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Gérer une classe maternelle // plus de patience, crise de nerfst


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bonjour,

voilà je viens vers vous pour recueillir des avis et des solutions concernant la gestion d'un groupe classe.

Voilà je suis titulaire depuis 3 ans (avec 2 ans de stage auparavant), j'ai 26 ans, je suis en couple

mais je n'ai pas d'enfants. Je suis en maternelle, un niveau que j'adore (j'ai plus de difficultés à me faire respecter chez les + grands, je dois faire d'énormes efforts pour avoir un semblant d'autorité, je suis petite, j'ai un physique assez jeune on me donne souvent 18 ans -__-).

Donc tout se passe bien en maternelle (PS-MS avec 30 enfants). J'ai tendance à être un bourreau du travail, je bosse beaucoup pendant la semaine, j'arrive tôt à l'école, je me fais des listes avec les choses à faire pour la classe.

Mais j'ai remarqué que, quand je suis fatiguée (en fin de semaine, en fin de période) j'ai plus de difficultés à gérer la classe. Je fais des migraines depuis cet hiver alors qu'avant je n'en faisais jamais. J'ai l'impression que mon corps fatigue plus vite, qu'il est moins résistant à la fatigue liée au travail.

J'ai du mal à supporter le bruit. Et quand on additionne fatigue + enfants énervés/excités, je perds ma patience. Et c'est ce problème que j'aimerais aborder. Je sais on dit que, quand les enfants crient, il faut chuchoter, parler tout bas ect pour les calmer. Mais ça ne marche pas, quand je fais ça je deviens invisible. De plus, on a tendance à crier pour stopper net les enfants quand ils font n'importe quoi.

Du coup je crie, et plus je crie plus ça me fatigue. Quand je perds patience je peux empoigner un enfant. Ce matin mon atsem est revenue avec mes PS, et il fallait que les MS passent rapidement aux WC à leur tour, du coup j'ai légèrement poussé les enfants de PS pour que les MS puissent accèder au couloir, bref quelques PS sont tombés au sol rien de grave, je les ai poussés légèrement pour laisser de la place, ça a choqué mon atsem.

Aujourdhui j'ai passé une rude journée, j'ai un groupe de 4 garçons en MS particulièrement pénibles, du coup j'ai l'impression d'avoir passé mon temps à crier en classe. Du coup mon atsem m'a rapporté qu'on dit de moi que je crie trop, que je pète un câble etc... (le "on" c'est ma collègue de PS MS à coté et son atsem). Quand je perds patience je n'en peux plus je suis à bout, j'ai envie parfois de taper ma tête contre le mur tellement je suis claquée. Je le prends personnellement en fait, j'ai du mal à garder une distance professionnelle car je souffre physiquement.

Je réalise que j'ai un problème. Mais que faire ? Prendre des calmants quand je sens que "je perds patience" ? Je suis allée voir mon médecin l'an dernier, il m'avait donné du Lexomil (qui est efficace car ça me détend tout de suite) mais je ne peux pas prendre du Lexomil tout le temps. Je me dis que je n'ai pas d'excuse, je n'ai pas 65 ans, je n'ai que 26 ans et je n'ai pas d'enfants (mais j'ai certes des soucis domestiques, financiers... les tracas du quotidien). Si je commence à faiblir aujourd'hui, comment je vais faire plus tard ?

Merci de m'avoir lue, n'hésitez pas à commenter, toute aide est bienvenue.

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Je pense que ton corps t'envoie des signes. Tu éprouves une grande fatigue physique et nerveuse.

Ce n'est pas anodin. C'est souvent l'antichambre d'une dépression de type burn-out.

Je pense que tu devrais parler de ce que tu nous racontes avec ton généraliste.

Tu es à la limite de l'acceptable quand tu pousses tes élèves. Ce n'est pas un jugement. J'ai juste vu une collègue péter un cable cette année et les conséquences ont été lourdes (plainte des parents pour un geste déplacé envers les élèves du même genre que le tien et convocation par l'IEN avec blâme sur son dossier).

