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Enseignants qui refusent leur poste et se font mettre en arrêt...


Helly

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Ah vous avez un psy du travail, vous?

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C'est légitime de s'arrêter quand on est malade. En revanche, il ne peut pas y avoir de passe-droits (abandon de postes ou chantage) sous peine de faire exploser le système. Pensons collectif.

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Posons nous une question: souhaitons-nous conserver notre statut de fonctionnaires d'état ou voulons-nous passer dans la territoriale? Souhaitons-nous garder une éduc nationale?

Et oui les instits ont changé mais il paraît qu'on était trop corporatistes et fermés... ça n'avait pas que des désavantages pour l'EN.

C'est légitime de s'arrêter quand on est malade. En revanche, il ne peut pas y avoir de passe-droits (abandon de postes ou chantage) sous peine de faire exploser le système. Pensons collectif.

Je te suis complètement là-dessus. Continuons de détourner les règles des mouvements et mutations, diabolisons l'ancienneté alors qu'elle est le seule gage que tout un chacun pourra un jour obtenir un poste correspondant à son choix, et nous casserons notre statut et ferons exploser le système.

Je trouve que le manque d'esprit de corps, de solidarité, n'est pas là où semblent le trouver certains un peu plus haut.

Penser à sa pomme en faisant le chantage au "si on me nomme là où je ne veux pas aller, je me mets en arrêt" est, je trouve, une grande marque d'individualisme, parce que forcément, il faudra mettre quelqu'un à sa place.

Et cautionner ces attitudes participe à complètement bloquer le mouvement et augmenter le nombre et la nature des exigences.

Cette année, c'est la première fois que j'entendais des jeunes collègues affirmer qu'ils pouvaient refuser des nominations d'office jusqu'à obtenir satisfaction.

J'en ai aidé certains à formuler leurs vœux et ai été surprise de leur refus absolu d'élargir leurs possibles de façon à être nommé tout de suite, quitte à être nommé d'office.

Ainsi, au dernier jour de l'année scolaire, dans les zones "sinistrées", il y avait de nombreuses écoles avec des postes faussement vacants car la personne affectée refusait le poste. Donc impossible de donner un nom aux parents, de faire la distribution des classes, des élèves, etc, ...

Je ne décris personnellement aussi que les situations que je connais, donc j'affirme qu'il y a de plus en plus de collègues exigeants, qui se rendent malades dès ou font le chantage à l'arrêt (voire même au bébé) dès qu'un poste attribué ne correspond pas à leurs vœux, et que ces personnes ne sont pas forcément des parents d'enfants en bas âge, propriétaires de leurs maisons et dont le conjoint ne peut pas bouger. Quand j'ai débuté, ça ne se faisait pas et pourtant, les premiers postes étaient souvent également des galères.

Mais à côté d'eux, heureusement, j'ai souvent l'occasion de côtoyer des collègues qui certes, ont deux heures de trajet chaque jour, ou un cours triple, un niveau qui ne leur plait pas, etc, ..., mais qui assument les mauvais côtés de leur affectation en voyant le positif et viennent travailler chaque jour, y compris quand ils sont nommés dans le spécialisé (ce que je trouve inadmissible, tant pour les collègues que pour les élèves qui mériteraient d'avoir des enseignants formés et volontaires).

Certains débutants, lorsqu'ils veulent rester vivre dans la partie attractive de leur département, effectuent leurs vœux en voyant à moyen terme et les terminant par des voeux de zone (TRS ou TR en ZEP dans une circo près d'une gare pour limiter la fatigue et accumuler les points de stabilité par exemple) pour être sûrs de ne pas être nommés d'office.

Après, chacun peut un jour craquer, se laisser envahir par le négatif d'une situation et s'en rendre malade. Ça arrive.

Dans ces cas-là, il faut s'arrêter, prendre du recul pour pouvoir voir le côté positif et terminer l'année plus sereinement.

