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Revue de presse sur les rythmes II


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C'est un pas de plus vers la territorialisation -privatisation de l'école...Je ne vois pas ce qu'un directeur pieds et poings liés au maire apportera de plus....

Rien ne dit que ce sera ce type d'organisation qui sera choisie.

A la limite même, le fait que ce soit des emplois d'Etat montrerait le contraire.

C'est ce qui se trame depuis plusieurs années...et comme c'est ce que veulent les libéraux et les socio démocrates, autrement dit la vraie droite et la fausse gauche, alternativement au pouvoir pour conduire la même politique, je ne vois vraiment pas quelle autre organisation pourrait se profiler !

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Rythmes scolaires : les parents veulent garder l'heure d'études I.F. | 7 juil. 2014, 07h00






3982441_11-1-235276203_545x341.jpgGif-sur-Yvette, samedi matin. Une cinquantaine de manifestants ont protesté contre certains changements annoncés pour la rentrée de septembre dans les écoles. ( LP/I.F.)
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Des cas particuliers partout

Pour autant, les 139 communes qui vont suivre le mouvement à la rentrée, ne peuvent pas adapter l'exemple d'Aiguillon : «Ce qui est vrai dans une commune ne l'est pas dans la commune voisine, que ce soit pour le nombre d'élèves, de classes ou de transports», avertit Pascal de Sermet, maire de Colayrac-Saint-Cirq.

Dans sa propre ville, il explique que tout va bien, que le fameux Projet éducatif de territoire (PEDT) est cohérent. Mais il reconnaît que les moyens pour gérer les TAP étaient déjà présents «grâce au centre de loisirs qui va être la cheville ouvrière de notre programme.

Le problème va être le moyen de transport pour amener les enfants de l'école à la cantine, mais on a la chance de pouvoir utiliser un bus de réemploi». Une chance que n'ont pas toutes les communes, comme il le rajoute. Cela aura un impact encore plus important sur le budget de ces mairies.

Avec les dispositifs déjà présents, le maire de Colayrac a calculé un surcoût de 30 000 € pour la mise en place de la réforme, «soit 1,6 % du budget». «L'Etat accorde une aide par le biais de la CAF, mais seulement la première année et elle équivaut à 0,50 cts d'euros par enfant et par heure d'animation.» Comme beaucoup de candidats, Pascal de Sermet avait promis de ne pas augmenter la fiscalité locale, il sait qu'il va donc devoir gérer au plus près son budget. Et même s'il est content de la concertation avec les acteurs du secteur éducatif qui a abouti à un PEDT qu'il estime satisfaisant pour les enfants, il ajoute au sujet de la réforme : «si on avait pu, on s'en serait passé».

Michael Ducousso
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C'est un pas de plus vers la territorialisation -privatisation de l'école...Je ne vois pas ce qu'un directeur pieds et poings liés au maire apportera de plus....

Rien ne dit que ce sera ce type d'organisation qui sera choisie.

A la limite même, le fait que ce soit des emplois d'Etat montrerait le contraire.

C'est ce qui se trame depuis plusieurs années...et comme c'est ce que veulent les libéraux et les socio démocrates, autrement dit la vraie droite et la fausse gauche, alternativement au pouvoir pour conduire la même politique, je ne vois vraiment pas quelle autre organisation pourrait se profiler !

C'est un pas de plus vers la territorialisation -privatisation de l'école...Je ne vois pas ce qu'un directeur pieds et poings liés au maire apportera de plus....

Rien ne dit que ce sera ce type d'organisation qui sera choisie.

A la limite même, le fait que ce soit des emplois d'Etat montrerait le contraire.

C'est ce qui se trame depuis plusieurs années...et comme c'est ce que veulent les libéraux et les socio démocrates, autrement dit la vraie droite et la fausse gauche, alternativement au pouvoir pour conduire la même politique, je ne vois vraiment pas quelle autre organisation pourrait se profiler !

Pourquoi toujours politiser les décisions relatives à la direction des écoles primaires et ne pas simplement regarder les facilités de fonctionnement?

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Pourquoi toujours politiser les décisions relatives à la direction des écoles primaires et ne pas simplement regarder les facilités de fonctionnement?

Mais parce que l'objectif , c'est le désengagement de l'ETAT et rien d'autre ! Tu verras que ces "super-directeur" chapeauteront plusieurs écoles et qu'il faudra quand même, au sein de chaque école, un "mini directeur" qui devra gérer le quotidien mais SANS AUCUN AVANTAGE ! Voilà ce qui se profile !

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Rythmes scolaires : le ton monte


Marie D'Ornellas | 8 juil. 2014, 07h00






3985281_11-1-238546014_545x341.jpgCorbeil, hier A l’occasion du dernier conseil municipal avant la rentrée, une quarantaine de parents d’élèves ont manifesté leur colère contre les changements annoncés. (LP/M.O.)


















