Zarko Posté(e) 1 juillet 2014 Posté(e) 1 juillet 2014 http://www.christianschoettl.com/2014/07/evelyne-flacher-et-celine-favreasaint-medar-en-forez-la-greve-de-la-faim-qui-m-inquiete.html C'est terrible et sincèrement je me demande si on est encore en démocratie ou si on est rentré dans une dictature: c'est la pagaille partout et les médias nationaux n'informent personne !! quand les élus de gauche comprendront-ils qu'il n'y a pas pire erreur que de ne pas reconnaître une erreur? que parmi ces femmes, il y en a qui ont voté pour eux? et qu'ils désespèrent la démocratie ,que dans la file ininterrompue de gens venant signer la pétition de soutien, la colère est grande, l'ulcération, le rejet des "politiques" et cela me fait du mal à ma France
Zarko Posté(e) 1 juillet 2014 Posté(e) 1 juillet 2014 OCIÉTÉ Une banderole contre la réforme des rythmes scolaires Date : 01/07/2014 A la rentrée de septembre, les presque 37000 communes françaises vont devoir appliquer la réforme des rythmes scolaires. A Roche-La-Molière, ces nouveaux horaires à l’école seront respectés même si la majorité élue en mars dernier est contre cette nouvelle organisation du temps scolaire. Ce 1er juillet, l'équipe municipale de Roche-la-Molière a voulu rappeler sa position sur ce sujet en installant une banderole sur la façade de l’Hôtel de Ville où l’on peut lire : "Le Maire et son équipe sont contre les nouveaux Rythmes Scolaires : dans le respect de la loi nous appliquerons la réforme, dans l’intérêt de l’enfant des activités de qualité seront proposées." "Si l’esprit de la loi a pour objectif de permettre les enseignements fondamentaux les matins (c’est-à-dire à des horaires où les enfants sont dans de meilleures dispositions), nous jugeons la réforme mal préparée, précipitée et coûteuse pour la commune", explique un communiqué. "Au-delà de ces considérations, il était de la responsabilité des élus d’organiser la concertation pour préparer la mise en oeuvre de la réforme. Les 6 Conseils d’Ecoles de Roche-La-Molière ont été consultés et devaient se prononcer pour fixer le calendrier des Nouvelles Activités Périscolaires (NAP) : soit 2 fois 1h30 par semaine, soit 3h00 d’un seul bloc". Cependant, le maire Eric Berlivet (UDI), précise qu'à l’issue de ces consultations "aucune des deux propositions ne s’est clairement distinguée. L’Inspection Académique a dû trancher et a choisi la seconde option : à Roche-La-Molière les NAP seront concentrées sur 3h00 d’affilées, schéma que la majorité actuelle proposait pour appliquer la réforme." Ces NAP ne sont pas obligatoires, elles sont gratuites et encadrées par des professionnels diplômés. L’Inspection Académique a dû trancher et a choisi la seconde option : à Roche-La-Molière les NAP seront concentrées sur 3h00 d’affilées, schéma que la majorité actuelle proposait pour appliquer la réforme. Est-ce qu'on peut m'expliquer pourquoi on accorde à certaines villes ce qu'on refuse à d'autres ? On est toujours en République ou j'ai loupé un épisode ?