Il y a des signes et tu dois te préserver pour ne pas te faire du mal à toi et à tes élèves. Ce type de fatigue insidieux ne passe pas avec les grandes vacances. Il revient très vite à la rentrée.

L'anxiolytique type xanax ou lexomil est une aide ponctuelle. Si ton sommeil est perturbé, tu peux aussi envisager le stilnox.

Mais si le mal est plus profond, il faudra un traitement antidépresseur.

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Sortir, il faut sortir et moins bosser.

Il faut aussi dormir.

C'est normal d'être fatiguée et nous gérons tous la fatigue de façon différente.

Finis l'année en roue libre, plus besoin de se presser et donc d'ajouter du stress.

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est ce que consulter un psychologue serait une solution ?

J'en ai parlé avec mon médecin généraliste par rapport aux migraines, mais bon,

elle m'a dit qu'elle n'avais pas de remède miracle contre la fatigue à part dormir effectivement (et je me couche tôt vers 22h environ). Donc je ne sais pas ce qu'elle va faire si je lui soulève le problème.

Dans mon école maternelle, pas de pause de 8h15 à 11h45, car chacune surveille sa classe en récréation et on ne peux pas laisser l'atsem seule en récré ET pas de pause de 13h10 à 16h non plus pour les mêmes raisons. J'ai oublié de mentionner que, en plus de la classe, je surveille la cantine 2 fois par semaine (ma pause est alors retardée à 12h30) et je fais l'étude du soir (de 16h à 17h15) 3 fois par semaine.

Je fais le combo cantine + étude le jeudi et le vendredi, donc en fin de semaine, donc quand je suis + susceptible d'être fatiguée. Ca plus la préparation de classe ça fait beaucoup. Je peux pas faire autrement, j'ai besoin de l'argent que me rapporte mes surveillances cantine et études du soir.

Là je vais finir les 3 derniers jours de classe cool évidemment (en plus mon élève "terrible" qui me pourrit mes journées est parti en vacances donc je n'aurais pas à le supporter).

Sortir, oui mais la vie est chère, je compte tout, tout le superflu (le non vital) est rapidement éliminé. Vant on se faisait des cinés+restos presque tous les weekends. On ne peut plus se le permettre. D'où le fait que je surveille la cantine, les études dans mon école, la vie est chère. Donc la vie est moins rigolote, je deviens casanière, pour moi maintenant un dimanche sympa c'est quand je peux faire grasse mat, ordi et un bon DVD, j'ai perdu le goût de sortir et pourtant ça fait du bien, ça change les idées. J'ai l'impression que mon travail c'est mon exutoire, ça m'occupe l'esprit, plutot que de rester enfermée à la maison.

Ma mère a fait une grave dépression et quand j'étais petite les assiettes volaient à la maison, donc je ne sais pas si tout ceci a une influence sur mon comportement.

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En effet on te sens à bout et ton corps t envoie des signaux.

Je pense qu il faut que tu acceptes le fait qu on ne peut pas tout controler dans notre métier. On gère de l humain. Ce qui est important pour toi ne l est certainement pas pour tes petits élèves de maternelle.

Pourquoi aller vite aux toilettes? Par exemple.

Notre stress on le communique aux élèves. Je le vois bien lorsque j ai passé une mauvaise nuit, je suis stressée et je le dis à mes collègues, "ce n est pas ma journée" et dans ces cas là en effet ça va parfois de travers.

Mais ce qui est bien aussi dans notre metier est qu une journée ne fait pas l autre. Surtout avec des enfants de maternelle.

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Tu te pose toi-même la question de consulter un psychologue. Cela prouve que tu sens que tu es sur la pente descendante...

La collègue dont je te parlais a fini (sur nos conseils) à aller voir gratuitement le psychologue MGEN du réseau PAS. Il l'a orienté sur un psychiatre.

Elle a l'air d'aller beaucoup mieux d'après une autre collègue qui la fréquente sur un plan personnel. Elle est arrêtée depuis une période. Je ne sais pas la nature de son traitement.

