans les communes qui ont programmé leur passage en 2014, la plupart des problèmes, pour réussir une belle journée scolaire et éducative pour les enfants, demeurent. On ne fera pas l'économie de la réécriture du décret pour permettre de la souplesse, de l'adaptation à la diversité et aux contraintes des situations locales.


Voici, chère collègue, la position collective que nous avons adoptée et tenue. Soyez assurée que le SNUIPP-FSU continuera à construire avec les enseignants des écoles avec les élus, comme Colombe Brossel ses propositions pour l'amélioration du système éducatif et la réussite des élèves.
Très cordialement,

Sébastien Sihr"


Voilà comment on justifie une si belle réussite dans la défense des conditions de travail des Professeurs des Ecoles au SNUIPP...

A propos des "conservateurs butés"... Notre ami Sébastien Sihr me rappelle un jeune syndicaliste étudiant qui "luttait" au côté de la CGT contre le CPE...

Quelques années plus tard, on retrouvait cet ancien syndicaliste, désormais encarté au PS, au côté de Vincent Peillon, accusant les enseignants de "corporatisme". Bruno Julliard avait fait du chemin, entre temps...

Un chemin emprunté à son tour par notre collègue Sébastien Sihr ?

Posté(e)

Je suis très intéressée par cette lettre au format avec logo et signature, c'est possible de me l'envoyer par mp?

Sinon, même analyse que toi, notamment quand tu ajoutes "l'égalité de "l'offre éducative pour tous", gratuite, ça existe déjà, c'est l'Ecole, non ???"

Voilà ce qui me dérange le plus: étant fonctionnaires d'état, nous garantissions une offre équitable à tous les territoires, indépendante du bien-vouloir des mairies. Quand je vois les propositions que nos collègues nous remontent très gentiment, cela me frappe. Ne serait-ce qu'entre ma commune de résidence "pauvre" et ma commune d'exercice "riche". Attention aussi à ce que cela préfigure: dans une logique d'austérité et de décentralisation, il serait tellement rentable de nous territorialiser... Tiens, je suis un loup qui hurle... (petites phrases qui me bousculent, et qui reflètent si bien l'unité syndicale prônée par M.Sihr...)

Quant au rythme de l'enfant, je l'ai toujours pris en compte dans la préparation de ma journée (merci ma liberté pédagogique). C'est d'ailleurs un point qui revient dans les études chronobiologistes, qu'on occulte pour mieux les faire dire ce que l'on souhaite: ce n'est pas la durée de la journée, le problème, c'est ce qu'on y met et dans quel ordre. Une autre répartition des programmes aurait sûrement été plus bénéfique pour l'enfant qu'un marasme coûteux et inéquitable...

Posté(e)

Rectificatif... B. Julliard avait taxé les enseignants de "conservatisme"...

Posté(e)

mayre, j'essaierai de te trouver le lien plus tard... Ma nouvelle journée de travail :( commence dans une demi-heure !!!

Posté(e)

mayre je dois l avoir cette lettre... des que je rentre je te l envoie....

Posté(e)

Je suis très intéressée par cette lettre au format avec logo et signature, c'est possible de me l'envoyer par mp?

Sinon, même analyse que toi, notamment quand tu ajoutes "l'égalité de "l'offre éducative pour tous", gratuite, ça existe déjà, c'est l'Ecole, non ???"

Mais pourquoi ne proposez-vous pas que ce ne se soit plus les communes qui financent les écoles mais l'Etat. parce qu'on sait très bien que la différence d'investissement des communes dans les écoles entraîne des inégalités. Réforme ou pas réforme, depuis toujours, les collègues se rendent bien compte que selon l'endroit où l'on enseigne, on ne travaille pas dans les mêmes conditions. La réforme n'a fait que mettre l'accent sur cela.

Quand à l'offre éducative, quand on sait que le fait de pratiquer des activités en-dehors de l'école est un facteur de réussite scolaire, que proposez-vous pour que ses activités (musique, théâtre, sport...) soient proposées à tous les enfants de façon égalitaire ?

Attention, ne me faîtes pas dire autre chose parce que je vous connais, vous allez encore détourner les propos en me disant que la réforme actuelle ne le permettra pas non plus, ce avec quoi je suis d'accord.

Voilà ce qui me dérange le plus: étant fonctionnaires d'état, nous garantissions une offre équitable à tous les territoires, indépendante du bien-vouloir des mairies. Quand je vois les propositions que nos collègues nous remontent très gentiment, cela me frappe. Ne serait-ce qu'entre ma commune de résidence "pauvre" et ma commune d'exercice "riche". Attention aussi à ce que cela préfigure: dans une logique d'austérité et de décentralisation, il serait tellement rentable de nous territorialiser... Tiens, je suis un loup qui hurle... (petites phrases qui me bousculent, et qui reflètent si bien l'unité syndicale prônée par M.Sihr...)

