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Revue de presse sur les rythmes II


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Et les classes de poney (ou voile, ou ...) sans hébergement se feront sur 3/4 d'heures supplémentaires de bénévolat.

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Pour les musées, alors que nous en avons plein la ville, les créneaux des aprèms où on termine à 15h n'intéressent plus personne....et pour les sorties à la journée si ce n'est pas le lundi u le jeudi ben c'est non aussi.....et le mercredi le centre de loisirs ne fait plus de sortie à la journée non plus du coup.....

mais c'est pour le bien des enfants !

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Pour les musées, alors que nous en avons plein la ville, les créneaux des aprèms où on termine à 15h n'intéressent plus personne....et pour les sorties à la journée si ce n'est pas le lundi u le jeudi ben c'est non aussi.....et le mercredi le centre de loisirs ne fait plus de sortie à la journée non plus du coup.....

mais c'est pour le bien des enfants !

Pis en plus, beaucoup de musées sont fermés le lundi!!!!

Tout Paris se concentrera au musée les jeudis! :heat:

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Rythmes scolaires : pourquoi la gauche dit non Publié le 09/07/2014 à 03:52 , Mis à jour le 09/07/2014 à 07:43 Agen (47)
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Une manifestation de parents d'élèves était attendue, elle n'est pas venue. Du coup, Emmanuel Eyssalet s'est fait le porte-parole des mécontents de la réforme des rythmes scolaires à Agen. Photo./Jean-Michel Mazet.
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Les coéquipiers d'Emmanuel Eyssalet ont voté contre l'application, par l'équipe Dionis, de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée prochaine.Explications sur ce vote.

L'heure tardive aurait pu pousser quelques conseillers municipaux du clan Dionis à se pincer pour s'extraire du rêve. Avec deux pouvoirs de vote, Emmanuel Eyssalet et Sandrine Laforre ont voté contre la mise en place de la réforme des rythmes scolaires lors de cette dernière réunion de conseil municipal avant la pause estivale. C'est pourtant une loi du gouvernement Ayrault.

Explication de vote du chef de file PS : «Nous n'avons pas voté contre la réforme, car c'est une obligation légale, c'est une loi. On ne votait pas pour l'application ou non, mais sur les modalités de mise en place.» Et sur ce point, la gauche socialiste continue de dire que ce qui est mis sur pied l'est «a minima» pour reprendre le nom de baptême du profil Facebook crée par des parents d'élèves.

Deux TAP aux enfants

Selon E. Eysssalet, la réforme à la sauce agenaise est mal fichue. Deux TAP (temps d'activités périscolaires) «au lieu de trois, ou quatre. Pire, ces deux modules sont obligatoires sur deux jours toute l'année. Ce n'est, à notre avis, pas ce qu'il fallait faire». L'autre motif de fâcherie tient en une petite ligne, qui précise dans la délibération votée à l'heure du marchand de sable y compris pour les parents. «La municipalité rappelle qu'elle n'a pas obligation des TAP et qu'ils sont mis sur pied à titre expérimental. J'entends bien Maïté François (adjointe aux écoles, N.D.L.R.) mais je vois venir Bernard Lusset qui va continuer à démonter cette réforme.»

Pour la première année de fonctionnement, elle coûte 175 000 € à la collectivité, compte tenu du soutien financier public par élève. «À ce prix-là, on pouvait aller au-delà» estime encore l'opposant, qui veut batailler pour «améliorer l'accueil.» Concernant l'absence de prise en charge des enfants le mercredi midi, il a proposé au lever du jour et en fin de séance mardi matin que le service portage repas du CCAS soit utilisé. «Avec cette solution pour le mercredi midi, les enfants bénéficier d'un transport par bus après 13 heures.»

Jean Dionis estime «avoir trouvé le bon compromis service coût. La loi nous impose l'équivalent de neuf demi-journées, c'est elle qui a créé le problème, pas nous. Il nous fallait six bus pour le transport, nous ne les avions pas !»

La loi nous impose l'équivalent de neuf demi-journées, c'est elle qui a créé le problème, pas nous.

