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Posté(e)

Pour préciser: ceux qui sont favorables à ce statut, quelle seraient pour vous les nouvelles responsabiltés de ces directeurs "à statut"? Quid de la responsabilité des IEN?

En premier, il faudrait que le directeur puisse avoir les moyens d'assumer les responsabilités qui sont les siennes et ne passe pas son temps à essayer de convaincre ses collègues que c'est comme ça, qu'ils doivent faire ça, qu'ils ne peuvent pas décider de ça, etc ...

Un cadre écrit pour chaque tâche, bien plus précis que le décret de 89.

Relis les appels au secours des directeurs, dans la partie dédiée d'EDP, pour savoir s'ils peuvent imposer à leurs collègues ceci, si c'est normal que leurs collègues refusent cela, ce qu'ils peuvent faire quand il arrive ceci, etc, ...

C'est ce flou permanent qui fait perdre un temps énorme aux directeurs et rend tout le reste des tâches (et notamment l'administratif) parfois insurmontables !

A remarquer que dans l'immense majorité, ces appels au secours trouvent une réponse dans le 89-122. Il est vrai que certains adjoints font la sourde oreille et refusent simplement de reconnaître ce qui y est écrit, même des représentants du personnel (ce qui, pour moi, précise le danger du directeur supérieur hiérarchique; d'ailleurs, je rappellerai que le supérieur hiérarchique dans la fonction publique est celui qui note, je m'appuie sur le décret 2010-888)

Sinon, je ferais remarquer quand même que la note de service 2006-104 a amené un petit plus au niveau de la direction, sans compter l'insuffisante revalorisation salariale avec l'augmentation de la part fixe et la création de la part variable de l'indemnité de direction. Insuffisant certes, mais qui a au moins le mérite d'exister.

:wink:

Pour info, un syndicat a lancé une alerte sociale au sujet des directeurs.

:wink:

Il faut bien chercher, parfois, et traduire.

Si ça suffisait vraiment, il n'y aurait pas de situations si dramatiques !

Ça rime à quoi une alerte sociale ?

Posté(e)

Depuis le temps qu'il est alarmé, il est temps de passer à la vitesse supérieure !

Posté(e)

Je voulais juste partager rapidement le rapport Reiss, qui représente tout à fait les risques de ce qui nous attend (juste pour dire que je ne fantasme pas dans mes craintes!! :( ):

Les 8 propositions du rapport :

1.Les regroupements d’écoles

Création d’un statut unifié des regroupements d’écoles. Plus de regroupements pédagogiques intercommunaux (RPI) mais des regroupements scolaires (RS), ce regroupement pouvant concerner plusieurs écoles d’une même commune et ne serait pas spécifique au monde rural.
Les RS doivent coïncider avec les intercommunalités telles qu’elles résulteraient de l’adoption de la loi portant réforme des collectivités territoriales examinée actuellement au parlement dont un des objectifs est la couverture intégrale du territoire par des EPCI à fiscalité propre.
Les autorités académiques seraient incitées à susciter des regroupements scolaires.
Mise à l’étude de la personnalité juridique de ces RS notamment sous la forme de groupements d’intérêts publics. Gestion des personnels de l’EN : nomination, non plus sur une des écoles du regroupement, mais dans le regroupement lui-même ainsi qu’un seul directeur par regroupement.
Les RS auraient un conseil d’école unique, un conseil des maîtres unique et un conseil des maîtres de cycle unique.
Le rapport propose de modifier la loi et de définir les écoles comme des « établissements scolaires d’enseignement primaire ». Ce terme unique pourrait s’appliquer qu’elles que soient les formes juridiques : personnalité juridique ou non, regroupement ou non.

