Zarko Posté(e) 29 juin 2014 Posté(e) 29 juin 2014 12 mai 2014 Rythmes et réussite scolaire : et si nous faisions le point sérieusement ?Ces derniers jours, le lien presque mécanique entre réussite scolaire et rythmes scolaires a de nouveau été avancé dans le débat public. Mais, qu’en est-il objectivement ? A ce jour, aucune étude n’a montré que le facteur « nombre de jours d’école dans la semaine » pris de manière isolé jouait, à lui seul sur la réussite des élèves. Avant la réforme Darcos, 25 % des élèves étaient à quatre jours avec des vacances raccourcies et des résultats (évaluations CE2 et 6ème) ni moins bons, ni meilleurs qu’ailleurs (1). De plus, les résultats en baisse révélés par PISA, sont ceux d’élèves de 15 ans qui ont tous fréquentés l’école primaire quand elle était organisée majoritairement sur 4,5 jours, avant 2008. Tout le monde crierait à la caricature, à juste titre, si d’aucun s’aventurait à en conclure que la semaine à 4,5 jours est néfaste pour la réussite des élèves. Tout n’est pas qu’une affaire de rythmes. Pour le SNUipp-FSU, il faut traiter des vraies priorités. A l’heure où un jeune sur cinq ne maîtrise pas aujourd’hui correctement la lecture à l’issue de sa scolarité (2) et que près d’un tiers des collégiens en éducation prioritaire éprouvent des difficultés face à l’écrit, contre un quart, il y a 10 ans (3), notre école doit avoir les moyens de travailler aux conditions pédagogiques de la réussite. Il est d’ailleurs incompréhensible que la révision des temps et celle des programmes scolaires (qui a été repoussée à 2016 pour l’élémentaire) n’aient pas été traitées ensemble. Les élèves ne vivent pas et n’apprennent pas de la même manière dans une classe de 30 ou dans une classe de 20. Un élève en difficulté ne peut pas y être aidé de la même façon. Or, l’école primaire française se distingue par un nombre d’élèves par classe bien au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE. C’est ainsi qu’on n’y compte que 5 enseignants pour 100 élèves alors que le ratio en Finlande est proche de 6,5 et qu’en Italie ou en Norvège, il est compris entre 7 et plus de 9 (4). Une classe maternelle française sur deux compte 25 élèves et plus et dans près de 7 400 classes, 30 élèves et plus (5). La diminution des effectifs par classe et le renforcement conséquent de l’aide aux élèves en difficulté sont aujourd’hui deux nécessités incontournables. De même, qui peut croire que l’on « refondera » l’école sans offrir une vraie formation continue aux 330 000 professeurs des écoles ? Oui, il faut le dire : elle a quasiment disparu ! Scolarisation des tout-petits, développement du langage, apprentissage de la lecture, de la numération, développement sensoriel, moteur, artistique des élèves… tout cela ne s’improvise pas et requiert des savoirs professionnels de haut niveau régulièrement remis à jour. En 2013, un rapport de l’Inspection générale pointait du doigt une formation continue des enseignants du premier degré « insatisfaisante et rare ». Or, aucune amélioration n’est prévue pour la rentrée prochaine. Nous le disions depuis le début...