Ils sont arrivés hier soir sur la place Galignani avec des banderoles pour dénoncer « une application bidon de la réforme des rythmes scolaires ». Leur but : pouvoir entrer en conseil municipal, le dernier à Corbeil avant la rentrée. « Notre seule arme, ce...

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C'est un pas de plus vers la territorialisation -privatisation de l'école...Je ne vois pas ce qu'un directeur pieds et poings liés au maire apportera de plus....

Rien ne dit que ce sera ce type d'organisation qui sera choisie.

A la limite même, le fait que ce soit des emplois d'Etat montrerait le contraire.

C'est ce qui se trame depuis plusieurs années...et comme c'est ce que veulent les libéraux et les socio démocrates, autrement dit la vraie droite et la fausse gauche, alternativement au pouvoir pour conduire la même politique, je ne vois vraiment pas quelle autre organisation pourrait se profiler !

Un statut, non hiérarchique ou non, c'est aussi ce que demandent des milliers de directeurs et ex-directeurs bien ancrés à gauche.

Ne nous trompons pas de débat.

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Encore un pataques parmi des milliers:

Saint-Quentin : les conseils d’école (dé)gomment le projet de Xavier Bertrand

PUBLIÉ LE 08/07/2014

Par A.S.

Avec 22 votes contre lors des 31 conseils d’école, le maire, désavoué, est contraint de tirer un trait sur son idée de réunir des activités périscolaires sur une demi-journée.

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Après maints et maints détours, la Ville est finalement revenue à la case départ et va appliquer la version initiale de la réforme des rythmes scolaires. Les conseils d’école ont parlé. Avec 22 votes contre sur 31 comptabilisés jeudi dernier, ces assemblées qui réunissent directeurs, maîtres d’école, élus et représentants de parents d’élèves ont affiché leur refus de suivre la municipalité à la lettre.

« La majorité n’était pas acquise », indique le directeur de l’Inspection académique, Jean-Luc Strugarek. Un aval nécessaire à la mise en place du dispositif permis par l’un des décrets Hamon. « On revient à la formule initiale », confirme-t-il. Un vote qui rature l’idée lancée par le maire Xavier Bertrand et « négociée avec le recteur » d’après Françoise Jacob, adjointe au maire chargée de l’Éducation.

À l’époque, ce dernier soulignait « l’imagination et l’inventivité » de l’édile. C’était sans compter l’avis des premiers concernés.

« Il n’y a pas eu de réelle réflexion ni de concertation avec les conseils d’école ni les enseignants », explique Guillaume Hily, secrétaire départemental du FSU.

« Le 12 mai, les syndicats ont été conviés par la municipalité pour qu’elle présente son choix », se souvient-il. Un choix porté sur une demi-journée d’activités périscolaires, ce qui laissait les enfants finir les cours à 16 h 30 le reste de la semaine, soit l’heure habituelle de la sonnerie d’école. Et sept mercredis matin vaqués.

« Puis, on n’a plus eu de nouvelles jusqu’au 19 juin, poursuit-il. Quand des tracts ont été distribués aux familles d’élèves ». Le lendemain, le Comité départemental de l’éducation nationale (CDEN) « devait arrêter les horaires scolaires pour toutes les communes du département ».

Une consultation a d’ailleurs été lancée à peu près en même temps, dont la Ville n’a pas souhaité communiquer les résultats. « Ils ne sont pas représentatifs, on n’a eu que 7 % de retours », précise Orane Gobert, directeur de cabinet du maire.

Oubliée donc la version avec des activités périscolaires organisées sur un après-midi, « c’est peut-être économiquement plus avantageux pour la Ville, mais ce n’est plus dans l’esprit de la loi Peillon », censée raccourcir le temps de cours journalier des enfants, explique Guillaume Hily, qui évoquera aussi des pressions tentées par des élus au sein des conseils d’école. Ce que nie formellement Orane Gobert.

« Système de garderie »

Les bambins finiront donc leurs cours à 15h45. À la Ville, on ne sait pas s’il y aura des activités périscolaires après cette heure-là, ce que chaque commune est libre de décider. Orane Gobert parle d’« un système de garderie » qui serait mis en place jusqu’à 16h30.

Avant de fustiger la réforme et de préciser que « quand on a qu’une demi-heure, on ne peut pas faire autant d’activité qu’en un après-midi. (…) Je ne vous dis pas que c’est impossible, on travaille quand même dessus ».

À part ça, les cours se dérouleront jusqu’à 15 h 45 le lundi, mardi, jeudi et vendredi et jusqu’à 11 h 30 le mercredi.