2.Expérimenter les établissements publics du primaire (E2P)

Le rapport recommande de s’y engager sans perte de temps, en imposant un calendrier soutenu. Possibilité de passer à l’E2P dès 14 classes (décharge complète). Les écoles expérimentatrices pourraient bénéficier de moyens spécifiques.
Les échanges de services, y compris entre école et collège, doivent constituer une question prioritaire dans le cadre de l’expérimentation. Les E2P ont vocation à devenir un terrain privilégié de la mise en œuvre du « contrat éducatif ». _ Donner aux directeurs et/ou instances de l’école de plus grandes responsabilités en matière de gestion budgétaire et de gestion des ressources humaines. Les directeurs auraient des prérogatives élargies en matière de recrutement et cessation de fonctions des agents non titulaires (EVS notamment) mais aussi dans l’affectation des enseignants. Les communes recrutent et rémunèrent les agents chargés de la gestion de l’E2P. L’Etat fournirait une dotation annuelle de fonctionnement pour compenser le travail de cet agent administratif. A titre transitoire, l’agent comptable chargé de la commune pourrait être aussi le comptable de l’E2P. Le conseil d’administration pourrait être composé d’1/3 enseignants + 1/3 élus locaux + 1/3 parents, avec un minimum de 4 membres par collège, le directeur en étant membre de droit. Le rapport propose d’écarter le directeur d’école de la présidence pour qu’il se consacre à ses fonctions premières de leader pédagogique

3.Du projet d’école au contrat éducatif

Le contrat éducatif serait adopté par le conseil d’école ou le conseil d’administration. Il reposerait sur le projet éducatif adopté en conseil des maîtres et non par le conseil des maîtres, le directeur « comme tout manager » exerçant in fine sa responsabilité.
Le directeur a un rôle majeur à jouer dans l’élaboration et l’exécution du contrat éducatif comme dans le projet pédagogique.
Le pilotage par l’IEN s’exerce en amont de l’élaboration notamment par la fixation d’objectifs à mettre en œuvre par l’école et par la lettre de mission du directeur. En aval, l’IEN en évalue les résultats dans le cadre de sa mission générale d’inspection des personnels.
Le projet pédagogique comprend au minimum les modalités d’évaluation des résultats des élèves, les axes essentiels de la politique de cycle, les directions privilégiées pour faire progresser tous les élèves dans la perspective de l’obtention du socle commun.

4.Des directeurs d’école « leaders pédagogiques »

Le directeur doit jouir de certaines prérogatives, es-qualité notamment en terme d’affectation des enseignants dans les classes. Dans « certains établissements », le directeur devrait pouvoir émettre des vœux sur le profil des enseignants et donner son avis en cas de candidatures multiples. Il procède au recrutement d’EVS, de vacataires enseignants. Il a une voix prépondérante au sein du conseil des maîtres. Il est consulté par l’IEN lors de l’inspection des personnels.
Le directeur serait le représentant de l’Etat dans l’école et le représentant de l’école en toutes circonstances.
Les textes doivent être plus explicites quant à la liste des décisions du directeur qui sont immédiatement exécutoires.
Son temps de décharge pourrait être partagé après avis du conseil des maîtres.

Le directeur d’école n’occupe pas une fonction mais exerce un métier à part entière.
Recrutement : en règle générale le directeur est recruté parmi les enseignants comptant au moins cinq ans d’expérience effective d’enseignement, dont trois au moins dans le premier degré.
Formation : la formation des directeurs d’école tout au long de leur carrière doit être une priorité. Reiss suggère une nette revalorisation de la rémunération indemnitaire. Evaluation professionnelle : il ne s’agit pas seulement d’inspecter un enseignant mais bien d’évaluer la performance d’un cadre. Celui-ci pourrait être concerné par la PFR (prime de fonctions et de résultats) bien que la réglementation actuelle en limite l’application à la filière administrative.
Statut juridique : détachement dans le corps des personnels de direction ou dans un emploi fonctionnel. Le décret sur les directeurs mentionnerait que le directeur d’école exerce 4 types de fonctions : pédagogiques, relationnelles, administratives et managériales.
Obligation d’enseignement : quotité de décharge plafonnée à 75% pour le directeur, sauf dans les E2P, afin d’assurer le cas échéant des remplacements de courte durée et afin de faire garder à l’intéressé le contact avec l’enseignement. .
Décharges : 25% pour 4 classes, 50% pour 7 classes, 75% (partagée avec un autre enseignant) pour 10 classes. Coût estimé : entre 2300 et 2700 emplois.

