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Posté(e)

Les pays européens qui ont les meilleurs résultats sont ceux qui travaillent en compétences depuis des années (1972 pour la Finlande, l'année de la disparition des inspecteurs d'ailleurs...).

Tu penses que le fait d'avoir adopté un enseignement par compétences explique les résultats de l'école finlandaise?

http://www.arle.ch/archives/ARLE/PisaComparatif.html

Extrait 1:

L'ambition de concilier des exigences élevées avec l'égalité des chances est poursuivie de façon conséquente: les effectifs des classes sont modestes (jusqu'à 20 élèves); deux maîtres se partagent la classe grâce à la présence fréquente d'assistants; le travail par petits groupes respectant les différents rythmes d'apprentissage des enfants est la règle. Et surtout, les écoles finlandaises organisent un appui individualisé pour tous les élèves en difficulté. Une gageure d'autant plus grande que la part des enfants recourant à ces soutiens augmente (en moyenne 17% l'an dernier à Helsinki). Même les cas "impossibles", comme dit un recteur, sont pris en charge à l'intérieur de l'école par des maîtres spécialisés. " Sans cette aide, les élèves en difficulté n'atteindraient pas les objectifs " (Jukka Sarjala, Président de l'Office central de l'enseignement à Helsinki)

Extrait 2:

Les conditions de possibilité d'un tel système

a) Budget

Une politique cohérente et durable qui attribue à l'éducation et à la recherche le rang de priorité nationale. Les budgets dévolus à ces tâches sont en tête des comparaisons internationales, et ils ne cessent de croître. Cela suppose des moyens importants: donc pas d'économies dans l'éducation. "Pour un peuple isolé par la géographie et une langue imperméable, l'éducation est une condition de survie", justifie Jukka Sarjala, le président de l'Office central de l'enseignement à Helsinki (OCE).

b) Culture

" La Finlande ne peut pas se permettre d'avoir des jeunes sans avenir. Notre population vieillit et nous ne devons compter que sur nous-mêmes. Car qui veut venir travailler sous nos latitudes, à la périphérie de l'Europe, avec nos hivers froids et sombres ainsi que notre langue impossible? Toutes nos forces vives comptent. " (Jukka Sarjala).

La population finlandaise en a parfaitement conscience, elle a développé une sorte de " culture des études " et ceci dès la prime enfance. La lecture fait partie de la culture familiale et les enfants savent pratiquement tous déjà lire à leur entrée à l'école obligatoire.

En Finlande, le facteur humain est décisif, les écoles et leur personnel sont responsabilisés au maximum. La confiance est soignée en même temps que les exigences sont élevées: les politiciens n'insultent jamais "l'école" publiquement, et le professionnalisme de ses serviteurs est une vertu cardinale. Les enseignants y jouissent d'un respect absolu.

c) Immigration

Le peuple finlandais est culturellement homogène, ce qui aide énormément. Le taux d'étrangers est très bas (2 %) et une partie d'entre eux est constituée de suédophones.

Remarque :

Aussitôt l'"école de base" achevée, la sélection rattrape les élèves. L'accès aux lycées, puis à l'université, donne lieu à une compétition nationale drastique.

Il me semble que d'autres facteurs peuvent expliquer ces résultats. Ce n'est pas l'Europe mais suffisamment proche culturellement pour qu'on puisse constater que la Nouvelle Zélande, qui a adopté dès les années 80 une politique éducative similaire, n'obtient pas les mêmes résultats, loin de là.

Posté(e)

Les pays européens qui ont les meilleurs résultats sont ceux qui travaillent en compétences depuis des années (1972 pour la Finlande, l'année de la disparition des inspecteurs d'ailleurs...).

