Revue de presse sur les rythmes II

[Timis]

Dans le second degré, ils n'ont rien a préparer pas de classe, pas de cahier, pas d'étiquettes, pas de classeur... Moi je passe 2 jours en juillet pour ranger ma classe et 2 ou 3 jours en août pour préparer la rentrée 5 jours gratuits.... Je n'en peux plus de ce métier, des mensonges de tout le monde, c'est insupportable. Les avantages de ce métier diminuent vitesse grand v

On dirait les propos du bar du coin... Si on veut que notre boulot soit reconnu, je ne vois pas en quoi ça aide de dénigrer celui des autres.

Surtout que les profs de secondaire (collège) que j'ai dans mon entourage sont loin d'être des feignasses et passent bien plus de temps sur leur lieu de travail que leurs 18h hebdomadaires (et ne sont pas payés en sus hormis l'isoe).

C'est vraiment un métier que je ne ferai pas, et loin de moi que ce soit des feignants.

Je veux bien qu'on m'explique par contre ce que feraient des profs du secondaire avant la pré rentrée dans leurs établissements qu'il ne puisse pas faire chez eux (donc pas progressions et compagnie) : pas de cahiers à préparer, de commande à ranger, de listes d'élèves à se repartir, de classe à ranger...

Vraiment pas par mauvaise volonté je vois pas du tout ce qui les empêche de venir à leur établissement pour la première fois de l'année scolaire le jour de la pré rentrée, alors que je connais très peu de PE capables de ne pas venir dans leur classe pendant les vacances.

[auléric]

ils ont une tripotée de réunions pédagogiques, de discours du chef d'établissement et récupèrent leur emploi du temps, clés , paperasse administrative (en tout cas pour ce que j'ai eu comme discussion avec des copains du secondaire). Finalement je préfère ma pré-rentrée où je suis plus dans le concret avec mes cahiers que juste faire des réunions.

[Timis]

Oui mais ça c'est le jour de la pré rentrée non ? Ils viennent pas avant ?

Très sincèrement, j'ai l'impression que les seuls qui se réjouissent de ce report c'est des profs du secondaire qui sont contents de reprendre le lundi au lieu de casser leur dernière semaine avec le vendredi.

Après qu'ils aient de la paperasse et des discours à subir, je n'en doute pas et je ne les envie pas du tout.

[Sarri]

Dans le second degré, ils n'ont rien a préparer pas de classe, pas de cahier, pas d'étiquettes, pas de classeur... Moi je passe 2 jours en juillet pour ranger ma classe et 2 ou 3 jours en août pour préparer la rentrée 5 jours gratuits.... Je n'en peux plus de ce métier, des mensonges de tout le monde, c'est insupportable. Les avantages de ce métier diminuent vitesse grand v

On dirait les propos du bar du coin... Si on veut que notre boulot soit reconnu, je ne vois pas en quoi ça aide de dénigrer celui des autres.

Surtout que les profs de secondaire (collège) que j'ai dans mon entourage sont loin d'être des feignasses et passent bien plus de temps sur leur lieu de travail que leurs 18h hebdomadaires (et ne sont pas payés en sus hormis l'isoe).

Lis ça : http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0203482637338-education-nationale-le-grand-ecart-des-remunerations-entre-enseignants-669089.php

Bien sûr qu'il ne faut pas dénigrer le boulot des PLC mais en acceptant tout et n'importe quoi c'est le nôtre que nous dénigrons.

[abel27]

Dans le second degré, ils n'ont rien a préparer pas de classe, pas de cahier, pas d'étiquettes, pas de classeur... Moi je passe 2 jours en juillet pour ranger ma classe et 2 ou 3 jours en août pour préparer la rentrée 5 jours gratuits.... Je n'en peux plus de ce métier, des mensonges de tout le monde, c'est insupportable. Les avantages de ce métier diminuent vitesse grand v

On dirait les propos du bar du coin... Si on veut que notre boulot soit reconnu, je ne vois pas en quoi ça aide de dénigrer celui des autres.