Et ça n'arrive pas tous les ans pour les mêmes personnes, sinon, ce n'est pas le système qui est uniquement en cause, mais la capacité de la personne à assumer les contraintes du métier pour lequel elles ont signé.

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Posons nous une question: souhaitons-nous conserver notre statut de fonctionnaires d'état ou voulons-nous passer dans la territoriale? Souhaitons-nous garder une éduc nationale?

Et oui les instits ont changé mais il paraît qu'on était trop corporatistes et fermés... ça n'avait pas que des désavantages pour l'EN.

>C'est légitime de s'arrêter quand on est malade. En revanche, il ne peut pas y avoir de passe-droits (abandon de postes ou chantage) sous peine de faire exploser le système. Pensons collectif.

Je te suis complètement là-dessus. Continuons de détourner les règles des mouvements et mutations, diabolisons l'ancienneté alors qu'elle est le seule gage que tout un chacun pourra un jour obtenir un poste correspondant à son choix, et nous casserons notre statut et ferons exploser le système.

Je trouve que le manque d'esprit de corps, de solidarité, n'est pas là où semblent le trouver certains un peu plus haut.

Penser à sa pomme en faisant le chantage au "si on me nomme là où je ne veux pas aller, je me mets en arrêt" est, je trouve, une grande marque d'individualisme, parce que forcément, il faudra mettre quelqu'un à sa place.

Et cautionner ces attitudes participe à complètement bloquer le mouvement et augmenter le nombre et la nature des exigences.

Cette année, c'est la première fois que j'entendais des jeunes collègues affirmer qu'ils pouvaient refuser des nominations d'office jusqu'à obtenir satisfaction.

J'en ai aidé certains à formuler leurs vœux et ai été surprise de leur refus absolu d'élargir leurs possibles de façon à être nommé tout de suite, quitte à être nommé d'office.

Ainsi, au dernier jour de l'année scolaire, dans les zones "sinistrées", il y avait de nombreuses écoles avec des postes faussement vacants car la personne affectée refusait le poste. Donc impossible de donner un nom aux parents, de faire la distribution des classes, des élèves, etc, ...

Je ne décris personnellement aussi que les situations que je connais, donc j'affirme qu'il y a de plus en plus de collègues exigeants, qui se rendent malades dès ou font le chantage à l'arrêt (voire même au bébé) dès qu'un poste attribué ne correspond pas à leurs vœux, et que ces personnes ne sont pas forcément des parents d'enfants en bas âge, propriétaires de leurs maisons et dont le conjoint ne peut pas bouger. Quand j'ai débuté, ça ne se faisait pas et pourtant, les premiers postes étaient souvent également des galères.

Mais à côté d'eux, heureusement, j'ai souvent l'occasion de côtoyer des collègues qui certes, ont deux heures de trajet chaque jour, ou un cours triple, un niveau qui ne leur plait pas, etc, ..., mais qui assument les mauvais côtés de leur affectation en voyant le positif et viennent travailler chaque jour, y compris quand ils sont nommés dans le spécialisé (ce que je trouve inadmissible, tant pour les collègues que pour les élèves qui mériteraient d'avoir des enseignants formés et volontaires).

Certains débutants, lorsqu'ils veulent rester vivre dans la partie attractive de leur département, effectuent leurs vœux en voyant à moyen terme et les terminant par des voeux de zone (TRS ou TR en ZEP dans une circo près d'une gare pour limiter la fatigue et accumuler les points de stabilité par exemple) pour être sûrs de ne pas être nommés d'office.

Après, chacun peut un jour craquer, se laisser envahir par le négatif d'une situation et s'en rendre malade. Ça arrive.

Dans ces cas-là, il faut s'arrêter, prendre du recul pour pouvoir voir le côté positif et terminer l'année plus sereinement.

Et ça n'arrive pas tous les ans pour les mêmes personnes, sinon, ce n'est pas le système qui est uniquement en cause, mais la capacité de la personne à assumer les contraintes du métier pour lequel elles ont signé.

Du même avis ..

