montagny Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 LE RYTHME VEILLE-SOMMEIL À L’ADOLESCENCE Tant les anecdotes familiales que la recherche montrent que la période de l’adolescence est marquée par une proportion élevée de couche-tard par rapport à la population générale. En effet, à partir du moment où les rythmes sont bien consolidés et que les siestes sont disparues des habitudes lors de la fin de l’enfance, les rythmes biologiques circadiens tendent à adopter une phase tardive, ce qui fait en sorte que la fenêtre favorisant l’apparition du sommeil n’apparaît, bien des fois, que très tard dans la soirée et même parfois au début de la nuit. Adolescence et délai de phase À l’adolescence, les heures de coucher surviennent une à trois heures plus tard qu’à la préadolescence, avec une difficulté à se lever tôt le matin (Laberge, Petit, Simard, Vitaro, Tremblay, & Montplaisir, 2001). Des raisons tant biologiques que psychosociales alimentent ce « délai de phase ». D’un point de vue hormonal, la sécrétion de la mélatonine survient à une heure plus tardive durant l’adole scence (Carskadon, Wolfson, Acebo,
Zarko Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Je remets cet article ... cole : la semaine de 4 jours, ça fonctionne aux Etats-Unis, alors pourquoi pas chez nous ?Deux chercheurs indépendants américains ont prouvé que la semaine de 4 jours améliore nettement les résultats obtenus par les élèves en mathématiques, et d'une façon moins marquée les résultats en lecture. L'école est finiePublié le 10 Décembre 2012 RSS 1.1K 26 0 0 0 1.2K Je m'abonneà partir de 4,90€ Ajouter au classeurSuivre ce contributeurLecture zen Aux Etats-Unis aussi le nombre de jours de classes dans l’enseignement primaire fait débat. Un certain nombre de districts scolaires ont récemment abandonné les traditionnels cinq jours par semaine pour passer à quatre jours, principalement pour faire des économies. Comme en France, les partisans de chacun des systèmes se battent à coup d’arguments théoriques et d’affirmations rhétoriques sur les coûts et les avantages des deux formules. Mais aux Etats-Unis deux chercheurs indépendants[1], des économistes sans aucune idée préconçue, ont retroussé leurs manches et cherché à savoir si dans la réalité les élèves soumis à la semaine de quatre jours réussissaient mieux - ou plus mal - que ceux qui bénéficiaient d’une semaine de cinq jours[2]. Ils ont à cet effet considéré les notes obtenues à des examens standardisés en mathématiques et en lecture par 4600 élèves en fin d’études élémentaires (âgés d’une dizaine d’années), pris au Colorado, un Etat où l’on trouve à la fois des écoles à cinq jours et des écoles à quatre jours. Ils ont cherché à expliquer ces notes par toutes sortes de variables potentiellement explicatives, telles que le taux de pauvreté du canton, les dépenses par écolier, le nombre d’élèves par professeur, la taille de l’école, le pourcentage d’élèves "hispaniques" - et bien entendu le fait d’étudier dans une école à 4 ou à 5 jours. L’analyse économétrique conduite permet de mesurer, toutes choses égales par ailleurs, l’impact de la durée de la semaine sur les performances scolaires. Le résultat obtenu est contre-intuitif, mais très clair : la semaine de 4 jours améliore nettement et fortement (de 12%) les résultats obtenus par les élèves en mathématiques, et d’une façon moins marquée les résultats en lecture. Peut-on généraliser cette conclusion ? Avec prudence, et au moins provisoirement, oui. Beaucoup de vérités médicales, par exemple, reposent sur des échantillons bien plus limités, et des traitements économétriques plus sommaires. Cette conclusion n’est pas une opinion, mais une mesure. Elle résulte d’une analyse qui substitue une approche scientifique à une approche idéologique, et qui remplace la déduction, l’hypothèse ou le fantasme par la mesure. On peut aimer ou non la conclusion, on peut l’expliquer de différentes façons, mais il est difficile de l’ignorer. Jusqu’à ce qu’une nouvelle étude prouve le contraire, ou montre que les élèves français fonctionnent à rebours des élèves américains, il faut tenir pour avéré le fait que l’allongement de la semaine voulu par le ministre de l’Education Nationale se fera au détriment de l’apprentissage des mathématiques et de la lecture. Cela ne le condamne pas nécessairement. Cet allongement, qui est par ailleurs coûteux, a peut-être d’autres justifications, sociales par exemple, qu’il serait nécessaire de préciser et de justifier. Il n’en reste pas moins qu’en matière d’enseignement, l’acquisition des connaissances de base est un objectif important, et que cet objectif sera desservi par le changement décidé. Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/ecole-semaine-4-jours-fonctionne-aux-etats-unis-alors-pourquoi-pas-chez-remy-prudhomme-571816.html#BQQIxajBTRg2mAk4.99
