Aliceane Posté(e) 1 janvier 2014 Posté(e) 1 janvier 2014 Cpette, donc tout cela c'est une seule et même séquence finalement ? Tu les trouves où les fiches Nathan ? Je vais commencer le cahier d'écriture à la rentrée aussi mais je ne sens pas mes élèves prêts.
tiniouu Posté(e) 1 janvier 2014 Posté(e) 1 janvier 2014 Si tu veux vraiment trouver une séquence là dedans, tu peux faire une séquence "boucles": - 1° séance: boucles enchaînées de taille libre sur feuille A3 au feutre. - 2° séance: boucles alternées en hauteur à la craie grasse sur feuille A3. - 3° séance: boucles enchaînées entre 2 lignes (graph déco la sorcière) - 4° séance: boucles alternées entre 2 lignes. - 5/6° séances: alternées boucles de plusieurs tailles entre 2 lignes: fiches Nathan. (c'est un coffret, écriture niveau 2, je crois...) - 7° séances: écriture de petits mots: le, elle. Ensuite tu peux faire une grosse séance: ponts et pointes. Tout n'est juste question que de vocabulaire, car dans les faits, tu les entraînes à faire des boucles, des pointes, des ponts, des mélanges, etc... POURQUOI commencer le cahier d'écriture à la rentrée si tu ne sens pas tes élèves prêts????????????????? Ici, je commence en P5, je crois. Beaucoup d'entraînement de tout genre avant. Cette année, je pense que je vais commencer plus tôt avec mon groupe de plus avancés, et en P5 avec les autres. Nul besoin de speeder, ils auront bien le temps de faire des lignes en CP. Une petite remarque, une constatation avec le temps qui passe.... Je fais de plus en plus de "dessin dirigé" (par ex, on dessine un clown, on dessine un sapin, un esquimau, le Père Noël, etc...). Dessiner le père Noël de la même façon que mon modèle mobilise certainement autant de compétences que d'apprendre à écrire en cursive. (Faire un rond de la bonne taille pour la tête, ni trop grand ni trop petit, à la bonne distance du haut de la feuille pour laisser la place de faire un bonnet, etc...) Alors, on s'entraîne à écrire en cursive parce que c'est écrit dans les programme, mais on dessine aussi, on colorie aussi!
tiniouu Posté(e) 1 janvier 2014 Posté(e) 1 janvier 2014 Encore une rq. Le plus dur est de lier les lettres. Pas d'apprendre à les tracer une par une. Je commence par e l i u t m n c a o d Avec ça, il y a déjà matière à écrire plein de petits mots. Ensuite papa, maman, les jours de la semaine....
enviedespoir Posté(e) 2 janvier 2014 Posté(e) 2 janvier 2014 J’ai lu tes propositions Cpette, et tes observations, Alicéane, par ailleurs, j’ai bien noté, Afte, que tu as écrit ‘’à part la méthode Dumont’’. Donc je vais rester au plus près de ce qui a été écrit., Comme, Cpette , tu écris que ‘’le plus dur est de lier les lettres’’ et que, Aliceane, tu écris pour ta part que ‘’tu ne sens pas tes élèves prêts’’ alors il me semble nécessaire d’apporter quelques brefs éclaircissements sur le lien entre les difficultés à lier les lettres et tes propositions Cpette. Tout d’abord la verbalisation du tracé (c’est-à-dire l’énoncé de la trajectoire que suit le crayon sur la feuille) puis le dessin dirigé tel qu’il est présenté ici, me semblent propres à entretenir une confusion entre dessin et écriture : ils risquent de donner à l’enfant l’impression qu’on dessine des lettres. Mais non, écrire ce n’est pas dessiner des lettres. Cette confusion risque de focaliser l’attention de l’enfant sur le ‘’dessin de la lettre’’, gênant par là la perception implicite d’une relation graphophonologique, gênant aussi la perception que l’écriture cursive ne comporte que sept formes qui