Les dates

25 juin 2013 : la loi sur la refondation de l’école proposée par le ministre Vincent Peillon est adoptée à l’Assemblée nationale.

Mars 2014 : Xavier Bertrand présente toutes sortes d’activités périscolaires au cours d’une réunion sur les rythmes scolaires.

Mai 2014 : Xavier Bertrand menace de ne pas appliquer la réforme, après avoir lancé une troisième consultation.

Juin 2014 : Xavier Bertrand propose, après négociation avec le recteur, de mettre en place les activités périscolaires sur un après-midi de la semaine, qui changerait à chaque semestre.

Juillet 2014 : le maire est désavoué par les conseils d’école, qui rejettent son projet à 22 contre 31. La réforme sera donc appliquée selon ses termes d’origine. Les activités périscolaires ne sont plus prévues pour le moment, sans être exclues pour autant.

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Qui pourra encore prétendre que les TAP n'auront pas d'incidences sur les dotations aux écoles ?

Économies débattues0 COMMENTAIRE
Publié le 08/07/2014 à 06h00 par
Les économies plus que jamais à l’ordre du jour : des parents d’élèves se mobilisent pour les classes découvertes. 1608857_6006101_800x400.jpg?v=1Patrick Duart (au centre) en discussion avec les parents d’élèves sur le perron du château Peixotto.© PHOTO
PHOTO P.F.

PATRICK FAURE

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p.faure@sudouest.fr

A l'occasion de la dernière réunion du Conseil municipal (ce Sud Ouest du 5 juillet 2014), une quinzaine de parents d'élèves avait rejoint le château Peixotto pour manifester son mécontentement quant au projet municipal d'un moratoire sur les classes de découvertes. Celles-ci concernent particulièrement les CM1 ou les CM2.

Monique de Marco (EELV) s'en est faite la porte-parole, souhaitant d'abord une information sur une « réactualisation du coût prévisionnel des rythmes scolaires ». Patrick Duart, adjoint à l'enseignement et au périscolaire, a expliqué « qu'il n'y a pas d'évolution par rapport aux dépenses annoncées ».

Moratoire

La conseillère municipale d'opposition a enchaîné : « Lors des récents conseils d'école, il a été annoncé un moratoire sur deux ans des classes de découvertes. Quelles en sont les raisons ? Avez-vous envisagé une concertation pour trouver une solution acceptable par tous pour conserver ces classes essentielles à l'apprentissage et à l'autonomie des enfants ? »

Le maire avait partiellement rappelé sa position en début de Conseil : « Il nous faut faire des économies ; les parents d'élèves doivent être conscients que l'on doit économiser un million d'euros cette année, ce qui est dû aux charges nouvelles que nous envoie l'État. Tout le monde est d'accord pour faire des économies, si ce sont les autres qui les font. Et si l'on ne fait pas d'économies, on augmente les impôts. L'an prochain, c'est deux millions d'euros qu'il faudra économiser. Et personne ne veut que l'on économise dans son secteur. Nous avons déjà réduit pour la culture et le sport. »

Monique de Marco annonce une pétition regroupant 300 signatures de parents d'élèves de différentes écoles.

Disparités

Patrick Duart a abondé : « J'ai déjà donné des explications en conseil d'école. La réforme des rythmes scolaires va coûter très cher à la collectivité et l'État baisse ses dotations. Pour les écoles, si on joue sur les travaux à effectuer, il y a des limites sur le mobilier aussi, sans oublier les transports. Si l'on fait des économies là, on pénalise toutes les classes et toutes les écoles. Il y a 2 600 écoliers à Talence et les classes découvertes concernent 300 enfants. En économisant sur ces classes, on ne pénalise pas le fonctionnement de l'ensemble. Le coût des classes découvertes pour l'année écoulée a été de 120 000 euros. Il faut savoir qu'il y a aussi des disparités très importantes entre le coût de ces classes. Mais on peut imaginer réduire les durées des séjours ou plafonner la participation de la ville. »

L'adjoint au maire a annoncé n'en n'être « qu'au stade de la réflexion pour éviter des économies plus importantes sur les autres postes ». Des rencontres ont été programmées à la rentrée avec parents et enseignants afin de trouver une solution.

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Et hop , on continue la liste !

COMPIÈGNE La confusion gagne sur la question des rythmes scolaires

PUBLIÉ LE 04/07/2014

FABIOLA DOR

À trop vouloir attendre pour l’application de la réforme, la Ville de Compiègne a pris parents et associations de court pour l’organisation de la prochaine rentrée.

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La mise en place de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée prochaine prend de court association et parents à Compiègne. La mairie a attendu la dernière minute, espérant jusqu’au bout y échapper.

