Zarko Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Je préfère Indiana !! https://www.youtube.com/embed/LSygyT2MlLE
nola Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Ah mais on peut faire mieux. 3 x 8 h ! Puisque les rythmes n'ont aucune conséquence sur le travail des enfants. On travaille de 8 à 12 et de 13h jusqu'à 17h lundi, mardi et mercredi. Et rien jeudi, vendredi, samedi et dimanche. Ah ! Au fait ! Le SNUipp s'est prononcé contre le décret Hamon... Lecture sélective et déformation des propos des opposants une fois de plus. La routine: quand on n'a pas d'arguments solides, on en invente pour discréditer l'interlocuteur. Ce qui est réellement écrit: aucune étude internationale n'existe sur l'influence des rythmes scolaires sur la réussite des élèves et encore moins sur les modes de garde (la guitare sur poney chère à Peillon); or ce sont les deux variables auxquelles les partisans de la réforme attribuent des vertus magiques et sur lesquelles ils ont bâti toute leur "refondation", en ignorant toutes les autres (flemme de recopier ce qui a été écrit, vu que tu suis ton idée sans lire ce qui est écrit), qui elles ont été pointées par des études comme améliorant réellement les résultats des élèves. C'est clair, comme ça? Bref les mesures phares de la refondation, et les plus coûteuses aussi, n'offrent aucune garantie d'efficacité.
Sarri Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Les variables les plus efficaces pour améliorer les résultats des élèves, ce sont les conditions matérielles (y compris le nombre d'élèves par classe et la présence ou pas de personnel spécialisé), les contenus, programmes et méthodes d'enseignement, mais c'est vrai que c'est plus compliqué d'y réfléchir que de faire de la démagogie en transformant à moindre coût pour l'état (puisque les communes, les parents, la CAF (un peu) et les personnels financent directement cette réforme), l'école en garderie. Tout est dit dans cette seule phrase. Tout le reste n'est qu'agitation et gesticulation stériles du futur disparu dans les sables mouvants... Régalons-nous quand-même avant la noyade finale du "je suis pour mais je suis contre tout en étant pour" du représentant local EDP du SNUIPP.
jeanounette Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 (modifié) Après mes années d'expérience j'en déduis ( moi hein je sais pas pour les autres ! ) qu'on ne peut pas établir de règles strictes concernant les rythmes pour l'école : certains enfants sont plus attentifs le matin , d'autres l''après midi , parfois le groupe classe est plus disposé à un moment de la journée puis le lendemain c'est à un autre moment . Tout dépend aussi du moment dans l'année , de l'évènementiel , du lieu en lui même car oui l'aménagement de la classe ça compte comme l'aménagement et la situation géo de l'école etc ... tellement de facteurs extérieurs aggravant ou améliorant les "performances" ... On nous mène en bateau avec ces histoires de rythmes ! Bien sûr... Les enfants de manière générale sont plus attentifs l'après-midi que le matin. C'est évident ! Le vendredi, nous ne faisons pas plus la police que les autres jours... C'est évident aussi ! Eh bien supprimions le vendredi ! Comme le font 12% des communes et comme l'a négocié le snuipp Ce n'est pas le Snuipp qui a négocié ce truc mais le maire de Lyon (PS) comme Delanoê avait négocié les 1h 30 min x2...On ne sait tjs pas pourquoi cette possibilité a été refusée ailleurs... J'ai lu que c'était S.Sirh qui avait négocié aux côtés de Colomb pour ces demi journeés et c'est clairement dit dans le Fenêtres sur Cours de