Tu penses que le fait d'avoir adopté un enseignement par compétences explique les résultats de l'école finlandaise?

http://www.arle.ch/archives/ARLE/PisaComparatif.html

Extrait 1:

L'ambition de concilier des exigences élevées avec l'égalité des chances est poursuivie de façon conséquente: les effectifs des classes sont modestes (jusqu'à 20 élèves); deux maîtres se partagent la classe grâce à la présence fréquente d'assistants; le travail par petits groupes respectant les différents rythmes d'apprentissage des enfants est la règle. Et surtout, les écoles finlandaises organisent un appui individualisé pour tous les élèves en difficulté. Une gageure d'autant plus grande que la part des enfants recourant à ces soutiens augmente (en moyenne 17% l'an dernier à Helsinki). Même les cas "impossibles", comme dit un recteur, sont pris en charge à l'intérieur de l'école par des maîtres spécialisés. " Sans cette aide, les élèves en difficulté n'atteindraient pas les objectifs " (Jukka Sarjala, Président de l'Office central de l'enseignement à Helsinki)

Extrait 2:

Les conditions de possibilité d'un tel système

a) Budget

Une politique cohérente et durable qui attribue à l'éducation et à la recherche le rang de priorité nationale. Les budgets dévolus à ces tâches sont en tête des comparaisons internationales, et ils ne cessent de croître. Cela suppose des moyens importants: donc pas d'économies dans l'éducation. "Pour un peuple isolé par la géographie et une langue imperméable, l'éducation est une condition de survie", justifie Jukka Sarjala, le président de l'Office central de l'enseignement à Helsinki (OCE).

b) Culture

" La Finlande ne peut pas se permettre d'avoir des jeunes sans avenir. Notre population vieillit et nous ne devons compter que sur nous-mêmes. Car qui veut venir travailler sous nos latitudes, à la périphérie de l'Europe, avec nos hivers froids et sombres ainsi que notre langue impossible? Toutes nos forces vives comptent. " (Jukka Sarjala).

La population finlandaise en a parfaitement conscience, elle a développé une sorte de " culture des études " et ceci dès la prime enfance. La lecture fait partie de la culture familiale et les enfants savent pratiquement tous déjà lire à leur entrée à l'école obligatoire.

En Finlande, le facteur humain est décisif, les écoles et leur personnel sont responsabilisés au maximum. La confiance est soignée en même temps que les exigences sont élevées: les politiciens n'insultent jamais "l'école" publiquement, et le professionnalisme de ses serviteurs est une vertu cardinale. Les enseignants y jouissent d'un respect absolu.

c) Immigration

Le peuple finlandais est culturellement homogène, ce qui aide énormément. Le taux d'étrangers est très bas (2 %) et une partie d'entre eux est constituée de suédophones.

Remarque :

Aussitôt l'"école de base" achevée, la sélection rattrape les élèves. L'accès aux lycées, puis à l'université, donne lieu à une compétition nationale drastique.

Il me semble que d'autres facteurs peuvent expliquer ces résultats. Ce n'est pas l'Europe mais suffisamment proche culturellement pour qu'on puisse constater que la Nouvelle Zélande, qui a adopté dès les années 80 une politique éducative similaire, n'obtient pas les mêmes résultats, loin de là.

J'ai déjà cité les facteurs mis en avant dans le texte sur d'autres fils. Budget, effectifs, respect...

Il y a une section finlandaise dans mon école ; il est clair qu'un parent ne vient quasiment jamais mettre en doute le travail des profs. D'un autre côté, les parents ont une réel place à l'école : un matin un papa peut venir à l'école et dire qu'il vient passer la matinée en classe et pas de problème pour qui que ce soit !

Posté(e)

Pour répondre au fait que les PE ne disent rien, je suis en cm2 depuis 10 ans, et je mets quasi plus que les bulletins dans les dossiers, depuis des années et personnes ne ma jamais rien dit. L'an denier début juin en portant le tout, j'ai même ajouté ha Ben non moi y'a pas le dernier trimestre se sera fin juin! La secrétaire outrée me sort qu'ils (?) en ont besoin ensuite, que j'ai qu'à les envoyer après!!! ( je les donne aux gamins chaque année et personne n'a jamais rien vu)

Je ne mets pas le parcours culturel, ni les attestations etc.... Je rempli pas le LPC juste la grille simplifiée.