Moi, cela fait fait plusieurs fois que j'entends: j'ai la carté bébé, alors je veux un poste à côté de chez moi .. Des nanas qui se précipitent de tomber enceinte pour ne pas être trop loin .. ça me choque ..

Mais, tous les corps de métiers sont concernés, il y a une évolution des mentalités où l'égocentrisme prime sur la collectivité ... particulier ...

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Que certains fassent du chantage, on n'y peut rien. Tant pis. L'administration n'est pas obligée de céder et nos représentants du personnel doivent clairement expliquer ce qui est possible ou pas dans le respect des textes. Il existe suffisamment d'accomodements (1000 points, congés, temps partiels etc...) pour rendre inutiles les magouilles.

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Je ne suis pas pour ceux qui clament "si je n'ai pas ce que je veux je m'arrête", pour autant la monté de ce genre de comportements ne comporte pas que du négatif. Si seulement cela pouvait faire réagir l'administration!! Je me souviens parfaitement de ma T1: envoyée à 100km de chez moi dans le village d'une autre T1 (collègue de formation) qui elle a eu un poste dans MON village!!! Excusez moi, mais appréciez tout de même de ridicule de la situation! Se croiser sur l'autoroute tous les matins... Alors que nous en étions au même niveau concernant les points d'ancienneté... Alors oui, n'acceptons pas tout, et forçons la machine éducation nationale à réagir!

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peut être que nos dirigeants devraient faire en sorte de rendre attractives ces zones ...(.indemnités, bonifications de points etc .... )

après je ne trouve pas ça normal de refuser un poste et de ce mettre en arrêt mais je ne trouve pas normal non plus de devoir faire 1h30/2h de route pour aller travailler.... surtout quand on a des enfants !

il y a vraiment des trucs à revoir et il serait grand temps de s'y pencher ....

Nous sommes d'accord. Je milite pour que le rural bénéficie des mêmes avantages que la zep en terme de prime et de bonification indiciaire, et pour la réhabilitation des logements de fonction d'enseignants (toujours présents dans bien des villages, mais affectés à d'autres personnes).

Je milite aussi pour que les IUFM soient déplacés au milieu des départements, et surtout pas dans la préfecture, pour que l'accès soit facilité pour la formation continue des PE et que les jeunes qui y sont formés ne prennent pas ce prétexte pour refuser toute affectation éloignée du lieu où ils ont effectué leurs études.

Cela dit, dans la grosse majorité des cas, les gens qui ont 1h30-2h de trajet auraient la possibilité de se rapprocher de leur lieu de travail, ou auraient pu demander des postes plus raisonnables au mouvement, mais font passer leurs désirs avant la réalité des contraintes de travail, puis s'en rendent malades, criant que leur affectation est inadmissible, alors qu'elle est souvent la conséquence de choix.

(Je pense à des cas très précis de villes délaissées alors qu'on y vit très bien (loisirs et services), mais effectivement, ce n'est pas la préfecture ou LA ville "in", c'est sûr.)

Si déjà, toutes ces personnes-là prenaient leur mal en patience, il serait plus facile ensuite de trouver une solution pour les cas, plus rares, vraiment problématiques (je pense notamment aux écoles rurales montagnardes, difficiles d'accès l'hiver).

Tous les néos PE ne sont pas parents, et tous les PE-parents affectés loin de leur domicile ne sont pas dans des situations plus catastrophique que l'ouvrière ou la secrétaire de direction de l'entreprise d'à côté

Nous sommes tous ou presque passés par là.

et donc? Ta remarque me choque un peu... On a quand même le droit de choisir où on veut habiter non?

Perso, j'habite sur la côte et ça me gonflerait d'aller habiter dans l'arrière pays juste parce que c'est la qu'il y a des postes! J'ai une vie en dehors de l'école!

