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Revue de presse sur les rythmes II


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A Phalempin, le maire veut boycotter les rythmes scolaires : une réforme « nullissime et inapplicable »

PUBLIÉ LE 28/05/2014

ISABELLE ELLENDER et CORINNE LAINÉ

Samedi, les parents d’élèves de Phalempin étaient invités à se prononcer sur la réforme des rythmes scolaires. Ils ont dit non à 95,3 %. Le député-maire UMP Thierry Lazaro, déjà « entré en résistance » en décembre, n’appliquera pas la réforme, qu’il juge « nullissime, mal préparée, inapplicable. » Le 5 juin, un conseil municipal extraordinaire entérinera le boycott. L’élu appelle tous les maires de France à lui emboîter le pas.

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Les parents d’élèves se sont prononcés contre la réforme à 95,3 <134>%.

L’Association des parents d’élèves de Phalempin organisait, samedi, une sorte de référendum (non officiel) sur la réforme des rythmes scolaires. Les parents ont voté contre à 95,3 %. Le résultat confirme donc les tendances des sondages antérieurs, même si Anne Cardin, présidente de l’APEP, a quelques regrets : « Seuls 54 % des foyers se sont exprimés alors que cela concerne directement l’avenir de nos enfants. Il semblerait que beaucoup de familles dont les enfants sont en CM2 n’aient pas voté, car elles ne sont pas concernées l’an prochain. Par contre, les parents des enfants qui entreront en maternelle en septembre auraient souhaité avoir le droit de vote. Mais malgré tout, le résultat est probant. »

Réferendum : 95 % de contre

Les résultats, les voici : 397 inscrits, 54 % d’exprimés ; 95,3 % contre, 4,1 % pour et 0,6 % blancs. Ils apportent de l’eau au moulin du député-maire UMP de Phalempin : Thierry Lazaro était « entré en résistance » dès décembre 2013, à l’heure où les communes devaient officialiser leurs choix. À l’époque, le premier magistrat avait déclaré : « Pas question de refuser d’appliquer la loi (ou plutôt le décret) parce qu’on est républicains ». Mais il attendrait « que l’État lui dise comment la mettre en place ». Le conseil municipal avait voté une motion demandant le report de la réforme. Et soutenu la pétition lancée par l’Association des parents d’élèves.

Fort du vote de samedi dernier, Thierry Lazaro va plus loin : il convoquera le 5 juin un conseil municipal extraordinaire pour entériner le boycott de la réforme. « Je refuse d’ouvrir les écoles le mercredi matin » annonce-t-il. Sur le fond, il n’est pas contre une réforme de l’Éducation nationale, « dans un pays où 20 à 25 % des enfants entrant dans le secondaire ne maîtrisent pas les règles élémentaires » de lecture, d’orthographe, de calcul. Mais pour lui, celle de Vincent Peillon a été « mal préparée, sans concertation avec les enseignants, les parents, les élus ». Il la qualifie de « nullissime, inapplicable et coûteuse » et met en avant les difficultés, pour les communes, à financer les TAP (temps d’activités périscolaires), et à trouver du personnel.

« Une débilité absolue »

Entre outre, le maire estime qu’une municipalité « s’occupe des murs, et n’a pas à s’immiscer dans la pédagogie » et regrette les disparités inévitables entre les communes riches et les autres.

Thierry Lazaro, connu pour son langage direct, voire fleuri, déclare : « Moi je ne me couche pas ! Je prends mes responsabilités. Tant pis si je risque la suspension » (de son poste de maire, NDLR). « Il est temps que le gouvernement cesse d’être autiste, je lance un cri fort et appelle tous les collègues maires, de droite comme de gauche, à faire de la résistance, à ne pas appliquer ce décret d’une débilité absolue. » Le député-maire UMP espère encore que la réforme pourra « être mise à plat ». Plusieurs municipalités, notamment dans le Calaisis ou la région de Marseille ont déjà annoncé qu’elles boycotteraient la réforme.