mai 2014 : http://www.snuipp.fr/IMG/pdf/FS_399_BD.pdf " Le nouveau décret ouvre la possibilité de libérer un après-midi scolaire dans les 9 demi-journées pour le temps d’activités périscolaires (TAP). Les enseignants pourraient ainsi bénéficier d’une demi-journée dégagée pour leur travail de préparation, conseil de cycles, de maîtres, ... Le snuipp qui a agi pour que ces modèles soient possibles souhaite maintenant qu’ils se concrétisent partout où les enseignants le demandent." page 10 Quant aux critères des recteurs pour dire oui aux uns et non aux autres ben suis comme toi j'attends qu'on me les donne et qu'on m'explique ! Modifié 30 juillet 2014 par jeanounette
Zarko Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Alors il y a un problème soit de communication, soit, et c'est plus grave de démocratie... Au fait le maire de Nîmes, auquel cette dérogation a été refusée et qui avait traitée la rectrice de malade mentale , a reçu une lettre de Hamon. Il ne lui explique pas les raisons du refus.... Rythmes scolaires à Nîmes : dans une lettre Benoît Hamon tacle Jean-Paul Fournier il y a 3 heures 8 LUDOVIC TRABUCHET Benoît Hamon à Jean-Paul Fournier : "Je forme le vœu, qu'à l'avenir, vos propos publics à l'endroit des représentants de l'Etat soient plus mesurés". MIDI LIBRE Le 25 juillet, le ministre de l'Education nationale, Benoît Hamon, a adressé une lettre au sénateur-maire de Nîmes, Jean-Paul Fournier, qui s'est emporté contre la rectrice, Armande Le Pellec Muller, lors du dernier conseil municipal. "La rectrice est une malade mentale, c'est fini, je ne veux plus la voir !" La petite phrase assénée par Jean-Paul Fournier lors du dernier conseil municipal- même s'il l'a ensuite faite retirer du compte-rendu officiel - n'a pas fait réagir que dans le Landerneau nîmois. La semaine dernière, c'est le ministre de l'Éducation nationale Benoît Hamon en personne, qui s'est fendu d'un courrier afin de réagir à ces quelques mots lancés dans le cadre du débat sur la réforme des rythmes scolaires et d'exprimer sa solidarité envers sa rectrice, Armande Le Pellec Muller. "Ce sont des mots inacceptables qui pourraient, le cas échéant, être qualifiés d'injure publique par l'autorité judiciaire", menace même le ministre dans ce courrier que Midi Libre s'est procuré. Benoît Hamon demande "des propos publics plus mesurés"Selon Benoît Hamon, les propos de Jean-Paul Fournier participent en effet à "la défiance à l'égard des institutions républicaine". Et de rappeler que les fonctionnaires de l'État sont "des partenaires incontournables des collectivités territoriales pour appliquer les politiques publiques aux besoins et aux enjeux locaux". Qualifiant la rectrice de " fonctionnaire dévouée", "au professionnalisme reconnue", Benoît Hamon demande au sénateur-maire "des propos publics plus mesurés" et d'aller vers "un dialogue constructif et utile". Un peu comme la leçon d'un enseignant à un élève dissipé... Voici la lettre du ministre de l'Education nationale adressée à Jean-Paul Fournier : Lettre de Benoît Hamon à Jean-Paul Fournier by midilibre
nola Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Les critères? Aucune idée. Réfléchissons afin d'essayer peut-être d'y voir plus clair: quelles grandes villes ont obtenu (dès 2013 pour l'une d'entre elle) sans problèmes des dérogations aux conditions initiales qui étaient tellement indispensables à la réussite des élèves sans que les partisans de la réforme ne s'en émeuvent plus que ça? Quelle sont les points communs entre ces villes bénies du ministère? Je vous laisse poursuivre la réflexion...