C'est malheureusement vrai ! :secret:

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ndre-et-Loire - Tours - Conseil municipal
Rythmes scolaires : trop de précipitation ?
09/07/2014 05:35
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Emmanuel Denis.

Si le débat sur la réforme territoriale a animé le début de conseil municipal, lundi soir (lire la NR d'hier), les échanges autour de la réorganisation des rythmes scolaires à Tours ont également « pimenté » quelque peu la séance. Emmanuel Denis, conseiller Verts, a allumé la mèche en pointant une démarche municipale « beaucoup trop précipitée ».

" Une erreur d'avoir refait un big bang "

« De plus en plus d'acteurs de la communauté éducative se font entendre pour le dire, a lancé l'élu écologiste. D'abord les parents, pas assez impliqués dans les discussions. Ensuite, les enseignants, qui ont été mis hors jeu. Enfin les éducateurs, les animateurs et les structures qui sont pourtant les partenaires privilégiés de la municipalité pour les temps périscolaires. Nous considérons que c'est une erreur d'avoir refait un big bang dès cette année ! »
Pour Serge Babary, la remise à plat du dispositif s'imposait comme une nécessité, car celui mis en place par la municipalité Germain « n'avait pas donné satisfaction. On s'est donc employé à l'améliorer ». Avec, assure-t-il, aucune volonté de passer en force.
« On a fait de la concertation et de l'information à destination du personnel et des parents », a expliqué le maire, en évoquant aussi des formations pour les animateurs qui assureront la prise en charge des enfants dans le cadre de Temps d'activités périscolaires (Tap). Et au final, selon lui, l'inspecteur d'académie et le recteur approuvent les orientations prises à Tours. L'adjointe à l'éducation, Barbara Darnet-Malaquin, a elle aussi défendu les choix opérés par la nouvelle municipalité : « Tout le monde réclamait les Tap en fin de journée (*). On a essayé de faire au mieux. »
Mais, comme l'a glissé Emmanuel Denis, l'organisation des Tap pourrait se faire « au préjudice des collégiens, car vous allez réquisitionner des gymnases ». Une remarque qui a profondément agacé Serge Babary. Le maire a rappelé que les gymnases en question étaient des équipements municipaux et que seules 4 % des heures affectées aux collèges et lycées leur seraient retirées.
Chacun est évidemment resté campé sur ses positions. Rendez-vous à la fin de l'année scolaire 2014-2015 pour compter les points.

(*) Ils se dérouleront deux après midis par semaine de 15 h à 16 h 30.

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dre-et-Loire - Ballan-Miré - Ballan-miré
Les rythmes scolaires lors des questions diverses
09/07/2014 05:29
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Les rythmes scolaires continuent de faire débat.

Alors que l'on a déjà dépassé les 2 h 30 de débats de ce dernier conseil (voir également nos éditions des 2 et 4 juillet), les questions diverses prolongent encore un peu plus les débats, avec notamment le dossier sur les rythmes scolaires.
Lors d'une déclaration, le conseiller d'opposition Franck Sémard considère que la nouvelle municipalité a perdu plus de 90 jours en réflexion et demande au maire : « Quand seront terminées les postures électoralistes et les petites phrases dans les médias pour entamer enfin le mandat avec le respect de votre programme qui prévoyait l'application de la réforme ? »

Une déclaration qui fait réagir immédiatement Alexandre Chas : « C'est vous qui me dites cela ! Vous qui avez pris sept mois uniquement pour fixer les horaires. » « Rien n'a été fait sur les activités. Nous n'avons que 16 animateurs sur les 54 nécessaires. Aucun recrutement n'a été fait. Pas de dossier sur s'appuyer », renchérit Mme Nowak.
Des propos que ne peut accepter Gilles Descroix, ancien adjoint, qui a travaillé sur ce dossier. Pour lui, il s'agit uniquement « d'une position politique » du maire et de lui demander : « Quelle est votre position ? ». Alexandre Chas le renvoie vers les courriers qu'il a envoyés aux parents et acteurs concernés par cette réforme et entend « ne rien bâcler ».
Le maire précise également que la décision finale viendra du préfet. Au pire, les activités se feront sous forme de garderie à la rentrée de septembre.