Posté(e)

Les IEN commencent à craquer !!

Rythmes scolaires : Passées les bornes, où sont les limites ?
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Publié le mardi 27 mai 2014 10:03 Affichages : 1430

Communiqué de presse du SI.EN UNSA

Notre organisation syndicale s’est radicalement inscrite en soutien à la loi de Refondation de l’Ecole, position simple pour nous à deux titres : d’une part, elle était en totale cohérence avec les orientations prévalant au sein de notre fédération, tous syndicats confondus, d’autre part, cette loi répondait bien à nos aspirations en vue d’un système éducatif plus juste et plus efficace.

Malgré la charge de travail induite pour les inspecteurs, nous avons aussi soutenu l’exigeante réforme des rythmes dans laquelle l’idée centrale était de réduire la durée de la journée scolaire des élèves pour rendre les apprentissages plus efficients. Cette position répondait sans ambiguïté aux souhaits des inspecteurs, puisque partout ceux-ci se sont remarquablement investis pour donner cohérence à des intentions politiques pourtant difficiles à concilier avec les contraintes matérielles que nous connaissons bien dans les territoires dont nous avons la responsabilité.

Partout, les inspecteurs ont tenu d’innombrables réunions, consommatrices de temps et d’énergie, pour défendre avec ardeur et compétence (ces mots ne sont pas des appréciations syndicales de complaisance, mais ceux qui ont été rapportés par notre hiérarchie comme par les élus) l’intérêt des élèves, tout en prenant en compte les caractéristiques de tous les acteurs éducatifs impliqués. Cet engagement témoigne également de notre volonté légitime d’être aux côtés des directeurs d’écoles particulièrement engagés dans ces réunions.

Une fois encore, nous avons été payés de mots, mais n’avons bénéficié d’aucune reconnaissance ni matérielle ni institutionnelle pour le travail accompli. Sans être taxés de vénalité, nous en avons franchement assez d’être pris pour les « pigeons » du système éducatif. Les charges de travail s’ajoutent les unes aux autres, les commandes sont formulées sur des tons souvent insupportables, avec des délais de réponse toujours plus intenables, et pourtant, nous avons continué à faire preuve d’une loyauté, d’un désintérêt et d’une souplesse adaptative dépassant certainement les bornes de l’acceptable !

Le travail patient et tenace des inspecteurs a largement porté ses fruits. Ainsi, à la veille de la mise en place du décret d’assouplissement, ce ne sont pas moins de 93% des communes qui disposaient de perspectives organisationnelles claires et cohérentes pour la rentrée à venir. Restaient à traiter 2% de communes ayant de réelles difficultés opérationnelles et 5% pour lesquelles l’opposition renvoyait davantage à des options politiques qu’à des préoccupations éducatives.

Etait-il dès lors judicieux d’affaiblir par décret un dispositif pourtant fort bien engagé ? Nous ne le croyons pas. Fallait-il ouvrir la porte à des possibilités organisationnelles qui font fi de l’intérêt des élèves ? Nous dénonçons cette reculade qui confond souplesse et complaisance en tournant le dos à l’objectif premier de cette réforme. Faut-il compter sur les inspecteurs pour trahir ce qu’ils ont mis en place en conscience pour défendre l’idée même de Refondation ? Nous disons NON !

Comble de l’incohérence : il se murmure aujourd’hui que l’échéance du 6 juin pourrait être repoussée… Rumeur, peut-être, mais nous avons appris par le passé que de telles rumeurs étaient rarement sans fondement. Les enseignants, les parents et les partenaires de l’Ecole un tant soit peu sérieux ne peuvent travailler de manière satisfaisante dans un environnement aussi instable et insécure.