Surtout que les profs de secondaire (collège) que j'ai dans mon entourage sont loin d'être des feignasses et passent bien plus de temps sur leur lieu de travail que leurs 18h hebdomadaires (et ne sont pas payés en sus hormis l'isoe).

Lis ça : http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0203482637338-education-nationale-le-grand-ecart-des-remunerations-entre-enseignants-669089.php

Bien sûr qu'il ne faut pas dénigrer le boulot des PLC mais en acceptant tout et n'importe quoi c'est le nôtre que nous dénigrons.

Comme j'ai toute confiance dans les journaleux, je préfère demander à des collègues plc ce qu'elles gagnent vraiment. 2000 euros par mois isoe compris, pas d'heures supp, échelon 7 (10 ans d'ancienneté environ). C'est pas mirobolant non plus. Et pour le boulot effectué, ça fait vraiment pas rêver

Ensuite, mettons les choses au clair, ce sont les heures d'enseignement qui sont payées en heures sup, pas les heures de réunions ou autre comme je l'entends souvent ici.

[k-rolette]

Dans le second degré, ils n'ont rien a préparer pas de classe, pas de cahier, pas d'étiquettes, pas de classeur... Moi je passe 2 jours en juillet pour ranger ma classe et 2 ou 3 jours en août pour préparer la rentrée 5 jours gratuits.... Je n'en peux plus de ce métier, des mensonges de tout le monde, c'est insupportable. Les avantages de ce métier diminuent vitesse grand v

On dirait les propos du bar du coin... Si on veut que notre boulot soit reconnu, je ne vois pas en quoi ça aide de dénigrer celui des autres.

Surtout que les profs de secondaire (collège) que j'ai dans mon entourage sont loin d'être des feignasses et passent bien plus de temps sur leur lieu de travail que leurs 18h hebdomadaires (et ne sont pas payés en sus hormis l'isoe).

Le message du dessus que tu cites n'est que la réalité : effectivement les profs du secondaire peuvent préparer leur rentrée chez eux. C'est un état de fait, pas un dénigrement. Nous avons des métiers aux spécificités bien différentes, et le nôtre comporte indéniablement davantage d'heures de présence. Cela ne veut pas dire qu'ils sont feignasses dans le secondaire (mais nombre d'entre eux l'avouent du bout des lèvres : à part en lettres, ils ont souvent l'impression que les PE travaillent plus qu'eux ne le font…).

Et leur ISOE est quand même bien supérieure à celle qui nous a été octroyée cette année, pour quelle raison, au fond ?

[k-rolette]

ils ont une tripotée de réunions pédagogiques, de discours du chef d'établissement et récupèrent leur emploi du temps, clés , paperasse administrative (en tout cas pour ce que j'ai eu comme discussion avec des copains du secondaire). Finalement je préfère ma pré-rentrée où je suis plus dans le concret avec mes cahiers que juste faire des réunions.

Ca leur prend une matinée ou un après-midi en général, avec un pot calé avant ou après…

Et ceux qui ne sont pas d'examens font des heures de présence en fin d'année, à garder les rares élèves qui sont là, et peuvent en profiter pour préparer l'année suivante.

[POMME3]

Dans le second degré, ils n'ont rien a préparer pas de classe, pas de cahier, pas d'étiquettes, pas de classeur... Moi je passe 2 jours en juillet pour ranger ma classe et 2 ou 3 jours en août pour préparer la rentrée 5 jours gratuits.... Je n'en peux plus de ce métier, des mensonges de tout le monde, c'est insupportable. Les avantages de ce métier diminuent vitesse grand v

On dirait les propos du bar du coin... Si on veut que notre boulot soit reconnu, je ne vois pas en quoi ça aide de dénigrer celui des autres.

Surtout que les profs de secondaire (collège) que j'ai dans mon entourage sont loin d'être des feignasses et passent bien plus de temps sur leur lieu de travail que leurs 18h hebdomadaires (et ne sont pas payés en sus hormis l'isoe).