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Jusqu'à cette année, les T1 ne participaient au mouvement que sur des postes réservés dans le 13. C'était donc plus opaque que le mouvement ordinaire mais, paraît-il, plus "protecteur". Ton exemple, bobinette, et celui du mouvement à TP dans le 13, tendrait à montrer que mieux vaut des règles transparentes et connues de tous que les magouilles et l'arbitraire.

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peut être que nos dirigeants devraient faire en sorte de rendre attractives ces zones ...(.indemnités, bonifications de points etc .... )

après je ne trouve pas ça normal de refuser un poste et de ce mettre en arrêt mais je ne trouve pas normal non plus de devoir faire 1h30/2h de route pour aller travailler.... surtout quand on a des enfants !

il y a vraiment des trucs à revoir et il serait grand temps de s'y pencher ....

Cela dit, dans la grosse majorité des cas, les gens qui ont 1h30-2h de trajet auraient la possibilité de se rapprocher de leur lieu de travail, ou auraient pu demander des postes plus raisonnables au mouvement, mais font passer leurs désirs avant la réalité des contraintes de travail, puis s'en rendent malades, criant que leur affectation est inadmissible, alors qu'elle est souvent la conséquence de choix.

(Je pense à des cas très précis de villes délaissées alors qu'on y vit très bien (loisirs et services), mais effectivement, ce n'est pas la préfecture ou LA ville "in", c'est sûr.)

et donc? Ta remarque me choque un peu... On a quand même le droit de choisir où on veut habiter non?

Perso, j'habite sur la côte et ça me gonflerait d'aller habiter dans l'arrière pays juste parce que c'est la qu'il y a des postes! J'ai une vie en dehors de l'école!

Ne le prends pas mal mais on a tous une vie en dehors de l'école... On travaille (volontairement il me semble) pour une institution présente sur tout le territoire nationale. Et encore, par rapport à d'autres fonctionnaires, on ne peut pas être affectés hors de notre département sans notre accord. Les habitants des zones rurales ou des cités ont eux aussi le droit d'avoir des écoles pour leurs enfants... Charge à nous de nous battre ensemble pour y améliorer l'école et donc nos conditions de travail. On ne peut pas demander à notre employeur et à nos collègues d'assumer nos choix de vie, surtout quand des procédures existent déjà pour les collègues en difficulté familiale ou sociale.

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Je ne suis pas pour ceux qui clament "si je n'ai pas ce que je veux je m'arrête", pour autant la monté de ce genre de comportements ne comporte pas que du négatif. Si seulement cela pouvait faire réagir l'administration!! Je me souviens parfaitement de ma T1: envoyée à 100km de chez moi dans le village d'une autre T1 (collègue de formation) qui elle a eu un poste dans MON village!!! Excusez moi, mais appréciez tout de même de ridicule de la situation! Se croiser sur l'autoroute tous les matins... Alors que nous en étions au même niveau concernant les points d'ancienneté... Alors oui, n'acceptons pas tout, et forçons la machine éducation nationale à réagir!

Je suis tout à fait d'accord avec toi. Cependant, à cause de cas "limite" à côté, ce type d’incongruité est noyé.

Les responsables du personnel sont obligés de mettre un haut-là général à toute permutation, tant ça représente de problèmes.

et donc? Ta remarque me choque un peu... On a quand même le droit de choisir où on veut habiter non?

Perso, j'habite sur la côte et ça me gonflerait d'aller habiter dans l'arrière pays juste parce que c'est la qu'il y a des postes! J'ai une vie en dehors de l'école!

Mais quand tu es envoyée travailler dans l'arrière-pays, dans ce cas, tu acceptes, puisque c'est ton choix de vivre sur la côte.

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Je ne suis pas pour ceux qui clament "si je n'ai pas ce que je veux je m'arrête", pour autant la monté de ce genre de comportements ne comporte pas que du négatif. Si seulement cela pouvait faire réagir l'administration!! Je me souviens parfaitement de ma T1: envoyée à 100km de chez moi dans le village d'une autre T1 (collègue de formation) qui elle a eu un poste dans MON village!!! Excusez moi, mais appréciez tout de même de ridicule de la situation! Se croiser sur l'autoroute tous les matins... Alors que nous en étions au même niveau concernant les points d'ancienneté... Alors oui, n'acceptons pas tout, et forçons la machine éducation nationale à réagir!