Dans plusieurs académies, nos collègues sont confrontés à des attentes hiérarchiques qui vont à rebours des projets patiemment construits avec l’aide des inspecteurs. Nous engageons les inspecteurs à refuser ce qui ressemble plus à une compromission qu’à un compromis. C’est définitivement l’intérêt des élèves qui doit dicter nos choix et nous ne transigerons pas sur cette exigence. Si certains responsables sont prêts à tout pour « calmer les élus », nous refuserons de les suivre dans cette voie. Nous continuerons à dénoncer les dérives conformistes et autoritaristes, chemin sans doute plus difficile mais oh combien plus honorable… Fidèle aux valeurs qui l’ont conduit à devenir membre fondateur de l’ORTEJ, le SI.EN UNSA soutiendra toutes les initiatives de ses adhérents et sympathisants en vue de défendre la loi de Refondation de l’Ecole, qui nous semble à la fois juste et nécessaire.

Remarquez qu'ils:

_demandent des sous

_mentent (ils se tapent des TAP !)

Posté(e)

pour avoir vu cette émission il ne m'a pas paru convaincant du tout

il a ressorti les mêmes phrases que son prédécesseurs: le fameux intérêt des enfants, qu'il est ministre du temps scolaire et qu'on lui parle que du périsco , qu'il y a un fond mais qu'il ne peut pas obliger les communes à proposer des Tap (mais encourage les citoyens à demander des comptes à leurs maires), que l'école c'est mieux le matin etc....

quand la directrice lui a parlé de programmes, d'effectifs il a détourné en disant que s'il avait commencé par les programmes certains lui auraient reproché de ne pas s'occuper des rythmes en premier etc....

bref rien de neuf !

Posté(e)

Les IEN commencent à craquer !!

Rythmes scolaires : Passées les bornes, où sont les limites ?
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Publié le mardi 27 mai 2014 10:03 Affichages : 1430

Communiqué de presse du SI.EN UNSA

Notre organisation syndicale s’est radicalement inscrite en soutien à la loi de Refondation de l’Ecole, position simple pour nous à deux titres : d’une part, elle était en totale cohérence avec les orientations prévalant au sein de notre fédération, tous syndicats confondus, d’autre part, cette loi répondait bien à nos aspirations en vue d’un système éducatif plus juste et plus efficace.

Malgré la charge de travail induite pour les inspecteurs, nous avons aussi soutenu l’exigeante réforme des rythmes dans laquelle l’idée centrale était de réduire la durée de la journée scolaire des élèves pour rendre les apprentissages plus efficients. Cette position répondait sans ambiguïté aux souhaits des inspecteurs, puisque partout ceux-ci se sont remarquablement investis pour donner cohérence à des intentions politiques pourtant difficiles à concilier avec les contraintes matérielles que nous connaissons bien dans les territoires dont nous avons la responsabilité.

Partout, les inspecteurs ont tenu d’innombrables réunions, consommatrices de temps et d’énergie, pour défendre avec ardeur et compétence (ces mots ne sont pas des appréciations syndicales de complaisance, mais ceux qui ont été rapportés par notre hiérarchie comme par les élus) l’intérêt des élèves, tout en prenant en compte les caractéristiques de tous les acteurs éducatifs impliqués. Cet engagement témoigne également de notre volonté légitime d’être aux côtés des directeurs d’écoles particulièrement engagés dans ces réunions.

Une fois encore, nous avons été payés de mots, mais n’avons bénéficié d’aucune reconnaissance ni matérielle ni institutionnelle pour le travail accompli. Sans être taxés de vénalité, nous en avons franchement assez d’être pris pour les « pigeons » du système éducatif. Les charges de travail s’ajoutent les unes aux autres, les commandes sont formulées sur des tons souvent insupportables, avec des délais de réponse toujours plus intenables, et pourtant, nous avons continué à faire preuve d’une loyauté, d’un désintérêt et d’une souplesse adaptative dépassant certainement les bornes de l’acceptable !