s’aménagent entre elles, gênant enfin la fluidité du geste puisqu’ainsi écrit, le mot - et pour certains enfants la lettre - ne peut pas être perçu d’emblée comme un tout. C’est cette perception du mot comme un tout qui facilite la liaison entre les lettres - En procédant ainsi que tu le décris, tu freines l’accès à la fluidité du geste – le geste ne pouvant alors être fluide qu’après de nombreuses répétitions des mêmes mots (ce qui n’offre pas d’intérêt s’ils le sont en lignes) ‘’autant de fois que nécessaire’’. Deux autres remarques par ailleurs – qui renvoient aux deux mêmes observations : ‘’le plus dur est de lier les lettres’’, ‘’les enfants ne sont pas prêts’’ - : - Tu dis, Cpette, que le choix des mots n’est qu’une question de vocabulaire : ‘’Tout n'est juste question que de vocabulaire, car dans les faits, tu les entraînes à faire des boucles, des pointes, des ponts, des mélanges, etc...’’, ce qui peut aussi laisser sous-entendre que l’ordre est aléatoire (d’ailleurs tu places le rond après le pont et tu intègres l'écriture du prénom alors même que toutes les lettres qui le composent ne sont pas forcément apprises). Si, Cpette, tu souhaites ne plus te retrouver avec des problèmes de liaison et si, Alicéane, tu souhaites aussi faire avancer les enfants rapidement [g]et [/g] dans de bonnes conditions alors tu gagnes à comprendre qu’il existe une logique liée intrinsèquement au système d’écriture des minuscules latines actuelles et que la terminologie elle-même peut être explicative. - Penser l'écriture en terme de gestes, c'est à dire au pluriel (''le s geste s de l 'écriture'') au lieu de geste au singulier (le geste d'écriture) risque d'occulter l'idée que l'écriture est une question de programme moteur. Puisqu’il s’agit juste de répondre aux deux constats rappelés ci-dessus, je donne ici un seul exemple, celui du début de la progression : en utilisant le mot juste ‘’étrécie’’ au lieu de pique, pointe, pointu, ou encore coupe que j’utilisais précédemment, et en comprenant que l’étrécie est la première dérivée de la boucle, alors tu peux expliquer aux enfants que l’étrécie s’obtient en étrécissant le plus possible la boucle, c’est-à-dire en la rendant la plus étrécie, la plus étroite, la plus maigre possible.
afte Posté(e) 2 janvier 2014 Auteur Posté(e) 2 janvier 2014 "... tu intègres l'écriture du prénom alors même que toutes les lettres qui le composent ne sont pas forcément apprises)" Je m'interroge du coup :/ : Je ne peux pas commencer l'écriture du prénom sans que toutes les lettres soient apprises? Faut il vraiment que nous ayons vu toutes les lettres pour commencer l'apprentissage de l'écriture du prénom?
laflo03 Posté(e) 2 janvier 2014 Posté(e) 2 janvier 2014 "... tu intègres l'écriture du prénom alors même que toutes les lettres qui le composent ne sont pas forcément apprises)" Je m'interroge du coup :/ : Je ne peux pas commencer l'écriture du prénom sans que toutes les lettres soient apprises? Faut il vraiment que nous ayons vu toutes les lettres pour commencer l'apprentissage de l'écriture du prénom? Je pense que tu prends le problème à l'envers. Pourquoi ne pas apprendre les lettres puis au fur et à mesure de l'avancée tu abordes le prénom. Le prénom n'est qu'un mot parmi tant d'autres que tu peux écrire avec un ensemble de lettres données. Le prénom est un objectif de fin d'année donc tu as tout le temps de suivre ta progression dans l'apprentissage du tracé des lettres. Il sera d'autant plus facile pour tes élèves de former et lier les lettres de leur prénom.