Pour info, relis les texte du congrès du SNUipp et tu verras que cette crainte de territorialisation est réelle chez nous et que nous avons plus souvent manifesté l'an passé contre l'austérité que vous (vous n'avez pas voulu nous rejoindre avec la CGT à la veille de la conférence sociale pour manifester au sein du CES).

Quant au rythme de l'enfant, je l'ai toujours pris en compte dans la préparation de ma journée (merci ma liberté pédagogique). C'est d'ailleurs un point qui revient dans les études chronobiologistes, qu'on occulte pour mieux les faire dire ce que l'on souhaite: ce n'est pas la durée de la journée, le problème, c'est ce qu'on y met et dans quel ordre. Une autre répartition des programmes aurait sûrement été plus bénéfique pour l'enfant qu'un marasme coûteux et inéquitable...

Tu parles de ta liberté pédagogique mais quand j'ai parlé de pédagogie, je ne parlais pas d'imposer la même pédagogie pour tous les enseignants. Ca n'a jamais été l'intention du SNUipp d'ailleurs. Dire le contraire relèverait d'une certaine malhonnêteté. Mais un syndicat enseignant qui ne s'intéresserait pas de pédagogie ne s'intéresserait donc pas aux programmes. Non ? Donc, sur les programmes, on doit laisser faire : laisser faire le délitement de l'enseignement de l'histoire par exemple ou même toujours en histoire certains partis-pris idéologiques.

Tu me fais sourire parce que tu feins de ne pas entendre mes propos, tu expliques qu'un syndicat doit uniquement défendre ses salariés et ensuite tu expliques qu'il faut changer les programmes. Programmes de 2002 ou de 2008, ça n'a aucun impact sur mon nombre d'heures travaillées ou sur mon salaire, ou sur ma retraite. Ca a juste un impact sur mes élèves.

Posté(e)

Il y a deux sortes de syndicats:

- ceux qui sont spécifiques à un métier et qui vont donc s'intéresser en premier lieu au fond du métier, la pédagogie, les programmes et autres dans notre cas

- ceux qui sont généralistes et qui vont donc s'intéresser en premier lieu aux conditions de travail, et donc à notre statut

Ni les uns, ni les autres ne sont exclusifs mais ils ont des priorités. A chacun de trouver et surtout de contribuer au syndicat qui lui ressemble.

Pour ma part, je demande à mon syndicat de s'intéresser d'abord à la travailleuse que je suis, avant de se pencher sur les questions pédagogiques.Pour cela, il y a aussi , à mon sens, les conseils des maîtres, les concertations de circonscriptions, les rencontres avec les ICC... Alors que lorsque mon employeur ne respecte pas la loi, je n'ai pas d'autre ressort que le syndicat.

Edit: je rajoute ici qu'il n'est donc pas étonnant que le Sni** se penche sur les programmes, lorsque F* se penche sur le temps de travail.

Cela vient de l'origine et du type de chacun de ces syndicats.

On peut aussi faire l'un et l'autre. Le SNUipp était dans la rue le 31 janvier pour demander des hausses de salaire, dans la rue le 12 février pour demander la réécriture du décret des rythmes et le report de son application, à la veille de la conférence sociale contre l'austérité en Europe, le 10 septembre dernier contre la réforme des retraites. Bien sûr, le SNUipp étant une composante de la FSU, sur les manifestations plus générales comme la dernière en date, la bannière choisie est celle de la FSU. Mais on est toujours là, ce qui n'est pas le cas des autres syndicats, à l'exception de la CGT et de Solidaires qui ont participé depuis le début de l'année 2013 aux mêmes actions que nous (les mêmes qui ont manifesté ensemble le 1er mai, de façon unitaire). N'oublions pas la manifestation nationale du 6 avril où la FSU était seule cette fois-ci. Qui en a fait autant cette année ?

Posté(e)

Je suis très intéressée par cette lettre au format avec logo et signature, c'est possible de me l'envoyer par mp?

Sinon, même analyse que toi, notamment quand tu ajoutes "l'égalité de "l'offre éducative pour tous", gratuite, ça existe déjà, c'est l'Ecole, non ???"

Mais pourquoi ne proposez-vous pas que ce ne se soit plus les communes qui financent les écoles mais l'Etat. parce qu'on sait très bien que la différence d'investissement des communes dans les écoles entraîne des inégalités. Réforme ou pas réforme, depuis toujours, les collègues se rendent bien compte que selon l'endroit où l'on enseigne, on ne travaille pas dans les mêmes conditions. La réforme n'a fait que mettre l'accent sur cela.

Quand à l'offre éducative, quand on sait que le fait de pratiquer des activités en-dehors de l'école est un facteur de réussite scolaire, que proposez-vous pour que ses activités (musique, théâtre, sport...) soient proposées à tous les enfants de façon égalitaire ?

Attention, ne me faîtes pas dire autre chose parce que je vous connais, vous allez encore détourner les propos en me disant que la réforme actuelle ne le permettra pas non plus, ce avec quoi je suis d'accord.