Le travail patient et tenace des inspecteurs a largement porté ses fruits. Ainsi, à la veille de la mise en place du décret d’assouplissement, ce ne sont pas moins de 93% des communes qui disposaient de perspectives organisationnelles claires et cohérentes pour la rentrée à venir. Restaient à traiter 2% de communes ayant de réelles difficultés opérationnelles et 5% pour lesquelles l’opposition renvoyait davantage à des options politiques qu’à des préoccupations éducatives.

Etait-il dès lors judicieux d’affaiblir par décret un dispositif pourtant fort bien engagé ? Nous ne le croyons pas. Fallait-il ouvrir la porte à des possibilités organisationnelles qui font fi de l’intérêt des élèves ? Nous dénonçons cette reculade qui confond souplesse et complaisance en tournant le dos à l’objectif premier de cette réforme. Faut-il compter sur les inspecteurs pour trahir ce qu’ils ont mis en place en conscience pour défendre l’idée même de Refondation ? Nous disons NON !

Comble de l’incohérence : il se murmure aujourd’hui que l’échéance du 6 juin pourrait être repoussée… Rumeur, peut-être, mais nous avons appris par le passé que de telles rumeurs étaient rarement sans fondement. Les enseignants, les parents et les partenaires de l’Ecole un tant soit peu sérieux ne peuvent travailler de manière satisfaisante dans un environnement aussi instable et insécure.

Dans plusieurs académies, nos collègues sont confrontés à des attentes hiérarchiques qui vont à rebours des projets patiemment construits avec l’aide des inspecteurs. Nous engageons les inspecteurs à refuser ce qui ressemble plus à une compromission qu’à un compromis. C’est définitivement l’intérêt des élèves qui doit dicter nos choix et nous ne transigerons pas sur cette exigence. Si certains responsables sont prêts à tout pour « calmer les élus », nous refuserons de les suivre dans cette voie. Nous continuerons à dénoncer les dérives conformistes et autoritaristes, chemin sans doute plus difficile mais oh combien plus honorable… Fidèle aux valeurs qui l’ont conduit à devenir membre fondateur de l’ORTEJ, le SI.EN UNSA soutiendra toutes les initiatives de ses adhérents et sympathisants en vue de défendre la loi de Refondation de l’Ecole, qui nous semble à la fois juste et nécessaire.

Remarquez qu'ils:

_demandent des sous

_mentent (ils se tapent des TAP !)

Beau coming out qui explique beaucoup d'attitudes locales !

Zatko, impossible de t'envoyer des MP. Ta boîte est bourrée ?

Posté(e)

Les IEN sauront se sacrifier dans l'intérédèzenafnts. N'oublions pas de les laisser en première ligne face aux mairies: ça les occupera.

Sinon, ils pourront aussi expliquer comment faire à leurs camarades animateurs:

http://www.vousnousils.fr/2014/05/27/rythmes-scolaires-a-paris-les-personnels-danimation-epuises-553545

Les per­son­nels "au bord de la rupture"

Le syn­di­cat dénonce cepen­dant le fait que les REV –même si la Mairie prend en compte leurs dif­fi­cul­tés –abso­lu­ment épui­sés, sont « au bord de la rup­ture ». En effet, « posi­tion­ner un [seul] agent [le REV] pour gérer l'organisation, les équipes, la péda­go­gie, le rela­tion­nel avec les ensei­gnants, les parents, les autres inter­ve­nants, les mai­ries d'arrondissement, pour assu­rer l'intendance, pour s'occuper de l'administratif tout en menant un pro­jet éduca­tif, et cela le plus sou­vent sur deux ou trois écoles, était de toute évidence une charge trop lourde » et une « erreur d'appréciation » de la part de la ville de Paris, s'emporte ainsi le syndicat.

Il y a tout de même une justice: ceux qui ont voulu cette réforme la subisse aussi. Voyons comment ils vont s'en tirer.

Posté(e)

On appréciera :

"Point positif : « La majorité des retours que nous avons souligne la richesse et la diversité des ate­liers proposés, notamment en élémentaire (mais pas seulement), et une satisfaction sensible des enfants » indique le syndicat. »."