Zarko Posté(e) 2 juillet 2014 Posté(e) 2 juillet 2014 Libé toujours, qui nous apprécie toujours autant : Augure Le recul négocié par Benoît Hamon sur l’ABCD de l’égalité et sur les rythmes scolaires en dit long, en effet, sur la lourdeur d’un système qui ne parvient, malgré quelques tentatives ici ou là, à trouver ni la bonne méthode ni le bon tempo. Les groupes de pression sont tels, entre les parents d’élèves, les enseignants et les municipalités, que le plus simple et surtout le moins coûteux électoralement finit souvent par l’emporter. Et l’enfant dans tout ça ? Le sujet est manifestement secondaire, il n’aura qu’à s’adapter aux contraintes ou aux caprices des parents, au budget des communes en baisse et à la mauvaise volonté d’une partie du corps enseignant. Pourtant, la plupart des études le montrent : la semaine de quatre jours est une hérésie pour les écoliers, on en voit d’ailleurs le résultat. Heureusement qu’il existe des maires, des profs et des parents qui, aiguillonnés par le défi, trouvent en eux des trésors d’inventivité (lire pages 3 et 4). http://www.liberation.fr/societe/2014/06/29/augure_1053542 tout est dans " la plupart des études le montrent"... J'aurais pu signer le commentaire: DUMSUE 30 JUIN 2014 À 8:52 Allez une petite censure sans doute pour ne pas contester cet édito étriqué et rétrograde! Mélangeant tout et juste mensonger sur tous les points! Du libe de celui qu'on connaît depuis trop de mois Libé encore !! Ces mairies qui font barrage de leur corps (encore Libé) Le rectorat du Rhône n’est pas en capacité de dire combien de communes de l’académie refusent de mettre en œuvre la réforme. Françoise Moulin-Civil, la rectrice, assure que «les enfants iront en classe le mercredi». En clair, les élus et les directeurs d’école n’auront d’autre choix que d’ouvrir les locaux. «Si les enfants ne sont pas accueillis le mercredi matin, cela s’appelle du travail non fait et ça ne passera pas», avertit Jean-Louis Baglan, inspecteur d’académie du Rhône. http://www.liberation.fr/societe/2014/06/29/ces-mairies-qui-font-barrage-de-leur-corps_1053534 Le Ministère est capable de nous dire qu'il y a 6% des communes qui utilisent l'assouplissement Hamon, mais "Le rectorat du Rhône n’est pas en capacité de dire combien de communes de l’académie refusent de mettre en œuvre la réforme." Pas fort en calcul le rectorat du Rhône, déjà avec le décompte des voix des écoles lyonnaises il avait eu des soucis.
Zarko Posté(e) 2 juillet 2014 Posté(e) 2 juillet 2014 Actualités Actu France Éducation Rythmes scolaires : pagaille dans les écoles Publié le 02/07/2014 à 03:53 , Mis à jour le 02/07/2014 à 07:55 Castres (81) - Éducation Les rythmes scolaires des écoles seront donc à nouveau en débat ce soir au conseil municipal./photo DDM. Le maire de Castres convoque un conseil municipal ce soir pour évoquer encore la réforme des rythmes scolaires. Il craint en effet que l'Education Nationale refuse sa proposition de concentrer le péri-scolaire le vendredi après-midi. Il est impossible pour l'instant de dire quel sera l'emploi du temps des écoliers de Castres à la rentrée prochaine. La réforme des rythmes scolaires en effet prend une tournure franchement polémique et politique à l'heure où le maire Pascal Bugis (divers droite) convoque pour ce soir à 18 heures un conseil municipal avec pour seul ordre du jour une motion sur le sujet. La ville de Castres en effet souhaite réaffirmer que soient concentrées les activités périscolaires le vendredi après-midi, postulant ainsi à l'expérimentation rendue possible par le décret du Ministre Benoît Hamon début juin avec deux arguments principaux : une économie annoncée de 145 000€ sur le budget municipal et une plus grande facilité d'organisation de ces nouvelles