>Voilà ce qui me dérange le plus: étant fonctionnaires d'état, nous garantissions une offre équitable à tous les territoires, indépendante du bien-vouloir des mairies. Quand je vois les propositions que nos collègues nous remontent très gentiment, cela me frappe. Ne serait-ce qu'entre ma commune de résidence "pauvre" et ma commune d'exercice "riche". Attention aussi à ce que cela préfigure: dans une logique d'austérité et de décentralisation, il serait tellement rentable de nous territorialiser... Tiens, je suis un loup qui hurle... (petites phrases qui me bousculent, et qui reflètent si bien l'unité syndicale prônée par M.Sihr...)

Pour info, relis les texte du congrès du SNUipp et tu verras que cette crainte de territorialisation est réelle chez nous et que nous avons plus souvent manifesté l'an passé contre l'austérité que vous (vous n'avez pas voulu nous rejoindre avec la CGT à la veille de la conférence sociale pour manifester au sein du CES).

Quant au rythme de l'enfant, je l'ai toujours pris en compte dans la préparation de ma journée (merci ma liberté pédagogique). C'est d'ailleurs un point qui revient dans les études chronobiologistes, qu'on occulte pour mieux les faire dire ce que l'on souhaite: ce n'est pas la durée de la journée, le problème, c'est ce qu'on y met et dans quel ordre. Une autre répartition des programmes aurait sûrement été plus bénéfique pour l'enfant qu'un marasme coûteux et inéquitable...

Tu parles de ta liberté pédagogique mais quand j'ai parlé de pédagogie, je ne parlais pas d'imposer la même pédagogie pour tous les enseignants. Ca n'a jamais été l'intention du SNUipp d'ailleurs. Dire le contraire relèverait d'une certaine malhonnêteté. Mais un syndicat enseignant qui ne s'intéresserait pas de pédagogie ne s'intéresserait donc pas aux programmes. Non ? Donc, sur les programmes, on doit laisser faire : laisser faire le délitement de l'enseignement de l'histoire par exemple ou même toujours en histoire certains partis-pris idéologiques.

Tu me fais sourire parce que tu feins de ne pas entendre mes propos, tu expliques qu'un syndicat doit uniquement défendre ses salariés et ensuite tu expliques qu'il faut changer les programmes. Programmes de 2002 ou de 2008, ça n'a aucun impact sur mon nombre d'heures travaillées ou sur mon salaire, ou sur ma retraite. Ca a juste un impact sur mes élèves.

Personne ne parle de laisser faire n'importe quoi avec les programmes. Les associations pédagogiques, les parlementaires, les universitaires et même les associations de parents d'élèves etc... ont un rôle à jouer dans la conception des programmes de l'école publique. Les syndicats peuvent donner leur avis mais on est nombreux à penser que les priorités peuvent être ailleurs, c'est tout. Tu sais bien qu'il n'y a aucun consensus parmi les chercheurs sur les "bonnes" pratiques.

On dévie du sujet. Le SNUIPP, le SGEN et le SE (avec des nuances) défendent mordicus la refondation en arguant que c'est pour le bien des enfants. C'est votre droit mais vous entérinez de facto des dérives qu'on est nombreux à trouver très inquiétantes. L'école publique continue de s'affaiblir et en cas de changement de majorité en 2017, le coup de grâce pourra d'autant plus aisément lui être porté avec la complicité de certains élus locaux. Espérons que ce soit le camps "refondateur" qui ai raison.

Posté(e) (modifié)

Frédo, pour ma part, lorsque je dis que j'en veux aux syndicats de ne pas nous défendre, je parle des hauts dirigeants. Malheureusement, il y a souvent un écart énorme entre les actions des hommes de terrain et les hauts dirigeants. SIHR a changé la position sous la pression de la base, sinon il n'aurait rien fait. Aujourd'hui, comme c'est plus calme, il revient à son discours de base et maintient son appui à une réforme mal préparée dont il a la responsabilité.

C'est en ce sens que je déteste (et le mot est choisi) les syndicats car des personnes comme SIHR ruinent notre institution et sont les principaux responsables des dégradations de nos conditions de travail.

Je mets dans le même sac TOUS les dirigeants des gros syndicats, le SNUIPP étant finalement moins pire que le SE ou le SGEN.

Maintenant, je ne sais pas ce que l'avenir va donner car je sens que le feu qui s'est un temps apaisé, recommence à s'allumer et que les collègues, la fatigue aidant (et nous sommes en septembre), recommencent à s'énerver de la situation.

Le cumul des réunions n'est pas anodin à ce sentiment de ras le bol. Avec le pompon pour celles des programmes, où le sentiment de déjà vu et de foutage de gueules est certain.

Tout est parti sur de mauvaises bases, Peillon en se dépêchant a ruiné toutes les solutions de concertations et a créé les conditions de l'échec. SIHR et ses amis l'ont aidé à réussir ce massacre.

Modifié par ColdTurkey
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