Zarko Posté(e) 29 juin 2014 Posté(e) 29 juin 2014 27 juin 2014 A L’ATTENTION DES ECOLES DE CHAMBERYCOMPTE-RENDU DE L’AUDIENCE DU 25 JUIN 2014Ce 25 juin, à leur demande, l’IA (accompagné de la Secrétaire Générale) a reçu en audience des directrices des écoles maternelles de Chambéry, accompagnées par le SNUipp-FSU et le SE-Unsa*. Au nom de toutes les écoles maternelles chambériennes, il s’agissait pour les collègues d’expliquer à l’IA-DASEN pourquoi elles souhaitaient des matinées de 3h15, contre 3h dans le scénario prévu par la Mairie : bénéfices pédagogiques, notamment pour les PS meilleure gestion des différents temps d’apprentissages au regard des locaux (salle de motricité) facilitation des temps de déplacement entre écoles dans le cas de maternelle seule (hors groupe scolaire) L’IA a d’abord répondu qu’il avait rencontré M. Dantin et Mme Jeandet. Ces derniers souhaitaient au départ, d’après lui, mettre l’ensemble des écoles de la ville au même horaire, et veulent de toutes façons un même mode de fonctionnement pour les écoles de même "niveau", c’est à dire les maternelles d’une part, les élémentaires d’autre part. Les horaires des maternelles sont déjà arrêtés ; quant aux élémentaires, un seul scénario sera retenu, celui qui aura recueilli le plus de voix dans les derniers conseils d’école, parmi les trois proposés. Les horaires retenus étant attendus dans la soirée du 25 juin par la DSDEN. A ce propos, les présents indiquent que cette méthode (le scénario choisi par le plus d’écoles élémentaires est retenu et appliqué à toutes) n’a pas été clairement exposée aux écoles, et que certaines pensaient avoir vraiment un choix entre 3 possibilités... A ce jour, l’IA "ne croit pas" que porter les matinées de 3h à 3h15 apporte quoi que ce soit, et il ne chamboulera pas les horaires à la veille de leur mise en place. Il pense toutefois que les choses vont évoluer : les premiers mois passés, le DA affirme que des activités seront mises en place sur les temps périscolaires... Mais cela nécessitera quand même que "la mairie évolue dans son approche de la mise en place des temps d’activité périscolaires". Il s’engage de son côté à ce que les conseils des écoles maternelles du 1er trimestre puissent faire de nouvelles propositions d’horaires, dans le cadre de leurs projets éducatifs, et à travailler avec les enseignants afin que de nouvelles modalités voient le jour à la rentrée 2015. D’ici là, les écoles maternelles auront des horaires identiques, et il en va de même pour les élémentaires. Le SNUipp-FSU, déjà intervenu avec le SE-Unsa lors des deux CDEN d’avril sur cette question, a insisté sur les problèmes de fonctionnement, qui expliquent en grande partie que les 37 écoles de la ville n’aient pas les mêmes horaires : organisation de la restauration scolaire déplacement des familles dans le cas d’écoles sur site "éclaté", comme par exemple les maternelles des Châtaigniers et de la Grenouillère, qui "dispatchent" ensuite leurs élèves sur 3 élémentaires différentes, et éloignées. L’IA a expliqué avoir abordé ces sujets avec la Mairie. Concernant la restauration scolaire, il lui a été dit que "ça devrait aller"... Quant au problème de distances entres les écoles, un seul cas a été remonté par la Mairie, celui de l’école de Bellevue, dont les élèves se rendent ensuite à Caffe. Pour cette école, et seulement celle-ci, la ville lui demanderait une "dérogation", avec un écart de 5 ou 10 mn entre les horaires respectifs de Bellevue et Caffe. Pour le SNUipp-FSU, et nous assumons nos propos, il semble que, décidément, le secteur des Hauts de Chambéry, dont les écoles sont par ailleurs en RRS, ne soit pas une priorité de la Mairie, qui ignore et méconnaît ostensiblement ce quartier ! Les écoles de la Grenouillère et des Châtaigniers sont tout aussi concernées par ce problème de distance entre école maternelle et élémentaire. Le DASEN a découvert (et enfin compris) la situation lors de cette audience. Il a affirmé que ce n’était pas du tout ce que lui avait fait