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Rythmes scolaires à Antibes: Leonetti recalé à l'oral

Publié le

mardi 08 juillet 2014 à 14h21

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strictement identique a été validé, par le même rectorat, pour les villes de Saint-Raphaël, Brignoles et Six-Fours", Jean Leonetti a interpellé le ministre de l'Éducation… qui l'a renvoyé vers la rectrice.

Une entrevue a été organisée samedi matin. Le premier magistrat a défendu son point de vue. Selon lui, Claire Lovisi s'est engagée à se prononcer "très vite". Et, en l'espèce, elle a tenu parole : son avis - négatif - a été communiqué, hier, à la première heure.

"Les projets étudiés avec bienveillance"

"Je le regrette, soupire Jean Leonetti. En proposant qu'un comité de suivi soit mis en place pour évaluer, sur une année complète, l'efficience du projet de la Ville, je pensais m'inscrire dans la volonté d'expérimentation du ministre. En rejetant un plan validé - avec ou sans réserves - par 25 conseils d'école sur 29, la rectrice impose une application du décret Peillon qui était refusée par 50 % des enseignants et 80 % des parents."

Le rectorat, par la voix de son directeur de la communication, conteste cette analyse : "Seulement dix conseils ont approuvé le projet antibois. Quatre l'ont rejeté et quinze ont réclamé des aménagements, notamment sur la durée de la journée scolaire, dont le maire n'a pas tenu compte. Il n'y avait donc pas un consensus autour du plan municipal."

Ce porte-parole rejette également toute comparaison avec les autres villes : "C'est techniquement impossible, il n'y a pas deux communes identiques et les critères d'évaluation sont nombreux. Nous avons étudié tous les projets avec bienveillance. Dans les Alpes-Maritimes, sur les vingt-cinq dossiers qui nous ont été soumis, nous n'en avons retoqué que quatre."

Impossible de savoir précisément pourquoi le plan antibois a été refusé : "Nous ne souhaitons pas justifier nos choix ville par ville."

C'est pourtant cela qu'exige, désormais, Jean Leonetti.

Convaincu que la cité des remparts fait l'objet d'une mesure arbitraire, il a écrit hier à Benoît Hamon pour solliciter son arbitrage. Si le ministre ne désavoue pas la rectrice, la Ville portera l'affaire devant les tribunaux.

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GuérandeRythmes scolaires : Guérande revoit sa copie

Guérande applique l'assouplissement de la réforme des rythmes scolaires, proposé par Benoît Hamon. Les temps péri-éducatifs seront finalement concentrés sur une demi-journée.

Dernière mise à jour : 09/07/2014 à 08:57

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Tout était décidé. Fin janvier, le maire Christophe Priou annonçait le nouveau rythme scolaire adopté par Guérande pour septembre 2014 : une journée d’école qui se termine plus tôt, à 15h30, pour un temps péri-éducatif (TPE) d’une heure.

Cinq mois plus tard, la musique a changé. Stéphanie Phan Thanh, aujourd’hui assise dans le fauteuil de maire, a décidé de profiter de l’assouplissement de la réforme, décrété par le ministre Benoît Hamon le 7 mai dernier. Terminées les journées d’école plus courtes complétées par des activités. Finalement, les TPE seront regroupés sur une demi-journée par semaine : le jeudi pour la majorité des écoles (1), le mardi pour Saint-Aubin et Saint-Joseph. Les autres jours, la fin des cours sera sonnée à 16h30. Comme aujourd’hui.

Un recrutement plus facile

Si l’esprit de la réforme s’éloigne, la facilité d’organisation, elle, est évidente.

La mairie résout surtout un gros problème de recrutement. Il lui manquait en effet une cinquantaine d’agents sur les 124 qu’elle estimait avoir besoin pour mener ces activités.“Regrouper les TPE nous permet une meilleure prise en charge”, explique Stéphanie Phan Thanh.

Cette fois-ci, il ne manque plus qu’une quinzaine d’agents, qui devraient être recrutés dans l’été.“C’est difficile de trouver des personnes pour une heure dans la journée, note Gwenaël Le Gal, responsable du service Jeunesse éducation prévention. Nous avions peu de réponses valables”. Même échec du côté des associations, “à qui nous demandions un engagement sur le long terme”.