activités périscolaires sur une durée de 3 heures le vendredi après midi plutôt que 45 minutes tous les soirs. Pourtant, une très mince majorité des conseils d'école de la ville (12 sur 21) s'est exprimée contre la version concentrée du «vendredi après midi». Et la directive Hamon stipule clairement, comme le rappellent les syndicats d'enseignants, qu'il faut qu'une majorité des conseils d'école soit favorable à l'expérimentation et qu'elle est applicable sur toute la commune. Mais Pascal Bugis insiste : «Il semble que la Directrice académique souhaite mettre en place plusieurs systèmes sur la commune en fonction du vote de chaque conseil d'école. C'est inimaginable et je m'y opposerai. Je suis prêt à un bras de fer mémorable. On va maintenir et mettre en place notre proposition d'organisation avec le périscolaire concentré au vendredi après-midi. Le Ministre Hamon m'a dit en personne que c'était d'accord. On maintient ce qu'on a prévu. La commune n'est pas un paillasson.» Le débat risque donc d'être houleux ce soir au conseil. D'autant que, l'opposition de gauche s'est déjà exprimée contre cette proposition comme l'indique l'élu André Martinez : «De fait, concentrer les activités périscolaires au vendredi après-midi ne va pas alléger le rythme des enfants dans la semaine et va rallonger le week-end. Nous n'y sommes pas favorables et préférons donc que ces nouvelles activités soient réparties sur une heure chaque soir en raccourcissant le temps de classe quotidien.» Rappelons toutefois que c'est la Rectrice qui, au final, décide des horaires dans les écoles publiques et elle devrait rendre ses décisions en fin de semaine. D'ici là, les parents d'élèves défilent dans les bureaux des directeurs d'école et se demandent si effectivement il n'y aura plus école le vendredi après-midi ou si simplement la journée de classe en semaine sera écourtée d'une heure pour laisser place à des activités périscolaires. Une vraie pagaille dans tous les cas. Pagaille dans les écoles ? Tiens , je n'y avais pas pensé ! lol !
Zarko Posté(e) 2 juillet 2014 Posté(e) 2 juillet 2014 Montluçon AUVERGNE > ALLIER > MONTLUÇON 02/07/14 - 10H23 Rythmes scolaires : ce sera trois fois une heure !Lu 25 fois Près de trois mille élève ssont concernés. Photo d'archives (Bruno Courderc) / La Montagne - Tous droits réservés - Archives Bruno Couderc Le maire de Montluçon Daniel Dugléry va annoncer ce mercredi, selon nos informations, un retour au premier projet de rythmes scolaires. Cette proposition prévoit trois fois une heure d'activités périscolaires, les mardi, jeudi et vendredi, de 15 h 30 à 16 h 30. Le conseil municipal avait voté samedi dernier en faveur de trois heures d'activités périscolaires organisées d'un seul trait le mardi après-midi. Unedécision refusée lundi par le directeur académique, Jean-René Louvet, selon qui la délibération est intervenue trop tard. Près de trois mille élèves, répartis dans vingt-sept écoles, sont concernés par ces changements de dernière minute à Montluçon.
Zarko Posté(e) 2 juillet 2014 Posté(e) 2 juillet 2014 EDUCATION | VAL DE MARNE Rythmes scolaires en Val de Marne: le point sur les 15 villes en suspens Le 2 juillet 2014 par C.Dubois→ 32 projets de mise en place des nouveaux rythmes scolaires ont pour l’instant été validés sur les 47 villes du Val de Marne. Ce jeudi 3 juillet, un nouveau Conseil départemental de l’Education nationale (Cden) pourrait acter les derniers calendriers. Les villes réfractaires ou celles qui avaient vu leur proposition retoquée par avaient officiellement jusqu’au 26 juin pour corriger leur copie. Point d’étape sur la situation dans les 15 communes encore en suspens. Pour rappel, les villes qui n’ont pas fait de proposition devront en principe appliquer le cadre