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Sortir ne veut pas dire dépenser. J'adore me balader dans la campagne environnante pique-nique dans le sac.

Ça ne coûte rien et ça fait un bien fou.

Il y a aussi les visites dans les musées non payants avec notre carte pro.

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Comment se fait il que les recres soient surveillees de cette maniere dans ton ecole?

L etude plus la cantine ça fait beaucoup je trouve.

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Coucou,

Je n'ai pas de solutions à t'apporter mais ton sujet m'intéresse car je me trouve parfois dans la même situation que toi...J'ajoute en plus dans la balance une personne malade et l'absence de poste au mouvement :(

Je peux juste te donner le conseil d'une IMF qui est venue me voir pendant mon redoublement et devant qui j'ai fondu en larmes: "il faut parfois savoir s'arrêter quand on est à bout de force car il ne faut pas oublier qu'on doit s'occuper des élèves. Or, on ne peut pas s'occuper correctement de quelqu'un si on ne s'occupe pas d'abord de soi."

Ca m'a paru bizarre venant d'une IMF mais au fond, je me suis rendue compte (enfin dans mon cas hein ;) ) qu'elle n'avait pas tort. A un moment, j'ai tout stoppé, je suis allée voir mon médecin et je lui ai dit que je n'en pouvais plus. Elle m'a arrêtée deux jours et donner des anti dépresseurs sur une courte durée.

C'est un métier où on s'occupe beaucoup des autres (et de ce que vont penser les autres) mais on a aussi tendance à s'oublier.

J'espère que tu iras mieux :)

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est ce que consulter un psychologue serait une solution ?

J'en ai parlé avec mon médecin généraliste par rapport aux migraines, mais bon,

elle m'a dit qu'elle n'avais pas de remède miracle contre la fatigue à part dormir effectivement (et je me couche tôt vers 22h environ). Donc je ne sais pas ce qu'elle va faire si je lui soulève le problème.

Dans mon école maternelle, pas de pause de 8h15 à 11h45, car chacune surveille sa classe en récréation et on ne peux pas laisser l'atsem seule en récré ET pas de pause de 13h10 à 16h non plus pour les mêmes raisons. J'ai oublié de mentionner que, en plus de la classe, je surveille la cantine 2 fois par semaine (ma pause est alors retardée à 12h30) et je fais l'étude du soir (de 16h à 17h15) 3 fois par semaine.

Je fais le combo cantine + étude le jeudi et le vendredi, donc en fin de semaine, donc quand je suis + susceptible d'être fatiguée. Ca plus la préparation de classe ça fait beaucoup. Je peux pas faire autrement, j'ai besoin de l'argent que me rapporte mes surveillances cantine et études du soir.

Là je vais finir les 3 derniers jours de classe cool évidemment (en plus mon élève "terrible" qui me pourrit mes journées est parti en vacances donc je n'aurais pas à le supporter).

Sortir, oui mais la vie est chère, je compte tout, tout le superflu (le non vital) est rapidement éliminé. Vant on se faisait des cinés+restos presque tous les weekends. On ne peut plus se le permettre. D'où le fait que je surveille la cantine, les études dans mon école, la vie est chère. Donc la vie est moins rigolote, je deviens casanière, pour moi maintenant un dimanche sympa c'est quand je peux faire grasse mat, ordi et un bon DVD, j'ai perdu le goût de sortir et pourtant ça fait du bien, ça change les idées. J'ai l'impression que mon travail c'est mon exutoire, ça m'occupe l'esprit, plutot que de rester enfermée à la maison.

Ma mère a fait une grave dépression et quand j'étais petite les assiettes volaient à la maison, donc je ne sais pas si tout ceci a une influence sur mon comportement.

au niveau des récrés il n'y a pas moeyn de changer ça l'an prochain?

pour les études tu pourrais en faire une de moins et ainsi alternet un jour sur 2 pour les études et la cantine ainsi soit tu es en pause le midi soit tu finis à 16h30 le soir.