Des activités qui tournent

Les TPE restent non facultatifs et gratuits. En tout cas, pour cette année.

En ce qui concerne le contenu même des activités, Guérande n’a pas changé sa ligne. Elles tourneront toutes les deux semaines dans les écoles. Les enfants (et leurs parents) pourront choisir entre arts créatifs, activités sportives, sciences et nature, atelier libre ou aide aux leçons.“La question de les rendre payants ne s’est même pas posée, avoue le maire. Mais on fera un bilan au bout de quelques mois pour voir ce qu’il en est”.

“Un programme plus détaillé sera mis en ligne sur le site de la mairie mi-juillet”.

Pour les maternelles, le temps de sieste sera toujours de mise. Pour les sept premières semaines, un premier document doit être remis au CCAS avant le 14 août.

La cantine le mercredi

Il n’y a pas que les TPE qui posent question dans la réforme. L’école le mercredi matin va aussi bouleverser l’organisation des familles, entre des parents qui vont reprendre le travail le mercredi et des activités extrascolaires déplacées dans l’emploi du temps. Le mercredi, l’école se terminera à midi et le centre de loisirs prendra le relais. Les enfants auront donc la possibilité de manger à la cantine ce jour-là, s’ils restent l’après-midi au centre de loisirs.

Aide de l’Etat : “on ne compte pas dessus”

Regrouper les TPE permet-il à la municipalité de faire des économies ? Pas vraiment. En tout cas, assure Stéphanie Phan Thanh, “cela n’a pas été notre motivation première”. Fin janvier, Guérande annonçait une note oscillant entre 200 000 et 250 000 € ; elle ne variera que de peu avec la nouvelle organisation. L’ennui, c’est que “l’on ne connaît pas encore tous les effets indirects”.

L’Etat a annoncé apporter aux communes une aide de 50 € par élève – ce qui, pour les 1 500 concernés à Guérande, représente 75 000 €.

“Franchement, ce serait une bonne surprise, mais on ne compte pas trop dessus”, avoue le maire.

L’élue parle en effet de ces communes qui ont appliqué la réforme dès cette année, et n’auraient finalement pas reçu d’aide. En fait, Saint-Nazaire a pour l’instant reçue la moitié de la somme promise.

À savoir. Ce nouveau rythme concerne près de 1 500 des 1 744 élèves guérandais. L’école Sainte-Marie a en effet décidé de rester pour l’instant à la semaine de 4 jours.

Coralie Durand

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Ça va mettre du sel dans leurs vacances !

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...après s'être fait sucrer le mercredi ! :)

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BEAUVAISIS : La réforme dans la douleur

PUBLIÉ LE 03/07/2014

Alix de La Roncière


2010308869_B973075228Z.1_20140703181658_Problèmes logistiques, financiers, désaccords pédagogiques. La réforme des rythmes scolaires perturbe un bon nombre de maires, enseignants et parents d’élèves.

Les rythmes scolaires, ça coince. Écoles, mairies et parents doivent s’organiser et mettre la main au porte-monnaie. Le temps presse, le gouvernement exige l’application de la réforme à la rentrée prochaine. Et à la veille des grandes vacances d’été, plusieurs communes n’ont pas encore arrêté l’organisation du temps scolaire de la rentrée. Quand d’autres présentent tout juste leur projet. Tour d’horizon.

L’organisation arrêtée… la semaine dernière

À Valdampierre, au sud de Beauvais, la réforme est passée vendredi 27 juin. Le conseil d’école a choisi d’organiser les activités périscolaires le vendredi après-midi. Le centre social prendra en charge les activités d’une trentaine d’enfants sur 150 scolarisés. « À la base, c’était fait pour permettre le repos des enfants. Là, les petits ne pourront pas se reposer », regrette Philippe Allard, le secrétaire de mairie. Mais la réforme s’applique dans de bonnes conditions ». Des questions demeurent : comment faire garder son enfant ? Quel est le prix à payer ? Une réponse sera apportée au cas par cas aux parents, en fonction du nombre d’enfants inscrits et de la situation personnelle des familles.

