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Posté(e)

Ben, je ne sais pas, il me semblait qu'on repartait sur une discussion constructive, là... Des inquiétudes liées à ce statut, de notre incompréhension face à cette demande au sens où il semblerait judicieux de d'abord envisager une redéfinition du rôle et attributions du directeur... Mais relancer l'attaque me semble peu opportun...

M'enfin, je ne suis qu'une dirlo - ex-dirlo - dirlo et future-ex-dirlo... (pour cause de perte de décharge suite à une fermeture, j'admire et admirerai toujours les dirlos sans décharge, car je n'en suis pas capable! Ca montre bien la difficulté de la chose, et l'étendue du travail.)

Est-ce que ça ne serait pas ça, le statut non hiérarchique demandé par tant de dirlos et ex dirlos ?

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Je plussoie à l'ensemble de cette intervention.

Frédo, ce n'est pas la peine de m'appeler au secours, je ne suis qu'un administratif et un despote, de plus je dois trembler devant toi selon TES affirmations... Et oui, te me rappelles Audiard encore et toujours...

C'est marrant... Quand il faut prendre position, t'as du mal, surtout quand c'est un membre de ton syndicat qui explique que le mode de scrutin n'y est pour rien dans la baisse de la participation. Tu sais ce que c'est que le courage ???

Définitivement non.

Posté(e)

De la part de quelqu'un qui se réjouit du départ de sa décharge, qui est adulée par ses adjoints mais qui est mécontente parce que les instits de CM2 n'ont pas fini de remplir les dossiers d'entrée en 6ème, qui en a marre de la psychologue scolaire, véritable honte locale, tous ces propos peuvent laisser bien dubitatifs. Sous le ton de l'ironie, ne seraient-ils pas le reflet d'une volonté secrète ?

Ben me v'la rhabillée pour l'année....

Heureusement que le roquet veille au grain hein, sinon, grands dieux, que deviendriez-vous ???

Lame en table. Mais bon, si ça le défoule, on va pas le frustrer, le petit.

Ca c'est aussi ton degré suprême de l'argumentation... Ma pauvre petite mère... T'as posté à 22h15, on n'est pas couché à cette heure-là à ton âge...

Posté(e)

Le GDID, (A. REI, président; P. LOMBARD, secrétaire général; S. AUXERRE, membre du bureau) est reçu par la DGESCO (J.P. DELAHAYE, directeur général de la direction générale de l'enseignement scolaire; M.C. MZALI, chef du bureau des écoles, X. TURION, chef du service de l'instruction publique et de l'action pédagogique), en réponse à nos courriers et dans le cadre de la préparation des discussions sur la reconnaissance des directeurs d'école.

En premier lieu, le directeur général reconnaît le travail essentiel et central des directeurs d'école, maillons indispensables pour diffuser, pour faire rayonner les réformes auprès des équipes, des élèves, des municipalités. M. Delahaye souligne aussi la légitimité du GDID comme interlocuteur. L'échange qui a duré presque 2 heures a permis de couvrir de nombreux points:

- la situation de souffrance des directeurs et la grogne qui en résulte.

- le lien entre la réussite des élèves et un leadership pédagogique reconnu du responsable de l'école

C'est quoi le leadership pédagogique et en quoi les directeurs en seraient les tenants ???

- l'impasse du maintien du statu quo

- la nécessaire reconnaissance du métier de directeur d'école. Reconnaissance réclamée par la plupart des acteurs du système éducatif !

Sauf à n'envisager le pilotage du primaire qu'à travers ses conséquences budgétaires, la grande diversité des écoles primaires ne doit pas être considérée comme un handicap, alibi pour ne rien changer.

L'école est un des derniers lieux publics où l'on tisse encore du lien social. Si on tient à préserver la proximité d'un service de qualité à dimension humaine, le maillage du territoire par les écoles est alors un atout majeur.

C'est pourquoi nous plaidons pour l'expérimentation la plus large

> réseaux d'écoles concentrés ou déconcentrés

C'est la définition des EPEP, ça non ?

> établissements, sans seuil bas mais avec un seuil haut (pas plus de X classes).

Oh p.... Je suis d'accord... Ah mais, zut ! Quand j'ai dit qu'il fallait en finir avec les toutes petites écoles, je me suis fait rentrer dedans... Notamment par des gens qui interviennent sur ce topic...

Posté(e)

Le cœur de métier du directeur d'école est le même pour tous, ce qui change c'est l'endroit où il l'exerce. Une fois le métier de directeur identifié et institutionnalisé, les moyens sont à moduler selon le type d'école.

En ce qui concerne le besoin de temps qui est une préoccupation première du GDiD, nous proposons :

- utilisation des heures d'APC pour le meilleur pilotage de l'école.

Et qui prend en charge dès lors les heures d'APC ?

