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Revue de presse sur les rythmes II


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Posté(e)

Apparemment, son assouplissement du décret a été refusé, d'après le JT de la 2.

Posté(e)

Apparemment, son assouplissement du décret a été refusé, d'après le JT de la 2.

C'est un avis consultatif.

Posté(e)

Apparemment, son assouplissement du décret a été refusé, d'après le JT de la 2.

C'est un avis consultatif.

Je me disais aussi.

Mais le reportage m'a permis de voir réapparaître les chronostrucs !

Posté(e)

Apparemment, son assouplissement du décret a été refusé, d'après le JT de la 2.

C'est un avis consultatif.

Je me disais aussi.

Mais le reportage m'a permis de voir réapparaître les chronostrucs !

Je me faisais exactement la même réflexion.

C'est d'ailleurs plutôt cocasse de voir les soi-disant spécialistes de chronobiologie sortir d'une bien longue phase d'hibernation digne d'une vieille marmotte narcoleptique...

:sleeping:

Le Monde

5/05/14

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/05/05/rythmes-scolaires-pour-les-chronobiologistes-l-interet-de-l-enfant-ne-doit-pas-etre-perdu-de-vue_4411509_3224.html

Rythmes scolaires : pour les chronobiologistes, l'intérêt de l'enfant ne doit pas être perdu de vue

Posté(e)

:heat:

Mon passage préféré :

Les spécialistes des rythmes de l'enfant pointent notamment du doigt un retour à la journée de 6 heures, rendu possible à titre expérimental par le décret complémentaire du ministre de l'éducation nationale, Benoît Hamon. « Nous ne préconisons pas plus de 4 heures et demie de cours par jour en primaire, et 3 heures et demie...

Il faut payer pour voir la suite mais je me doute que la fin de la phrase est "en maternelle".

On pensait avoir touché le fond. Mais non !

Posté(e)

Ils nous saoulent :

http://www.vousnousils.fr/2014/05/05/les-professionnels-du-tourisme-reclament-a-nouveau-le-zonage-pour-les-conges-dete-553299

Les pro­fes­sion­nels du tou­risme ont à nou­veau réclamé lundi au ministre de l'Education Benoît Hamon, qui pré­voit d'assouplir la réforme sur les rythmes sco­laires, l'instauration d'un zonage dans le cas où la durée des vacances esti­vales pas­se­rait de 8 à 6 semaines.

Nommé début avril à l'Education, Benoît Hamon tente actuel­le­ment de "dépas­sion­ner" le débat autour de la réforme des rythmes sco­laires en pro­po­sant plu­sieurs "assou­plis­se­ments", avec notam­ment la pro­po­si­tion "d'alléger les semaines en rac­cour­cis­sant les vacances scolaires".

Vincent Peillon, son pré­dé­ces­seur rue de Grenelle, avait pré­co­nisé en octobre la mise en place de vacances d'été d'une durée de six semaines au lieu de huit, répar­ties en deux zones.

"Les pro­fes­sion­nels du tou­risme rap­pellent que la déter­mi­na­tion des vacances sco­laires, si elle répond à des impé­ra­tifs péda­go­giques, a égale­ment des impacts impor­tants sur l'emploi tou­ris­tique fran­çais, qui repré­sente 2 mil­lions d'emplois directs et indi­rects", indiquent-ils dans leur communiqué.

Pour cette rai­son, ils réclament, comme ils l'avaient déjà fait en sep­tembre der­nier, que le gou­ver­ne­ment accom­pagne "l'éventuelle réduc­tion des vacances esti­vales par l'instauration d'un zonage afin de pou­voir accueillir et rece­voir les tou­ristes dans les meilleures conditions".

Ils demandent égale­ment le main­tien des "week-ends de 2 jours pleins pour les acti­vi­tés en famille".

Enfin, les pro­fes­sion­nels du tou­risme sou­haitent voir posi­tion­nées "les vacances d'hiver en février et les vacances de prin­temps au mois d'avril".

Le com­mu­ni­qué est signé par l'Union des métiers et des indus­tries de l'hôtellerie (UMIH), le Syndicat natio­nal des agents de voyage (SNAV), Domaines skiables de France, le Syndicat natio­nal des rési­dences de tou­risme (SNRT), le Conseil natio­nal des pro­fes­sions de l'automobile (CNPA) et le Syndicat des entre­prises du tour ope­ra­ting (SETO).

L'UMIH, qui repré­sente 80.000 entre­prises de l'hôtellerie et de la res­tau­ra­tion, avait déploré début avril à l'occasion de la for­ma­tion du gou­ver­ne­ment Valls "l'absence d'un minis­tère de plein exer­cice" dédié exclu­si­ve­ment au sec­teur "clé" du tourisme.