départemental type fixé par la direction départementale académique et qui est le suivant : 9h-16h15 avec une pause méridienne de 12h à 14h et classe le mercredi de 9h à 12h. Les trois villes qui avaient proposé des emplois du temps refusés par l’Education nationale car ils prévoyaient un horaire différent d’une semaine sur l’autre (par exemple 1 samedi travaillé sur 3), ont rendu une nouvelle copie. Il s’agit de Chennevières, Ivry et Saint-Maur. Les autres n’ont toujours pas rendu de proposition même si la plupart se résignent à appliquer le cadre départemental type qui leur sera imposé. Limeil-Brévannes et Sucy-en-Brie maintiennent pour leur part une position plus radicale, qui indiquent qu’elles n’ouvriront pas les portes des écoles ni le mercredi ni le samedi. (voir le détail par ville ci-dessous) Une situation mouvanteD’ici au CDEN de ce jeudi 3 juillet, la situation peut toutefois encore évoluer. « Lors du Cden du 19 juin, le document qui nous avait été soumis quelques jours avant faisait état de 24 villes et ce-sont 32 calendriers qui ont été présentés en séance. Cette semaine, nous n’avons encore rien reçu concernant les organisations de nouveaux rythmes scolaires, alors qu’en principe tout doit être envoyé 7 jours avant la réunion, commente Luc Bénizeau, délégué syndical Snudi-Fo. Et lorsque, aujourd’hui, à l’occasion d’un groupe de travail de la Capd (commission académique paritaire départementale), j’ai demandé à la Direction départementale des services de l’Education nationale pourquoi nous n’avions rien reçu, il m’ a été répondu que les tractations n’étaient pas terminées. » Le point dans les 15 villes en suspensCi-dessous, en date du 2 juillet, la situation dans les quinze villes dont les calendriers n’ont pas déjà été officiellement validés par l’Education nationale. Voir aussi le détail des villes dont les emplois du temps ont déjà été validés. Ablon-sur-Seine : refus d’appliquer «Nous n’avons pas formulé de proposition alternative et restons opposés à la réforme dans son cadre actuel. Nous attendons les décisions de l’Education nationale à l’issue du CDEN du 3 juillet et communiquerons ensuite aux familles si un nouvel horaire nous est imposé, afin de leur permettre de s’organiser», précise le maire de la ville, Eric Grillon.Chennevières-sur-Marne : Après avoir vu un premier projet retoqué par l’Inspection (car il prévoyait des horaires différents d’une semaine sur l’autre), la ville a organisé une consultation des Conseils d’école sur de nouvelles propositions. Les résultats de cette consultation étant très serrés, la ville a demandé à l’Inspection académique de trancher (voir article détaillé).Gentilly : pas de proposition alternativeIvry-sur-Seine : Après avoir vu un premier projet retoqué par l’Inspection (horaires différents d’une semaine sur l’autre), la commune a proposé la formule 8h45-16h avec pause de 12h à 14h, soit 3h15 le matin et 2h l’après-midi, et classe le samedi matin de 8h45 à 11h45. La proposition est en cours de validation par l’Inspection académique avant présentation au Cden du 3 juillet. De son côté, la conseillère d’opposition PS Sandrine Bernard a écrit à l’inspection pour rappeler que 88% de parents consultés s’étaient exprimés en faveur du mercredi et demander à ce que ce soit le mercredi matin qui soit retenu comme jour de classe.L’Haÿ-les-Roses : hostile à la réforme, la ville indique qu’elle appliquera malgré tout le cadre départemental type, s’il lui est imposé, et s’organisera à la rentrée pour proposer des animations durant la pause méridienne et un accueil périscolaire. «Nous avons prévu de renforcer les effectifs d’encadrement qui passeront de 1 adulte pour 20 enfants au lieu de 30 enfants actuellement en élémentaire et un adulte pour 11 enfants