:closedeyes:

Posté(e)

Aubervilliers : les instits réclament la suspension des nouveaux rythmes scolaires

Les professeurs des écoles d'Aubervilliers ont organisé un rassemblement ce mercredi de 11 h 30 à 14 heures, place de la mairie d'Aubervilliers, pour demander la suspension de l'application de la réforme des rythmes scolaires.

Une intersyndicale, constituée de la CGT, FO, Snuipp-FSU et Sud éducation, exige « ni poursuite du dispositif actuel, ni nouvelle expérimentation ». « La majorité des enseignants de la ville s'accordent à dire que cette année scolaire a été catastrophique », ajoutent-ils.

http://www.leparisien.fr/espace-premium/paris-75/les-instits-reclament-la-suspension-des-nouveaux-rythmes-scolaires-28-05-2014-3877263.php

Posté(e)

Ce n'est pas le son de cloche de mon inspecteur...C'est marrant de voir le boomerang leur revenir en pleine tronche!

Posté(e)

http://www.sudeducation.org/Rythmes-scolaires-le-dossier-n-est.html

Pour les organisations syndicales FNEC FP-FO, SPS-FO, CGT-Educ’action, CGT services publics, SUD-éducation, SUD Collectivités Territoriales et FAEN réunies le 26 mai 2014, le décret « d’assouplissement » de la réforme des rythmes scolaires loin de répondre à la demande des personnels aggrave les inégalités territoriales en laissant chaque commune organiser le temps scolaire sans cadrage national. Pour les temps périscolaires, à la charge des communes, l’assouplissement des taux d’accueil se fera au détriment de la sécurité des enfants et des conditions de travail des agents.

De plus, la mise en concurrence de l’école publique avec l’école privée, qui n’est pas tenue de mettre en oeuvre la réforme, sera accentuée.

Le décret du 8 mai 2014 ne règle aucun des problèmes soulevés tant par les enseignants que par les agents territoriaux depuis 18 mois. C’est pourquoi la FSU, FO, la CGT et SUD ont voté contre au Comité Technique Ministériel et au CSE du 5 mai (SE-UNSA et CFDT se sont abstenus).

Les raisons de la mobilisation massive des personnels de l’Éducation nationale et des collectivités territoriales depuis le début de l’année 2013, contre la réforme des rythmes scolaires demeurent. Les initiatives pour demander la suspension, l’abrogation ou le retrait du décret du 24 janvier 2013 se poursuivent.

Personne n’est satisfait des aménagements proposés par le décret Hamon.

Le nouveau ministre de l’Éducation doit entendre l’ensemble des personnels concernés par cette réforme (Enseignants, Atsem, Animateurs, éducateurs sportifs et culturels…) et retirer le décret de 2013. Les organisations syndicales FNEC FP-FO, SPS-FO, CGT-Educ’action, CGT services publics, SUD éducation, SUD Collectivités Territoriales et FAEN demandent au ministre de prendre en compte le vote au CTM et au CSE et de rouvrir les discussions pour une autre réforme. Il s’agit de prendre en compte les revendications exprimées majoritairement par les personnels et leurs organisations syndicales.

Le retrait du décret de janvier 2013 est le seul assouplissement possible. Il n’est pas envisageable que cette réforme puisse s’appliquer à la prochaine rentrée. En s’obstinant à vouloir faire passer sa réforme à la rentrée prochaine, le ministre prend la responsabilité d’une rentrée chaotique.

Les organisations signataires soutiennent toutes les initiatives en cours ou à venir pour faire valoir les revendications des personnels.

Elles proposent à leurs instances départementales de réunir les personnels enseignants et des collectivités territoriales et d’envisager dans chaque département des rassemblements et des délégations devant les Inspections Académiques en juin pour porter la revendication d’abrogation, de suspension de réécriture du décret de janvier 2013.

Les problèmes non réglés maintenant se reposeront avec acuité en septembre.

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