remonter la Mairie. Il en conclut que les 15 mn demandées au départ sont nécessaires pour le déplacement des familles dans les cas des écoles de Bellevue, Grenouillère et Châtaigniers. Le SE-Unsa souligne aussi, qu’à l’inverse, dans le cas de groupes scolaires, comme ceux du centre-ville (Caffe, le Stade, etc), 15 mn de décalage entre maternelle et élémentaire ne sont non seulement pas nécessaires, mais pas souhaités par les familles, à qui cette différence horaire pose d’autres problèmes (attente de 15 mn sur le trottoir pour rien, dans des endroits souvent dangereux avec proximité de la route). Toutes les collègues présentes insistent : si la Mairie avait accepté dès le départ les allongements de 15 mn des matinées, demandés à la fois par les écoles élémentaires et les écoles maternelles, ces difficultés ne se poseraient pas avec une telle acuité ! C’est quelque chose que l’ancienne municipalité avait compris... ce qui explique ce qui s’était passé lors du CDEN du 1er avril (courrier de l’ancienne maire ayant conduit à ce que les horaires des écoles de Chambéry soient validés sous réserve de la tenue des derniers conseils d’école de l’année scolaire, devant faire des propositions précises... ; depuis, Chambéry était un dossier qui "coince", dixit l’IA en CDEN le 25 avril). En conclusion, l’IA a trouvé "très bien" (et instructif, sans nul doute !) d’avoir rencontré les collègues. Il demandera à M. Dantin de regarder quelles variations horaires apporter pour les trois écoles de Bellevue, Châtaigniers, et Grenouillère. Il n’apporte pas de réponse sur le fait que des horaires décalés posent problème dans le cas des groupes scolaires sur un même site. Il renouvelle sa proposition de faire évoluer les choses au cours du 1er trimestre... Tout n’est pas résolu, loin s’en faut ! Parce qu'ils pensent encore résoudre un problème insoluble ????
nonau Posté(e) 29 juin 2014 Posté(e) 29 juin 2014 Cette prime ne compense même pas la hausse de notre cotisation retraite...Qui ne rentre pas non plus dans le calcul de cette même retraite. Et vu la conjonction je pense qu'elle n'augmentera jamais dans le meilleur des cas et supprimée dans le pire. Le mieux aurait été une augmentation du point d'indice à la hauteur au moins de la moyenne européenne, eux si prompt à nous comparer avec les autres pays...
Zarko Posté(e) 29 juin 2014 Posté(e) 29 juin 2014 Si on alignait les salaires des enseignants français sur leurs homologues européens, l'État devrait sortir les sous ! On est parmi les plus mal payés et pas qu'un peu !
Zarko Posté(e) 29 juin 2014 Posté(e) 29 juin 2014 Et hop , encore un truc dce schizo !! Région > Amiens et Métropole À ce rythme-là, la Ville d’Amiens va se mettre les parents à dosPUBLIÉ LE 27/06/2014 Par DAVID VANDEVOORDE Réaction (1) Share on rss Le journal du jour à partir de 0,75 € À une semaine des vacances, les parents organisent la rentrée en fonction du nouveau rythme. Mais ils attendent des informations de la Ville qui ne veut pas organiser d’activités. - A + Dans une semaine, ce sont « les » grandes vacances. Celles qui branchent sur 200 000 volts les enfants depuis quelques jours. Ce n’est pas le moment de leur parler de septembre 2015 et du changement de rythme scolaire. Les parents, eux, y sont déjà. Ils n’ont pas le choix. Employeurs, crèches ou nounous, des milliers de familles potassent leur organisation de vie. Beaucoup réalisent vraiment ce que sera le changement de rythme… et le programme de la nouvelle majorité municipale. Ce n’est pas le site internet d’Amiens Métropole qui les aidera. Il est resté sur le projet de l’ancienne équipe. « Avec l’été, les interlocuteurs se feront rares. Les parents, s’ils en ont les moyens, partiront en vacances. Les enseignants seront en congés, certains changent d’écoles. Tout sera donc fait sans concertation. O n découvrira le tout à la rentrée », s’inquiète Ghislaine Lefevre, de la Fédération des conseils de parents d’élèves de la Somme. « La situation d’Amiens est impensable. Nous essayons toujours