au lieu des 14 prévus légalement en maternelle», précise-t-on à la mairie. Par ailleurs, le Conseil municipal du 26 juin a réaffirmé l’opposition de la ville au décret et autorisé le maire à ester en justice pour réclamer des moyens budgétaires afin de mettre en place la réforme.Limeil-Brévannes : pas question de mettre les nouveaux rythmes en œuvre pour l’instant. La maire,Françoise Lecoufle, vient du reste de publier un nouveau communiqué ce mardi 1er juillet pour réaffirmer sa position. «Il revient au maire de décider ou non de mettre à disposition les locaux nécessaires. Dès lors, malgré des pressions incessantes exercées par l’Education nationale et les services de l’Etat, nous n’autoriserons l’ouverture des écoles ni le mercredi, ni le samedi», prévient l’élue. «De nouveaux rendez-vous ont déjà été pris avec l’Education nationale, au-delà du Cden», indique-t-on également en mairie.Maisons-Alfort : pas de proposition alternative non plus du côté de Maisons-Alfort. «C’est à l’Etat de prendre ses responsabilités et de notifier les emplois du temps à ses enseignants. Les communes ne sont pas légitimes pour imposer un cadre de travail aux enseignants», motive Olivier Capitanio, premier adjoint au maire.Noiseau : pas de proposition alternative.Saint-Maur-des-Fossés : Après avoir vu un premier projet retoqué par l’Inspection (horaires différents d’une semaine sur l’autre), la ville a proposé une nouvelle organisation avec école le samedi matin et en attend la validation. Le nouveau schéma a suscité des réactions de mécontentement de l’opposition PS et de la Fcpe (Voir article détaillé)Santeny : La ville appliquera les horaires imposés. «Nous appliquerons le cadre type sans proposer d’activités périscolaires supplémentaires jusqu’à la Toussaint, et réfléchirons durant cette période à ce que nous pourrons mettre en place», détaille le maire, Jean-Claude Gendronneau.Sucy-en-Brie : Avec Limeil, Sucy reste décidée à ne pas ouvrir ses écoles le mercredi. «Nous maintenons notre position de non-application pour éviter la précipitation. Nous allons relancer la concertation avec l’hypothèse du samedi matin», précise-t-on au cabinet du maire. Villecresnes : hostile à la réforme, le nouveau maire, Gérard Guille, indique qu’il appliquera le cadre type départemental si celui-ci lui est imposé. «Je ne peux pas me mettre hors la loi», explique-t-il.Villejuif : la ville appliquera le cadre type départemental s’il lui est imposé mais n’a pas fait de proposition alternative et souhaite laisser à l’Education nationale la responsabilité de nouveaux horaires.Villeneuve-le-Roi : pas de proposition alternative.Villeneuve-Saint-Georges : la ville appliquera le cadre type départemental imposé.
Zarko Posté(e) 2 juillet 2014 Posté(e) 2 juillet 2014 Le PS fustige la grève de la faim de la maire de Saint-Médard Aujourd'hui Grève de la faim PS Saint Médard en Forez Décidément, la réforme des rythmes scolaires n’en finit pas de faire réagir directement mais aussi indirectement. La grève de la faim engagée par la maire deSaint Médard-en-Forez a provoqué l’ire du Parti Socialiste dans la Loire qui s’est fendu d’une lettre très virulente à l’encontre de cette maire évoquant « de l’irresponsabilité politique ». Ce communiqué met en avant le fait « qu’il est irresponsable pour des élus de promouvoir des modes d’action politique pouvant mettre en péril la vie ou la santé d’un être humain ». Le communiqué fustige une action « purement politicienne » loin de l’intérêt des enfants. Jeudi, une manifestation de soutien à cette mairesse dans sa grève de la faim est prévue à Saint Médard. L’enseignante venue du Var pour se joindre à cette grève de la faim a dû se réalimenter pour des raisons médicales. Et ça se prétend socialiste ?????
