jeanounette Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 (modifié) Est-il utile de relancer ce débat? Ce n'est pas a question. Goëlette dit que le SNUipp n'a pas appelé nationalement le 12 février 2013. Je lui explique que si mais sur une plate-forme différente que les 3 autres orgas, et même si localement des appels communs ont pu se faire. Je ne fais que rétablir la vérité. Est-ce que j'ai encore le droit ? Appel du snuipp pour le 12.02.2013 au dernier moment parce que la base poussait et que le snu aurait été ridicule de ne pas appeler à une grève qui s'annonçait très forte ! Et à la rentrée ? Chacun dans son coin ? Il y a un appel pour Mayotte mais silence radio pour le national ... A ma connaissance seuls Sud et la CGT ont déposé des préavis nationaux pour la rentrée . Modifié 29 juillet 2014 par jeanounette
Yuuko Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Je ne fais que rétablir la vérité. Est-ce que j'ai encore le droit ? Il me semble que j'ai répondu la même chose 4 messages plus haut, à moins que je sois idiote. Et ce n'est pas à toi que je m'adressais, alors, calme-toi s'il te plaît. Un appel national mais avec des mots d'ordre départementaux Ca arrive, oui, quand la section diverge légèrement du national, ou quand elle veut un rassemblement intersyndical. Ouais enfin chez nous ils appelaient pour l'abrogation hein donc le léger différent ...
Zarko Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Au fait, ne croyez pas non plus que des syndicats comme le snudi, sud ou cgt espèrent retirer du bénéfice (aux élections pro par exemple) grâce aux divisions ou aux tergiversations du snuipp ou du se... L'urgence , c'est bien l'abrogation de cette réforme; une des pires sinon la pire pour les enseignants du public et pour l'école publique ! Je pense même qu'il y aura un (nouveau) record d'abstention aux élections pro (à la limite on s'en fout), ce qui traduira le profond malaise des PE désemparés et désabusés (c'est plus grave)....Voilà ce qui arrive quand les représentants syndicaux (snuipp, SE) ou associatifs (FCPE) sont aussi membres du pouvoir en place (le PS donc...). Comme je l'entends souvent, c'est bien avec la gauche que les enseignants morflent le plus... Et avec tout ça, ben , ça sent le sapin en 2017 ....vous verrez qui sera au second tour....(j'anticipe)
ColdTurkey Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Nos syndicats SE, SGEN et SNUIPP font les morts. C'est ce qu'ils font le mieux! Pour le SE et le SGEN, ils sont favorables à la réforme donc rien d'étonnant. Pour le SNUIPP, c'est plus complexe, puisque les dirigeants nationaux sont aussi favorables, mais ils doivent gérer une base qui n'est pas forcément en accord. Donc en laissant agir les sections et en faisant les morts, ils préservent la chèvre et le chou. Maintenant tout se monde attend la rentrée et chacun connait les enseignants : ils vont tout faire pour que cela se passe bien. Alors oui, cela va être dur et compliqué. Mais cette fameuse conscience professionnelle fera que, même les deux pieds dans la m..., cela passera. Mais ce n'est qu'un avis.