- autonomie des heures d'animation pédagogique pour le directeur

Pourquoi spécifiquement pour les directeurs ???

- reconnaissance de la spécificité des directeurs dans la répartition des services de surveillance

En gros, plus de surveillance de cour pour les dirlos ? Pourquoi ?

- utilisation du dispositif « plus de maîtres que de classe » qui serait un moyen pertinent pour décharger le directeur d'une classe, mais lui donner en charge des heures d'enseignement avec ses collègues enseignants et les élèves qu'il connaît (heures modulées sur l'année, et sur la journée.). Le directeur grâce à sa vue globale a le meilleur profil pour ce dispositif au service des élèves.

L'utilité du maître supplémentaire n'est ni de décharger le directeur, ni à octroyer à ce dernier. c'est un dispositif qui doit être utile à l'équipe et qui mérite une formation à part entière. Ce n'est pas une pré-retraite !!!

- Diminution et annualisation des temps d'enseignement. Le directeur a un travail continu sur l'année et des périodes plus prégnantes (début d'année scolaire, …..). Les seuils doivent donc être repensés. Le volume peut être mis en corrélation avec la nouvelle organisation de la semaine scolaire (9 -journées : 1/3 et 2/3 de décharge).

Pourquoi pas mais déjà qu'on a du mal à accorder des 80 % dans certains départements, alors je ne vois pas bien comment cela sera possible sans un recrutement massif de remplaçants... Mais bon moi, j'y suis favorable au recrutement.

Les seuils doivent être repensés : oui. Pas de directeur sans décharge et pas de directeur sans classe !!!

Posté(e)

- La valorisation : formation diplômante initiale et continue (masterpro) des directeurs, la reconnaissance de leurs compétences (V.A.E.), leur rémunération doivent aussi être programmées. (La part fixe de la prime de direction doit être par exemple intégrée dans le salaire des directeurs).

Un module intégré à la formation initiale c'est ce que j'ai proposé plus haut. Mais c'était le degré zéro de l'argumentation... Une formation diplômante ? Pas sûr qu'un examen suscite des vocations. Ou alors on ouvrira le poste à des non-enseignants...

Les discussions à venir seront articulées autour de nos idées et vont nous permettre enfin de définir les conditions de reconnaissance du métier de directeur d'école.

Nul n'aura raison seul sur ce dossier, et « construire ensemble » reste notre état d'esprit et notre credo. Mais il ne faut pas le cacher, il y aura des oppositions fortes. Certains, nonobstant la souffrance du terrain, n'hésiteront pas à ressortir les vieux chiffons rouges pour satisfaire leur orthodoxie.

L'orthodoxie de ceux qui sont contre l'instauration d'un statut bien sûr. Je ne me savais pas orthodoxe. J'irai voir le patriarche bientôt...

Est-ce que j'ajoute l'extrait dans lequel ça copine avec la PEEP ?

Posté(e)

Une dernière fois: si on laissait les attaques personnelles de côté? Après, je laisse tomber...

Alors, moi, je pars d'un constat. Nous sommes dans un contexte de décentralisation et de rigueur budgétaire. L'EN est un poste de dépense important. A partir de là, les solutions pour "rentabiliser" sont les suivantes:

- créer des grands établissements pour regrouper les effectifs dans un même lieu, et charger les classes. Je suis opposée à ça, car pour moi, le service public doit être de proximité. Je suis donc opposée à la disparition des petites écoles. De plus, je suis favorable à une diminution du nombre d'élève par classe pour individualiser au mieux les parcours.

- supprimer les corps d'inspection. Il faudra alors trouver des personnes qui auront ce rôle, par exemple un chef d'établissement qui prendrait en charge l'ensemble de l'administratif, le pilotage pédagogique de ce "grand" établissement, l"évaluation des personnels, et son recrutement... (comme en Finlande, dont on nous rabat les oreilles) Je ne suis pas pour, car je pense que travailler en équipe tout en l'évaluant est contre-productif en terme de pédagogie (cf plus haut)

- créer un corps de "directeur d'établissement": De plus grands établissement regrouperait les moyens et économiserait des postes, même si le directeur est totalement déchargé au final. Ce "directeur" pourrait alors avoir l'entière responsabilité de ces établissements, y compris à lui de s'organiser avec les communes (on voit le b*rdel que c'est avec les PEdT)

- dégager la responsabilité de l'Etat sur ces directeurs et les communes. Je suis pour une école de la République, la plus équitable possible, et je pense que ça ne peut être possible que s'il y a un pilotage national.

Je pense vraiment que c'est ce qu'on cherche à faire de l'école primaire, à la lecture des différents rapports parus ces dernières années et des expérimentations faites, et ça ne me plaît pas du tout. Je pense que demander un statut, c'est ouvrir la porte à des changements que je ne souhaite pas. Je préfère revendiquer une redéfinition des rôles dans le cadre d'un décret tout en réaffirmant l'appartenance des directeurs au corps des PE.