5.Création d’un observatoire des bonnes pratiques

Le rapport rappelle que les expérimentations sont permises par l’article 34 de la loi sur l’avenir de l’Ecole. IL se prononce sur l’expérimentation « de modalités innovantes en matière de recrutement » à l’image du programme « Clair » c’est-à-dire recrutement sur profil et sur proposition des chefs d’établissement Il suggère la création d’un Observatoire des bonnes pratiques et insiste sur le caractère très concret des pratiques à observer comme « autant de recettes utilisables par le plus grand nombre ». Les « pilotages remarqués et remarquables des écoles primaires » en feraient partie.

6.Expérimenter les écoles du socle commun

Rassemblant un collège et des écoles en une seule entité, le rapport demande l’expérimentation des écoles du socle commun, « peu ou pas douloureuse pour les finances publiques », particulièrement adaptée « aux collèges de petite taille en milieu rural ».

7.Conclure un pacte éducatif entre services de l’Etat et collectivités

Le rapport se prononce en faveur « d’une synergie plus profonde entre les communes, les intercommunalité et l’Etat afin de « mieux faire entrer les communes dans l’école, mieux faire vivre l’école dans la cité ». L’exemple de communes associant les directeurs d’école au processus de recrutement des ATSEM est mis en avant. Rappelant que les écarts de dotation entre écoles sont « considérables que ce soit en fonctionnement ou en investissement », il est nécessaire d’aboutir à une meilleure définition des dépenses obligatoires des communes et groupements en matière scolaire. Pour autant, Reiss n’est pas favorable à une péréquation visant à aider les communes les plus déshéritées. Il préfère orienter les financements supplémentaires en privilégiant « l’esprit d’entreprendre et l’aide aux bonnes initiatives ».

8.Recentrer les IEN sur le cœur de leur métier (inspection et pilotage pédagogique)

Partant de l’idée que les IEN assument des responsabilités qui pourraient être transférées aux directeurs d’école, notamment si les écoles évoluent vers le statut d’établissement public, le rapport se prononce pour un recentrage des missions des IEN sur l’inspection et le pilotage pédagogique ( voir la proposition n° 3 sur le pilotage et le contrôle du contrat éducatif de l’établissement).

Mais aussi la fin du rapport Suchaut, qui préfigure la gestion de tous les personnels et du projet pédagogique du directeur:

Les pratiques pédagogiques des enseignants sont par nature très variées, mais cette variété se
doit d’être régulée pour ne pas donner lieu à des dérives. Le centrage sur les apprentissages
fondamentaux, dès le début de l’école élémentaire, apparaît comme une vraie priorité par le
recours à des activités systématiques et structurantes.
En conclusion, l’ensemble de ces remarques conduit à s’interroger sur le fonctionnement
actuel de l’école primaire française, la gestion des structures et l’encadrement des
personnels ; en filigrane, se posent aussi les questions relatives au statut des établissements
du premier degré et à celui du directeur d’école.
Ben moi, tout ça, ça ne me le fait pas, comme disaient les djeuns...
Posté(e)

Très simplement à mon avis, ce que réclament les directeurs, c'est la reconnaissance de leur métier et les moyens pour l'exercer.

Veulent-ils être des supérieurs hiérarchiques ?

Je ne pense pas, et souvent, ceux qui veulent jouer les majestés, le font tranquillement dans le contexte actuel qui n'est justement pas clairement défini.

Veulent-ils noter, sanctionner les collègues ?

Non, pourquoi se donner du travail supplémentaire qui est, de plus, source de conflits.