Zarko Posté(e) 2 juillet 2014 Posté(e) 2 juillet 2014 ndre-et-Loire - Éducation Rythmes scolaires : " L'État doit reprendre la main "02/07/2014 05:38 réagir(0) Le Snuipp estime que les questions du temps scolaire et de l'apprentissage sont passées au second plan avec la réforme des rythmes. - (Photo archives NR) Le syndicat enseignant Snuipp a le sentiment de se retrouver englué dans la réforme. Il demande un cadrage par l’Éducation nationale. Publicité samedi dans le journal (une première), conférence de presse : le Snuipp multiplie les occasions de s'en prendre à la réforme des rythmes scolaires engagée voilà deux ans. Depuis, le ministre de l'Éducation nationale a changé, mais les problèmes demeurent. Pour le syndicat enseignant, il faut que l'État reprenne la main, qu'il ne laisse plus aux mairies le soin de décider du temps de travail pendant les 4,5 jours de classe. « Nous demandons un cadrage national par l'Éducation nationale,résume Paul Agard, secrétaire départemental du Snuipp. Dans les 420 écoles du département, il existe une centaine de schémas différents ! Ces choix sont imposés par les mairies en fonction des moyens dont elles disposent. » Apprentissage et temps de classe au second plan En Indre-et-Loire, Chambray-lès-Tours fait figure de bon élève, mais toutes les communes ne disposent pas d'une structure à proximité pour l'accueil des élèves après l'école. « Saint-Pierre-des-Corps a de l'ambition, mais peu de moyens. A Tours, les parents semblent un peu plus contents qu'au début mais deux jours par semaine restent avec 6 heures de classe. A Ballan-Miré, les enfants pourraient terminer à 15 h 30. Dans le Val de l'Indre, l'intercommunalité demande aux parents de chercher leurs enfants pour payer le minimum de garderie. La réforme qui aurait dû ouvrir la réflexion sur l'apprentissage et le temps dans les classes a fait passer ces sujets au second plan. » Le syndicat aimerait une reprise en main par l'État avec des moyens pour mettre en place « de réelles activités ». « Il faut des garde-fous. » Depuis trois jours, le syndicat a mis sur son site une pétition (*). Des courriers sont aussi envoyés aux maires, aux élus, aux parents d'élèves pour les sensibiliser à cette question. Au-delà de ce problème, le syndicat des enseignants du premier degré constate aussi des problèmes de recrutement dans l'académie, où 26 postes ne seraient pas pourvus. « Dans le département, cela se traduit par cinq recrutements en moins, dans un contexte de remplacements difficiles et de nouvelle hausse de la démographie. »De la publicité pour y remédier ? (*) http://www.snuipp37.fr/rythmes R.C.
Zarko Posté(e) 2 juillet 2014 Posté(e) 2 juillet 2014 http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Communes/Saint-Pierre-des-Corps/n/Contenus/Articles/2014/07/02/Compte-administratif-et-rythmes-scolaires-1969935
Karine1 Posté(e) 2 juillet 2014 Posté(e) 2 juillet 2014 (modifié) Quelle est la taille de la commune? Milieu social ? Je suis étonné que les parents ne disent rien; une telle pause méridienne, c'est quand même effrayant ! commune de plus de 28000 habitants, 11 groupes scolaires. Je pense que les parents réagiront (trop tardivement) à l'usage - surtout les parents qui ont des enfants en élémentaire et en maternelle. Pour l'instant ils n'ont pas conscience des soucis qui vont arriver. ex de problème : La maman qui avait l'habitude de prendre ses 2 enfants en mater et élem à déjeuner le midi devra ramener 1 enfant à 13h30 et un l'autre à 15h00 sauf à mettre celui qui reprend à 15h00 aux TAP à partir de 13h30... Pareil pour les heures de sortie : Quand les élem finiront à 16h30 les mater finiront à 15h00 - et inversement un autre jour. Certes ce souci n'aura lieu que 2 jours par semaine mais bon... Je pense que les gens laisseront les enfants en TAP pour que tout le monde ait les mêmes horaires d'où des TAP surchargés et rendus quasi obligatoires. Milieu social : hétérogène - selon les quartiers Modifié 2 juillet 2014 par Karine1
jeanounette Posté(e) 2 juillet 2014 Posté(e) 2 juillet 2014 Préavis de grève pour la rentrée dans le 91Le collectif regroupe des enseignants non syndiqués et syndiqués Sudeducation91, Snudi FO et snuipp.https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10203397039720940&set=gm.415596111914373&type=1&theater
montagny Posté(e) 3 juillet 2014 Posté(e) 3 juillet 2014 http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/07/03072014Article635399737101774132.aspx
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