Pour moi, ce que je souhaite défendre, c'est:

- la fin du profilage, pour éviter les copinages et assurer la liberté pédagogique des directeurs.

- l'indépendance des directeurs vis-à-vis des communes, au sens que la pression des maires puisse être évitée au maximum.

- l'augmentation des volumes de décharges, avec aide à la direction (titularisée, et pas précaire!)

- l'arrêt du transfert de responsabilités que nous n'avions pas et que nous "récupérons" (genre, Afelnet...)

- l'allègement des tâches (genre APC)

- une vraie reconnaissance salariale, avec un gros bonus indiciaire en plus

- la sécurité civile aux maires et préfets

- l'abandon des protocoles de direction...

- qu'on fasse confiance aux directeurs au lieu de les fliquer sans cesse!!!

Je suis ouverte au débat, pas aux attaques personnelles! Bonne journée.

Posté(e)

Ben, ça fait plaisir de se sentir soutenu, ...

Et ça donne envie de continuer à s'investir pour l'école et pour les collègues.

:cry::cry:

Posté(e)

T'inquiète, pour les attaques persos, visiblement, je sers se defouloir. Ce que tu revendiques pour les directeurs, revendications que je partage, on pourrait le mettre dans un dossier appelé statut du directeur, non ? Je comprends bien que ce qui rebute dans ce terme, c'est la menace d'un énième hiérarchisation, ce dont, perso, je ne veux pas. La redéfinition des taches des directeurs passe par une démarche statutaire. Mais ce n'est que mon humble avis. Vouloir systématiquement agiter le chiffon de la menace "attention, le kapo est de retour" empêche toute réflexion apparemment, pourquoi est-il si difficile d'imaginer un statut non hiérarchique ? Sans doute parce que l' Educ Nat est l'institution la plus hiérarchique qui soit. Quant a cette peur du petit chef, ce dernier existe de toutes façons, nous avons tous connu des CPC qui voulaient être calife a la place du calife et prenant les collègues de haut. Certains psys, électrons libres, se prennent aussi pour ce qu'ils ne sont pas, ce ne serait d'ailleurs pas étonnant que ce soit ces gens-là qui se précipitent sur les postes de directeurs si par malheur on y collait une supériorité hiérarchique... C'est une fois encore une question de personnes...

Posté(e)

T'inquiète, pour les attaques persos, visiblement, je sers se defouloir. Ce que tu revendiques pour les directeurs, revendications que je partage, on pourrait le mettre dans un dossier appelé statut du directeur, non ? Je comprends bien que ce qui rebute dans ce terme, c'est la menace d'un énième hiérarchisation, ce dont, perso, je ne veux pas. La redéfinition des taches des directeurs passe par une démarche statutaire. Mais ce n'est que mon humble avis. Vouloir systématiquement agiter le chiffon de la menace "attention, le kapo est de retour" empêche toute réflexion apparemment, pourquoi est-il si difficile d'imaginer un statut non hiérarchique ? Sans doute parce que l' Educ Nat est l'institution la plus hiérarchique qui soit. Quant a cette peur du petit chef, ce dernier existe de toutes façons, nous avons tous connu des CPC qui voulaient être calife a la place du calife et prenant les collègues de haut. Certains psys, électrons libres, se prennent aussi pour ce qu'ils ne sont pas, ce ne serait d'ailleurs pas étonnant que ce soit ces gens-là qui se précipitent sur les postes de directeurs si par malheur on y collait une supériorité hiérarchique... C'est une fois encore une question de personnes...

En fait, je pense qu'on est d'accord sur le fond. Mais sur la forme, un autre statut, par définition, fait qu'on se différencie de règles existantes par rapport à un autre statut, à un autre corps. Je souhaite que les directeurs restent dans le corps des PE. De ce fait,un statut ne se justifie pas à mes yeux. Et, comme dit plus haut, j'ai peur que ce soit la porte ouverte à toutes les fenêtres, qu'on charge encore la barque!! Et, comme tu le dis si bien, que certains se prennent pour ce qu'ils ne sont pas...

Posté(e)

Abondamment citée ci-dessus, la dernière Estafette du GDID est trouvable en bas à gauche à cette adresse : http://www.dirlo.fr/modules.php?name=estafette

Comme beaucoup d'intervenants ici, j'ai une préférence pour des échanges sympathiques, et respectueux. Je suis toujours étonnée, qu'une personne puisse se penser l'unique contradicteur possible.

Ce qu'on peut constater, ce n'est pas que d'un seul coup, les membres du GDID prendraient d'assaut internet, mais bien que les membres du GDID sont juste des collègues présents notamment sur ce site, et que si on parle dans une discussion d'un statut pour les directeurs, et bien ils y participent. Il n'y a là rien d'étonnant.