Et personne n'a jamais rien vu ni dit!!! Même que les profs nous disent on regarnît rien dautre que les ABCD que vous nous donner à la commission quand on fait les classes en juin!!!

Quant au après..... Vont jamais regarder les dossiers ensuite à moins d'un cataclysme!

Posté(e)

Pour répondre au fait que les PE ne disent rien, je suis en cm2 depuis 10 ans, et je mets quasi plus que les bulletins dans les dossiers, depuis des années et personnes ne ma jamais rien dit. L'an denier début juin en portant le tout, j'ai même ajouté ha Ben non moi y'a pas le dernier trimestre se sera fin juin! La secrétaire outrée me sort qu'ils (?) en ont besoin ensuite, que j'ai qu'à les envoyer après!!! ( je les donne aux gamins chaque année et personne n'a jamais rien vu)

Je ne mets pas le parcours culturel, ni les attestations etc.... Je rempli pas le LPC juste la grille simplifiée.

Et personne n'a jamais rien vu ni dit!!! Même que les profs nous disent on regarnît rien dautre que les ABCD que vous nous donner à la commission quand on fait les classes en juin!!!

Quant au après..... Vont jamais regarder les dossiers ensuite à moins d'un cataclysme!

On est bien d'accord. Et au final, tes élèves ne sont certainement pas plus mauvais que ceux dont le dossier était complet et en huit exemplaires.

Posté(e)

Pour répondre au fait que les PE ne disent rien, je suis en cm2 depuis 10 ans, et je mets quasi plus que les bulletins dans les dossiers, depuis des années et personnes ne ma jamais rien dit. L'an denier début juin en portant le tout, j'ai même ajouté ha Ben non moi y'a pas le dernier trimestre se sera fin juin! La secrétaire outrée me sort qu'ils (?) en ont besoin ensuite, que j'ai qu'à les envoyer après!!! ( je les donne aux gamins chaque année et personne n'a jamais rien vu)

Je ne mets pas le parcours culturel, ni les attestations etc.... Je rempli pas le LPC juste la grille simplifiée.

Et personne n'a jamais rien vu ni dit!!! Même que les profs nous disent on regarnît rien dautre que les ABCD que vous nous donner à la commission quand on fait les classes en juin!!!

Quant au après..... Vont jamais regarder les dossiers ensuite à moins d'un cataclysme!

On est bien d'accord. Et au final, tes élèves ne sont certainement pas plus mauvais que ceux dont le dossier était complet et en huit exemplaires.
C'est clair et j'ajouterai que j'ai guère de surprise quand arrive les bulletins des 6e ;)
Posté(e)

Ça me rappelle ma période rap des années collège !

Je me sens vieux. Ce sont mes élèves qui m'avaient fait écouter ça. :online2long:

Posté(e)

Quant à parler d'intégrisme, je n'ai aucune leçon à recevoir d'une personne qui considère que les problèmes de l'EN seront résolus si on lui confère une autorité sur ses collègues...

Bravo, du grand art dans le sophisme de bas étage : d'une part je ne donne pas de leçon (et surtout pas à un roquet) et d'autre part, j'ai écrit où que je voulais devenir calife à la place du calife ? Je n'y peux rien si tu ne supportes pas l'idée qu'un jour, les directeurs d'école obtiennent une reconnaissance autre que les coups de massue en permanence. Je comprends donc que, pour toi, dénoncer les dérives hiérarchiques c'est forcément vouloir à tous prix, devenir chef .... Je prends note, je la ressortirai celle-là, elle me fait trop rire.

J'ai été directeur, jamais pris de coup de massue... Mais je n'étais pas zélé, c'est tout. Toi, tu dis oui à tout pour mieux pouvoir obtenir le fameux statut que tu désires tant. n'est-ce pas toi qui un jour, a déclaré sur ce forum, qu'avec un statut, tu pourrais mettre au pas certains tire-aux-flancs ? Et je vais rester poli... car, le roquet... Enfin t'imagines la suite...

