Goëllette Posté(e) 5 mai 2014 Posté(e) 5 mai 2014 Apparemment, son assouplissement du décret a été refusé, d'après le JT de la 2.
nola Posté(e) 5 mai 2014 Posté(e) 5 mai 2014 Apparemment, son assouplissement du décret a été refusé, d'après le JT de la 2. C'est un avis consultatif.
Goëllette Posté(e) 5 mai 2014 Posté(e) 5 mai 2014 Apparemment, son assouplissement du décret a été refusé, d'après le JT de la 2. C'est un avis consultatif. Je me disais aussi. Mais le reportage m'a permis de voir réapparaître les chronostrucs !
prof désécol Posté(e) 5 mai 2014 Posté(e) 5 mai 2014 Apparemment, son assouplissement du décret a été refusé, d'après le JT de la 2. C'est un avis consultatif. Je me disais aussi. Mais le reportage m'a permis de voir réapparaître les chronostrucs ! Je me faisais exactement la même réflexion. C'est d'ailleurs plutôt cocasse de voir les soi-disant spécialistes de chronobiologie sortir d'une bien longue phase d'hibernation digne d'une vieille marmotte narcoleptique... Le Monde 5/05/14 http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/05/05/rythmes-scolaires-pour-les-chronobiologistes-l-interet-de-l-enfant-ne-doit-pas-etre-perdu-de-vue_4411509_3224.html Rythmes scolaires : pour les chronobiologistes, l'intérêt de l'enfant ne doit pas être perdu de vue
Goëllette Posté(e) 5 mai 2014 Posté(e) 5 mai 2014 Mon passage préféré : Les spécialistes des rythmes de l'enfant pointent notamment du doigt un retour à la journée de 6 heures, rendu possible à titre expérimental par le décret complémentaire du ministre de l'éducation nationale, Benoît Hamon. « Nous ne préconisons pas plus de 4 heures et demie de cours par jour en primaire, et 3 heures et demie... Il faut payer pour voir la suite mais je me doute que la fin de la phrase est "en maternelle". On pensait avoir touché le fond. Mais non !
zazou19 Posté(e) 6 mai 2014 Posté(e) 6 mai 2014 Ils nous saoulent : http://www.vousnousils.fr/2014/05/05/les-professionnels-du-tourisme-reclament-a-nouveau-le-zonage-pour-les-conges-dete-553299 Les professionnels du tourisme ont à nouveau réclamé lundi au ministre de l'Education Benoît Hamon, qui prévoit d'assouplir la réforme sur les rythmes scolaires, l'instauration d'un zonage dans le cas où la durée des vacances estivales passerait de 8 à 6 semaines. Nommé début avril à l'Education, Benoît Hamon tente actuellement de "dépassionner" le débat autour de la réforme des rythmes scolaires en proposant plusieurs "assouplissements", avec notamment la proposition "d'alléger les semaines en raccourcissant les vacances scolaires". Vincent Peillon, son prédécesseur rue de Grenelle, avait préconisé en octobre la mise en place de vacances d'été d'une durée de six semaines au lieu de huit, réparties en deux zones. "Les professionnels du tourisme rappellent que la détermination des vacances scolaires, si elle répond à des impératifs pédagogiques, a également des impacts importants sur l'emploi touristique français, qui représente 2 millions d'emplois directs et indirects", indiquent-ils dans leur communiqué. Pour cette raison, ils réclament, comme ils l'avaient déjà fait en septembre dernier, que le gouvernement accompagne "l'éventuelle réduction des vacances estivales par l'instauration d'un zonage afin de pouvoir accueillir et recevoir les touristes dans les meilleures conditions". Ils demandent également le maintien des "week-ends de 2 jours pleins pour les activités en famille". Enfin, les professionnels du tourisme souhaitent voir positionnées "les vacances d'hiver en février et les vacances de printemps au mois d'avril". Le communiqué est signé par l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (UMIH), le Syndicat national des agents de voyage (SNAV), Domaines skiables de France, le Syndicat national des résidences de tourisme (SNRT), le Conseil national des professions de l'automobile (CNPA) et le Syndicat des entreprises du tour operating (SETO). L'UMIH, qui représente 80.000 entreprises de l'hôtellerie et de la restauration, avait déploré début avril à l'occasion de la formation du gouvernement Valls "l'absence d'un ministère de plein exercice" dédié exclusivement au secteur "clé" du tourisme. VP même quand il n'est plus là, il continue de nous faire chier... quand au tourisme... heureusement qu'ils sont là pour dire à l'EN ce qu'elle doit faire! non mais où va-t-on????
Zarko Posté(e) 6 mai 2014 Posté(e) 6 mai 2014 Mais le pire c'est que finalement, les professionnels du tourisme sont plus pragmatiques que les chronoscientologues auto-proclamés...