Je suis tout à fait d'accord avec toi. Cependant, à cause de cas "limite" à côté, ce type d’incongruité est noyé.

Les responsables du personnel sont obligés de mettre un haut-là général à toute permutation, tant ça représente de problèmes.

>et donc? Ta remarque me choque un peu... On a quand même le droit de choisir où on veut habiter non?

Perso, j'habite sur la côte et ça me gonflerait d'aller habiter dans l'arrière pays juste parce que c'est la qu'il y a des postes! J'ai une vie en dehors de l'école!

Mais quand tu es envoyée travailler dans l'arrière-pays, dans ce cas, tu acceptes, puisque c'est ton choix de vivre sur la côte.

bah oui... 2 ans de suite...1h30 de route et la neige...

Je suis tout aussi choquée de voir des personnes refuser leur poste. J'ai connu une PES il y a 2 ans, qui avait des enfants mais qui ne voulait pas aller loin, pas en élémentaire, que de la mater et pas de niveaux multiples...elle a eu ce qu'elle voulait... Je suis "célibataire" (puisque pas pacsée et pas mariée), pas d'enfant, je dois fermer ma bouche, me taper 1h30 de route (sans compter le prix de l'essence et des pneus neige...), et me retrouver en classe unique.

Et quand la seule réponse c'est "faut déménager", ya de quoi énerver...

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Je ne suis pas pour ceux qui clament "si je n'ai pas ce que je veux je m'arrête", pour autant la monté de ce genre de comportements ne comporte pas que du négatif. Si seulement cela pouvait faire réagir l'administration!! Je me souviens parfaitement de ma T1: envoyée à 100km de chez moi dans le village d'une autre T1 (collègue de formation) qui elle a eu un poste dans MON village!!! Excusez moi, mais appréciez tout de même de ridicule de la situation! Se croiser sur l'autoroute tous les matins... Alors que nous en étions au même niveau concernant les points d'ancienneté... Alors oui, n'acceptons pas tout, et forçons la machine éducation nationale à réagir!

C'est vrai. L'année où j'ai été affectée à Maule (1h15 de trajet), une collègue a été affectée à Rambouillet habitant Maule ! On a contacté les syndicats pour savoir s'il était possible de faire un échange et on nous a répondu que c'était le jeu des barèmes !

Par contre, cette année-là a été super tant sur le plan de l'équipe, des élèves que des parents. L'année suivante, j'ai été affectée à 30 minutes de la maison sur des quarts et un complément de mi-temps, eh ben, je n'en garde pas un bon souvenir : des collègues qui m'ont bien fait comprendre que c'était eux les titulaires de la classe, des élèves mal élevés et pas intéressés. A Maule, les parents voulaient faire une pétition pour que je reste, je leur ai expliqué que le mouvement avait des règles et que leur pétition ne servirait à rien. J'ai quand même regretté de ne pas les avoir laissés faire, j'aurai encore préféré faire la route que de revivre une année comme celle-là !

Eh oui, c'est un choix. Des fois, on ne voit que la route que cela nous ferait faire mais on passe peut-être à côté d'une super expérience. Je ne reproche pas aux gens de se mettre en arrêt et heureusement, ce n'est pas la majorité. Ce que je reproche, c'est de ne pas essayer. La collègue dont je parlais plus haut n'a même pas été dans l'école, rencontrer les collègues ; dès qu'elle a eu le coup de fil de l'ien lui disant où elle était affectée, elle a été voir son médecin pour un arrêt. C'est ce genre de comportement qui me choque et qui, surtout, génère des remarques négatives sur l'ensemble du corps professoral de la part des parents notamment.

C'est comme tout, à cause d'une minorité, tout le monde pâtit !

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