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Bonsoir,


Si je peux me permettre, je vais faire quelques remarques - bienveillantes, je précise ! :)


La première, c'est le coût des sorties. Je suis comme toi, la vie est chère, nous avons une maison à payer et trois enfants à nourrir (et ils sont dans une école où on nous demande toujours de donner des sous, des sous, et encore des sous !!!), bref : tout pareil, je ne peux pas me permettre beaucoup de sorties. Pourtant, une sortie ne coûte pas forcément cher. Aller faire un tour à pied, ça coûte quoi ? Pas grand chose. Et il a été reconnu que marcher un peu tous les jours a des effets positifs sur le moral et il y aurait moins de risques de dépression quand on marche régulièrement. Ca, et puis selon la région où tu habites, il y a des endroits où il y a des tas de petites choses gratuites. Comme le dit Lexdra, aller dans les musées nationaux ne coûte rien avec le pass éducation. S'inscrire à la médiathèque (souvent gratuit quand on habite ou que l'on travaille sur la commune), aller emprunter des livres, des CD, des DVD, discuter avec une bibliothécaire qui saura te conseiller (et éviter de parler de sa classe, alors, puisque l'idée est de se changer les idées ! :-p ). Là, justement, en médiathèque, ils organisent parfois, selon les endroits, des rencontres "lecture" ou ce genre de choses. On discute de choses intéressantes, on se prend d'envie de lire un des bouquins présentés, on parle d'autre chose que de la classe. Moi je pense à ça parce que je suis très "bouquins", mais je suis sûre qu'il y a des équivalents pour d'autres loisirs. L'idée étant de s'aérer, de penser à autre chose que la classe. Parce que, mine de rien, penser toujours à la classe, c'est beau, mais ça peut devenir difficile à gérer, l'air de rien on se met la pression... Bref : sors, sans forcément sortir le porte-monnaie ! :) Et cela me semble d'autant plus nécessaire que tu passes un temps monstrueux à l'école, entre tes journées sans pause matin ni aprèm, tes études, tes cantines, mais à quel moment vois-tu le jour ???

Ma deuxième remarque sera la suivante : dans ton premier message, une association de mots m'a fait tiquer :

"Je suis en maternelle, un niveau que j'adore (j'ai plus de difficultés à me faire respecter chez les + grands, je dois faire d'énormes efforts pour avoir un semblant d'autorité, je suis petite, j'ai un physique assez jeune on me donne souvent 18 ans -__-)."

Tu dis que tu adores la maternelle, et tout de suite après, comme pour expliquer cela, tu dis que tu as plus de difficultés à te faire respecter chez les plus grands. Cela me semble bien étrange de faire ce lien-là. Perso, j'adore la maternelle, parce que j'adore bosser avec des enfants de cet âge-là, parce que j'adore l'organisation des journées, parce que j'adore l'espace laissé à la création avec de petits enfants, parce que je trouve plus facile de bosser par projets en mater, parce que j'aime leur spontanéité, et je pourrais continuer comme ça longtemps... sans parler de rapports d'autorité avec les élèves, parce que cela me semble être un bien étrange critère pour aimer la mater (après, j'interprète peut-être mal ce que je lis, mais j'avoue que ça m'a laissée perplexe, à la première lecture).

Quant au respect, pour moi, il n'est pas une conséquence directe de caractéristiques physiques. On a tous connu au moins une instit toute petite, ou avec une voix d'enfant, ou avec un physique très doux... et qui avaient une autorité indéniable. Je crois qu'il faut ouvrir les yeux et te dire que ce que tu ressens comme un manque d'autorité n'est pas à l'extérieur, mais à l'intérieur. Je crois que tu es tellement convaincue de ne pas avoir d'autorité (de ne pas être à la hauteur ? De ne pas mériter le respect ? ...) que tu ne peux pas en avoir. Je crois que tu manques de confiance en toi (pardonne-moi si tu me trouves dure, j'essaie juste de comprendre le sous-texte dans tes mots, ceci dans le but d'essayer de t'aider, surtout pas dans l'idée de te faire sentir mal).