La réforme adoptée sous la contrainte

L’inquiétude est palpable chez les parents, soucieux du rythme physiologique des tout-petits. À Jouy-sous-Thelle (sud ouest de Beauvais), les activités périscolaires se dérouleront une heure, trois jours par semaine (lundi, mardi et jeudi de 15 h 30 à 16 h 30). La facture : 8000 euros par an pour la commune qui en assume 50 %. Le maire Hervé Lefèvre s’agace : « Nous avons été obligés d’accepter. Les pétitions de l’Union des maires de l’Oise n’ont pas suffi, le gouvernement n’a pas bougé. Pourtant, les communes qui ont expérimenté la réforme sont insatisfaites ». La mairie a signé pour un an, « puisqu’un article le permettait ». Si ce n’est pas concluant, « nous ne persévérerons pas » promet Hervé Lefèvre.

Beauvais digère la réforme sans plaisir

La ville a opté pour des journées plus courtes, une pause déjeuner plus longue et un temps scolaire le mercredi matin (de 8 h 30 à 11 h 30). Pour le sénateur-maire, Caroline Cayeux, signataire des pétitions avec l’Union des Maires de l’Oise, c’est « une réforme bâclée, qui a été disloquée par les modifications successives et qui a perdu son sens : la mise en place d’un rythme scolaire adapté aux besoins chrono-biologiques des enfants n’est plus à l’ordre du jour et je ne peux que le regretter ».

La réforme passe en force

À Ponchon (sud est de Beauvais), le maire Robert Joyot (UMP), s’emporte : « La proposition de l’éducation nationale est pernicieuse. Au lieu de répartir les activités sur une semaine – c’est-à-dire de façon impossible – elle propose de les regrouper sur un seul après-midi. Nous avons choisi le jeudi après-midi par défaut. Alors la haute administration de l’Éducation nationale dit que nous y sommes favorables. C’est faux, nous l’avons pris comme un moindre mal. Entre deux maux, il faut choisir le moindre ».

La réforme, c’est non

À Crèvecoeur-Le-Grand, la situation bloque complètement, notamment à cause des transports scolaires. L’agglomération compte 120 élèves répartis sur 5 communes : « On a tourné la question dans tous les sens, impossible d’appliquer la réforme pour l’instant » explique M. Tenart, représentant de l’association des parents d’élèves (SIVS). « Dans les campagnes, ce n’est pas comme en ville, nous dépendons des transports, donc du conseil général. On nous tient en otage ». La commune penche pour une présence des élèves le samedi matin. Le projet est irréalisable, il n’y a pas de transport ce jour-là. « On accepterait la réforme si elle apportait quelque chose à nos enfants. Elle coûte à la commune 5 à 600 euros par an et par enfant. Dans les villages, on manque de moyens. Il faut recruter des animateurs difficiles à trouver, dénicher des salles, organiser une cantine. Les impôts, c’est nous. Dans un contexte de crise, c’est difficile. On nous force la main ; la rentrée approche, les gens veulent s’organiser » tempête Monsieur Ténard.

Lundi, le ministre de l’Éducation nationale Benoît Hamon a mis les maires en garde : ceux qui n’appliqueront pas la réforme des rythmes scolaires à la rentrée seront dans l’illégalité et « condamnés comme tels » par la justice.

À Crèvecoeur-Le-Grand....Oui, comme son nom l'indique...

Plus sérieusement, quand on voit la multiplication des problèmes (et ce n'est pas terminé) que pose cette horreur réforme, je me demande comment le MEN peut rester aussi autiste...On n'a jamais vu ça...

Posté(e)

Terrible là !!!

Rythmes scolaires à Beauvais : le casse-tête du mercredi Patrick Caffin | 10 juil. 2014, 07h00
3989749_11-1-244133539_545x341.jpgS’ils ne peuvent pas aller chercher leurs enfants dès 11h30, les parents devront les laisser à l’école jusqu’à 16h30.

S’ils ne peuvent pas aller chercher leurs enfants dès 11h30, les parents devront les laisser à l’école jusqu’à 16h30. !!!

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