tiniouu Posté(e) 2 janvier 2014 Posté(e) 2 janvier 2014 Enviedespoir, je relirai ton message plus tard, sérieusement, car je passe rapidement. Une remarque sur l'écriture du prénom, je la fais au fur et à mesure, avec des élèves choisis. C'est à dire que ceux qui sont bien avancés, et bien, je leur apprends à écrire leur prénom en leur apprenant à écrire les lettres qu'ils ne connaissent pas encore. Les autres, je les prends plus tard (je fais ça à l'accueil du matin, donc ça n'avance pas "très vite".) L'essentiel est que l'enfant en question ait appris, lui, les lettres nécessaires....(Par ex, celui qui a un "k" dans son prénom...il faut bien lui apprendre à le tracer, puisque, de toutes façons, je n'apprends pas à tracer toutes les lettres à mes élèves! Bon, je viens de relire...et j'avoue que je ne comprends pas tout à fait le sens de ton intervention... Je fais effectivement les boucles, puis étrécies (je dis pointes à mes élèves, mais avais déjà bien suivi ton raisonnement sur le fait que ça soit un "rétrécissement" de la boucle), puis ponts, puis c/a/d/o. Non, l'ordre n'est pas aléatoire, je le fais dans cet ordre là. En même temps, je m'attache à leur faire lier les lettres... Pour les boucles, ça va. Idem pour les étrécies. (Enchaîner puis varier les tailles tout en enchaînant.) Ensuite, pour les ponts, il faut s'entraîner à mêler des n et des m... Si j'ai bien compris, tu préfères qu'on nomme les lettres plutôt que de verbaliser le tracé? Le fait de verbaliser aide, je trouve, à repérer les difficultés. Je ne comprends pas pourquoi tu dis "gênant aussi la perception que l'écriture cursive ne comporte que sept formes qui s'aménagent entre elles". Justement, en nommant les (je ne sais pas comment tu les appelles, ah, bien, si, les formes) formes, les enfants voient effectivement que ce sont ces formes qui se répètent sans cesse et qui font les lettres. Quand je dis "tout n'est question que de vocabulaire"!!!!! c'était pour répondre à la question d'Aliceane qui demandait si en fait, tout ça n'était qu'une seule séquence. Je parlais du vocabulaire "séquence", et pas du vocabulaire des gestes d'écriture! Est-ce que tu pourrais me dire, du coup, simplement, ce que tu penses que je devrais changer dans ma façon de faire pour que ça soit plus facile pour mes élèves, ou moins "incorrect" selon toi? (Parce qu'à vrai dire, je pratique de cette façon depuis plusieurs années, et ça se passe relativement bien!)
classedemarie Posté(e) 2 janvier 2014 Posté(e) 2 janvier 2014 J'ai trouvé "Conseils pour un enseignement de l'écriture cursive aux enfants de 3 à 7 ans" sur http://ecoles.ac-rouen.fr/montivi/siteressources/file/graphisme/enseignement_ecriture.doc et franchement je le recommande.
stf_school Posté(e) 3 janvier 2014 Posté(e) 3 janvier 2014 Bonjour à tous, j'ai une classe de GS. Pour le moment, j'ai mis en place depuis le début de l'année une grande révision des principaux signes graphiques qui vont servir à l'écriture en cursive mais le stress monte car nous allons arriver en Janvier et je n'ai toujours pas commencé l'écriture de manière concrète. Auriez vous des méthodes ou des progressions à me conseiller? (à part Dumont) Merci Moi j'utilisais Jean Qui Rit : http://id2profs.blogspot.fr/search/label/JEAN%20QUI%20RIT Les lettres sont rythmées et chantées.
