dameoiselle Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 Bon OK, allez, moi aussi je vais passer mon chemin...
Frédo45 Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 Personnellement, je suis favorable à la deuxième solution car au-delà des directeurs, la surcharge concerne pour certains documents tous les enseignants (PPRE, PPMS, fiche des 108 heures, base-élèves, affelnet, LPC...). Tu rigoles ? Base-élèves et affelnet du ressort de tous les enseignants ? L'enquête Iseran aussi sans doute ? T'as vu jouer ça où ? Budgétairement parlant les écoles dépendent déjà des mairies et l'adjoint aux affaires scolaires est souvent plus présent que l'IEN au conseil d'école. Et bien sûr que si le directeur est responsable de la sécurité et des locaux. Et tu racontes n'importe quoi en te raccrochant à des vues de l'esprit. Lis les textes sur les responsabilités des directeurs. Pour certains documents tu en comprends pas ce que ça veut dire ? Non ?
montagny Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 Bon OK, allez, moi aussi je vais passer mon chemin... Il faut comprendre certaines réactions "acides" car certains opposent des arguments faux et cela peut vraiment agacer des dirlo investis et désireux d'échanger. Un sbire essaye de caviarder la réalité pour la déformer afin d'imposer ses idées. Au début, tout le monde fut poli mais au bout d'un moment on se lasse face à un discours idéoligique indigeste pour ceux qui ont une réalité quotidienne difficile dans l'exercice de leur fonction.
Frédo45 Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 L'Education nationale avait la particularité d'enregistrer un fort taux de mobilisation aux élections professionnelles. Elle ne l'a plus : les résultats du vote au comité technique ministériel (CTM), connus dans la nuit de jeudi 20 à vendredi 21 octobre, sont marqués par une chute, historique, de la participation : 38,54 % de votants, contre plus de 61 % en 2008. Et pas la peine de se la raconter en disant que ce sont les conditions de ces élections qui font que... Ah bon ? Bah quand même un petit peu... Entre java qu'il fallait mettre à jour, les identifiants non reçus, les mots de passe qui ne fonctionnaient pas, les plantages fréquents du site et j'en passe... Ca a dû en rebuter plus d'un, non ? Bien sûr il n'y a pas que ça mais ça a dû avoir pas mal d'influence...
montagny Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 L'Education nationale avait la particularité d'enregistrer un fort taux de mobilisation aux élections professionnelles. Elle ne l'a plus : les résultats du vote au comité technique ministériel (CTM), connus dans la nuit de jeudi 20 à vendredi 21 octobre, sont marqués par une chute, historique, de la participation : 38,54 % de votants, contre plus de 61 % en 2008. Et pas la peine de se la raconter en disant que ce sont les conditions de ces élections qui font que... Ah bon ? Bah quand même un petit peu... Entre java qu'il fallait mettre à jour, les identifiants non reçus, les mots de passe qui ne fonctionnaient pas, les plantages fréquents du site et j'en passe... Ca a dû en rebuter plus d'un, non ? Bien sûr il n'y a pas que ça mais ça a dû avoir pas mal d'influence... Et ben si, il ose !
Frédo45 Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 J'aime beaucoup les raccourcis et les interprétations. C'est dramatique d'être aussi borné que Fredo45, de toutes façons, pas la peine de continuer à ferrailler, il a toujours raison visiblement. Passe ton chemin, manant, ou je te ferai fouetter par mes sbires ! Pffff... Degré zéro de l'argumentation on me dira... Mais moi aussi je tremble... Je me drape dans ma cape régalienne portée par mes sujets, pardon, mes adjoints, et je m'en vais de ce pas conquérir l'école pour en faire ma possession. La cour de récréation sera mon jardin, j'y ferai installer des fontaines. Quand je pense que sur d'autres forums, je me suis faite traiter de gauchiste nostalgique, ici, c'est tout juste si je ne suis pas qualifiée de grand supot du capital et du libéralisme tout puissant... Soupirs. Les esprits étroits n'ont pas de couleur, ils existent partout et dans les tous les domaines. De la part de quelqu'un qui se réjouit du départ de sa décharge, qui est adulée par ses adjoints mais qui est mécontente parce que les instits de CM2 n'ont pas fini de remplir les dossiers d'entrée en 6ème, qui en a marre de la psychologue scolaire, véritable honte locale, tous ces propos peuvent laisser bien dubitatifs. Sous le ton de l'ironie, ne seraient-ils pas le reflet d'une volonté secrète ? L'Education nationale avait la particularité d'enregistrer un fort taux de mobilisation aux élections professionnelles. Elle ne l'a plus : les résultats du vote au comité technique ministériel (CTM), connus dans la nuit de jeudi 20 à vendredi 21 octobre, sont marqués par une chute, historique, de la participation : 38,54 % de votants, contre plus de 61 % en 2008. Et pas la peine de se la raconter en disant que ce sont les conditions de ces élections qui font que... Ah bon ? Bah quand même un petit peu... Entre java qu'il fallait mettre à jour, les identifiants non reçus, les mots de passe qui ne fonctionnaient pas, les plantages fréquents du site et j'en passe... Ca a dû en rebuter plus d'un, non ? Bien sûr il n'y a pas que ça mais ça a dû avoir pas mal d'influence... Et ben si, il ose ! Dajta ne dira pas le contraire, je pense. A l'UNSA aussi, ils se sont plaints de ces élections... Il osera lui aussi le dire.