VP même quand il n'est plus là, il continue de nous faire chier... :chris:

quand au tourisme... heureusement qu'ils sont là pour dire à l'EN ce qu'elle doit faire! :heat:

non mais où va-t-on???? :fear:

Posté(e)

Mais le pire c'est que finalement, les professionnels du tourisme sont plus pragmatiques que les chronoscientologues auto-proclamés... :)

Posté(e)
Lu chez le Mammouth déchainé :
06/05/14 14:49

* Rythmes, no comment :

Alors que le CSE vote majoritairement contre le projet de décret de B. Hamon, certains ne peuvent pas s’empêcher de la ramener (ou comment voter contre tout en étant pour ?)



@2vanssay "Au SNUipp nous souhaitons que toutes les réformes réussissent" c'est @le_gorafi ?

— McMissir (@McMissir) 5 Mai 2014

Posté(e)

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/05/06/rythmes-les-enseignants-doivent-cesser-de-raisonner-en-fonction-de-leur-confort_4412464_3224.html

Vanik Berberian, président de l'Association des maires ruraux de France et maire (MoDem) de Gargilesse-Dampierre (Indre), détaille les difficultés rencontrées par les élus ruraux pour la mise en place de la réforme des rythmes scolaires.

Comme Benoît Hamon, je suis opposé à l'idée de mettre en place un moratoire. C'est le meilleur moyen de repousser d'encore trente ans cette réforme nécessaire. Mais contraindre les élus en leur fixant une date limite n'apporte aucune solution aux problèmes auxquels les maires ruraux doivent faire face.

Quels sont ces problèmes ?

Il est difficile de trouver un personnel d'encadrement formé, particulièrement pour des périodes très courtes. Cette réforme pose aussi des problèmes financiers, car il faut pouvoir rétribuer le personnel encadrant. Elle entraîne également des difficultés matérielles : de nombreux villages n'ont pas de locaux pour accueillir les enfants et mener des activités. Sans compter les tensions avec le personnel enseignant qui n'a pas très envie de laisser les salles de classe aux élèves lors des périodes d'activités périscolaires.

Les enseignants sont-ils un frein à la mise en place de la réforme ?

Ils doivent être associés à la mise en place des temps périscolaire, mais ils doivent également cesser de raisonner en fonction de leur confort personnel. Aujourd'hui, les enseignants pétris de certitudes ne supportent pas qu'une suggestion soit apportée à leur projet pédagogique.

Dommage, M. Berbérian ne précise pas quelle suggestion il compte apporter au projet pédagogique...

Posté(e)

Celle d'avoir un lieu dédié à l'enseignement mais pas uniquement, sans doute :closedeyes: .

Confort personnel inside.

(pensez à l'achat de cadenas et de chaines, pour votre prochaine commande...)

Posté(e)

Vu que c'est un enthousiaste de la réforme, nul doute que, pour aider à sa mise en œuvre, il saura laisser son bureau pour les TAP, et avec le sourire.

Posté(e)

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/05/06/rythmes-les-enseignants-doivent-cesser-de-raisonner-en-fonction-de-leur-confort_4412464_3224.html

Vanik Berberian, président de l'Association des maires ruraux de France et maire (MoDem) de Gargilesse-Dampierre (Indre), détaille les difficultés rencontrées par les élus ruraux pour la mise en place de la réforme des rythmes scolaires.

Comme Benoît Hamon, je suis opposé à l'idée de mettre en place un moratoire. C'est le meilleur moyen de repousser d'encore trente ans cette réforme nécessaire. Mais contraindre les élus en leur fixant une date limite n'apporte aucune solution aux problèmes auxquels les maires ruraux doivent faire face.

Quels sont ces problèmes ?

Il est difficile de trouver un personnel d'encadrement formé, particulièrement pour des périodes très courtes. Cette réforme pose aussi des problèmes financiers, car il faut pouvoir rétribuer le personnel encadrant. Elle entraîne également des difficultés matérielles : de nombreux villages n'ont pas de locaux pour accueillir les enfants et mener des activités. Sans compter les tensions avec le personnel enseignant qui n'a pas très envie de laisser les salles de classe aux élèves lors des périodes d'activités périscolaires.

Les enseignants sont-ils un frein à la mise en place de la réforme ?

Ils doivent être associés à la mise en place des temps périscolaire, mais ils doivent également cesser de raisonner en fonction de leur confort personnel. Aujourd'hui, les enseignants pétris de certitudes ne supportent pas qu'une suggestion soit apportée à leur projet pédagogique.

Dommage, M. Berbérian ne précise pas quelle suggestion il compte apporter au projet pédagogique...

Le titre de l'article est très engageant !!!!

Rythmes : les enseignants doivent « cesser de raisonner en fonction de leur confort »

Ca y est, certains élus locaux se sentent pousser des ailes et se croient nos patrons...Ben oui ils décident de nos horaires de travail....

Invité
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