framboisine Posté(e) 7 mars 2014 Posté(e) 7 mars 2014 Bonjour, Faites-vous grève le 18 mars? http://www.snuipp.fr/18-mars-la-fonction-Publique-en http://www.sudeducation.org/18-mars-greve-public-prive-contre.html
benur Posté(e) 8 mars 2014 Posté(e) 8 mars 2014 Non, ras le bol de perdre une journée de salaire en moins pour aucun résultat.
3caille Posté(e) 8 mars 2014 Posté(e) 8 mars 2014 Ils sont bien braves..... qu'ils nous défendent déjà correctement sur cette ânerie de rythmes où on va perdre du pouvoir d'achat ......ce serait bien plus malin. Ce sera sans moi cette grève là...... chacun ses priorités comme disait un des syndicalistes majoritaires de par chez moi !
Yves4238 Posté(e) 8 mars 2014 Posté(e) 8 mars 2014 Je ferai grève, même si les mots d'ordre sont trop confus. Je préfère les grèves qui ont une seule et même cible.
nola Posté(e) 8 mars 2014 Posté(e) 8 mars 2014 Oui. http://www.sudeducation.org/Rythmes-scolaires-rien-n-est-regle.html
Polythene Pam Posté(e) 8 mars 2014 Posté(e) 8 mars 2014 La date n'est pas très judicieuse si je peux me permettre : la zone A reprend la classe le17 mars..... Alors oui, il y a les élections le dimanche suivant. N'empêche....
Paul Getty Posté(e) 8 mars 2014 Posté(e) 8 mars 2014 Ah, il n'y a jamais de date "judicieuse" pour faire grève... J'en serai quand même. Et pour ceux-celles qui ne suivent pas les liens de nola : ____________________________________________________________ Rythmes scolaires : rien n’est réglé ! Communiqué intersyndical du 21 février 2014 Depuis un an les nombreuses grèves des enseignants avec les agents territoriaux, notamment en février, novembre et décembre 2013, ont exprimé le refus des personnels de voir le décret du 24 janvier 2013 sur les rythmes scolaires être mis en œuvre. Aujourd’hui, quoiqu’en dise Vincent Peillon, rien n’est réglé pour les communes qui ont mis en œuvre la réforme en septembre 2013, celles qui devraient l’appliquer en 2014 ainsi que pour les personnels enseignant-e-s et non enseignant-e-s qui la subissent. Rythmes scolaires : rien n’est réglé !La mise en œuvre de la réforme confirme la confusion entre le scolaire et le périscolaire, l’utilisation inappropriée des locaux scolaires par des personnels parfois non habilités et souvent en nombre insuffisant, l’inégalité territoriale, les risques évidents de transferts des missions de l’État vers les collectivités territoriales... Elle confirme aussi les problèmes d’organisation des remplacements et des compléments de temps partiel. C’est une dégradation des conditions de travail des personnels et un risque d’annualisation pour de nombreux collègues. C’est inacceptable ! Nos syndicats ont exigé à plusieurs reprises, à tous les niveaux « la suspension de cette réforme et l’ouverture immédiate de discussion pour une autre réforme » sans résultats. Dans de nombreux départements les personnels à l’initiative de nos organisations continuent de se mobiliser pour demander la suspension, l’abrogation ou le retrait du décret du 24 janvier. Si 1 800 communes ont signifié leur refus de mettre en place la réforme en 2014, plusieurs milliers de communes n’ont pas rendu de projet aux vues des difficultés rencontrées. Dans le même temps nos organisations ont adopté des vœux communs en ce sens dans de nombreuses instances statutaires.Tout le monde constate que le mécontentement des enseignants et des personnels territoriaux est grand et qu’aucune réponse du ministre ne leur est apportée. Les enseignants et les personnels territoriaux le disent : cette réforme dégrade les conditions de travail de tous les personnels et les conditions d’apprentissage et d’accueil de tous les élèves.Les personnels territoriaux et d’animation refusent déqualification et précarisation dans un cadrecontraint de réduction des dépenses publiques Le ministre doit maintenant entendre les personnels.Nos organisations expriment, à nouveau, leur total soutien aux initiatives prises dans les départements pour exiger l’abrogation du décret Peillon. Les syndicats FNEC-FP-FO ; SPS-FO ; CGT-Educ’action ; CGT services publics ; SUD-éducation ; SUD Collectivités territoriales décident de s’adresser au ministre pour exprimer leur volonté que la réforme des rythmes scolaires soit remise à plat par le retrait du décret du 24 janvier. Le ministre doit répondre aux personnels.Ils inscrivent leurs revendications sur la question des rythmes dans le cadre de la journée de grève interprofessionnelle du 18 mars en opposition aux politiques d’austérité, pour la défense de la Sécurité sociale, des services publics, des conditions de travail et des salaires Les organisations décident de maintenir le cadre d’action commune pour envisager les suites à donner à leurs revendications. Montreuil, le 21 février 2014
en plein buggg! Posté(e) 8 mars 2014 Posté(e) 8 mars 2014 Que faire...? Ici on est déjà aux 4,5 jours après des jours et des jours de grève l'an passé...POur rien... Dégouté... Et qu'est ce que ça changera? Les animateurs ont été engagés à tour de bras et tout a été organisé, le fric distribué. Qui croira que ça peut revenir en arrière?