Zarko Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Nos syndicats SE, SGEN et SNUIPP font les morts. C'est ce qu'ils font le mieux! Pour le SE et le SGEN, ils sont favorables à la réforme donc rien d'étonnant. Pour le SNUIPP, c'est plus complexe, puisque les dirigeants nationaux sont aussi favorables, mais ils doivent gérer une base qui n'est pas forcément en accord. Donc en laissant agir les sections et en faisant les morts, ils préservent la chèvre et le chou. Maintenant tout se monde attend la rentrée et chacun connait les enseignants : ils vont tout faire pour que cela se passe bien. Alors oui, cela va être dur et compliqué. Mais cette fameuse conscience professionnelle fera que, même les deux pieds dans la m..., cela passera. Mais ce n'est qu'un avis. Tu sais même au SE, tous les adhérents n'taient pas d'accord ! Regarde le SE 75 au début de la mise en place, à la limite, il avait le même discours que FO ! Bon, il s'est fait reprendre en main depuis... http://se75.files.wordpress.com/2013/09/premier-constat-nouveaux-rythmes.pdf http://se75.wordpress.com/2014/06/17/rythmes-scolaires-levons-les-tabous/#comment-649 Après la "reprise en main": http://se75.wordpress.com/2014/06/12/appel-du-18-juin-notre-reponse-a-fo/ Pour ceux qui est "des pieds dans la merde", ben, normalement on les nettoie avant que la merde soit sèche
Zarko Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 FONDATION DE L'ÉCOLE28/07/2014 Rythmes scolaires : l’inquiétude sur le financement de la réforme est loin d’être apaisée par Le Courrier © Phovoir Alors que le ministère de l'Education nationale se félicite d'une rentrée 2014 "apaisée", un rapport du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale (CSFPT) invite l'Etat à tenir compte des efforts consentis par les communes, et les agents, pour mettre en oeuvre la réforme. Et l'Association des maires de France rappelle que la question financière "reste" au coeur des préoccupations des maires. Cet article fait partie du dossier: Collectivités territoriales : l'aménagement des rythmes scolaires voir le sommaire Benoît Hamon s’est fendu d’un communiqué, le 25 juillet 2014, dans lequel il se réjouit que tous les enfants « bénéficieront, à la rentrée 2014, de la nouvelle organisation des temps scolaires, organisée autour de 5 matinées de classe par semaine ». La concertation avec les acteurs de terrain concernés ayant apporté des « solutions ajustées aux réalités locales, les conditions d’une rentrée apaisée dans l’intérêt de la réussite des enfants sont réunies », se félicite le ministre de l’Education nationale. Toutefois, on ne peut pas dire que les communes restent paisibles devant cette réforme, qui a des répercussions importantes sur l’organisation des services (ceux de l’ensemble de la municipalité parfois), qui coûte cher. Des efforts soulignés par un rapport du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale, adopté le 2 juillet, qui demande à l’Etat d’en tenir compte. Et qui pointe la nécessité de former les agents confrontés à des missions nouvelles. De son côté, l’Association des maires de France rappelle que les maires sont très inquiets sur le financement de cette réforme et « réitère sa demande que cette réforme fasse l’objet d’un financement durable et qu’une part des crédits non consommés du FNAS participe à ce financement ». Par ailleurs, un certain nombre de maires continuent de dire « non » : le 11 juillet, 32 élus ont fait savoir qu’ils ne mettraient pas en place la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2014, malgré les mises en garde de Benoît Hamon à l’encontre des maires « frondeurs », quelques jours plus tôt. Le 23 juillet, les délibérations prises par plusieurs communes alsaciennes, qui avaient décidé de rester à la semaine de 4 jours, ont été annulées par le tribunal administratif de Strasbourg. Principes, dérogations, assouplissement C’est le décret du 24 janvier 2013 qui fixe les principes de l’organisation des rythmes scolaires dans les écoles primaires. Des déclinaisons locales sont possibles, ainsi que des dérogations autorisées par les recteurs, qui doivent être justifiées par le projet éducatif territorial. LES PRINCIPES l’étalement des 24 heures d’enseignement hebdomadaire sur 9 demi-journées, incluant le mercredi matin ; une journée de classe de maximum 5 heures 30 et une demi-journée de maximum 3 heures 30 ; une pause méridienne de 1 heure 30 au minimum ; des activités pédagogiques complémentaires aux heures d’enseignement. En outre, « pour répondre à certaines difficultés locales, rappelle le ministre, le décret n°2014-457 du 7 mai 2014 a autorisé des expérimentations, dans le