enviedespoir Posté(e) 3 janvier 2014 Posté(e) 3 janvier 2014 En réponse à cpette, page précédente "Enviedespoir, je relirai ton message plus tard, sérieusement, car je passe rapidement. « Une remarque sur l'écriture du prénom, je la fais au fur et à mesure, avec des élèves choisis. C'est à dire que ceux qui sont bien avancés, et bien, je leur apprends à écrire leur prénom en leur apprenant à écrire les lettres qu'ils ne connaissent pas encore. Les autres, je les prends plus tard (je fais ça à l'accueil du matin, donc ça n'avance pas "très vite".) L'essentiel est que l'enfant en question ait appris, lui, les lettres nécessaires....(Par ex, celui qui a un "k" dans son prénom...il faut bien lui apprendre à le tracer, puisque, de toutes façons, je n'apprends pas à tracer toutes les lettres à mes élèves! » Je comprends. Et c’est logique dans le mode d’enseignement que tu as choisi. En revanche, sauf si tu procèdes ainsi tout à la fin de l’apprentissage (c’est-à-dire lorsque les enfants ont déjà vu la boucle – donc e et l, peut-être f aussi -, l’étrécie - donc i, u et t peut-être b aussi, le rond donc c = rond pas fermé, o = rond suivi d’une attaque de grande boucle à sa fermeture, a = rond fermé par une petite étrécie, d = rond fermé par une grande étrécie, le pont donc n = deux ponts et une finale en attaque d’étrécie, m = trois ponts et une finale en attaque d’étrécie, r = une attaque de grande boucle, un pont et une finale en attaque d’étrécie, h même chose que r mais avant une grande boucle entière et le relai entre grande boucle et pont avant d’arrivée à la ligne) ce n’est pas logique au regard de ce qu’est le système d’écriture. En effet, d’une part, si tu procèdes de cette façon tu prends chaque enfant à part, l’enfant peut donc comprendre que l’écriture est quelque chose de propre à chacun, qu’il n’y a pas de lien entre l’écriture du prénom de l’un et l’écriture du prénom de l’autre, cela le conforte dans l’idée que l’écriture représente l’objet (conception naturelle chez le jeune enfant, mais erronée). D’autre part, en procédant ainsi - sauf en fin d’apprentissage - tu ne peux pas suivre une progression logique de l’apprentissage de l’écriture. Prenons le prénom Lara. Pour une progression logique, l’enfant doit avoir vu au moins la boucle et l’étrécie avant le rond, sinon tu ne peux pas lui expliquer et lui montrer que la lettre a est formée d’une rond fermé part une petite étrécie. Prenons l’exemple du prénom Louis, l’enfant doit au moins avoir vu le pont pour lui expliquer que le s est formé d’une attaque de grande boucle et d’un pont refermé. « Bon, je viens de relire...et j'avoue que je ne comprends pas tout à fait le sens de ton intervention... » Comme je l’ai annoncé, je suis intervenue en réponse à deux observations : une que tu as faite ‘’ le plus dur est de lier les lettres’’, et une faite par Aliceane ‘’je ne sens pas mes élèves prêts’’ : en procédant de façon aléatoire - cf. ci-dessous - les lettres sont plus difficile à lier, en procédant de façon logique l’apprentissage est facilité donc va plus vite. « Je fais effectivement les boucles, puis étrécies (je dis pointes à mes élèves, mais avais déjà bien suivi ton raisonnement sur le fait que ça soit un "rétrécissement" de la boucle), puis ponts, puis c/a/d/o. Non, l'ordre n'est pas aléatoire, je le fais dans cet ordre là. » Il vaut mieux dire étrécissement que rétrécissement pour faire la différence entre rétrécissement qui affecte l’ensemble de la lettre ( comme le jean qui rétrécit dans la machine à laver) et l’étrécissement qui affecte uniquement sa largeur (pas sa hauteur). J’ai bien compris que tu as déterminé un ordre de progression et que tu t’y tiens J. Je dis que la progression boucle, étrécie, pont, c, a, d, o est aléatoire dans le sens où elle ne répond pas à une logique d’écriture des minuscules mais uniquement à un choix personnel. Si on suit la logique, le rond précède le pont puisque c’est une dérivée de la boucle (changement de lieu d’attaque), alors qu’avec le pont on change d’unité (boucle = 1ère unité = se dirige vers la droite d’un mouvement concave) (pont = 2ème unité = se dirige vers la droite d’un mouvement convexe) Elle est aléatoire aussi dans le sens où, si on suit la logique de progression, la lettre o précède la lettre a puisqu’elle est formée d’un rond et à sa fermeture d’une attaque de grande boucle, la boucle étant la forme de base de 1ère unité (o= rond avec à sa fermeture une attaque de grande boucle) alors que la lettre a est formée d’un rond fermé par une dérivée de la boucle (a = rond fermé par une petite étrécie). « En même temps, je m'attache à leur faire lier les lettres... Pour les boucles, ça va. Idem pour les étrécies. (Enchaîner puis varier les tailles tout en enchaînant.) » Ne varie qu’en fonction de ce qui existe dans l’écriture, sinon tu vas perdre les enfants : une petite boucle, une grande boucle, une boucle en bas toujours assortie de sa boucle en haut (pour le f). Evite plus de deux grandes boucles successives. « Ensuite, pour les ponts, il faut s'entraîner à mêler des n et des m... Si j'ai bien compris, tu préfères qu'on nomme les lettres plutôt que de verbaliser le tracé? Le fait de verbaliser aide, je trouve, à repérer les difficultés ». Selon moi, il vaut mieux que l’enfant puisse saisir directement ce que sont la fonction et le fonctionnement de l’écriture (la fonction = exprimer du sens) (le fonctionnement = fonctionnement graphophonologique qui renvoie à une image sonore évoquant, dans un contexte donné, un objet). Je propose qu’on apprenne la forme de base de 1ère unité = la boucle hors écriture et en évitant les lignes de boucles sauf pour des motifs décoratifs. Je propose qu’ensuite on parte de là pour écrire directement les mots ‘’le’’ et ‘’elle’’ en situation , toujours en situation, et qu’ensuite on aborde les lettres par le biais des formes qui les composent en suivant l’ordre de progression dictée par le système lui-même (cf. sur mon site la séance ‘’écrire c’est facile’’ pour les CP) et qu’à chaque fois la lettre soit immédiatement incluse dans des mots qu’on met en situation ce qui oblige l’enfant à réfléchir car il ne peut pas écrire n’importe quoi. « Je ne comprends pas pourquoi tu dis "gênant aussi la perception que l'écriture cursive ne comporte que sept formes qui s'aménagent entre elles". Justement, en nommant les (je ne sais pas comment tu les appelles, ah, bien, si, les formes) formes, les enfants voient effectivement que ce sont ces formes qui se répètent sans cesse et qui font les lettres. » J’avais répondu à l’idée de verbaliser, puisque tu avais écrit ‘’’verbaliser’, ce qui diffère de nommer (cf. l’article sur la question sur mon site). Verbaliser c’est mettre en verbes : je fais ceci, je fais cela. Nommer c’est mettre en noms : c’est ceci, c’est cela. Oraliser, c’est passer à l’oral : c’est donc déchiffrer pour lire. S’il s’agit de nommer les formes par leur nom, ce n’est pas du tout la même chose que de verbaliser, c’est-à-dire essayer de décrire le chemin suivi par le crayon sur le papier. C’est cela qui représente une gêne. Il est plus simple et plus facile d’apprendre aux enfants les formes à partir des processus formateur dans l’ordre logique de progression. « Quand je dis "tout n'est question que de vocabulaire"!!!!! c'était pour répondre à la question d'Aliceane qui demandait si en fait, tout ça n'était qu'une seule séquence. Je parlais du vocabulaire "séquence", et pas du vocabulaire des gestes d'écriture! » OK, comme on m’avait déjà dit cela dans le sens où je l’ai interprété, j’ai cru que c’était ce que tu voulais dire… "Est-ce que tu pourrais me dire, du coup, simplement, ce que tu penses que je devrais changer dans ma façon de faire pour que ça soit plus facile pour mes élèves, ou moins "incorrect" selon toi? (Parce qu'à vrai dire, je pratique de cette façon depuis plusieurs années, et ça se passe relativement bien!) Suivre la logique de progression des minuscules cursives Introduire les formes par la description de leur processus de formation . Pour le reste je ne sais pas car je ne sais pas comment tu travailles, mais je peux te dire en quelques mots ce que je propose : - enseigner hors écriture --- le lieu d'attaque et le sens de rotation de la boucle puis toutes les étapes jusqu'à la formation des boucles sur papier --- les contingences spatiales de l'écriture (gestion dynamique de l'espace graphique --- la tenue et le maniement du crayon - travailler le tout et l'écriture elle-même en transversalité de façon à multiplier les entrées et à donner le plus possible de sens à l'écrit Désolée pour la longueur du message.
tiniouu Posté(e) 5 janvier 2014 Posté(e) 5 janvier 2014 Merci enviedespoir pour le temps que tu as passé à répondre à mes questions. Je réfléchis à tout ça!
afte Posté(e) 12 janvier 2014 Auteur Posté(e) 12 janvier 2014 Encore une interrogation... Est ce qu'il vaut mieux que je commence l'écriture de mots directement (même si forcément toutes les lettres n'auront pas été vues) ou bien alors vaut il mieux faire lettre par lettre????
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