calia Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 LE RYTHME VEILLE-SOMMEIL À L’ADOLESCENCE Tant les anecdotes familiales que la recherche montrent que la période de l’adolescence est marquée par une proportion élevée de couche-tard par rapport à la population générale. En effet, à partir du moment où les rythmes sont bien consolidés et que les siestes sont disparues des habitudes lors de la fin de l’enfance, les rythmes biologiques circadiens tendent à adopter une phase tardive, ce qui fait en sorte que la fenêtre favorisant l’apparition du sommeil n’apparaît, bien des fois, que très tard dans la soirée et même parfois au début de la nuit. Adolescence et délai de phase À l’adolescence, les heures de coucher surviennent une à trois heures plus tard qu’à la préadolescence, avec une difficulté à se lever tôt le matin (Laberge, Petit, Simard, Vitaro, Tremblay, & Montplaisir, 2001). Des raisons tant biologiques que psychosociales alimentent ce « délai de phase ». D’un point de vue hormonal, la sécrétion de la mélatonine survient à une heure plus tardive durant l’adole scence (Carskadon, Wolfson, Acebo, Merci, je n'avais pas le courage de chercher, mais je savais bien qu'il y avait une justification
Yuuko Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 mais non les ados de l'étude mangeaient tous mal et ne faisaient pas de sport Merci pour le texte, j'allais devoir justifier qu'une partie de mon cursus universitaire était bidon
Zarko Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Région > Calais et ses environs > Calais Calais : manifestation ce mercredi contre la réforme des rythmes scolairesPUBLIÉ LE 24/06/2014 PAR ÉRIC DAUCHART Réagir Share on rss Le journal du jour à partir de 0,79 € Après la manifestation du vendredi 13, qui s’est déroulée à Fréthun, un autre rassemblement est programmé ce mercredi, à 18 h, devant l’hôtel de ville de Calais, juste avant le conseil municipal. Un collectif de parents d’élèves, d’enseignants et d’élus du Calaisis appelle à la mobilisation pour le retrait de la réforme des rythmes scolaires.
dameoiselle Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Ce qui tant à montrer que les rythmes du collège et du lycée sont donc inadaptés ? A quand un vrai temps/espace de sieste pour les adultes sur leur lieu de travail ?
montagny Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Sandrine66, goellette a un moule, c'est celui qu'elle a utilisé pour ses enfants. tous les autres enfants qui ne rentrent pas dedans ont forcément des parents qui n'ont rien compris à l'éducation. Excuse-moi goellette, mais tu es tellement affirmative sur tout ce que tu dis que c'en est fatigant... J'édite : mon clavier fatigue, il ne veut plus faire certaines majuscules (notamment le g et le t). Désolée. +1 Il faut t'habituer. Goelette sait et nous non car Elle maîtrise tous les parmètres d'une bonne éducation, d'un bon enseignement, d'un bon rythme...Elle est le Rythme que devrait avoir le MEN...
Zarko Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Nîmes : "Personne n’était favorable à ces nouveaux rythmes scolaires" il y a 1 jour 8 Propos recueillis par RICHARD BOUDES Valérie Rouverand, dans son bureau d’élue : "Proposer de la qualité, embaucher des animateurs experts."WILLIAM TRUFFY TWITTER Valérie Rouverand, adjointe à l'enseignement scolaire, évoque les modalités de la réforme des nouveaux rythmes scolaires à Nîmes. Les familles devront-elles payer les activités périscolaires ? Mystère. Vous reprenez le lourd dossier de la réforme des rythmes scolaires que votre prédécesseur, Jacky Raymond, ancien inspecteur académique, avait ficelé. Une première mouture que la Ville modifie en choisissant de regrouper les activités périscolaires le vendredi après-midi. Pourquoi ? Quand je suis arrivée il y a deux mois, j'ai tout de suite travaillé sur ce dossier. J'ai pris la suite de Jacky Raymond et ce premier choix d'étaler les activités sur la semaine à partir de 15 h 45. Tout a été perturbé par les assouplissements du décret Hamon. Les choses ont été remises en question et, par souci de concertation, nous avons saisi tous les conseils d'école qui se sont prononcés pour le regroupement des activités. Selon les chronobiologistes, les apprentissages sont plus efficaces quand ils sont étalés et avec des ruptures courtes, ce qui n'est pas le cas avec ce choix, et les cours qui s'arrêtent le vendredi à midi... Alors, est-ce bien raisonnable ? Je suis ravie que vous me posiez cette question car je crois qu'il ne faut pas se tromper de cible. Personne n'était favorable à ces nouveaux rythmes scolaires. Ni les familles, ni