C'est peut-etre un discours de comptoir, peu importe. Je dis juste que les profs peuvent rester chez eux pour préparer leur rentrée. J'ai 3 frères profs je sais de quoi je parle et je sais que ce ne sont pas des "feignants" mot que je n'ai jamais employé. Ils ont beaucoup plus de liberté que nous et mieux payé car ils peuvent cumuler des heures sup. Ils ont 1 journée de pré-rentrée : discours chef établissement, présentation des nouveaux enseignants, remise des emplois du temps, pot de rentrée et c'est terminé pour ceux qui veulent; Ils peuvent rentrer chez eux. Quand je leur dis tout ce que je fais "bénévolement " ils hallucinent

[Lena]

C'est exactement ce qui se fait dans le collège de mes enfants: un prof se dévoue pour encadrer les 15 élèves présents, les autres travaillent sur les répartitions de classe et autres projets.

Côté prérentrée, ma mère n'allait à son collège que le jour de la prérentrée; alors que je case (casais, ils peuvent se garder seuls) mes enfants à des activités, ou dans un coin de la classe, ou qu'ils servent de main d'oeuvre pour les commandes. En fin d'année, elle avait 2 jours pour corriger le brevet, en 1 journée c'était bouclé/harmonisé (càd que son pool" avait fini), puis elle faisait de l'occupationnel.

Ceci dit, en raison des services partagés, des infos qui doivent circuler d'un collège à l'autre pour caler les EdT des personnels "naviguants", il me semble bien illusoire de pouvoir communiquer les EdT des uns et des autres avant la prérentrée afin de limiter le temps de blabla. Dans le petit établissement de mes enfants, il y a énormément de services partagés (basés là, ou venant d'ailleurs, c'est selon), et les EdT des élèves changent encore jusqu'à 1 mois après la rentrée (super méga pratique lorsqu'il y a des activités extrasco à caser la 1ère semaine, ou des inscriptions à la cantine).

Et puis... plus les EdT sont donnés à l'avance, plus il y a de petits malins ou de pénibles pour venir pleurnicher pour changer ci ou ça...

Une fois l'année mise en route, la marge de manœuvre est plus faible.

(c'est du vécu: pour que Mme X ait son vendredi ap. midi, mes filles avaient 8h de classe en 5ème -respect dénenfants toussa-, et 48 minutes de sonnerie à sonnerie - respect dénenfants bis- pour manger, un jour où ... elles auraient pu rentrer manger à la maison: le WE prolongé de Mâdâme m'a coûté 8€ par semaine; elle avait bougé encore une autre heure pour atteindre son objectif ; et c'était sa dernière année, en habitant dans le quartier, pas de ces pauvres hères à 950 km de chez eux avec un train à 13h12 pour arriver à la maison à 22h53)

[POMME3]

ils ont une tripotée de réunions pédagogiques, de discours du chef d'établissement et récupèrent leur emploi du temps, clés , paperasse administrative (en tout cas pour ce que j'ai eu comme discussion avec des copains du secondaire). Finalement je préfère ma pré-rentrée où je suis plus dans le concret avec mes cahiers que juste faire des réunions.

Ca leur prend une matinée ou un après-midi en général, avec un pot calé avant ou après…

Et ceux qui ne sont pas d'examens font des heures de présence en fin d'année, à garder les rares élèves qui sont là, et peuvent en profiter pour préparer l'année suivante.

Dans le second degré, ils n'ont rien a préparer pas de classe, pas de cahier, pas d'étiquettes, pas de classeur... Moi je passe 2 jours en juillet pour ranger ma classe et 2 ou 3 jours en août pour préparer la rentrée 5 jours gratuits.... Je n'en peux plus de ce métier, des mensonges de tout le monde, c'est insupportable. Les avantages de ce métier diminuent vitesse grand v

On dirait les propos du bar du coin... Si on veut que notre boulot soit reconnu, je ne vois pas en quoi ça aide de dénigrer celui des autres.