Zarko Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 REFORME PEILLON ? REFORME HAMON ? REFORME HAILLON ! Alea jacta est …mais si vis pacem parabellum ! * Les conseils d’école devront donc se prononcer -menace de désordre sur la tempe- pour ou contre les organisations proposées par les Maires. Sinon gare au DASEN qui imposera ! et à charge, on s’en doute, et pas dans notre intérêt, on en est sûr …certains !Cela porte un tas de noms mais pour nous qui allons subir, c’est l’urgence !Un peu plus de paille, moins de fouet, il n’empêche, évitons le pire pour la rentrée et prenons ce qu’il y a à prendre avant de continuer le combat. Nos écoles sont en jeu et dans un jeu…..a sinistraRéforme Peillon ? Réforme Hamon ? le SNE FGAF voit surtout la réforme Haillon avec une semaine à rallonge et sans coupure, avec des journées de six heures qui continueront d’exister majoritairement alors même qu’elles étaient le modèle à abattre pour les tenants de la réforme.Le ridicule l’emporte sur l’absurde….Le SNE FGAF voit surtout le social l’emporter sur l’école, les conditions de travail des enseignants -dont tout le monde se moque peu ou prou- se gâter, pire se gâter avec le consentement de certains d’entre nous, persuadés que la soumission offrira une once de plus value à une recherche incertaine de reconnaissance. Burn out, te voilà avec du pain sur la planche !Mais l’honneur, sauf grâce à toutes les actions menées, porte sur l’avenir : la demande d’abrogation reste en vigueur, reste de rigueur même s’il vaut mieux sauver pour l’instant le moins pire.Les conseils d’école doivent se prononcer ?Qu’ils se prononcent !On a encore le devoir d’être CONTRE la réforme, on a la possibilité de reprendre la lutte sans tout casser et en gardant une tête hors de l’eau. Le moins pire, c’est le vendredi qui pourra peut-être amortir une semaine lourde et éreintante. Le moins pire c’est peut-être la possibilité d’éviter tous les amateurismes du saupoudrage des activités périscolaires…à chacun de voir !Le SNE FGAF a le souffle pour continuer dans la direction de l’abrogation du décret.Plaise à chacun d’entre vous que nous puissions vous en insuffler quelques bouffées…* Le sort en est jeté mais si tu veux la paix, prépare la guerre Circulaire de rentrée: entre idéologie et pragmatisme, lire la réaction du SNE FGAF dans la presse: Pas mal cet article...et ce n'est pas mon syndicat !
Frédo45 Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Les variables les plus efficaces pour améliorer les résultats des élèves, ce sont les conditions matérielles (y compris le nombre d'élèves par classe et la présence ou pas de personnel spécialisé), les contenus, programmes et méthodes d'enseignement, mais c'est vrai que c'est plus compliqué d'y réfléchir que de faire de la démagogie en transformant à moindre coût pour l'état (puisque les communes, les parents, la CAF (un peu) et les personnels financent directement cette réforme), l'école en garderie. Tout est dit dans cette seule phrase. Tout le reste n'est qu'agitation et gesticulation stériles du futur disparu dans les sables mouvants... Régalons-nous quand-même avant la noyade finale du "je suis pour mais je suis contre tout en étant pour" du représentant local EDP du SNUIPP. Mais si c'est le cas - et c'est en partie vrai - pourquoi tout ce pataquès autour des rythmes. Si le fait d'être à 4 jours ou 4 jours et demi ne change rien, pourquoi une opposition si virulente ? Et ce qui est drôle, c'est qu'on ne peut pas être favorable aux 4 jours et demi et être contre cette réforme ? C'est pourtant le cas de Claire Lecomte qui a été citée plus haut... Ah mais on peut faire mieux. 3 x 8 h ! Puisque les rythmes n'ont aucune conséquence sur le travail des enfants. On travaille de 8 à 12 et de 13h jusqu'à 17h lundi, mardi et mercredi. Et rien jeudi, vendredi, samedi et dimanche. Ah ! Au fait ! Le SNUipp s'est prononcé contre le décret Hamon... Lecture sélective et déformation des propos des opposants une fois de plus. La routine: quand on n'a pas d'arguments solides, on en invente pour discréditer l'interlocuteur. Ce qui est réellement écrit: aucune étude internationale n'existe sur l'influence des rythmes scolaires sur la réussite des élèves et encore moins sur les modes de garde (la guitare sur poney chère à Peillon); or ce sont les deux variables auxquelles les partisans de la réforme attribuent des vertus magiques et sur lesquelles ils ont bâti toute leur "refondation", en ignorant toutes les autres (flemme de recopier ce qui a été écrit, vu que tu suis ton idée sans lire ce qui est écrit), qui elles ont été pointées par des études comme améliorant réellement les résultats des élèves. C'est clair, comme ça? Bref les mesures phares de la refondation, et les plus coûteuses aussi, n'offrent aucune garantie d'efficacité. Et quand on ne sait pas quoi répondre, on dit que l'autre n'a pas d'argument. Assez habituel comme défense.