les enseignants, encore moins les communes. Le décret Hamon a donné la possibilité de regrouper les activités. Ce n'est pas nous qui l'avons décidé, nous nous sommes saisis d'une possibilité. Sur le fond, vous avez tout à fait raison. Sur le respect du rythme de l'enfant, nous avons essayé de faire au mieux. Alors, regrouper le lundi, mardi, jeudi ou vendredi ? En grande majorité, le choix s'est porté sur le vendredi. Cette réforme s'est faite dans la précipitation, a été très politisée et elle s'éloigne encore du rythme de l'enfant. Le mercredi matin était un repos bénéfique et là, la semaine va être longue. Ce revirement de Fournier, dans les pas de Copé, disant leur hostilité à la réforme, c'est aussi très politique. Qu'en pense l'élue UDI que vous êtes ? Je ne suis pas tout à fait d'accord. Des villes de gauche comme de droite se sont positionnées contre. Les villes sont prises en otage. À Nîmes, le coût est estimé à entre 2,5 et 3 M€ (1). Personne ne voulait de cette réforme. Nous continuons à travailler avec les mêmes services, toujours en partenariat avec Jacky Raymond. Dans la concertation. Rien n'a été bafoué. De toute façon, tout le monde est contre, c'est donc difficile de faire passer cette réforme. Mais nous allons proposer de la qualité, embaucher des animateurs experts. Qu'entendez-vous réellement par des activités de qualité ? Il y aura des activités culturelles, sportives, de découvertes avec des animateurs experts que nous paierons en conséquence. La première mouture prévoyait la gratuité des activités pour les familles mais, désormais, la question n'est plus aussi tranchée. Pouvez-vous en dire un peu plus sur cet aspect essentiel pour les familles ? La première mouture n'était pas aboutie. Les choses s'affinent. Sur le paiement, ce sera la volonté du maire. Je ne peux pas vous en dire plus. N'y a-t-il pas un risque de défection avec des parents pour lesquels le week-end débutera le vendredi à midi ? Peu de familles pourront partir tous les week-ends en vacances, et puis les gens travaillent. Si nous mettons en place des activités de qualité, les enfants voudront rester. (1) Le regroupement des activités périscolaires le vendredi après-midi permettra une économie de 200 000 €.
Zarko Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Rythmes scolaires en Languedoc-Roussillon : un quart des communes aménagent il y a 10 heures 10 ARNAUD BOUCOMONT Selon Armande Le Pellec Muller, la rectrice de l’académie de Montpellier, "l’essentiel", c’est "cinq matinées, cinq temps où l’enfant est le plus attentif". FABRICE ANDRES TWITTER En Languedoc-Roussillon, 62,6 % des écoles, adoptent la réforme des rythmes scolaires telle qu'initiée au départ. Tour d'horizon pour la prochaine rentrée en Languedoc-Roussillon. Armande Le Pellec Muller, la rectrice de l'académie de Montpellier, préfère voir le verre à moitié plein. Mardi, lors d'une conférence de presse, elle a positivé la généralisation des nouveaux rythmes scolaires en Languedoc-Roussillon. 62,6 % des écoles, en Languedoc-Roussillon, adoptent la réforme telle qu'initiée au départ. Selon la rectrice, "l'essentiel", c'est "cinq matinées, cinq temps où l'enfant est le plus attentif". Et tant pis si 22,5 % des communes, soit près d'un quart du total, ont obtenu un aménagement : dans les deux tiers des cas, le temps périscolaire y est alors concentré le vendredi après-midi… Loin de l'esprit initial de la réforme. Si toutes les demandes avaient abouti, l'expérimentation aurait même concerné plus de 40 % du total. À Nîmes, le verdict est encore en suspens La plupart des maires des grandes villes de la région avaient opté pour un hors temps scolaire le vendredi après-midi. Une majorité des conseils d'école a validé cette proposition à Perpignan et Carcassonne. Elle a été retoquée à Montpellier. À Nîmes, le verdict est encore en suspens (lire encadré). À Béziers, la discussion continue entre rectorat et municipalité et doit être finalisée "cette semaine", assure la rectrice. Exit a priori le vendredi après-midi proposé par le maire. "Vu le contexte socio-économique de cette ville, j'ai proposé qu'on étoffe notre proposition d'accompagnement éducatif", précise Armande Le Pellec Muller. Concernant les communes qui avaient mis en place la réforme dès cette année scolaire écoulée, seules quatre communes (dans l'Hérault, Nizas et Saint-Mathieu-de-Tréviers ; dans l'Aude, Lauraguel et Duilhac-sous-Peyrepertuse), sur 288, modifient leur organisation en réclamant un aménagement. À Nîmes, polémique sur le décompte des votesÀ Nîmes, la situation est pour le moins floue concernant la réforme des rythmes scolaires : l’équipe municipale de Jean-Paul Fournier avait validé, en décembre dernier, une organisation répartie