Sarri Posté(e) 8 mars 2014 Posté(e) 8 mars 2014 Les 4,5 jours ont toujours été et restent une demande très claire du SNUIPP. Eux n'appellent pas à la grève pour la suppression des 4,5 jours...
giga Posté(e) 8 mars 2014 Posté(e) 8 mars 2014 Non ... par contre, j'irai là : Les gilets jaunes et le SNE-FGAF ne baissent pas les bras ! TOUS ENSEMBLE CONTRE LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES ! 15 mars 15h Paris (Jardin du Luxembourg) 16mars 10h Marseille (Esplanade du Vieux Port) L'Association des Gilets Jaunes (lien), collectif apolitique regroupant des parents, des professeurs, des ATSEM, des animateurs, des territoriaux, propose une manifestation dont le seul enjeu est le bien-être de l'enfant, avec le SNE-FGAF (lien) affirmant et réaffirmant encore leur opposition à une réforme des rythmes scolaires dont les problèmes auraient dû disparaître d'eux-mêmes faute de solution ! Les gilets jaunes et le SNE-FGAF revendiquent le maintien raisonné du dispositif actuel dans le respect le plus strict des apprentissages fondamentaux, mission essentielle de l'Ecole. Les grèves des 14 novembre et 5 décembre ont été massivement suivis.Mais le ministre n'entend pas et ne voit en aucun cas les inégalités territoriales mises en avant. - Le SNE-FGAF et les Gilets Jaunes défendent une école gratuite et égalitaire ! - Le SNE-FGAF et les Gilets Jaunes défendent une école publique Nationale, garante de gratuité, de laïcité et d'égalité ! - Le SNE-FGAF et les Gilets Jaunes revendiquent une amélioration des conditions d'apprentissage des élèves ! STOP A LA DESORGANISATION "PEILLON" ! STOP AU DESENGAGEMENT DE L'ETAT ! Rejoignez notre mobilisation citoyenne, pacifique et apolitique !
gihem Posté(e) 9 mars 2014 Posté(e) 9 mars 2014 Les gilets jaunes et le SNE-FGAF revendiquent le maintien raisonné du dispositif actuel dans le respect le plus strict des apprentissages fondamentaux, mission essentielle de l'Ecole. Est-ce qu'on pourrait m'expliquer cette phrase parce que pour moi c'est assez obscur.
giga Posté(e) 9 mars 2014 Posté(e) 9 mars 2014 Je ne connais pas assez ce (petit ?) syndicat qui est en train de prendre de l'ampleur dans mon département ... Je te renvoie à leur site : http://www.sne-csen.net/PETITION-POUR-LE-MAINTIEN-RAISONNE-DE-LA-SEMAINE-DE-QUATRE-JOURS_a199.html extrait : Le SNE-FGAF exige Le maintien de la semaine de quatre jours et l’évaluation de son fonctionnement SUR LE TERRAIN L’ouverture de négociations qui ne soient pas des séances à charge a priori contre le dispositif actuel. Une réflexion sur l’organisation de l’année scolaire sans réduction compensatoire des vacances d’été. Des discussions basées sur le respect de la PRIORITE aux apprentissages fondamentaux, seul garant de la possibilité de travailler sereinement sur un rythme raisonnable dans la lutte contre l’échec scolaire.
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