Frédo45 Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Après mes années d'expérience j'en déduis ( moi hein je sais pas pour les autres ! ) qu'on ne peut pas établir de règles strictes concernant les rythmes pour l'école : certains enfants sont plus attentifs le matin , d'autres l''après midi , parfois le groupe classe est plus disposé à un moment de la journée puis le lendemain c'est à un autre moment . Tout dépend aussi du moment dans l'année , de l'évènementiel , du lieu en lui même car oui l'aménagement de la classe ça compte comme l'aménagement et la situation géo de l'école etc ... tellement de facteurs extérieurs aggravant ou améliorant les "performances" ... On nous mène en bateau avec ces histoires de rythmes ! Bien sûr... Les enfants de manière générale sont plus attentifs l'après-midi que le matin. C'est évident ! Le vendredi, nous ne faisons pas plus la police que les autres jours... C'est évident aussi ! Eh bien supprimions le vendredi ! Comme le font 12% des communes et comme l'a négocié le snuipp Ce n'est pas le Snuipp qui a négocié ce truc mais le maire de Lyon (PS) comme Delanoê avait négocié les 1h 30 min x2...On ne sait tjs pas pourquoi cette possibilité a été refusée ailleurs... J'ai lu que c'était S.Sirh qui avait négocié aux côtés de Colomb pour ces demi journeés et c'est clairement dit dans le Fenêtres sur Cours de mai 2014 : http://www.snuipp.fr/IMG/pdf/FS_399_BD.pdf " Le nouveau décret ouvre la possibilité de libérer un après-midi scolaire dans les 9 demi-journées pour le temps d’activités périscolaires (TAP). Les enseignants pourraient ainsi bénéficier d’une demi-journée dégagée pour leur travail de préparation, conseil de cycles, de maîtres, ... Le snuipp qui a agi pour que ces modèles soient possibles souhaite maintenant qu’ils se concrétisent partout où les enseignants le demandent." page 10 Quant aux critères des recteurs pour dire oui aux uns et non aux autres ben suis comme toi j'attends qu'on me les donne et qu'on m'explique ! C'est une erreur du SNUipp d'avoir demandé un assouplissement, j'en conviens. Il a été dicté par des revendications de la base. D'ailleurs, mine de rien, de nombreux collègues ont demandé à leur mairie d'étudier cette possibilité. Autant te dire qu'ils en sont revenus. Cependant, le SNUipp a certes demandé un assouplissement mais le décret Hamon n'a pas convaincu. J'avoue que sur ce point, le SNUipp merde dans la mesure où il faut réclamer une cohérence, un cadre a minima départemental. Les critères? Aucune idée. Réfléchissons afin d'essayer peut-être d'y voir plus clair: quelles grandes villes ont obtenu (dès 2013 pour l'une d'entre elle) sans problèmes des dérogations aux conditions initiales qui étaient tellement indispensables à la réussite des élèves sans que les partisans de la réforme ne s'en émeuvent plus que ça? Quelle sont les points communs entre ces villes bénies du ministère? Je vous laisse poursuivre la réflexion... Mais dès le départ, il n'y aurait pas dû y avoir de dérogations possibles et un cadre plus strict.