Je vais te dire pourquoi je me permets ces remarques : parce que j'ai été exactement comme toi. Un bourreau de travail (et j'avais déjà deux enfants à l'époque), ne dormant que très peu pour préparer, fignoler les moindres détails de mes preps tout en assurant au niveau familial, et croyant qu'en changeant de coupe de cheveux mon autorité s'instaurerait plus facilement (j'exagère à peine : moi aussi je croyais donner l'impression d'être toute jeune, d'ailleurs je donnais vraiment cette impression, j'avais 30 ans et une maman d'élève en fin d'année, je ne sais plus pourquoi, en était venue à me dire qu'elle pensait que j'en avais 22-23 ! -_- , bref j'avais fait couper mes cheveux coupe courte, en me disant "yes ! Ca me vieillit !", résultat, le lundi matin ma collègue me dit "wouah, ça te va bien, ça te rajeunit !" ... :sweatingbullets: ). Au fur et à mesure de mes visites d'IMF pendant mes différents stages, de CPC, etc., à chaque visite, on me disait "tu manques de fermeté". Et moi j'ai passé un sacré bout de temps à me demander ce que c'était que cette fameuse fermeté. J'oscillais entre "trop douce" et "trop dure" (moi aussi je criais beaucoup les jours où j'étais en mode "sévère"), jusqu'au jour où j'ai ENFIN compris ce qu'était la fermeté. Et je ne l'ai compris qu'en travaillant sur moi.

Le fait que tu parles d'aller consulter un psy me fait penser que cette idée est en train de faire son chemin. Je ne peux que trop te conseiller d'aller au bout de cette démarche. C'est une entreprise passionnante que de partir à la découverte de soi. On souffre beaucoup sur ce chemin vers soi, parce que les prises de conscience sont parfois douloureuses... Mais on y gagne tellement en bien-être ! Je pense vraiment qu'un psy t'aiderait à y voir plus clair, à comprendre pourquoi tu manques de confiance en toi au point de remettre ton autorité entre les mains de ton physique, à comprendre pourquoi tu prends les choses de façon personnelle et pourquoi ça te fait souffrir comme cela, etc. Cela t'aiderait à te détacher, et à te sentir plus sereine en classe.

Après, tu fais ce que tu veux, mon expérience perso, c'est qu'aujourd'hui, mon autorité se porte vraiment mieux, et cela parce que j'ai compris beaucoup de choses sur moi-même par le biais de séances chez le psy.

Bon courage, en tout cas. Tiens bon, il ne te reste plus qu'une semaine. Mais comme cela a été dit au-dessus, si le mal-être est profond comme cela semble être le cas, il vaut mieux faire en sorte d'y remédier rapidement ; même si tu te sens mieux pendant les vacances, cela reviendra malheureusement (trop) vite à la rentrée...

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merci pour vos réactions ! !

déjà lundi je file chez mon médecin traitant lui expliquer tout ça.

Je pense que j'ai souffert de ce problème tout au long de l'année

mais je m'en rends compte uniquement quand je suis à bout.

Je lui demanderai les coordonnées d'un psy (je suis déjà allée voir un quand ma mère est morte, j'avais 20 ans).

Rélinette, quand j'explique que je pense manquer d'autorité envers les + grands ce n'est pas pour expliquer

mon affection pour la maternelle mais pour éclairer les propos qui suivent. Mais en effet c'est maladroitement

formulé de ma part. Evidemment ce qui m'attire en maternelle c'est les caractéristiques moins "scolaires", une journée + souple,

la place de l'oral etc... J'ai de l'autorité sur la classe dans la vie de tous les jours mais disons que quand TOUT le groupe classe est enervé (comme c'était le cas hier: anniversaire + temps pourri + portes ouvertes l'après midi + vendredi = enfants excités) j'ai l'impression que je deviens invisible, j'ai beau gronder, réclamer le silence, appeler au calme... rien n'y fait, le bruit devient insupportable. Alors que faire ? A un moment je perds patience et j'en souffre.

En tout cas merci pour vos avis, cela m'éclaire ! !

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