cadre d’un projet construit conjointement par la commune et les conseils d’école. Ces expérimentations, valables pendant trois ans au plus, seront réévaluées par les recteurs chaque année en fonction de leur intérêt pédagogique et de la bonne prise en charge des enfants ». Le financement : fonds d’amorçage et soutien de la CNAF Pour l’année scolaire 2014-2015, souligne encore Benoît Hamon, les communes pourront s’appuyer sur le fonds d’amorçage (article 125 de la loi de finances pour 2014), tandis que la CNAF continuera d’accompagner par une aide pérenne les communes mettant en place des activités périscolaires dans le cadre d’accueils de loisirs déclarés. Le 15 juillet, la Cnaf a confirmé son soutien à tous les accueils de loisirs sans hébergement (ALSH) déclarés auprès des services de la jeunesse et des sports. Elle a aussi assuré que les CAF accompagneront « la montée en compétence et en qualification des intervenants pour développer la qualité éducative en direction des enfants ». LE FONDS D’AMORCAGE La commune bénéficie de 50 euros par élève (90 euros par élève si celle-ci est éligible à la dotation de solidarité urbaine « cible » ou à la dotation de solidarité rurale « cible ») : si l’organisation des enseignements dans les écoles publiques présentes sur le territoire de la commune répond aux dispositions de l’article D.521-10 du code de l’éducation ou aux dérogations prévues au 2ème alinéa de l’articleD.521-12 du même code ; ou si une partie ou la totalité de ces écoles est autorisée à mettre en oeuvre des adaptations des organisations scolaires en application des dispositions du décret n°2014-457 du 7 mai 2014. En pratique, le formulaire de demande est accessible sur fonds-rythmes-scolaires.asp-public.fr., indique un « courrier aux maires » relayé par les directeurs académiques, le calendrier de versement des aides dépendra de la date de réception de la demande. Pour les demandes reçues avant le 15 septembre, les paiements interviendront mi-octobre ; puis, des vagues de paiement bimensuelles seront assurées jusqu’à la fin du mois de décembre. A noter, les communes ayant bénéficié des aides du fonds au titre de l’année scolaire 2013-2014 doivent effectuer une nouvelle demande. Autre précision, apportée par une réponse ministérielle récente, « s’il est bien prévu que les EPCI à compétence scolaire bénéficient des aides du fonds, le législateur a prévu que les aides sont versées aux communes, qui ont obligation de procéder au reversement de ces aides à l’EPCI dont elles sont membres dès lors qu’elles lui ont transféré la compétence scolaire (alinéas 2 et 3 de l’article 67). Cette disposition a été dictée par un souci à la fois d’efficacité et de sécurité car il s’agissait de permettre le versement des aides dans des délais très courts et avec un niveau de contrôle des versements suffisant. Seul le versement aux communes remplissait ces deux conditions » (QE de Roland Courteau, n° 8648, JO du Sénat du 17 juillet 2014). Une meilleure reconnaissance des agents territoriaux concernés par la réformeUn rapport d’un groupe de travail du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale(CSFPT), adopté le 2 juillet 2014, recommande notamment à l’Etat de tenir compte des répercussions que la réforme des rythmes scolaires entraîne « sur une grande variété d’agents territoriaux, tant en termes d’organisation du travail, que de définition des missions relevant de leurs cadres statutaires ». Au premier rang de ses agents, les Atsem. Mais aussi des agents d’entretien, des éducateurs des activités périscolaires, les agents des bibliothèques ou conservatoires de musique sollicités pour des ateliers avec les enfants, notamment. Globalement, les auteurs du rapport, Didier Pirot et Jean-Claude Haigron, soulignent que la réforme s’est traduite par une réorganisation des services (de l’ensemble des services municipaux, parfois), et que les communes ont dû parfois embaucher des coordonnateurs périscolaires, qui représentent parfois des « effectifs importants », donc un effort financier significatif de la collectivité. Autre aspect : la formation et à la professionnalisation des agents semble insuffisante pour leurs nouvelles missions. Aussi, les auteurs invitent le CNFPT à développer et adapter son offre de formation en conséquence et les centres de gestion à envisager d’organiser de façon plus régulière et plus rapprochée les concours et examens professionnels de la filière animation. http://www.courrierdesmaires.fr/38384/rythmes-scolaires-linquietude-sur-le-financement-de-la-reforme-est-loin-detre-apaisee/ Bref, avec tout ce fric gaspillé, c'est pas demain qu'on va nous augmenter...