nola Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Reconnaissons que pour ce qui est des arguments ton invention du "Point Torquemada" est plus créatif que le banal point Staline ( ) ou le légèrement déjanté point Ben Laden (les opposants à la réforme sont des terroristes! ) auxquels on a déjà eu droit en guise d'arguments pro réformes sur ce forum . Retournons un peu la question: les rythmes sont marginaux dans la réussite des élèves (et c'est un fait, voire l'étude de la DEPP) donc pourquoi en faire la priorité et le fer de lance de la refondation si le seul objectif est réellement la réussite des élèves? Et la réforme dégrade les conditions de travail et le pouvoir d'achat des PE et c'est l'UNSA qui le disait... du temps où la droite était au pouvoir.
Frédo45 Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 Retournons un peu la question: les rythmes sont marginaux dans la réussite des élèves (et c'est un fait, voire l'étude de la DEPP) donc pourquoi en faire la priorité et le fer de lance de la refondation si le seul objectif est réellement la réussite des élèves? Ah ! Mais, excuse-moi mais il me semble que c'est ce que j'ai toujours dit... La réforme des rythmes a été mise en avant pour masquer le reste.
Goëllette Posté(e) 30 juillet 2014 Posté(e) 30 juillet 2014 REFORME PEILLON ? REFORME HAMON ? REFORME HAILLON ! Alea jacta est …mais si vis pacem parabellum ! * Les conseils d’école devront donc se prononcer -menace de désordre sur la tempe- pour ou contre les organisations proposées par les Maires. Sinon gare au DASEN qui imposera ! et à charge, on s’en doute, et pas dans notre intérêt, on en est sûr …certains !Cela porte un tas de noms mais pour nous qui allons subir, c’est l’urgence ! Un peu plus de paille, moins de fouet, il n’empêche, évitons le pire pour la rentrée et prenons ce qu’il y a à prendre avant de continuer le combat. Nos écoles sont en jeu et dans un jeu…..a sinistra Réforme Peillon ? Réforme Hamon ? le SNE FGAF voit surtout la réforme Haillon avec une semaine à rallonge et sans coupure, avec des journées de six heures qui continueront d’exister majoritairement alors même qu’elles étaient le modèle à abattre pour les tenants de la réforme. Le ridicule l’emporte sur l’absurde…. Le SNE FGAF voit surtout le social l’emporter sur l’école, les conditions de travail des enseignants -dont tout le monde se moque peu ou prou- se gâter, pire se gâter avec le consentement de certains d’entre nous, persuadés que la soumission offrira une once de plus value à une recherche incertaine de reconnaissance. Burn out, te voilà avec du pain sur la planche ! Mais l’honneur, sauf grâce à toutes les actions menées, porte sur l’avenir : la demande d’abrogation reste en vigueur, reste de rigueur même s’il vaut mieux sauver pour l’instant le moins pire. Les conseils d’école doivent se prononcer ? Qu’ils se prononcent ! On a encore le devoir d’être CONTRE la réforme, on a la possibilité de reprendre la lutte sans tout casser et en gardant une tête hors de l’eau. Le moins pire, c’est le vendredi qui pourra peut-être amortir une semaine lourde et éreintante. Le moins pire c’est peut-être la possibilité d’éviter tous les amateurismes du saupoudrage des activités périscolaires…à chacun de voir ! Le SNE FGAF a le souffle pour continuer dans la direction de l’abrogation du décret. Plaise à chacun d’entre vous que nous puissions vous en insuffler quelques bouffées… * Le sort en est jeté mais si tu veux la paix, prépare la guerre Circulaire de rentrée: entre idéologie et pragmatisme, lire la réaction du SNE FGAF dans la presse: Pas mal cet article...et ce n'est pas mon syndicat ! Oui, pas mal ! C'est lequel, ton syndicat, déjà ?
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