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ULIS SEGPA


zenette40

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vi à suivre... le nombre de rapports qui sont géniaux, bien faits, et concrets et débouchent sur... rien du tout, pffff !

Après, aux enseignants d'Ulis qui passeraient dans le coin (mais j'ai déjà l'avis de la coordinatrice Ulis dans mon collège sur me sujet) : si on inclut les élèves d'Ulis en Segpa, pourquoi ne sont-ils par orientés directement en Segpa ?

Pour la même raison qui fait que des élèves d'ULIS ont des temps d'inclusion en classe ordinaire ( 6ème à 3ème) mais n'y sont pas orientés directement. Les passerelles ULIS/Segpa peuvent être des projets très cohérents pour certains élèves à condition que ce ne soit pas des orientations déguisées. Et puis, ne pas oublier comme cité précédemmnent que ce ne sont pas les mêmes décideurs (MDPH/CDOEA).

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On n'a donc pas les mêmes élèves... j'ai 3 à 4 élèves MDPH par classe de segpa, d'autres suivis par le Sessad (parfois les mêmes ), d'autres avec AVS, des élèves avec maladie aussi, etc.

Je faisais des échanges réguliers avec la collègue d'ULIS avant que cela ne nous interdit, sous différentes formes : inclusion, décloisonnement, projets à deux classes, etc. Il n'y avait pas vraiment de différence, sauf pour les élèves avec lesquels la collègue bossait au palier 1 (ce sont des raccourcis pour être plus rapide, ce n'est jamais si simple). Elle avait d'autres élèves bien meilleurs que les nôtres, et pour eux, je vois aussi l'intérêt de l'inclusion collège. Mais la plus grande partie de ses élèves étaient proche des nôtres, et d'ailleurs très souvent frère/soeur, cousin/cousine, oncle/nièce, avec des choix des familles plus pour séparer les mômes...

Je vois bien l'intérêt de l'inclusion pour les ateliers, ou pour reprendre confiance sur un temps court, mais pour le reste ? (c'est une vraie question, parce que curieuse de savoir, pas une remarque désobligeante de ma part au passage).

Si l'élève peut suivre en segpa où notre boulot c'est d'adapter à chacun, donc où il n'y a pas "un" niveau (même si on vise le palier 2, sachant que pour une partie des élèves, ce sera déjà difficile), pourquoi n'y est-il pas ?

Je sais que je me répète, :scratch: mais vraiment, tels que sont faites les orientations chez nous depuis 3 ou 4 ans, la différence est vraiment mince si on ne se base que sur les niveaux scolaires (et les autres éléments sont désormais présents dans l'une ou l'autre classe)

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On n'a donc pas les mêmes élèves... j'ai 3 à 4 élèves MDPH par classe de segpa, d'autres suivis par le Sessad (parfois les mêmes ), d'autres avec AVS, des élèves avec maladie aussi, etc.

Je faisais des échanges réguliers avec la collègue d'ULIS avant que cela ne nous interdit, sous différentes formes : inclusion, décloisonnement, projets à deux classes, etc. Il n'y avait pas vraiment de différence, sauf pour les élèves avec lesquels la collègue bossait au palier 1 (ce sont des raccourcis pour être plus rapide, ce n'est jamais si simple). Elle avait d'autres élèves bien meilleurs que les nôtres, et pour eux, je vois aussi l'intérêt de l'inclusion collège. Mais la plus grande partie de ses élèves étaient proche des nôtres, et d'ailleurs très souvent frère/soeur, cousin/cousine, oncle/nièce, avec des choix des familles plus pour séparer les mômes...

Je vois bien l'intérêt de l'inclusion pour les ateliers, ou pour reprendre confiance sur un temps court, mais pour le reste ? (c'est une vraie question, parce que curieuse de savoir, pas une remarque désobligeante de ma part au passage).

Si l'élève peut suivre en segpa où notre boulot c'est d'adapter à chacun, donc où il n'y a pas "un" niveau (même si on vise le palier 2, sachant que pour une partie des élèves, ce sera déjà difficile), pourquoi n'y est-il pas ?

Je sais que je me répète, :scratch: mais vraiment, tels que sont faites les orientations chez nous depuis 3 ou 4 ans, la différence est vraiment mince si on ne se base que sur les niveaux scolaires (et les autres éléments sont désormais présents dans l'une ou l'autre classe)

" j'ai 3 à 4 élèves MDPH par classe de segpa, d'autres suivis par le Sessad (parfois les mêmes ), d'autres avec AVS" : ils sont forcément tous MDPH (sessad et AVS sont des décisions MDPH).

Le partenariat ULIS/Segpa existe mais souvent dans un sens puisque les élèves d'ULIS peuvent avoir des temps d'inclusion en Segpa (réglementairement, ce n'est pas interdit même si c'est rare dans la pratique) mais les élèves de segpa ne peuvent pas aller en ULIS puisqu'il faut une notification MDPH (mais j'ai déjà vu des élèves de segpa suivre certaines matières en ULIS, ponctuellement).

La difficulté vient de "si l'élève peut suivre en segpa". Ce n'est pas différent d'une classe ordinaire : un élève peut suivre certaines matières, ou un certains nombres d'heures mais pas un temps complet.

l'orientation ULIS ou segpa n'est pas toujours évidente : niveau scolaire, QI, capacité à vivre dans un groupe de 16 sans AVSco ou pas etc...

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parce que pas la culture collège, donc quand l'IEN a rappelé aux principaux que pas d'inclusion Segpa, tous les boulots à 2 sont passés à la trappe : ils ne voyaient pas la différence (mais on n'a pas dit notre dernier mot)

D'autant qu'avec le nombre d'inclusion collège selon les niveaux qu'avaient les élèves de l'ULIS, ça finissait par ressembler à deux PE pour 16 segpa + 2 ou 3 Ulis, et ça ne plaisait pas à la principale adjointe qui trouvait qu'on abusait des ressources en personnel réservés à ses élèves d'Ulis...

Côté atelier, ici, ce sont les profs d'atelier qui freinent des quatre fers. Pour des raisons valables d'une part (ateliers conçus pour 8 élèves, donc tout ajout met à mal la sécurité... par exemple) et pour des raisons moins valables ("ils ne vont pas suivre"... sous-entendu "pourquoi j'adapterai" ;-) ) mais suis méchante langue

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Moi j'ai entendu un IEN ASH dire : il faut favoriser l'inclusion en milieu ordinaire et la segpa, c'est le milieu ordinaire. Donc inclusions faisables (si cohérentes bien entendu). Pour les ateliers (et c'est ce qui est souvent recherché comme inclusion), c'est vrai que cela pose d'autres problèmes (sans être méchante langue...). Mais de là à interdire les projets communs !!!!!!!

En tout cas, c'est vrai qu'il est parfois difficile de savoir si c'est la segpa ou l'ulis qui sera mieux pour un élève, d'où l'importance de permettre le partenariat.

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