Goëllette Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Peut-être, mais je ne retrouve pas cet appel. Et il n'a pas appelé la grève CONTRE la réforme des rythmes ni même CONTRE le texte. C'est Sihr qui le dit. Je t'ai envoyé le lien du SNUipp78 qui stipule bien qu'il s'agit d'une grève nationale. Malheureusement, le site du SNUipp est en maintenance mais si tu tapes "grève du 12 février SNUipp", tu verras que les pages existent mais si elles sont momentanément inaccessibles. http://22.snuipp.fr/spip.php?article1087 http://67.snuipp.fr/spip.php?article1527 http://92.snuipp.fr/spip.php?article1700 http://95.snuipp.fr/spip.php?article2233 Merci ! Est-il utile de relancer ce débat? Ce n'est pas a question. Goëlette dit que le SNUipp n'a pas appelé nationalement le 12 février 2013. Je lui explique que si mais sur une plate-forme différente que les 3 autres orgas, et même si localement des appels communs ont pu se faire. Je ne fais que rétablir la vérité. Est-ce que j'ai encore le droit ? Goëllette a écrit qu'elle ne s'en souvenait pas. Nuance.
jeanounette Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 (modifié) Peut-être, mais je ne retrouve pas cet appel. Et il n'a pas appelé la grève CONTRE la réforme des rythmes ni même CONTRE le texte. C'est Sihr qui le dit. Je t'ai envoyé le lien du SNUipp78 qui stipule bien qu'il s'agit d'une grève nationale. Malheureusement, le site du SNUipp est en maintenance mais si tu tapes "grève du 12 février SNUipp", tu verras que les pages existent mais si elles sont momentanément inaccessibles. http://22.snuipp.fr/spip.php?article1087 http://67.snuipp.fr/spip.php?article1527 http://92.snuipp.fr/spip.php?article1700 http://95.snuipp.fr/spip.php?article2233 Merci ! Est-il utile de relancer ce débat? Ce n'est pas a question. Goëlette dit que le SNUipp n'a pas appelé nationalement le 12 février 2013. Je lui explique que si mais sur une plate-forme différente que les 3 autres orgas, et même si localement des appels communs ont pu se faire. Je ne fais que rétablir la vérité. Est-ce que j'ai encore le droit ? Goëllette a écrit qu'elle ne s'en souvenait pas. Nuance. Et bien moi je répète que le snuipp n'a appelé à la grève du 12 qu'au dernier moment quand il a vu que nombre de collègues étaient prêts à se mettre en grève sans eux ! ça peut paraître lours d'insister là dessus mais c'est lourd de sens en tout cas ! Modifié 29 juillet 2014 par jeanounette
Zarko Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Bah, c'est du passé de toute façon...et j'aurais préféré que touts nos syndicats appellent à la grève le 2 septembre !...Vu la pagaille et l'horreur qu'on va subir , c'était la seule riposte efficace!
Frédo45 Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Le SNUipp a appelé à la grève après avoir consulté les différentes sections... Un principe démocratique en fait... Le SNUipp a toujours fonctionner comme cela. Pas d'appel du national sans consultation préalable des sections départementales.
Frédo45 Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Un appel national mais avec des mots d'ordre départementaux Et alors ? Tu crois que les opinions des enseignants ne divergent pas selon les départements. Tu crois que l'opinion est la même dans des départements habitués aux 4 jours que dans des départements où l'on travaillait le samedi. Tu crois que les opinions sont les mêmes selon la proportion de jeunes enseignants n'ayant pas connu le samedi matin ?
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