Que parfois, quand une décision a été prise après discussion et dans l'intérêt des élèves, chaque membre de l'équipe suive pour un meilleur travail d'équipe me semble nécessaire.

Un directeur qui aurait les moyens d'exercer son métier, qui pourrait avoir le temps de faire correctement non seulement la gestion administrative (devis, commandes, effectifs, matériel....), déchargeant ainsi les collègues enseignants de ce qui les ennuie, mais aussi la gestion pédagogique en analysant la situation de l'école, en maitrisant les dossiers des élèves, en étant en capacité de proposer des solutions en cas de difficultés, en ayant parfois le temps de travailler avec les collègues dans les classes..... tout cela c'est une vrai chance pour l'équipe toute entière et donc pour les élèves.

Par ailleurs, très clairement, le directeur est surchargé de travail et de responsabilités. Ces responsabilités doivent pouvoir être correctement assumées (sécurité, relation mairie/famille/EN,....) avec du temps et rémunérées.

C'est ce que demande le GDiD à travers un statut non hiérarchique pour la reconnaissance du métier de directeur d'école.

Posté(e)

Oui, mais: compte-tenu des rapports cités, s'il y a un changement de statut, ce sera pour préparer ce glissement. Et la dirlette que je suis pense que ce que je voudrais, tout le monde s'en tape le coquillard. Si le ministère écoutait son terrain plutôt que des rapports pondus à droite à gauche, ça se saurait.

Et puis, j'ai une analyse différente, même si le constat est le même sur la surcharge de travail et de responsabilités: pour moi, une solution serait de retirer des responsabilités pour lesquelles nous ne sommes parfois pas formés (je rappelle par exemple qu'ingénieur d'étude des risques, c'est un vrai métier, habilité entre autre à rédiger un DUER...)

Mais bon, je comprends tout à fait qu'on puisse penser qu'un statut changerait les choses. Pour moi, je pense que nul cadeau ne nous sera fait s'il ne va pas avec les recommandations de la HCE ou de la Cour des comptes... Et franchement, ce qui sort ne présage rien de bon.

Posté(e)

Je dois avouer une nouvelle fois que je suis surpris. Pour avoir vécu le passage du statut d'instituteur à celui de professeur de école, accompagné de nombreuses promesses d'une vie meilleure (!), je suis de moins en moins naïf et je ne crois pas en une vie meilleure pour les directeurs (ni pour les autres d'ailleurs). Il me semble que le rapport présenté par mayre est suffisamment explicite.

Maintenant, quand je lis le message de Sammy63, je me pose aussi de nombreuses questions :

Que parfois, quand une décision a été prise après discussion et dans l'intérêt des élèves, chaque membre de l'équipe suive pour un meilleur travail d'équipe me semble nécessaire.

Un directeur qui aurait les moyens d'exercer son métier, qui pourrait avoir le temps de faire correctement non seulement la gestion administrative (devis, commandes, effectifs, matériel....), déchargeant ainsi les collègues enseignants de ce qui les ennuie, mais aussi la gestion pédagogique en analysant la situation de l'école, en maitrisant les dossiers des élèves, en étant en capacité de proposer des solutions en cas de difficultés, en ayant parfois le temps de travailler avec les collègues dans les classes..... tout cela c'est une vrai chance pour l'équipe toute entière et donc pour les élèves.

1- Que chaque membre de l'équipe suive pour un meilleur travail.

Que se passera-t-il dans le cas où un ou plusieurs adjoints ne souhaitent pas "suivre" ?

Que se passera-t-il dans le cas où le directeur souhaite imposer son chemin ?

2- Directeur assurant la gestion administrative et pédagogique.

Que se passera-t-il en cas de divergence pédagogique ?

Que se passera-t-il en cas de refus de décharger les enseignants de charges administratives ?

Il me semble qu'il y a là une dérive vers un format entreprise, une volonté d'avoir un patron qui choisit ses associés et leur impose ses choix.