Paul Getty Posté(e) 6 mai 2014 Posté(e) 6 mai 2014 Lu chez le Mammouth déchainé : 06/05/14 14:49 * Rythmes, no comment :Alors que le CSE vote majoritairement contre le projet de décret de B. Hamon, certains ne peuvent pas s’empêcher de la ramener (ou comment voter contre tout en étant pour ?) @2vanssay "Au SNUipp nous souhaitons que toutes les réformes réussissent" c'est @le_gorafi ? — McMissir (@McMissir) 5 Mai 2014
nola Posté(e) 6 mai 2014 Posté(e) 6 mai 2014 http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/05/06/rythmes-les-enseignants-doivent-cesser-de-raisonner-en-fonction-de-leur-confort_4412464_3224.html Vanik Berberian, président de l'Association des maires ruraux de France et maire (MoDem) de Gargilesse-Dampierre (Indre), détaille les difficultés rencontrées par les élus ruraux pour la mise en place de la réforme des rythmes scolaires. Comme Benoît Hamon, je suis opposé à l'idée de mettre en place un moratoire. C'est le meilleur moyen de repousser d'encore trente ans cette réforme nécessaire. Mais contraindre les élus en leur fixant une date limite n'apporte aucune solution aux problèmes auxquels les maires ruraux doivent faire face. Quels sont ces problèmes ? Il est difficile de trouver un personnel d'encadrement formé, particulièrement pour des périodes très courtes. Cette réforme pose aussi des problèmes financiers, car il faut pouvoir rétribuer le personnel encadrant. Elle entraîne également des difficultés matérielles : de nombreux villages n'ont pas de locaux pour accueillir les enfants et mener des activités. Sans compter les tensions avec le personnel enseignant qui n'a pas très envie de laisser les salles de classe aux élèves lors des périodes d'activités périscolaires. Les enseignants sont-ils un frein à la mise en place de la réforme ? Ils doivent être associés à la mise en place des temps périscolaire, mais ils doivent également cesser de raisonner en fonction de leur confort personnel. Aujourd'hui, les enseignants pétris de certitudes ne supportent pas qu'une suggestion soit apportée à leur projet pédagogique. Dommage, M. Berbérian ne précise pas quelle suggestion il compte apporter au projet pédagogique...
Lena Posté(e) 6 mai 2014 Posté(e) 6 mai 2014 Celle d'avoir un lieu dédié à l'enseignement mais pas uniquement, sans doute . Confort personnel inside. (pensez à l'achat de cadenas et de chaines, pour votre prochaine commande...)
nola Posté(e) 6 mai 2014 Posté(e) 6 mai 2014 Vu que c'est un enthousiaste de la réforme, nul doute que, pour aider à sa mise en œuvre, il saura laisser son bureau pour les TAP, et avec le sourire.
poujohel Posté(e) 6 mai 2014 Posté(e) 6 mai 2014 http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/05/06/rythmes-les-enseignants-doivent-cesser-de-raisonner-en-fonction-de-leur-confort_4412464_3224.html Vanik Berberian, président de l'Association des maires ruraux de France et maire (MoDem) de Gargilesse-Dampierre (Indre), détaille les difficultés rencontrées par les élus ruraux pour la mise en place de la réforme des rythmes scolaires. Comme Benoît Hamon, je suis opposé à l'idée de mettre en place un moratoire. C'est le meilleur moyen de repousser d'encore trente ans cette réforme nécessaire. Mais contraindre les élus en leur fixant une date limite n'apporte aucune solution aux problèmes auxquels les maires ruraux doivent faire face. Quels sont ces problèmes ? Il est difficile de trouver un personnel d'encadrement formé, particulièrement pour des périodes très courtes. Cette réforme pose aussi des problèmes financiers, car il faut pouvoir rétribuer le personnel encadrant. Elle entraîne également des difficultés matérielles : de nombreux villages n'ont pas de locaux pour accueillir les enfants et mener des activités. Sans compter les tensions avec le personnel enseignant qui n'a pas très envie de laisser les salles de classe aux élèves lors des périodes d'activités périscolaires. Les enseignants sont-ils un frein à la mise en place de la réforme ? Ils doivent être associés à la mise en place des temps périscolaire, mais ils doivent également cesser de raisonner en fonction de leur confort personnel. Aujourd'hui, les enseignants pétris de certitudes ne supportent pas qu'une suggestion soit apportée à leur projet pédagogique. Dommage, M. Berbérian ne précise pas quelle suggestion il compte apporter au projet pédagogique... Le titre de l'article est très engageant !!!! Rythmes : les enseignants doivent « cesser de raisonner en fonction de leur confort »Ca y est, certains élus locaux se sentent pousser des ailes et se croient nos patrons...Ben oui ils décident de nos horaires de travail....
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