Surtout que les profs de secondaire (collège) que j'ai dans mon entourage sont loin d'être des feignasses et passent bien plus de temps sur leur lieu de travail que leurs 18h hebdomadaires (et ne sont pas payés en sus hormis l'isoe).

Le message du dessus que tu cites n'est que la réalité : effectivement les profs du secondaire peuvent préparer leur rentrée chez eux. C'est un état de fait, pas un dénigrement. Nous avons des métiers aux spécificités bien différentes, et le nôtre comporte indéniablement davantage d'heures de présence. Cela ne veut pas dire qu'ils sont feignasses dans le secondaire (mais nombre d'entre eux l'avouent du bout des lèvres : à part en lettres, ils ont souvent l'impression que les PE travaillent plus qu'eux ne le font…).

Et leur ISOE est quand même bien supérieure à celle qui nous a été octroyée cette année, pour quelle raison, au fond ?

Merci, de ressentir la même chose

[prof désécol]

Les Échos

15/05/14

http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0203501718673-rythmes-scolaires-un-rapport-rejete-au-senat-entretient-la-bataille-entre-ps-et-ump-671236.php

Rythmes scolaires : un rapport rejeté au Sénat ravive la bataille entre PS et UMP

L’UMP vient de rejeter le rapport de la mission sur les rythmes scolaires, mission constituée à sa demande. Le PS parle d’ «incompréhension», d’«indignation» et dénonce «une manipulation politicienne».

" Voilà qui risque encore de compliquer la tâche du ministre de l’Education nationale. Le rapport de la mission d’information sur la réforme des rythmes (voir document ci-dessous) vient d’être rejeté au Sénat. Seize sénateurs UMP et UDI ont voté contre, quinze sénateurs PS, RDSE et écologistes ont voté pour et deux communistes se sont abstenus.

Or, le travail commun mené depuis six mois par l’UMP et le PS – Catherine Troendle (UMP) était présidente et Françoise Cartron (PS), rapporteure – pouvait laisser espérer un début de sortie de crise dans ce dossier qui reste une épine dans le pied du gouvernement, malgré les tentatives d'assouplissement de Benoît Hamon.

La mission commune avait été demandée par l’UMP et était composée à parité de membres de la majorité et de l’opposition. Elle aurait pu mettre de l’huile dans les rouages de la réforme puisque UMP et PS semblaient d’accord sur les propositions. C’est en tout cas l’analyse de la rapporteure PS Françoise Cartron qui parle d’« incompréhension » et d’« indignation » et dénonce « une manipulation politicienne ».

« Poubelle »

« Il s’est passé quelque chose d’incompréhensible, car pendant six mois tout le monde a travaillé dans ce que je qualifierai aujourd’hui de parfaite hypocrisie, a déploré ce jeudi 15 mai, Françoise Cartron. La semaine dernière, nous nous étions mis d’accord sur 18 propositions avec la présidente UMP. Jean-Claude Carle (Sénateur UMP de Haute-Savoie, NDLR) s’était félicité des avancées. Puis, le 7 mai, les sénateurs UMP ont opéré un revirement… après avoir dû faire un détour par le bout de la rue de Vaugirard [le siège de l’UMP, NDLR] et reçu des instructions draconiennes. » « Les propositions étaient insuffisantes et imprécises », s’est défendu le sénateur UMP de Haute-Savoie Jean-Claude Carle, ce jeudi, sur « Public Sénat ». L’UDI a repris les mêmes arguments.

Pour Françoise Cartron, un tel rejet est « une première » dans l’histoire du Sénat. Ce sont « six mois de travail qui partent à la poubelle », a-t-elle ajouté, en décidant néanmoins de présenter ce rapport - qui ne sera pas publié comme rapport du Sénat - en son nom propre.