« À une semaine des vacances, je vous assure que personne ne s’y attendait », explique Fabienne, mère de famille, rencontrée ce jeudi 3 juillet, à la sortie des classes de l’école Hersan. « Pour se préparer, il faut être informé », s’agace Christine Guiraud, présidente du conseil d’administration de l’Agence générale des familles de Compiègne (Agefac).

« L’organisation de la rentrée 2014 se fait à l’arrache », ajoute-t-elle, déboussolée. Il n’y a pas de solution miracle. Le jour des enfants est devenu le casse-tête de tous. Caroline Laurent, parent d’élèves, est catégorique : « Cette année, on va faire moins de sport, c’est dommage, mais je ne peux pas m’organiser autrement. »

« La mairie a oublié certains problèmes », regrette Christine Guiraud. Les danseuses de l’Afegac s’exercent dans des gymnases partagés avec des écoles. Toutefois, avec les matinées supplémentaires, les établissements scolaires vont être prioritaires sur les associations. Déçue, l’Agefac se retrouve sur une liste d’attente. « Si on nous refuse le gymnase, il faudra gonfler certains cours, et refuser certaines petites. » Accepter moins d’adhérentes a aussi un impact direct sur le budget du club. « Quand on n’a pas le choix, on s’adapte », assure Christine Guiraud.

À l’instar de l’Agefac, Caroline Laurent doit trancher. Et de soupirer : « Les enfants sont lésés, une fois de plus ». Entre faire du sport le soir et les devoirs, cette mère de deux enfants penche pour la réussite scolaire de ses derniers. « Ma fille a un bon niveau de tir à l’arc, je voulais accentuer l’entraînement mais ce n’est pas possible », confie-t-elle la voix nouée.

Autre bémol, certaines familles sont déjà parties en vacances. Les pieds dans le sable, elles ne peuvent donc pas se ruer sur les quelques places disponibles dans les centres de loisirs du mercredi. « Ce sera en septembre la vraie crise », ajoute la responsable de l’Agefac.

Une chose est sûre la rentrée scolaire 2014, risque de faire couler beaucoup d’encre. Nombreux parents n’ont aucune idée du mode de garde auquel ils vont recourir pour faire garder leurs progénitures. Les employeurs vont devoir être conciliants. Comme s’en amuse la mère de la petite archère : « Il faut faire avec ! »

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Patrick Duart a abondé : « J'ai déjà donné des explications en conseil d'école. La réforme des rythmes scolaires va coûter très cher à la collectivité et l'État baisse ses dotations. Pour les écoles, si on joue sur les travaux à effectuer, il y a des limites sur le mobilier aussi, sans oublier les transports. Si l'on fait des économies là, on pénalise toutes les classes et toutes les écoles. Il y a 2 600 écoliers à Talence et les classes découvertes concernent 300 enfants. En économisant sur ces classes, on ne pénalise pas le fonctionnement de l'ensemble. Le coût des classes découvertes pour l'année écoulée a été de 120 000 euros. Il faut savoir qu'il y a aussi des disparités très importantes entre le coût de ces classes. Mais on peut imaginer réduire les durées des séjours ou plafonner la participation de la ville. »

Ou comment, grâce à la réforme des rythmes, on va faire exactement l'inverse de ce qui était vanté : on va priver les élèves de beaucoup d'activités réellement culturelles et sportives qu'ils n'auront pas forcément l'occasion de pratiquer ailleurs.

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Patrick Duart a abondé : « J'ai déjà donné des explications en conseil d'école. La réforme des rythmes scolaires va coûter très cher à la collectivité et l'État baisse ses dotations. Pour les écoles, si on joue sur les travaux à effectuer, il y a des limites sur le mobilier aussi, sans oublier les transports. Si l'on fait des économies là, on pénalise toutes les classes et toutes les écoles. Il y a 2 600 écoliers à Talence et les classes découvertes concernent 300 enfants. En économisant sur ces classes, on ne pénalise pas le fonctionnement de l'ensemble. Le coût des classes découvertes pour l'année écoulée a été de 120 000 euros. Il faut savoir qu'il y a aussi des disparités très importantes entre le coût de ces classes. Mais on peut imaginer réduire les durées des séjours ou plafonner la participation de la ville. »

Ou comment, grâce à la réforme des rythmes, on va faire exactement l'inverse de ce qui était vanté : on va priver les élèves de beaucoup d'activités réellement culturelles et sportives qu'ils n'auront pas forcément l'occasion de pratiquer ailleurs.

Ce qu'on répète depuis le début !! Et encore , tu verras pour les sorties à la piscine, stade ou visites, elles seront forcément concentrées le matin et donc maths/français l'après-midi...N'importe quel cerveau , même très moyen, l'aurait anticipé. Ce qui prouve bien la mauvaise foi et la malhonnêteté de beaucoup...L'objectif, ce n'est certainement pas le bien être des enfants !

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