sylvielise Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 L'Education nationale avait la particularité d'enregistrer un fort taux de mobilisation aux élections professionnelles. Elle ne l'a plus : les résultats du vote au comité technique ministériel (CTM), connus dans la nuit de jeudi 20 à vendredi 21 octobre, sont marqués par une chute, historique, de la participation : 38,54 % de votants, contre plus de 61 % en 2008. Et pas la peine de se la raconter en disant que ce sont les conditions de ces élections qui font que... Ah bon ? Bah quand même un petit peu... Entre java qu'il fallait mettre à jour, les identifiants non reçus, les mots de passe qui ne fonctionnaient pas, les plantages fréquents du site et j'en passe... Ca a dû en rebuter plus d'un, non ? Bien sûr il n'y a pas que ça mais ça a dû avoir pas mal d'influence... Je ne souhaite pas entrer dans la polémique du topic, mais là Frédo a raison, beaucoup de mes collègues ont trouvé ça long, compliqué et certains, les moins branchés ordi, ont renoncé.
mayre Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 De nouveau, on s'égare... Pourtant des choses intéressantes ont été dites, à mon sens (cf en gras): Polythene, je suis d'accord avec toi, mais je n'en tire pas les mêmes conclusions: une redéfinition des rôles et missions du directeur est très certainement nécessaire. Mais cela n'est pas égal à "statut". Ce qui me fait peur dans le fait de réclamer un statut, c'est qu'en échange on "charge" encore un peu plus la barque. Je suis d'accord avec toi mais je rajoute que le statut risque d'amener une supériorité hiérarchique qui peut monter à la tête de certains chéfaillons, ou attirer certains pour le prestige de la fonction et le pouvoir conféré... Il suffit de regarder les interventions de certains sur ce poste ou sur d'autres pour comprendre cette triste réalité. Tout à fait, la majorité des directeurs (dont j'espère être) sont des gens soucieux de leurs élèves et de leurs adjoints, la minorité préfère le maigre pouvoir qu'on leur donne... Polythene, je suis d'accord avec toi, mais je n'en tire pas les mêmes conclusions: une redéfinition des rôles et missions du directeur est très certainement nécessaire. Mais cela n'est pas égal à "statut". Ce qui me fait peur dans le fait de réclamer un statut, c'est qu'en échange on "charge" encore un peu plus la barque. En gros, il y a deux postures. Soit on réclame un statut et on justifie ainsi l'alourdissement des tâches du directeur, soit on réclame un allègement de la charge de travail des directeurs. De plus, le statut, au-delà de la position hiérarchique qu'il engagera forcément (car c'est la volonté des politiques), va entraîner une territorialisation de façon bien plus dangereuse que les PEdT. Je rappelle qu'il y avait un projet de réforme des directions dans les cartons de l'ancien gouvernement, où les directeurs n'auraient plus été nommés mais bel et bien choisi sur entretien avec comme "jury", les enseignants, les communes et les parents. En allant vers le statut, on va vers cela et vers l'autonomie des établissements dont on sait les ravages qu'elle occasionne en termes d'égalité dans le supérieur notamment. Tout à fait d'accord avec ça: je crois que depuis des années (rapport Suchaut, rapport Weiss, rapport de la Cour des comptes), on s'oriente lentement mais surement vers ce que tu décris. Et ce n'est pas ma vision de l'école. D'ailleurs (et je reprécise pour certains que, intérims compris, j'ai été dirlette 4 ans), je suis pour une réelle revalorisation de la fonction de directeur, Polythene, mais sans création d'un statut pour les raisons évoquées par Dajta et Frédo. Et, HS: pour avoir fait des tours d'école au moment des élections, je peux assurer que les conditions de vote n'ont pas favorisé la participation, loin de là. C'est un peu se mentir que dire l'inverse...
Jolimie Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 Quant à moi, qui, il parait, ne connais pas la signification de certains sigles et acronymes (du genre affelnet : affectation des élèves par le net ....) je suis aussi une despote administrative... et alors ? Je citerai mon père : " y en a ils sont tellement cons, qu'ils trouveraient plus con qu'eux dans un lampion, ils le casseraient pour prendre sa place" Je veux bien entendre les arguments de chacun contre un statut (pour ma part le côté hiérarchique ce n'est pas mon truc) mais avec des arguments solides pas des propos de maternelle du genre eh toi eh ben tu sais même pas ce que ça veut dire na ! Bye tout le monde je laisse le roquet aboyer.
mayre Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 Ben, je ne sais pas, il me semblait qu'on repartait sur une discussion constructive, là... Des inquiétudes liées à ce statut, de notre incompréhension face à cette demande au sens où il semblerait judicieux de d'abord envisager une redéfinition du rôle et attributions du directeur... Mais relancer l'attaque me semble peu opportun... M'enfin, je ne suis qu'une dirlo - ex-dirlo - dirlo et future-ex-dirlo... (pour cause de perte de décharge suite à une fermeture, j'admire et admirerai toujours les dirlos sans décharge, car je n'en suis pas capable! Ca montre bien la difficulté de la chose, et l'étendue du travail.)
Polythene Pam Posté(e) 1 juin 2013 Posté(e) 1 juin 2013 De la part de quelqu'un qui se réjouit du départ de sa décharge, qui est adulée par ses adjoints mais qui est mécontente parce que les instits de CM2 n'ont pas fini de remplir les dossiers d'entrée en 6ème, qui en a marre de la psychologue scolaire, véritable honte locale, tous ces propos peuvent laisser bien dubitatifs. Sous le ton de l'ironie, ne seraient-ils pas le reflet d'une volonté secrète ? Ben me v'la rhabillée pour l'année.... Heureusement que le roquet veille au grain hein, sinon, grands dieux, que deviendriez-vous ??? Lame en table. Mais bon, si ça le défoule, on va pas le frustrer, le petit.
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