Sur l’accompagnement financier, la sénatrice a plaidé pour la mise en place d’une dotation spéciale aux communes qui serait discutée chaque année dans le projet de lois de Finances, et dont les critères seraient déterminés par le comité de finances locale en fonction des ressources des communes – « Neuilly n’a peut-être pas besoin d’avoir 50 euros par enfant pour mettre en place les rythmes », a-t-elle illustré.

« Faire subir à la CNAF un choc de simplification »

Le rapport reproche aussi à la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF) d’avoir mis en place « des dossiers d’une telle complexité que, sur le terrain, la majorité des maires ruraux ont renoncé à constituer des dossiers et donc à percevoir les 54 euros auxquels ils pourraient avoir droit ». Il faut « faire subir à la CNAF un choc de simplification », préconise Françoise Cartron.

L’Éducation nationale n’est pas non plus épargnée, notamment les directeurs académiques (DASEN), accusés d’un « déficit d’accompagnement ». Les maires et les enseignants « se sont retrouvés tout seuls, déplore encore Françoise Cartron. Il y a eu une carence de l’Education nationale. »

La sénatrice plaide aussi pour des activités périscolaires simples. « Il faut arrêter avec cette inflation d’activités sophistiquées proposées aux enfants, dit-elle. Une conteuse qui vient raconter une histoire, ça participe aussi de l’éveil des enfants. Arrêtons de nous prendre la tête : on n’a pas besoin d’un intervenant hyper qualifié en cuisine moléculaire pour un atelier cuisine ! »

Interrogée sur Lyon, où le maire PS Gérard Collomb vient de décider de concentrer les activités périscolaires sur le vendredi après-midi, la sénatrice a regretté cette option « en contradiction avec la philosophie de la réforme des rythmes », car contraire aux préconisations de nombreux chronobiologistes. Elle s’est dit « surprise et déçue », d’autant que « Lyon appartient au réseau des villes éducatrices ». « Ont-ils vendu du vent pendant des années ? », s’est-elle agacée, avant de redouter que le cas de Lyon ne fasse école chez « les mauvais élèves ». "

" Une conteuse qui vient raconter une histoire, ça participe aussi de l’éveil des enfants. Arrêtons de nous prendre la tête : on n’a pas besoin d’un intervenant hyper qualifié en cuisine moléculaire pour un atelier cuisine ! "

On appréciera cette remarque de la sénatrice PS qui, à la ligne suivante, parle de "philosophie de la réforme".

La cuisine interne du PS devient chaque jour plus savoureuse...

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Modifié 17 mai 2014 par prof désécol

[Polythene Pam]

Deux poids, deux mesures dans le secondaire, juste à titre d'exemple : prof de musique agrégé au collège et prof de français certifiés au lycée. L'un a 15 heures de cours, peu de préparation, peu de correction, a très peu d'examens à surveiller/corriger et est en vacances fin juin bien souvent. L'autre a 18 heures de cours, des préparations démentielles, un boulot de correction délirant, le bac français oral ET écrit, il est rarement en vacances avant le 12 juillet.

Le premier est bien mieux payé que le second. Est-ce que ce monde est sérieux ?

Alors oui, l'agrégation est un concours très difficile. Mais le CAPES aussi. Pourquoi tant de disparités au sein d'une même profession ?

Mais les deux ont une progression de carrière plus rapide que la nôtre et leur ISOE est effectivement plus conséquente. Et puis nous, pauvres primaires, nous sommes bien souvent dans nos classes la dernière semaine d'août, quant à moi, directrice, j'y suis même dès le 20, et jusqu'à l'année suivante, le 10 juillet.

Alors, la pré-rentrée.... En fait, je l'ai déjà écrit ailleurs mais je ne sais plus où, je n'en aurais rien à fiche de venir à l'école hors temps scolaire pour bosser, si le salaire était correct. Au lieu de ça, on a les 108 heures.....alors la pré-rentrée...... et comme nous avons une conscience professionnelle pathologique, et bien malgré tout, nous venons à l'école pendant les vacances, le mercredi après-midi, le we.....

Quel mépris, quelle méconnaissance du terrain, c'est consternant.