C'est effectivement ce qu'attendent certains en manque de pouvoir.

Je pense que c'est malheureusement la voie vers laquelle on tend et que cette voie n'est ni favorable aux enseignants, ni aux élèves.

Mais je suis certain qu'ici on pourra me prouver que c'est dans l'intérêt des enfants!

Posté(e)

En fait ce qu'il faudrait, c'est carrément supprimer la fonction de directeur.

Chacun travaillerait seul dans sa classe, serait seul responsable de la sécurité des locaux et des élèves qui lui sont confiés, gèrerait seul les budgets qui lui seraient aloués au bon vouloir de la mairie, se débrouillerait pour réceptionner ses commandes, se débrouillerait pour obtenir des créneaux pour le gymnase ou la piscine, rédigerait seul son projet de classe et en rendrait directement compte à l'IEN, gèrerait seul tous les conflits avec les élèves et les parents...

L'IEN ferait lui-même les répartitions et attribuerait les classes ...

Plus de conseil des maitres, plus de conseil d'école, ...

Plus de matériel mis en commun.

Posté(e)

En fait ce qu'il faudrait, c'est carrément supprimer la fonction de directeur.

Chacun travaillerait seul dans sa classe, serait seul responsable de la sécurité des locaux et des élèves qui lui sont confiés, gèrerait seul les budgets qui lui seraient aloués au bon vouloir de la mairie, se débrouillerait pour réceptionner ses commandes, se débrouillerait pour obtenir des créneaux pour le gymnase ou la piscine, rédigerait seul son projet de classe et en rendrait directement compte à l'IEN, gèrerait seul tous les conflits avec les élèves et les parents...

L'IEN ferait lui-même les répartitions et attribuerait les classes ...

Plus de conseil des maitres, plus de conseil d'école, ...

Plus de matériel mis en commun.

Le paradis, quoi !

:yahoo:

Posté(e)

En fait ce qu'il faudrait, c'est carrément supprimer la fonction de directeur.

Chacun travaillerait seul dans sa classe, serait seul responsable de la sécurité des locaux et des élèves qui lui sont confiés, gèrerait seul les budgets qui lui seraient aloués au bon vouloir de la mairie, se débrouillerait pour réceptionner ses commandes, se débrouillerait pour obtenir des créneaux pour le gymnase ou la piscine, rédigerait seul son projet de classe et en rendrait directement compte à l'IEN, gèrerait seul tous les conflits avec les élèves et les parents...

L'IEN ferait lui-même les répartitions et attribuerait les classes ...

Plus de conseil des maitres, plus de conseil d'école, ...

Plus de matériel mis en commun.

heu autant je tape pas sur le boulot des directeurs, du tout, j'ai bien conscience de leur charge de travail et de l'empilement des demandes au fil des ans, et je respecte cela, autant tout ça je le fais moi même!!!

Posté(e)

En fait ce qu'il faudrait, c'est carrément supprimer la fonction de directeur.

Chacun travaillerait seul dans sa classe, serait seul responsable de la sécurité des locaux et des élèves qui lui sont confiés, gèrerait seul les budgets qui lui seraient aloués au bon vouloir de la mairie, se débrouillerait pour réceptionner ses commandes, se débrouillerait pour obtenir des créneaux pour le gymnase ou la piscine, rédigerait seul son projet de classe et en rendrait directement compte à l'IEN, gèrerait seul tous les conflits avec les élèves et les parents...

L'IEN ferait lui-même les répartitions et attribuerait les classes ...

Plus de conseil des maitres, plus de conseil d'école, ...

Plus de matériel mis en commun.

heu autant je tape pas sur le boulot des directeurs, du tout, j'ai bien conscience de leur charge de travail et de l'empilement des demandes au fil des ans, et je respecte cela, autant tout ça je le fais moi même!!!

Mes collègues aussi font ce que tu as mis en gras...

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