d’être apolitiques en mettant l’enfant au cœur des discussions et en accompagnant les parents. Ici, l’enfant n’apparaît plus. Les parents avaient digéré le changement (jours et horaires). Ils commencent seulement à se rendre compte de l’absence d’activités, du manque d’organisation dans des écoles et surtout le manque d’informations. Ils ne constatent qu’une lutte idéologique ou politique dont ils n’ont rien à faire », prévient-elle. La coupure est rude Une parente d’élève concernée par le manque de cantine le mercredi midi et de périscolaire l’après-midi, se dit stupéfaite du discours tenu en mairie. « On nous a dit d’entrée : On ne veut pas faire cette réforme. Madame le maire est juriste. Elle sait qu’Amiens risque d’être sanctionnée, alors elle va le faire mais à minima », raconte-t-elle, « à aucun moment on a parlé des enfants ! ». La coupure est rude d’autant que des réunions sous l’ancienne majorité (qui a reculé d’un an la mise en application de la réforme prétextant la nécessité de s’y préparer) avaient livré un bon signal avec un projet associant directeurs d’école, éducateurs de la Ville, parents d’élèves et s’appuyant, si possible, sur des projets d’école existant. C’est terminé. Huit référents devaient sillonner les écoles. Ils ne le feront pas. Ils n’ont pas été recrutés. Les statuts des directeurs adjoints des 32 centres de loisirs et d’une vingtaine d’animateurs allaient évoluer. Cela a été stoppé. Enfin, 20 à 30 contrats d’avenir allaient être signés. Ils le seront. Mais pas pour aider au Temps d’activités périscolaires (TAP) prévus par la réforme du rythme. La nouvelle équipe s’y refuse (lire par ailleurs). « On a accepté de changer les jours de classe, les horaires. E n retour, des activités comblaient ces changements. Je ne suis pas pour le changement de rythme mais là on est pris dans la politique. Cette réforme, nous devons la gérer. Des villes n’en veulent pas et traînent les pieds ? Autant annuler ! », s’agace une maman. Elle a devant elle un document de crèche qui demande ses souhaits (jours de repos, cantine) pour la rentrée prochaine. Cette rentrée qui se prépare maintenant. «Les parents vont recevoir un courrier» Brigitte Fouré (UDI) a donc clairement vidé de sa substance la réforme ensupprimant les activités sportives, culturelles ou d’éveil. Pour le reste, la Ville n’a pas le choix : elle changera les heures. Elle touchera au passage 90 € par enfant (État) et 0,51 cts (en moyenne) de la Caisse d’allocation familiale (si l’enfant participe à une activité périscolaire… ici apparemment non). Avec 10 375 écoliers, on frôle les 900000 €. Insuffisant pour la Ville qui chiffre les investissements à 3M €. « Et il aurait fallu embaucher de 600 à 800 animateurs ! », martèle Mathilde Roy adjointe à l’Éducation et la petite enfance. Elle y ajoute la police municipale, pour faire traverser les enfants, le transport vers les cantines et centre de loisirs. « Les contrats avenir sont maintenus mais pour les déployer ailleurs », a-t-elle ajouté. Mais ces jeunes n‘auront pas le droit au temps d’activité périscolaire, « mais seront déployés en fonction des moyens ». Et le temps dégagé par la réforme (trois quarts d’heure par jour) « sera comblé par de l’étude assurée des enseignants (payés par la Ville) et la garderie (par des associations telle Bleu Ciel ou la Ville) ». L’élue sait que la pression monte. Les derniers conseils d’école ont lieu en ce moment. Et ça chauffe. Elle a rencontré des syndicats d’enseignants et les parents d’élèves. Parents qui découvrent qu’ils devront payer de la garderie en plus, d’autres que les enfants vont tourner en rond… « Les lettres aux directeurs d’école sont parties hier (jeudi) », indique l’élue. Mais quid des 12 écoles qui n’ont pas de mode de garde après l’étude ? De celles qui n’ont pas de cantine et de centre le mercredi ? « Des courriers vont être envoyés pour ces cas spécifiques », s’est limitée l’élue qui pique : « nous avons hérité d’un dossier vide de l‘ancienne équipe municipale ».