en activités périscolaires sur l’ensemble des jours de la semaine… « Un très beau travail », salue aujourd’hui la rectrice. Mais la perspective d’aménagements a fait réfléchir le maire, qui a finalement proposé que ces activités soient concentrées le vendredi après-midi. Les conseils d’école ont eu à se prononcer ces derniers jours, jusqu’à ce lundi soir. Résultat ? On ne sait pas ! « Nous ne sommes pas d’accord avec la mairie dans l’analyse des résultats, observe la rectrice. Je suis garant de la validité du vote. Il est défavorable (à la solution du vendredi après-midi, NDLR), mais ce n’est pas le décompte fait par la Ville. Je ne peux pas donner de pourcentages, puisqu’on est en train de discuter, mais je peux vous dire que c’est sans ambiguïté. » Corinne Place, secrétaire départementale du syndicat d’enseignants SNuipp, dénonce en tout cas la méthode : « Jean-Paul Fournier demande aux conseils d’école de se prononcer dans l’urgence, en deux jours alors que la réglementation dit qu’il en faut huit. Tout est fait dans la précipitation. On marche sur la tête. » Une solution doit, en tout cas, être trouvée d’ici le 3 juillet, date du conseil départemental de l’éducation nationale (CDEN) dans le Gard, censé entériner les décisions. "Du n'importe quoi" La palme de l'originalité revient à Avèze, dans l'Hérault, seule commune de la région qui allonge l'année de deux jours (en diminuant le temps scolaire de 15 minutes par semaine). Le rectorat est pour l'instant face à un blocage : dans l'Aude, la commune de Mailhac et de son maire emblématique Gérard Schivardi, est la seule à refuser catégoriquement l'application de la réforme des rythmes scolaires. D'autres communes n'ont pas prévu d'activités périscolaires. Et quand elles sont prévues le vendredi après-midi, c'est "du n'importe quoi", assure la secrétaire départementale du syndicat SNUipp dans le Gard, Corinne Place : "Le rythme de l'enfant, on l'a complètement oublié. Sa journée le reste de la semaine, elle est alourdie." Selon Éric Perlès, coordinateur académique pour le SNUipp, le bilan de la réforme, pour les communes qui l'ont appliquée cette année, n'est pas bon : "La coupure du mercredi manque. Les enfants sont fatigués". La rectrice coupe court : "Je renvoie au temps où l'on avait 26 heures de cours et cinq jours dans la semaine". L'organisation, ville par ville, est consultable sur le site5matinees.education.gouv.fr
nola Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Ce qui tant à montrer que les rythmes du collège et du lycée sont donc inadaptés ? A quand un vrai temps/espace de sieste pour les adultes sur leur lieu de travail ? +1 Surtout à l'approche de la soixantaine. Le seniors doivent être mieux intégrés dans le monde du travail.
Sarri Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Ce qui tant à montrer que les rythmes du collège et du lycée sont donc inadaptés ? A quand un vrai temps/espace de sieste pour les adultes sur leur lieu de travail ? Effectivement, les rythmes du collège et du lycée sont totalement aberrants, tout comme l'étaient les anciens rythmes du primaire et comme le sont les nouveaux. Il y a deux solutions : 1. On remet tout à plat de A à Z, on réduit les vacances scolaires, on réduit les journées des élèves de 3 à 17 ans, on adapte les horaires aux tranches d'âge (tranches de 2 ans). On sait tous (sauf notre hiérarchie) qu'un enfant de 3 ans ne doit pas avoir les mêmes horaires qu'un élève de CM2. 2. On bricole, on gesticule et on s'enfonce inexorablement. C'est juste une question de responsabilité collective... Malheureusement, on a un peu l'impression que notre société a perdu cette notion depuis pas mal de temps déjà. 1
sylvielise Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Ce qui tant à montrer que les rythmes du collège et du lycée sont donc inadaptés ? A quand un vrai temps/espace de sieste pour les adultes sur leur lieu de travail ? +1 Surtout à l'approche de la soixantaine. Le seniors doivent être mieux intégrés dans le monde du travail. Je plussoie En haut lieu, ils n'ont pas encore anticipé le problème que va poser toute une génération qui va devoir partir à la retraite biiiien plus tard. En même temps, je ne peux pas leur en vouloir : ils ont déjà tant à faire avec les décrets et/ou les déclarations contradictoires qui fusent de partout. Mais le problème se posera assez vite : on ne tient pas bien dans ce job passé 55 ans, c'est physique, le métier est trop frontal et trop usant nerveusement. S'il y a des "vieux" comme moi, on pourrait ouvrir un nouveau fil : comment tenir passé 55 ans ? Si ça vous branche, ça m'intéresse (même si je n'ai pas encore passé 55 ans, mais j'anticipe moi !
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