Oui, avec des personnes comme toi, j'ai de grosses craintes de voir émerger des chéfaillons, dès lors qu'un collègue ne sera pas d'accord avec la ligne que tu imposes...

Quant à ça, c'est carrément le pompon : on se connait ? Méfie-toi, il y a un post où tu dévoiles ton identité, et quand je serai chef, je serai très vilaine avec toi, puisque tu le dis....

Ce genre d'argument à deux balles est tellement nul qu'il en est drôle.

Je ne reprends que tes propos sur certains topics et je n'ai qu'à regarder tes commentaires pour me rendre compte qu'il vaut mieux être d'accord avec toi, ou alors on devient rapidement un roquet. On voit bien sur ce forum à quel point les adjoints peuvent donner leur avis...

Posté(e)

Le SNUipp n'a jamais fait négliger les conditions de travail des directeurs mais refuse le transfert de compétences que vous souhaitez voir aboutir entre les IEN et les directeurs. Le GDID n'est qu'un collectif soi-disant apolitique mais en fait ultra-politisé et proche de ceux qui depuis des années organisent le démantèlement de l'enseignement public

Voilà la preuve que tu n'y connais vraiment pas grand chose en matière argumentaire et tu mords plutôt que de ferrailler....

Et en plus, tu vires parano : le GDID noyauterait les forums !!!! Attention brave gens, EDP se Nord-Coréanise....

Fort heureusement, il y a aussi des gens avec qui on peut vraiment discuter chez Snoopy et qui savent très bien que les dirlos ne veulent surtout pas hériter des super-pouvoirs que Fredo45 brandit comme menace...

J'attends vraiment le post où il dira que je suis fasciste et que je vote FN, ça complètera le tableau.

Le point Godwin pour le coup, n'est pas loin !

En l'occurrence, c'est toi qui en parle, du point goodwin. En gros, tu les distribues et accuses les autres de le faire. Pas mal, mais ça ce n'est pas du sophisme... Et le fait que tu parles de Snoopy au lieu de SNUipp montre bien à quel point tu méprises ce syndicat. Alors, arrête donc de faire croire que tu y as des amis...

Posté(e)

Et donc, quand une circulaire et un décret s'opposent, c'est la circulaire qui a la priorité légale?

Wow, trop fort......

"Le décret de 1950, c'est un vieux serpent de mer sauf qu'il ne concerne pas les PE" : tu dois avoir raison, l'article 12 parle du personnel enseignant de l'école élémentaire, ce que n'est certainement pas le cas d'un PE.

Même si tu nous a expliqué précédemment "L'article 12 concerne les PE qui font office de PLC (et ils sont rares... Il y en a dans les programmes ECLAIR et je crois bien que ça s'arrête là)."

C'est beau la cohérence...............

Encore une fois, si je n'y vais pas tout seul, c'est que je trouve plus judicieux de débouler à 7000 avec l'appui des avocats d'un syndicat car l'enjeu porte sur des dizaines de millions.

Et même si cet article est abrogé dans le futur, on peut toujours revenir sur les 4 dernières années.

Il ne faudrait pas revenir sur les 4 dernières années mais sur les premières classes du type SEGPA et là, mais je n'en suis pas sûr, ça remonte aux années 70...

Pour le coup, plus haut, je m'étais trompé. Ecoute, je pense que les syndicats au niveau national, ont déjà étudié la question. Je pense que tu n'es pas le premier à leur faire remonter et s'ils disent (tous pas que le SNUipp) que l'on applique la circulaire et pas le décret, c'est qu'ils doivent avoir leur raison. Et ce n'est pas qu'ils s'en foutent complètement des SEGPA (d'ailleurs, chaque syndicat a des adhérents en SEGPA...).