Le GDID, c'est une association qui existe depuis de longues années. En parcourant ses publications, on peut constater qu'elle a rencontré au fil des ans tous les interlocuteurs possibles, et mené des réflexions avec tous les organismes possibles : tous les syndicats ont accepté de discuter, certains viennent seulement récemment de reconnaître la spécificité du métier des directeurs, ce n'est pas un problème, la discussion est engagée, on va avancer.

Le GDID a été invité à des colloques, congrès, conférences, de tous ceux qui s'intéressent à l'école : les parents d'élèves, en effet, et je n'y voit là rien de choquant (j'ai eu des années durant des responsabilités importantes au sein de la FCPE, avant de devenir directrice d'école : ça ne m'empêche pas de constater qu'en ce moment, c'est la PEEP qui est la plus à l'écoute des directeurs), l'ANDEV, avec laquelle nous travaillons notamment sur les responsabilités dans les temps simultanés d'occupation des locaux, la MAIF, l'Autonome, etc.

Plus le temps passe, plus la charge de travail et les responsabilités s'accroissent, et ça ne va pas s'arranger avec les PEdT et les APC. Le gros morceau à discuter, c'est celui-là. Pas celui de la position hiérarchique, franchement !

Tous nos interlocuteurs reconnaissent qu'il faut agir, de multiples études insistent sur les missions des directeurs.

En attendant, dans nos écoles, on se remonte les manches et tous les jours on en assure le fonctionnement, vaille que vaille.

Posté(e)

Mayre, dans les revendications, il manque quand même quelque chose en rapport avec ce qu'un dont un maximum de directeurs souffre : les relations avec les collègues.

On le lit à travers presque tous les sujets et évidemment ici : les directeurs ont des responsabilités, doivent faire respecter des textes, mais il leur manque quelque chose leur permettant de se faire respecter et faire respecter leurs décisions par leurs adjoints, qui rappelle qui fait quoi, et qui les soutient en cas de problème.

Quand on est un directeur d'école sérieux (pas un chéfaillon, et je suis certaine que c'est justement à cause de l'absence de statut qu'il y a des chéfaillons, et que s'il y avait un cadre officiel, ils ne pourraient pu l'être), on se lasse de devoir passer son temps à chercher des textes qui puissent faire accepter une décision pourtant évidente à un ou des adjoints récalcitrants, à tenter d'essayer de résoudre des problèmes aberrants qu'ils nous posent.

Heureusement que j'ai surtout des amis hors EN qui m'ont permis, quand je leur racontais cela, de prendre du recul tant ils étaient étonnés de l'absurdité des situations !

Quand j'ai débuté dans la direction d'école il y a une dizaine d'années, franchement, je ne m'attendais pas à ce que me justifier en permanence de tout et de rien soit mon principal problème, alors que j'avais plusieurs centaines d'élèves, de mètres carrés de bâtiment, une dizaine d'adulte sous ma responsabilité, que je faisais des journées de 12 heures, des semaines de 60, quand nombre d'eux (souvent les plus pénibles) arrivaient à 8h49 et 13h49 et repartaient à 12h01 et 17h01.

Evidemment, je rencontre et j'ai rencontré surtout des adjoints sympas, compréhensifs, mais c'est l'organisation actuelle et son flou qui permettent les dysfonctionnements et les malaises, et comme il n'y a pas de réelle formation à l'IUFM (et qu'il n'y a jamais eu) sur le droit de la fonction publique, sur le fonctionnement légal des écoles, cela produit forcément des dérapages et du droit coutumier, très difficile à contrer.

Depuis que j'ai arrêté la direction (et que je suis une adjointe épanouie, qui prend garde à ne jamais faire ch... son directeur), les responsabilités se sont accrues, le travail également, la difficulté à trouver des directeurs, surtout dans les petites écoles, aussi, et pourtant, les discussions sont les mêmes, et il n'y a aucune avancée.

Dans les écoles, les directeurs continuent de te confier leurs difficultés à gérer principalement les problèmes dus à leurs collègues (ou le personnel), et les représentants syndicaux nient cela en demandant pour eux uniquement des allègements de tâches administratives, alors qu'il se produit finalement exactement l'inverse.

Donc on piétine, et évidemment, ça fait le lit des "extrémistes", d'un côté ceux qui veulent la mort des écoles à la Française pour en faire des EPEP communales, et de l'autre, ceux qui persistent à trouver possible un fonctionnement de type "conseil des maîtres décisionnaire" ou "direction collégiale".

Je termine en précisant que je ne suis membre d'aucun syndicat ni parti ni association et que le but de mon post n'est pas de continuer la guéguerre mais bien de me recentrer sur le sujet : "directeur-et-adjoint-ou-va-t-on".

Et ma réponse est : "dans le mur" !

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