Karine1 Posté(e) 29 juin 2014 Posté(e) 29 juin 2014 La cata !!Ici nous cumulons :Pauses méridiennes de 3h30...Horaires des écoles élémentaires différents des écoles maternelles (sympa pour les parents ayant des enfants dans les 2 )Temps partiels sur autorisation quasi TOUS refusés !Squat des classes par les TAP qui vont être surchargés car vue l'organisation et les horaires de ces TAP ils sont devenus quasi obligatoires.Merci bien !!
Zarko Posté(e) 29 juin 2014 Posté(e) 29 juin 2014 La cata !! Ici nous cumulons : Pauses méridiennes de 3h30... Horaires des écoles élémentaires différents des écoles maternelles (sympa pour les parents ayant des enfants dans les 2 ) Temps partiels sur autorisation quasi TOUS refusés ! Squat des classes par les TAP qui vont être surchargés car vue l'organisation et les horaires de ces TAP ils sont devenus quasi obligatoires. Merci bien !! Oh là là...Et ça ne bouge pas chez les enseignants ou parents ?
Goëllette Posté(e) 30 juin 2014 Posté(e) 30 juin 2014 La cata !! Ici nous cumulons : Pauses méridiennes de 3h30... Horaires des écoles élémentaires différents des écoles maternelles (sympa pour les parents ayant des enfants dans les 2 ) Temps partiels sur autorisation quasi TOUS refusés ! Squat des classes par les TAP qui vont être surchargés car vue l'organisation et les horaires de ces TAP ils sont devenus quasi obligatoires. Merci bien !! Oh là là...Et ça ne bouge pas chez les enseignants ou parents ? +1
Karine1 Posté(e) 30 juin 2014 Posté(e) 30 juin 2014 ça bouge à peine chez les parents... pour certains, tant que les enfants sont gardés et gratuitement...Quant aux PE bien sûr qu'on a dit qu'on n'était pas d'accord. Nous n'avons pas été entendus ni même écoutés malgré moult réunions avec la mairie et pseudo concertations.La mairie a fait comme elle voulait avec l'aval de l'IEN qui nous a fait comprendre qu'un fonctionnaire était là pour "fonctionner", en d'autre termes pour se taire et obéir.La mairie a essayé de nous imposer nos moments d'APC mais là on s'est rebiffés et on a eu gain de cause heureusement !Les syndicats sont sur le coup mais que pourront-ils vraiment ??? Rien, je le crains.
Goëllette Posté(e) 30 juin 2014 Posté(e) 30 juin 2014 ça bouge à peine chez les parents... pour certains, tant que les enfants sont gardés et gratuitement... Quant aux PE bien sûr qu'on a dit qu'on n'était pas d'accord. Nous n'avons pas été entendus ni même écoutés malgré moult réunions avec la mairie et pseudo concertations. La mairie a fait comme elle voulait avec l'aval de l'IEN qui nous a fait comprendre qu'un fonctionnaire était là pour "fonctionner", en d'autre termes pour se taire et obéir. La mairie a essayé de nous imposer nos moments d'APC mais là on s'est rebiffés et on a eu gain de cause heureusement ! Les syndicats sont sur le coup mais que pourront-ils vraiment ??? Rien, je le crains. N'oubliez donc pas d'être fonctionnaires de cette façon toute l'année. Pas de sortie hors temps scolaire, pas de fête, pas de loto, ...
Zarko Posté(e) 30 juin 2014 Posté(e) 30 juin 2014 Quelle est la taille de la commune? Milieu social ? Je suis étonné que les parents ne disent rien; une telle pause méridienne, c'est quand même effrayant !
jeanounette Posté(e) 1 juillet 2014 Posté(e) 1 juillet 2014 http://www.christianschoettl.com/2014/07/evelyne-flacher-et-celine-favreasaint-medar-en-forez-la-greve-de-la-faim-qui-m-inquiete.html
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