Tu peux toujours dire ce que tu veux mais le décret a été écrit à une date où les classes spécialisées dans le secondaire n'existaient pas. Quand celles-ci ont été créées, une circulaire a été écrite.

Au passage, je te rappelle qu'un décret fixe le temps d'enseignement des enseignants du primaire (Décret n° 2008-775 du 30 juillet 2008). Et dès lors, pourquoi suivre davantage le décret de 1950 que celui de 2008 ?

Posté(e)

Fredo, toi qui connais parfaitement les couloirs du ministère, quelles sont les fonctions réelles des 5323 PE "autres fonctions pédagogiques et administratives"????

Là-dedans, il doit y avoir les postes adaptés (mais on peut les supprimer si ça te chante, ce serait très humain comme décision), il doit y avoir des postes de référents (langues vivantes, TICE par exemple) et les enseignants détachés... Après, les décharges syndicales sont-elles comptées dedans, je ne sais pas. J'irai demander à Vincent !

Posté(e)

Je me répète mais on ne peut pas imaginer ce qui se passe en collège tant qu'on n'y a pas mis les pieds... Le Socle date de 2005. Il a été très rapidement mis en place dans le 1er degré. Quand je vois l'opposition à laquelle doit faire face mon principal qui veut absolument le mettre en place dans mon collège (les ordres d'en haut doivent être de plus en plus pesants et menaçants), je ne peux m'empêcher de penser à mes collègues PE qui exécutent sans discuter les ordres de leur IEN, qui tentent d'appliquer sans discuter des programmes surréalistes, qui, demain, vont tenter silencieusement d'amortir le tsunami dévastateur que sera la refondation Peillon. Malgré tout c'est toujours sur eux que l'on tape, c'est vers eux que se retournent les profs de collèges, les parents, les médias à l'annonce des résultats de PISA. Pourtant, Pisa évalue des élèves de 15 ans qui sortent du collège et non pas des élèves qui sortent de CM2... Mais on s'acharne, ministère compris, sur les PE.

Lors de ma dernière inspection (je rappelle que je bosse en SEGPA donc en collège), j'ai expliqué à mon IEN que si un jour, je devais retravailler en CM2, je refuserai de compléter les milliers de paperasses, destinées à la liaison CM2-6ème. Elle a repris sa respiration et outrée, m'a affirmé que les dossiers étaient des outils indispensables pour les professeurs du collège. Je lui ai alors proposé de venir avec moi en salle des profs afin de demander qui savaient où se trouvaient ces dossiers dans l'établissement. Elle m'a dit qu'elle n'était pas venu pour ça et a refusé l'expérience... Je ne prenais aucun risque car sauf cas lourd et très exceptionnel, aucun prof ne va mettre le nez dans ces dossiers que les PE ont rempli consciencieusement pendant des heures... Je ne mets pas en cause les PLC qui ont leurs difficultés mais le système et nos dream teams des circos qui imposent un travail lourd et totalement inutile... Qui se révolte contre ça???Personne. C'est typiquement le boulot qu'on n'osera jamais proposer aux PLC car le refus serait cinglant et la révolte sanglante... Je vous assure, un monde sépare le 1er degré et le 2nd degré.

Pour imaginer ce qui se passe dans le primaire, il faut y avoir mis les pieds depuis au moins 2005. Le socle commun, je n'ai pas l'impression qu'il soit réellement mis en place. Je ne connais pas d'enseignants qui fonctionnent en se disant qu'ils vont faire un programmes pour les nuls et un autre pour les bons... Donc il y a des résistances même si certains remplissent désormais le LPC. Mais changent-ils leur pédagogie pour autant ?

Enfin, nous sommes encore nombreux à ne pas les remplir et à mettre uniquement dans le livret scolaire nos bulletins. Je ne remplis pas et mon IEN ne m'est pas encore tombée dessus. Et si elle le fait, qu'est-ce que ça va me faire ? Un deuxième trou du cul ? Certainement pas !

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